Le 18 mars 2023 à 20:07:16 :
Quand c'est une habitude quotidienne, t'as plusieurs niveaux d'addiction à combattre et les symptômes physiques c'est pas forcément le pire. Au bout d'un moment, ça devient quand même plus facile, même si au début t'as l'impression que tu ne pourras plus jamais t'en passer et que je ne pourras pas faire face aux galères de la vie sans. En fait, tout est plus facile sans. Pas forcément plus agréable, mais plus facile. Et tout comme picoler était une habitude, ne plus picoler devient également une habitude (par contre il vaut mieux oublier la petite bière entre potes, car un jour, vous allez vous finir en solo avec 7 autres une fois rentré). J'ai dû dépasser les 2 ans et demi sans alcool alors que je m'enfilais une bouteille d'alcool fort par jour ou l'équivalent en bières fortes. Ça ne me manque pas.
Par contre, le coup de réduire "en douceur" avec des alcools moins forts, ça n'a aucun intérêt si la quantité d'alcool reste la même. Que tu montes à 3g avec une bouteille d'alcool fort ou avec 8 bières fortes, c'est strictement la même chose.
Mais non.
Quand je lui parle de vin et de bière, c'est pas pour qu'il s'en boive 5 bouteilles. (ça fait mal au bide)
Mais là il était à 1l d'alcool fort par jour.
Impossible d'arrêter du jour au lendemain sans prendre des risques. Le sevrage peut être violent.
Mais il peut par exemple essayer de boire une bouteille de vin, maxi 2 pendant quelques temps genre les siroter tout au long de la journée.
En gros je lui conseille le vin ou la bière pour qu'il ait quelque chose à boire.
Puis descendre petit à petit.
