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le film JOKER

Le 27 mars 2023 à 11:43:14 muzica a écrit :
De la merde misérabiliste

« ouin ouin le monde il est méchant avec moi c’est pour ca que je suis méchant » étalé sur 2h

regarder 2h de film pour nous dégueuler ton affectif comme une gonzesse :rire: faut un QI à 3 chiffres aussi pour analyser des films mon grand

Le 27 mars 2023 à 11:43:14 :
De la merde misérabiliste

« ouin ouin le monde il est méchant avec moi c’est pour ca que je suis méchant » étalé sur 2h

This

regarder 2h de film pour nous dégueuler ton affectif

Je dégueule rien du tout. C’est le seul message du film, que fait le Joker pendant les 2h à part se venger des gens qui n’ont pas été gentil avec lui :snif: rien.

Complètement surcoté je trouve, mais bon quand même

Le 27 mars 2023 à 12:04:08 :
Complètement surcoté je trouve, mais bon quand même

Pour le coup honnêtement c'est bien "parasite" que j'ai trouvé hyper giga surcôté. Je le prends comme exemple comme il est sorti à la même période.
Tout le monde en avait fait un foin parceque c'est un film asiatique, mais à part un début très sympathique le film est vraiment moyen et se casse même la gueule à la fin.

Mais je peux comprendre que le message du film ne parle pas à tout le monde.

Le 27 mars 2023 à 11:38:24 :

Le 27 mars 2023 à 11:33:29 :
De la merde en barre, chiante comme la pluie.
Plus discours primaire sur la lutte des classes, dignes d'un élève de CP.
Et Phoenix, insupportable.
Pour les pyjs qui n'ont jamais vu de vrais films dissidents.

Ok le fan de taxi driver

Mauvaise choix, c'est une des inspirations des réalisateurs du film..

Le 27 mars 2023 à 11:33:29 :
De la merde en barre, chiante comme la pluie.
Plus discours primaire sur la lutte des classes, dignes d'un élève de CP.
Et Phoenix, insupportable.
Pour les pyjs qui n'ont jamais vu de vrais films dissidents.

Magnifique film hélas y aura toujours les anti conformistes comme ce vdd qui auront besoin de se sentir Intéressant
Surtout qu'en j'ai vu que certaines personnes était choqué juste car j'ai été voir ce film à l'époque ça m'a fait comprendre à quel point on avait des points de vue différents à cause de nos Origines sociales 10/10 :oui:

Ce film c'est un éléphant dans un magasin de porcelaine https://image.noelshack.com/fichiers/2023/11/1/1678727106-generation-cordon-bleu.png
Y'a tout ce qu'il faut pour en faire un film grand publique, et c'est pour ça qu'il plaît autant. Une jolie photographie et un casting 5 étoiles, ouais. Mais la vision du réal sur la marginalité est grossière, et ça se ressent dans son film https://image.noelshack.com/fichiers/2023/11/1/1678727106-generation-cordon-bleu.png

Que le Joker soit un ancien GI abandonné par la société ou un malade mental, peu importe. La vrai exclusion c'est l'hypocrisie des gens qui disent être là pour toi, mais qui ont toujours mieux à faire que de t'aider. https://image.noelshack.com/fichiers/2023/11/1/1678727106-generation-cordon-bleu.png
Les gens dans le bus se moquent de lui, il se fait frapper par des voyous sur son lieu de travail, ses collègues se foutent de sa gueule... Ca c'est des trucs cohérents quand tu fais un film sur le harcèlement scolaire en primaire ou au collège. Dans le vrai monde des adultes ce sont des choses qui se font de façon un peu plus subtil https://image.noelshack.com/fichiers/2023/11/1/1678727106-generation-cordon-bleu.png

Ou alors jsp peut être que c'était ça New York dans les années 80 enfin bref https://image.noelshack.com/fichiers/2023/11/1/1678727106-generation-cordon-bleu.png

Liste des gens tués par le Joker :

Les 3 mecs du metro = ils n’étaient pas gentil avec lui :snif: -> meurtre
Sa mère, c’était pas une bonne maman, trop triste :snif: -> meurtre
Son collègue de travail, il l’a pas aidé quand il s’est fait virer :snif: -> meurtre
( dédicace à son autre collègue présent au même moment, lui il était gentil, lui il reste vivant :fier: )

Murray, pas besoin de détailler, il était pas gentil non plus :diable: -> balle dans la tête

Tu parles d’un film profond

j'ai attendu presque 2 ans avant de voir le film, jamais aimé les hypes et autres modes
"fan" modéré de l'univers de batman, j'etais intrigué par l'ecriture du personnage et du film en general, vu tout le positif que j'en avais entendu

Gros "BOF" finalement, du positif mais surtout un gros negatif : si le titre ne s'appelait pas Joker, jamais j'aurais pense que le personnage etait le joker
le joker est un personnage qui, meme si en depression, reste un clown. Intenable, irreverencieux, un vrai sociopathe qui a toujours ete depeind comme la nemesis de batman, sans ce dernier, le joker n'a plus aucune raison d'etre, et au sommet de sa gloire, il sombre dans l'ennui si personne ne vient contrecarrer ses plans

je l'ai donc trouvé faussement subversif, et a l'instar des blockbuster d'action qui ont un cahier des charges tres précis, j'ai aussi eu l'impression que le cahier des charges etait aussi présent dans ce film, afin de montrer un joker en totale contraction avec celui maintes fois raconté.

