3eme jour D'USINE demain, déjà au bout du rouleau

Passe le Pl et le spl

Tu va devoir charbonner en cours mais ensuite tu seras tranquille.Et on aura toujours besoin de chauffeur,en + ta des ouvertures au Canada, dans les Pays Scandinave .

L'usine c'est la mort cérébral assuree.Deprime ,pression, la mort niveau salariat

Franchement passe ton PL ! Il est la le bon plan

Le 24 novembre 2022 à 23:46:15 :
Passe le Pl et le spl

Tu va devoir charbonner en cours mais ensuite tu seras tranquille.Et on aura toujours besoin de chauffeur,en + ta des ouvertures au Canada, dans les Pays Scandinave .

L'usine c'est la mort cérébral assuree.Deprime ,pression, la mort niveau salariat

Franchement passe ton PL ! Il est la le bon plan

Pourquoi pas,j'aime etre seul et j'aime conduire en plus

T'es chauffeur ? comment ca se passe pour faire ca ?

Le 24 novembre 2022 à 23:05:54 :
Je pars souvent en dep dans les usines françaises et étrangères (international)

Et bien les usines sont parmi les plus vétustes. Pas de fenêtre, sale, chiottes ignoble, salle de pause en bout de ligne

Les usines de sidérurgie sont désastreuses leurs équipements date en majorité des années 80-90

On fait pâle figure face à l'Allemagne, la Suisse et l’Autriche

Dites vous bien que les usines russes sont équivalente aux usines françaises

Putain ça m'a fait repenser à un entretien collectif popole lunaire avec un boomer entrepreneur qui cherchait un cableur d'armoire au smic avec 2h de coupure le midi, son argument imparable : "y'a une dalle ciment toute neuve dans l'entrepôt on est pas de la terre battue"

Le 24 novembre 2022 à 23:57:40 :

Le 24 novembre 2022 à 23:05:54 :
Je pars souvent en dep dans les usines françaises et étrangères (international)

Et bien les usines sont parmi les plus vétustes. Pas de fenêtre, sale, chiottes ignoble, salle de pause en bout de ligne

Les usines de sidérurgie sont désastreuses leurs équipements date en majorité des années 80-90

On fait pâle figure face à l'Allemagne, la Suisse et l’Autriche

Dites vous bien que les usines russes sont équivalente aux usines françaises

Putain ça m'a fait repenser à un entretien collectif popole lunaire avec un boomer entrepreneur qui cherchait un cableur d'armoire au smic avec 2h de coupure le midi, son argument imparable : "y'a une dalle ciment toute neuve dans l'entrepôt on est pas de la terre battue"

Les vieux briscards bloqués 40 ans en arrière.

" De la même façon que dans la nature, depuis l’origine des temps, la gélinotte prend la couleur des feuilles mortes en automne et celle de la neige en hiver ou que le caméléon passe du noir au vert selon qu’il se déplace sur un tronc ou sur du feuillage, les hommes et les femmes de cet atelier en arrivaient à se confondre par la teinte avec les « saucisses fraîches paysannes » qu’ils fabriquaient."

"Pour garder la cadence imposée, on devait mobiliser l'ensemble de ses facultés; dès l'instant où le premier bœuf tombait et jusqu'au coup de sifflet de midi, puis de douze heure trente à Dieu sait quelle heure de l'après-midi ou du soir, jamais il n'y avait le moindre répit, ni pour la main, ni pour l’œil, ni pour l'esprit.[...] Si un ouvrier n'arrivait pas à suivre, il y en avait des centaines d'autres sur le pavé qui ne demandaient qu'à s'essayer."
La Jungle d'Upton Sinclair

