Topic de BanNumero3999 :

[VIDEO] Un SAUVAGE DE MERDE VEND SA FILLE CONTRE DU SEL ET UNE CHEVRE

Supprimé

Mais c'Ă©tait quiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii ?

Mais c'Ă©tait quiiiiiiiiiii ?

C'est quiiiiiiiiii ?!

Et c'eestttttttttttt Loliieeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee ! https://image.noelshack.com/fichiers/2022/23/3/1654692699-eussou-grande-bouche-2-par-risipied-2sreup.png

On dirais un mec la petite
Anery* qui va prendre son billet pour l'Afrique avec une valise de sel https://image.noelshack.com/fichiers/2018/27/4/1530827992-jesusreup.png
Le grand-père : "Cet homme l'a violée donc elle doit rester avec, c'est la coutume" https://image.noelshack.com/fichiers/2019/02/1/1546885943-picsart-01-07-07-12-36.jpg
Pauvre petite , quelle vie horrible espérons qu'elle ne croise plus jamais ce vieux débris :/
Le "peu de sel" c'Ă©tait les larmes de la petite ?
C'est atroce en vrai ....

Déjà ce n'est pas une vente mais un mariage. Merci de cesser ta désinformation.

Pour le sel, la chèvre etc ...

https://fr.wikipedia.org/wiki/Dot

Le prix de la fiancée (grec : hédon) était le système d'échange patrimonial au temps d'Homère mais, au Ve siècle av. J.-C., ce système a été remplacé par celui de la dot (grec : pherne). L'Europe antique était une société patriarcale. Le père de la future mariée donnait une dot au futur mari. En Grèce antique c'était la coutume que le père aille chercher des coquillages dans la mer Égée pour les offrir au mari. La cérémonie se faisait sur la plus haute colline de la région et pendant neuf jours.

L'Europe romaine était aussi une société dotale : puisque dans le droit romain la femme n'est pas juridiquement responsable, elle ne possède aucun bien propre, ce qui nécessite une transmission patrimoniale sous forme de dot (latin : dos). La dot était obligatoire pour rendre un mariage légitime.

Pour le fait de se marier avec son violeur, on appelle ça un mariage réparateur. Dans l'intérêt de la fille, c'est le moindre mal car peut-être personne ne voudrait se marier avec elle.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Mariage_r%C3%A9parateur

Traditionnellement, le mariage entre l'agresseur et la victime était souvent considéré comme la « solution » adéquate au problème. Certaines cultures antiques attachaient un prix élevé à la virginité et une femme victime de viol voyait ses perspectives de mariage réduites. Ces conventions obligeaient le violeur à assurer l'entretien matériel de sa victime20.

Une clause de mariage réparateur figure dans l'Ancien Testament : Deutéronome, chapitre 22, versets 28-29 : « Si un homme rencontre une jeune fille vierge non fiancée, la saisit et couche avec elle, et qu’ils soient surpris, l’homme qui a couché avec elle donnera au père de la jeune fille cinquante sicles d’argent, et elle sera sa femme, parce qu’il l’a déshonorée, il ne pourra pas la renvoyer, tant qu’il vivra ». Il importe peu que la femme soit consentante ou non à la relation sexuelle puis au mariage ; l'homme est dans l'obligation de l'épouser et de verser une dot à ses parents pour régler l'affaire21.

C'est toujours la même chose. Quand c'est des noirs, vous dites que c'est barbare et primitif. Quand c'est des européens, vous dites que c'est la culture et la tradition.

C'est un peu comme la pratique de l'excision que vous considérez barbare et primitive quand il s'agit d'Africains et que vous appelez clitoridectomie.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Clitoridectomie

Historiquement, l'ablation chirurgicale du clitoris a été pratiquée dès le IIe siècle à des fins de contrôle de la sexualité féminine et de normalisation de l'appareil génital féminin par Soranos d'Éphèse. Au XVIIe siècle, Pierre Dionis et André Levret la préconisent pour lutter contre la « nymphomanie »3. Au XVIIIe siècle de nombreux médecins en font la promotion ou y ont recours dans les mêmes objectifs de contrôle et de normalisation. Un clitoris trop grand ou trop long est considéré comme une maladie comme l'attestent les nosographies d'Anthelme Richerand ou d'Alexis Boyer3. Richerand, après avoir décrit la maladie et un cas de clitoridectomie, note que « les occasions de pratiquer cette opération sont infiniment rares ; et les femmes qui abusent de leur clitoris, ne s'y soumettent pas volontiers »4. Pour Pierre Jean Corneille Debreyne, il est aussi licite de retirer cet « organe de pure volupté non nécessaire à la conception » que d'amputer un membre malade3.

Le 16 mars 2023 Ă  10:12:51 :
Le grand-père : "Cet homme l'a violée donc elle doit rester avec, c'est la coutume" https://image.noelshack.com/fichiers/2019/02/1/1546885943-picsart-01-07-07-12-36.jpg

Bordel je pensais que t'Ă©tais entrain de troll mais il le dit vraiment bordel quel vie....

Le 16 mars 2023 Ă  10:19:23 :
Déjà ce n'est pas une vente mais un mariage. Merci de cesser ta désinformation.

