Le miracle de l'hostie de Buenos Aires

Le 13 mars 2024 à 02:10:08 Barbaudin a écrit :

Le 13 mars 2024 à 02:06:53 :

Le 02 mars 2023 à 23:35:31 Bertrendepit2 a écrit :
Une semaine plus tard, il rouvre l'armoire contenant la coupole et l'hostie, et il découvre ça avec stupéfaction

Quelques gouttes de sang sur une hostie et les bots religieux sont stupéfaits

Les vrais religieux s en foutent en vrai y a que les gens qui ne croient pas réellement qui ont besoin de se rassurer

Le 13 mars 2024 à 01:59:22 RothirschBAN a écrit :

Croire en la transsubstantation et en la présence réelle dans l’hostie consacrée n’implique pas d’attendre une hémorragie à chaque communion, et donner une attention si grande à ces événements, sans doute pour en tirer un affermissement de sa foi, en lieu et place du travail du cœur, me semble chose dangereuse : car si le miracle n’en était justement pas un, ce qui reste toujours possible, alors ce serait la fondation même de votre foi qui s’en irait

Les simplifications grotesques auxquelles tu es obligé de te livrer pour justifier ta position. Le fait que les conciles aient statué sur ces questions, et que des signes viennent indépendamment corroborer les conclusions ne retranchent rien à la foi. Le dossier de cette hostie, qui reste des mois dans l'eau sans se dissoudre, qui préserve des globules blancs intact alors qu'ils auraient du disparaître en quelques jours, ça te dérange par le simple fait d'exister.
Tu es atteint (si tu es catholique) par le même mal qui affecte ces évêques obsédé par le jugement du siècle, qui "craignent de mal paraître si c'est faux/si ça passe de mode"... Comme les évêques qui persécutaient Padre Pio, comme ceux qui ont voulu cacher la madone de Syracuse, ou comme Bergoglio qui a emmuré dans un coffre fort caché l'hostie miraculeuse qui lui avait été adressée (je pense que c'était un message pour lui, vu son destin).

Se méfier de ces prétendus signes, justement, et n’en pas demander, jamais, pour sa foi, car ils doivent toujours lui rester indifférents : celui qui croit mieux en voyant, ou qui croit moins en ne voyant pas, me semble avoir la foi fragile ; la mienne, je l’espère, n’a que faire de voir, de toucher, elle ne sera pas accrue en sachant ce signe vrai, et ne s’amoindrira pas en le sachant faux ; j’y suis donc indifférent ; je crois en revanche en la présence réelle du Christ dans l’hostie, puisque je crois bien que Dieu s’est réellement incarné en un homme fait de chair, comme nous, et peu me chaut ensuite que tel curé ait découvert ici ou là une miette ensanglantée pour en témoigner, car comme on dit, ma religion est déjà faite

Comme tu es confit de toi-même pour refuser le signe, et être certain qu'il est impossible qu'on t'en adresse.
Tu devrais te décerner une médaille de foi supérieure et dire à Dieu qu'il s'est trompé avec ses saints, ses prophètes et ses miracles, que Jésus n'aurait jamais dû en accomplir aucun etc.

Je ne récuse pas le miracle en son principe, les Évangiles en relatent, mais ils en relatent assez, Dieu les a jugés suffisants pour la foi des hommes, alors je me réserve le droit d’être indifférent à ceux nouveaux que l’on m’annonce, comme celui que ce topic présente

Oui, tu ne peux pas refuser le principe parce que c'est trop compliqué catholiquement, mais par contre tu en rejettes la possibilité factuelle a priori, parce que c'est bon, l'histoire du Salut est terminée, et parce que, connaissant les vrais desseins de Dieu, tu sais bien n'y a plus rien y rajouter, et que rien que tu ne saches déjà ne se produira.

Il se trouve que l'histoire du Salut est une histoire vivante, une respiration du divin qui enveloppe tout et tous, et pas seulement toi, qu'elle a continué avec les Apôtres, avec l'hostie de Lanciano, de la messe saint Grégoire et celle de Buenos Aires, avec stigmatisés François et Pio, avec les témoins comme Bernadette et les trois enfants de Fatima, qu'il se pourrait bien que ses ressorts t'échappent peut-être.

Les proselites sont aussi absurdes que ceux qui dénigrent sans raison la logique de ceux qui ne croient pas n est pas fourvoyé, quelqu un qui ne veut pas croire pour x ou y raison logique eh bien grand bien lui fasse il à raison. Il ne faut pas non plus conspué ceux qui croient sans " preuve".

Laissez chacun vivre dans la foi ou non

Zugibe (28 mai 1928 - 6 septembre 2013) est un expert américain en médecine légale.