"Il y avait les hommes qui travaillaient dans les salles de décapage, par exemple, où le vieil Antanas avait trouvé la mort ; il n'y en avait pas un seul qui n'avait pas quelque chose d'horrible sur lui. Qu'un homme s'écorche le doigt en poussant un camion dans les salles de décapage, et il peut avoir une plaie qui le met hors du monde ; toutes les articulations de ses doigts peuvent être rongées par l'acide, une à une. Parmi les bouchers et les parquetiers, les bœufs et les parures, et tous ceux qui se servaient de couteaux, il était difficile de trouver quelqu'un qui avait l'usage de son pouce ; maintes et maintes fois, la base de celui-ci avait été entaillée, jusqu'à ce qu'il ne soit plus qu'un simple morceau de chair contre lequel l'homme appuyait le couteau pour le tenir. Les mains de ces hommes étaient sillonnées d'entailles, jusqu'à ce que l'on ne puisse plus prétendre les compter ou les tracer. Ils n'avaient pas d'ongles, ils les avaient usés en tirant les peaux ; leurs articulations étaient enflées de sorte que leurs doigts s'écartaient comme un éventail. Il y avait des hommes qui travaillaient dans les salles de cuisson, au milieu de la vapeur et des odeurs nauséabondes, à la lumière artificielle ; dans ces salles, les germes de la tuberculose pouvaient vivre pendant deux ans, mais la réserve était renouvelée toutes les heures. Il y avait les porteurs de bœuf, qui transportaient des quartiers de deux cents livres dans les wagons frigorifiques ; un travail effrayant, qui commençait à quatre heures du matin, et qui épuisait les hommes les plus puissants en quelques années. Il y avait ceux qui travaillaient dans les chambres froides, et dont la maladie particulière était le rhumatisme ; la limite de temps pendant laquelle un homme pouvait travailler dans les chambres froides était, dit-on, de cinq ans. Il y avait les plumeurs de laine, dont les mains s'abîmaient encore plus vite que celles des marmitons ; car il fallait peindre les peaux des moutons avec de l'acide pour détacher la laine, et ensuite les plumeurs devaient arracher cette laine à mains nues, jusqu'à ce que l'acide leur ait rongé les doigts. Il y avait ceux qui fabriquaient les boîtes de conserve pour la viande en boîte ; leurs mains aussi étaient un labyrinthe de coupures, et chaque coupure représentait une chance d'empoisonnement du sang. Certains travaillaient aux machines à estamper, et il était très rare qu'on puisse y travailler longtemps au rythme imposé, sans s'épuiser, s'oublier et se faire couper une partie de la main. Il y avait les " hoisters ", comme on les appelait, dont la tâche était d'actionner le levier qui soulevait le bétail mort du sol. Ils couraient sur un chevron, regardant vers le bas à travers l'humidité et la vapeur ; et comme les architectes du vieux Durham n'avaient pas construit la salle d'abattage pour la commodité des palanquins, à tous les quelques pieds ils devaient se baisser sous une poutre, disons quatre pieds au-dessus de celle sur laquelle ils couraient ; ce qui leur donnait l'habitude de se baisser, de sorte que dans quelques années ils marcheraient comme des chimpanzés. Les pires de tous, cependant, étaient les hommes des engrais et ceux qui servaient dans les cuisines. Ces personnes ne pouvaient pas être montrées au visiteur, car l'odeur d'un homme engrais effraierait n'importe quel visiteur ordinaire à cent mètres, et quant aux autres hommes, qui travaillaient dans des salles de réservoirs pleines de vapeur, et dans certaines desquelles il y avait des cuves ouvertes près du niveau du sol, leur problème particulier était qu'ils tombaient dans les cuves ; et lorsqu'ils étaient repêchés, il n'en restait jamais assez pour mériter d'être exposés, - parfois ils étaient négligés pendant des jours, jusqu'à ce que tout, sauf les os, ait disparu dans le monde sous le nom de Durham's Pure Leaf Lard !"