Pour le sel, la chèvre etc ...

https://fr.wikipedia.org/wiki/Dot

Le prix de la fiancée (grec : hédon) était le système d'échange patrimonial au temps d'Homère mais, au Ve siècle av. J.-C., ce système a été remplacé par celui de la dot (grec : pherne). L'Europe antique était une société patriarcale. Le père de la future mariée donnait une dot au futur mari. En Grèce antique c'était la coutume que le père aille chercher des coquillages dans la mer Égée pour les offrir au mari. La cérémonie se faisait sur la plus haute colline de la région et pendant neuf jours[réf. nécessaire].

L'Europe romaine était aussi une société dotale : puisque dans le droit romain la femme n'est pas juridiquement responsable, elle ne possède aucun bien propre, ce qui nécessite une transmission patrimoniale sous forme de dot (latin : dos). La dot était obligatoire pour rendre un mariage légitime[réf. nécessaire].

Pour le fait de se marier avec son violeur, on appelle ça un mariage réparateur. Dans l'intérêt de la fille, c'est le moindre mal car peut-être personne ne voudrait se marier avec elle.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Mariage_r%C3%A9parateur

Traditionnellement, le mariage entre l'agresseur et la victime était souvent considéré comme la « solution » adéquate au problème. Certaines cultures antiques attachaient un prix élevé à la virginité et une femme victime de viol voyait ses perspectives de mariage réduites. Ces conventions obligeaient le violeur à assurer l'entretien matériel de sa victime20.

Une clause de mariage réparateur figure dans l'Ancien Testament : Deutéronome, chapitre 22, versets 28-29 : « Si un homme rencontre une jeune fille vierge non fiancée, la saisit et couche avec elle, et qu’ils soient surpris, l’homme qui a couché avec elle donnera au père de la jeune fille cinquante sicles d’argent, et elle sera sa femme, parce qu’il l’a déshonorée, il ne pourra pas la renvoyer, tant qu’il vivra ». Il importe peu que la femme soit consentante ou non à la relation sexuelle puis au mariage ; l'homme est dans l'obligation de l'épouser et de verser une dot à ses parents pour régler l'affaire21.

C'est toujours la même chose. Quand c'est des noirs, vous dites que c'est barbare et primitif. Quand c'est des européens, vous dites que c'est la culture et la tradition.

C'est un peu comme la pratique de l'excision que vous considérez barbare et primitive quand il s'agit d'Africains et que vous appelez clitoridectomie.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Clitoridectomie

Historiquement, l'ablation chirurgicale du clitoris a été pratiquée dès le IIe siècle à des fins de contrôle de la sexualité féminine et de normalisation de l'appareil génital féminin par Soranos d'Éphèse. Au XVIIe siècle, Pierre Dionis et André Levret la préconisent pour lutter contre la « nymphomanie »3. Au XVIIIe siècle de nombreux médecins en font la promotion ou y ont recours dans les mêmes objectifs de contrôle et de normalisation. Un clitoris trop grand ou trop long est considéré comme une maladie comme l'attestent les nosographies d'Anthelme Richerand ou d'Alexis Boyer3. Richerand, après avoir décrit la maladie et un cas de clitoridectomie, note que « les occasions de pratiquer cette opération sont infiniment rares ; et les femmes qui abusent de leur clitoris, ne s'y soumettent pas volontiers »4. Pour Pierre Jean Corneille Debreyne, il est aussi licite de retirer cet « organe de pure volupté non nécessaire à la conception » que d'amputer un membre malade3.

DDb le taré . On es en 2023

Ayaaa la spéculation sur le sel fait des ravages en Afrique

osef c'est pas chez nous https://image.noelshack.com/fichiers/2022/26/6/1656764606-risigeek.png

leur terre, leurs mœurs https://image.noelshack.com/fichiers/2022/26/6/1656764606-risigeek.png

on a pas à s'immiscer dans ces conneries et essayer de les résonner

Le 16 mars 2023 Ă  10:09:20 :
Mais c'Ă©tait quiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii ?

Mais c'Ă©tait quiiiiiiiiiii ?

C'est quiiiiiiiiii ?!

Et c'eestttttttttttt Loliieeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee ! https://image.noelshack.com/fichiers/2022/23/3/1654692699-eussou-grande-bouche-2-par-risipied-2sreup.png

Enfoiré je l'ai dans la tête maintenant :rire:

C'est toujours la même chose. Quand c'est des noirs, vous dites que c'est barbare et primitif. Quand c'est des européens, vous dites que c'est la culture et la tradition.

C'est un peu comme la pratique de l'excision que vous considérez barbare et primitive quand il s'agit d'Africains et que vous appelez clitoridectomie.

On considère tout ça comme barbare parce que ça n'existe plus dans les civilisations européennes. Si ça persiste encore dans un petit village reculé, alors personne n'en parle et tout le monde se révolterait contre.
En Afrique c'est répandu dans plusieurs pays.
Tu viens de montrer indirectement que les comportement de la société (pauvre, au moins) en Afrique correspondent à ceux de l'Occident d'il y a plusieurs centaines d'années. Cela implique, avec juste ce que tu as dit, que l'Afrique a un retard de développement sociétal très important sur l'Europe. Ou alors, que tu juges ces pratiques acceptables, si elles ne constituent pas un retard de développement.

L’op a la haine car il aurait voulu l’acheter :)
ah s'il y a du sel ça va

Données du topic

Auteur
BanNumero3999
Date de création
16 mars 2023 Ă  10:07:33
Date de suppression
16 mars 2023 Ă  11:40:00
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