Professeur de pathologie à l'université Columbia et médecin légiste dans le comté de Rockland de l'État de New York de 1969 à 2002, il a consacré une grande partie de sa carrière à tenter d'expliquer les causes du décès par crucifiement. Il s'est livré à de nombreuses expériences avec, non pas un cadavre ou des bras amputés comme le chirurgien Pierre Barbet, mais avec des volontaires portant des gants en cuir simulant le cloutage des mains. Il est ainsi connu pour ses travaux et ses livres sur la médecine légale, la crucifixion et le suaire de Turin[1]

Ben dis donc ils ont vraiment choisi le médecin le plus objectif du monde pour l'analyse

Le 13 mars 2024 à 02:12:06 :

Le 13 mars 2024 à 01:59:22 RothirschBAN a écrit :

> Croire en la transsubstantation et en la présence réelle dans l’hostie consacrée n’implique pas d’attendre une hémorragie à chaque communion, et donner une attention si grande à ces événements, sans doute pour en tirer un affermissement de sa foi, en lieu et place du travail du cœur, me semble chose dangereuse : car si le miracle n’en était justement pas un, ce qui reste toujours possible, alors ce serait la fondation même de votre foi qui s’en irait

Les simplifications grotesques auxquelles tu es obligé de te livrer pour justifier ta position. Le fait que les conciles aient statué sur ces questions, et que des signes viennent indépendamment corroborer les conclusions ne retranchent rien à la foi. Le dossier de cette hostie, qui reste des mois dans l'eau sans se dissoudre, qui préserve des globules blancs intact alors qu'ils auraient du disparaître en quelques jours, ça te dérange par le simple fait d'exister.
Tu es atteint (si tu es catholique) par le même mal qui affecte ces évêques obsédé par le jugement du siècle, qui "craignent de mal paraître si c'est faux/si ça passe de mode"... Comme les évêques qui persécutaient Padre Pio, comme ceux qui ont voulu cacher la madone de Syracuse, ou comme Bergoglio qui a emmuré dans un coffre fort caché l'hostie miraculeuse qui lui avait été adressée (je pense que c'était un message pour lui, vu son destin).

Se méfier de ces prétendus signes, justement, et n’en pas demander, jamais, pour sa foi, car ils doivent toujours lui rester indifférents : celui qui croit mieux en voyant, ou qui croit moins en ne voyant pas, me semble avoir la foi fragile ; la mienne, je l’espère, n’a que faire de voir, de toucher, elle ne sera pas accrue en sachant ce signe vrai, et ne s’amoindrira pas en le sachant faux ; j’y suis donc indifférent ; je crois en revanche en la présence réelle du Christ dans l’hostie, puisque je crois bien que Dieu s’est réellement incarné en un homme fait de chair, comme nous, et peu me chaut ensuite que tel curé ait découvert ici ou là une miette ensanglantée pour en témoigner, car comme on dit, ma religion est déjà faite

Comme tu es confit de toi-même pour refuser le signe, et être certain qu'il est impossible qu'on t'en adresse.
Tu devrais te décerner une médaille de foi supérieure et dire à Dieu qu'il s'est trompé avec ses saints, ses prophètes et ses miracles, que Jésus n'aurait jamais dû en accomplir aucun etc.

Je ne récuse pas le miracle en son principe, les Évangiles en relatent, mais ils en relatent assez, Dieu les a jugés suffisants pour la foi des hommes, alors je me réserve le droit d’être indifférent à ceux nouveaux que l’on m’annonce, comme celui que ce topic présente

Oui, tu ne peux pas refuser le principe parce que c'est trop compliqué catholiquement, mais par contre tu en rejettes la possibilité factuelle a priori, parce que c'est bon, l'histoire du Salut est terminée, et parce que, connaissant les vrais desseins de Dieu, tu sais bien n'y a plus rien y rajouter, et que rien que tu ne saches déjà ne se produira.

Il se trouve que l'histoire du Salut est une histoire vivante, une respiration du divin qui enveloppe tout et tous, et pas seulement toi, qu'elle a continué avec les Apôtres, avec l'hostie de Lanciano, de la messe saint Grégoire et celle de Buenos Aires, avec stigmatisés François et Pio, avec les témoins comme Bernadette et les trois enfants de Fatima, qu'il se pourrait bien que ses ressorts t'échappent peut-être.

Le Salut s’obtient par la foi et par les actes, pas, excuse-moi, par ce qui s’apparente à un culte des reliques, encore moins par l’obtention de signes que l’indulgence du Ciel aurait seulement fait à quelques-uns élus, et je prie Dieu pour qu’Il m’en donne la Grâce, car c’est là ce miracle quotidien que vous semblez rechercher, il est là votre signe, dans ce petit feu qui vous tisonne la poitrine chaque jour qu’Il fait, il est devant vous, et vous préférez le voir ailleurs