Freud : aimer les PIEDS des femmes = GAY
SuppriméSigmund Freud en 1914 livre une étude sur le fétichisme du pied. Selon lui le pied est clairement une représentation phallique et l’attrait sexuel d’un homme pour le pied d’une femme est une marque tangible d’homosexualité refoulée.
Freud explique que le fétichiste développe une passion pour les pieds des femmes pour échapper à sa nature profondément homosexuelle.
Les pieds représentent réalité le phallus des femmes qu'elles n'ont pas et vouloir lécher des pieds est un désir inconscient de fellation.
Pour les fétichistes, être homosexuel est intolérable, pour répondre à cette question et pour que la femme reste désirable sexuellement, ils cristallisent leur désir sur les pieds. Freud note que contrairement à la majorité des hétérosexuels qui sont dominants sur le plan sexuel, les fétichistes sont majoritairement soumis. Il explique que la symbolique de sucer des orteils est similaire à celle de sucer un pénis.
Chaud les fétichistes vous confirmez?
comment les gens ont pu donner du crédit à un tel golem charlatan aussi merdique ?
le mec qui fait preuve d’aucune rigueur, qui trafique ses resultats, et qui n’a AUCUNE preuve mais les gens décide de le croire
la psychanalyse putain cette pseudoscience en carton
Freud avance très simplement que pour tous les cas qu'il a connus, une seule explication s’impose : ce fétiche est un substitut du pénis - il s'empresse de préciser qu’il s’agit du pénis de la femme, auquel le petit garçon a cru et auquel il ne veut pas renoncer. Le fétiche répond donc à une seule et même nécessité. Il s'est substitué au pénis de sa mère que le sujet aurait souhaité voir, et dont il a bien dû constater l’absence.
Soit, le phallus de la femme. Freud distingue donc le pénis de la réalité de la fonction symbolique du phallus,
qui prend alors une valeur signifiante. La perception demeure et "[le sujet] a entrepris une action très énergique pour maintenir son déni. Il a conservé la croyance que la femme a un phallus mais il l'a aussi abandonnée.7" Le sujet se divise ici, à l'endroit de la réalité. Ce clivage lié au conflit entre le poids de la perception et la force du contre-désir trouve un compromis. Le sujet sait bien consciemment que la mère n'a pas de pénis, tout en lui attribuant un phallus dans son fantasme inconscient. Le pénis qu'il n'y a pas est remplacé par une autre image signifiante.
On voit bien à quoi répond l'existence de ce fétiche :
- à un triomphe sur la menace de castration ;
- à une protection contre cette menace de castration ;
- et à un évitement de l'homosexualité, car le fétiche permet à la femme de rester supportable en tant qu'objet sexuel.
Freud l'affirme tranquillement, son expérience lui permet de dire qu'il n'est épargné à aucun petit sujet
masculin d'être effrayé par la vue de l'organe génital féminin. Ce manque de quelque chose qui est essentiel
à son narcissisme entraine une terreur de la castration.
Pour garantir sa propre intégrité il lui faut trouver
une solution :
- devenir homosexuel ;
- ou se défendre par l'érection d'un fétiche ;
- ou encore surmonter son effroi et entrer dans la dialectique entre les sexes par la castration symbolique
Je sais plus quoi en
Penser la
Mais les gens lui donnent du crédit
Le 01 avril 2023 à 00:22:29 :
Freud avance très simplement que pour tous les cas qu'il a connus, une seule explication s’impose : ce fétiche est un substitut du pénis - il s'empresse de préciser qu’il s’agit du pénis de la femme, auquel le petit garçon a cru et auquel il ne veut pas renoncer. Le fétiche répond donc à une seule et même nécessité. Il s'est substitué au pénis de sa mère que le sujet aurait souhaité voir, et dont il a bien dû constater l’absence.Soit, le phallus de la femme. Freud distingue donc le pénis de la réalité de la fonction symbolique du phallus,
qui prend alors une valeur signifiante. La perception demeure et "[le sujet] a entrepris une action très énergique pour maintenir son déni. Il a conservé la croyance que la femme a un phallus mais il l'a aussi abandonnée.7" Le sujet se divise ici, à l'endroit de la réalité. Ce clivage lié au conflit entre le poids de la perception et la force du contre-désir trouve un compromis. Le sujet sait bien consciemment que la mère n'a pas de pénis, tout en lui attribuant un phallus dans son fantasme inconscient. Le pénis qu'il n'y a pas est remplacé par une autre image signifiante.On voit bien à quoi répond l'existence de ce fétiche :
- à un triomphe sur la menace de castration ;
- à une protection contre cette menace de castration ;
- et à un évitement de l'homosexualité, car le fétiche permet à la femme de rester supportable en tant qu'objet sexuel.Freud l'affirme tranquillement, son expérience lui permet de dire qu'il n'est épargné à aucun petit sujet
masculin d'être effrayé par la vue de l'organe génital féminin. Ce manque de quelque chose qui est essentiel
à son narcissisme entraine une terreur de la castration.Pour garantir sa propre intégrité il lui faut trouver
une solution :
- devenir homosexuel ;
- ou se défendre par l'érection d'un fétiche ;
- ou encore surmonter son effroi et entrer dans la dialectique entre les sexes par la castration symbolique
chaud aucun argument aucune preuve aucune expérience rien du tout juste « Je pense que »
https://www.centreaide.com/viewtopic.php?f=1205&t=36951
Données du topic
- Auteur
- JeuneDoc
- Date de création
- 1 avril 2023 à 00:19:44
- Date de suppression
- 1 avril 2023 à 01:03:00
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