par contre crier au genie me semble exageré, c'est une interpretation, au meme titres que celles de burton , nolan, celles avec affleck ou pattinson, chacune explorant un "univers" different du batman.

bah j'ai pas aimé cet univers du joker

jsuis assez choqué de certaines réponses mais c'est cool de voir des avis aussi différents, ça montre à quel point l'interprétation d'une même oeuvre peut être subjective dépendant d'ou on se situe, ceux qui critiquent le manque de profondeur je dirais que 1) on peut faire passer une critique très pertinente sans pour autant qu'elle soit profonde 2) je trouve qu'il y a clairement de la profondeur dans ce film même si on peut faire une lecture seulement de surface, mais bon question de ressenti encore une fois

Dans le film Joker, il se pourrait qu'Arthur Fleck ne soit pas le "vrai" Joker. Au lieu de cela, il serait davantage un symbole, un déclencheur, l’origine d’un mouvement de rébellion à Gotham qui inspirera plus tard celui que l’on connaît comme le Joker, ennemi emblématique de Batman.

La scène de fin du second film et l’apparition du "vrai" Joker
À la fin de Joker 2, un personnage pourrait bien être introduit comme le véritable Joker : un homme plus jeune, qui poignarde Arthur Fleck et rit de manière bien plus caractéristique du Joker que nous connaissons. Ce potentiel "vrai Joker" va jusqu’à s’entailler les lèvres avec un couteau pour se dessiner un sourire sinistre, un geste qui rappelle les versions les plus iconiques du personnage. De plus, lorsque Fleck s'adresse à Harley Quinn, incarnée par Lady Gaga, il lui affirme qu'il n'est pas "le Joker" que tout le monde attend, mais simplement "Arthur Fleck". Par là, le film nous montrerait clairement que, s'il est à l’origine du mouvement des "Jokers", il n'est pas lui-même destiné à en incarner le vrai visage.

Arthur Fleck, une figure tragique inspirant le chaos
Le film présente Arthur Fleck comme un homme brisé, vivant une vie difficile avec sa mère dans un quartier défavorisé de Gotham. Ce cadre sombre et réaliste semble être un commentaire social, évoquant le désespoir et la marginalisation dans les bas-fonds des grandes villes. Arthur est un individu malade, abandonné par le système, qui subit l’injustice et l’indifférence du monde qui l’entoure. Cette accumulation de malheurs et de trahisons, notamment à cause de sa mère et de ses mensonges, a contribué à développer chez lui une haine profonde pour la société. C’est cette haine qui le pousse finalement à adopter le masque du Joker, et son explosion de violence à la fin du premier film déclenche une vague d’émulation parmi les laissés-pour-compte.

La "Jokerisation" de Gotham et la haine de Batman
La transformation d’Arthur en Joker inspire un mouvement de révolte populaire qui, à la fin de Joker, entraîne le meurtre des parents de Bruce Wayne. Ce traumatisme fondateur de Batman lie profondément le destin du Chevalier Noir à celui du Joker, ou plutôt au mouvement de violence et d’anarchie qu’Arthur Fleck a provoqué. En ce sens, Arthur Fleck n’est pas le Joker final, mais il est celui qui a planté la graine de la haine et de la folie dans Gotham, des sentiments qui finiront par façonner le véritable Joker. Ainsi, le Batman que deviendra Bruce pourrait éprouver une haine encore plus grande pour ce mouvement du "Joker", car il a directement causé la mort de ses parents.

La folie théâtrale et le voyage mental d'Arthur Fleck
Le deuxième film prend des allures de comédie musicale, comme une pièce de théâtre où Arthur se voit en protagoniste d'une grande tragédie. Tout au long de son voyage, il semble de plus en plus perdu dans sa propre folie, jouant le rôle du Joker mais restant, au fond, Arthur Fleck. Cette mise en scène extravagante pourrait symboliser le décalage d’Arthur avec la réalité, comme si sa vie n'était qu'un spectacle tragique qu'il avait lui-même écrit et dans lequel il ne fait que jouer un rôle. Cette idée accentue l'impression que toute son existence est une illusion, un simple prélude au chaos que quelqu’un d'autre incarnera pleinement sous le masque du Joker.

Le piège de la police et la mort d'Arthur
Finalement, Arthur pourrait être victime d’un piège tendu par la police, qui le mène à sa mort lors d’une rencontre censée être anodine. Ce piège serait orchestré pour mettre fin à sa folie et empêcher tout contact avec le "vrai" Joker, celui qui pourrait l'avoir poignardé et qui, lui, embrasserait totalement cette identité anarchique et meurtrière. Ce "Joker" plus jeune pourrait donc être l’incarnation finale du personnage, s’inspirant d'Arthur mais avec une violence et une intention propres qui le rendraient digne d'être l'ennemi de Batman.

Conclusion : une critique sociale et une exploration de la folie
Le film Joker ne serait donc pas l’histoire du Joker final, mais celle d'un homme brisé qui, par sa détresse et ses actes, donne naissance à une figure iconique du chaos. Arthur Fleck serait un symbole pour tous les opprimés, mais aussi une critique des failles du système qui laisse tomber les plus faibles. Son personnage illustre les conséquences de la cruauté et de l’indifférence dans un monde où des personnes comme lui n’ont ni soutien ni traitement. Le film propose ainsi une version réaliste et sociale du mythe, où la vraie folie réside dans la société elle-même.

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BoKnows1
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27 mars 2023 à 11:21:41
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