Le 25 novembre 2022 à 01:04:50 :
"Il y avait les hommes qui travaillaient dans les salles de décapage, par exemple, où le vieil Antanas avait trouvé la mort ; il n'y en avait pas un seul qui n'avait pas quelque chose d'horrible sur lui. Qu'un homme s'écorche le doigt en poussant un camion dans les salles de décapage, et il peut avoir une plaie qui le met hors du monde ; toutes les articulations de ses doigts peuvent être rongées par l'acide, une à une. Parmi les bouchers et les parquetiers, les bœufs et les parures, et tous ceux qui se servaient de couteaux, il était difficile de trouver quelqu'un qui avait l'usage de son pouce ; maintes et maintes fois, la base de celui-ci avait été entaillée, jusqu'à ce qu'il ne soit plus qu'un simple morceau de chair contre lequel l'homme appuyait le couteau pour le tenir. Les mains de ces hommes étaient sillonnées d'entailles, jusqu'à ce que l'on ne puisse plus prétendre les compter ou les tracer. Ils n'avaient pas d'ongles, ils les avaient usés en tirant les peaux ; leurs articulations étaient enflées de sorte que leurs doigts s'écartaient comme un éventail. Il y avait des hommes qui travaillaient dans les salles de cuisson, au milieu de la vapeur et des odeurs nauséabondes, à la lumière artificielle ; dans ces salles, les germes de la tuberculose pouvaient vivre pendant deux ans, mais la réserve était renouvelée toutes les heures. Il y avait les porteurs de bœuf, qui transportaient des quartiers de deux cents livres dans les wagons frigorifiques ; un travail effrayant, qui commençait à quatre heures du matin, et qui épuisait les hommes les plus puissants en quelques années. Il y avait ceux qui travaillaient dans les chambres froides, et dont la maladie particulière était le rhumatisme ; la limite de temps pendant laquelle un homme pouvait travailler dans les chambres froides était, dit-on, de cinq ans. Il y avait les plumeurs de laine, dont les mains s'abîmaient encore plus vite que celles des marmitons ; car il fallait peindre les peaux des moutons avec de l'acide pour détacher la laine, et ensuite les plumeurs devaient arracher cette laine à mains nues, jusqu'à ce que l'acide leur ait rongé les doigts. Il y avait ceux qui fabriquaient les boîtes de conserve pour la viande en boîte ; leurs mains aussi étaient un labyrinthe de coupures, et chaque coupure représentait une chance d'empoisonnement du sang. Certains travaillaient aux machines à estamper, et il était très rare qu'on puisse y travailler longtemps au rythme imposé, sans s'épuiser, s'oublier et se faire couper une partie de la main. Il y avait les " hoisters ", comme on les appelait, dont la tâche était d'actionner le levier qui soulevait le bétail mort du sol. Ils couraient sur un chevron, regardant vers le bas à travers l'humidité et la vapeur ; et comme les architectes du vieux Durham n'avaient pas construit la salle d'abattage pour la commodité des palanquins, à tous les quelques pieds ils devaient se baisser sous une poutre, disons quatre pieds au-dessus de celle sur laquelle ils couraient ; ce qui leur donnait l'habitude de se baisser, de sorte que dans quelques années ils marcheraient comme des chimpanzés. Les pires de tous, cependant, étaient les hommes des engrais et ceux qui servaient dans les cuisines. Ces personnes ne pouvaient pas être montrées au visiteur, car l'odeur d'un homme engrais effraierait n'importe quel visiteur ordinaire à cent mètres, et quant aux autres hommes, qui travaillaient dans des salles de réservoirs pleines de vapeur, et dans certaines desquelles il y avait des cuves ouvertes près du niveau du sol, leur problème particulier était qu'ils tombaient dans les cuves ; et lorsqu'ils étaient repêchés, il n'en restait jamais assez pour mériter d'être exposés, - parfois ils étaient négligés pendant des jours, jusqu'à ce que tout, sauf les os, ait disparu dans le monde sous le nom de Durham's Pure Leaf Lard !"

Daryl

Tu passe le C,Ce ,fimo

Et tu peux exercer .Le transport c'est vaste !

Le 25 novembre 2022 à 10:26:43 :
Ayaaa Lundi je fais ma premiere fois a m usine pour une mission d 1 semaine renouvelable, 6h-15h, je ferais le bilan sur ce topax

Usine de quoi en dépit de ent ?

Le 24 novembre 2022 à 00:52:14 :
La première semaine est toujours la plus difficile et décisive... Soit tu tiens et tu continueras un bout de temps, soit tu te casses toujours durant la première semaine.

Soit le chef te vire avant

Le 25 novembre 2022 à 10:34:37 :

Le 25 novembre 2022 à 10:26:43 :
Ayaaa Lundi je fais ma premiere fois a m usine pour une mission d 1 semaine renouvelable, 6h-15h, je ferais le bilan sur ce topax

Usine de quoi en dépit de ent ?

Agro-alimentaire, ils font des trucs de traiteurs, je serais dans le secteur "friand"

Le 25 novembre 2022 à 10:44:06 :

Le 25 novembre 2022 à 10:34:37 :

Le 25 novembre 2022 à 10:26:43 :
Ayaaa Lundi je fais ma premiere fois a m usine pour une mission d 1 semaine renouvelable, 6h-15h, je ferais le bilan sur ce topax

Usine de quoi en dépit de ent ?

Agro-alimentaire, ils font des trucs de traiteurs, je serais dans le secteur "friand"

Enjoy, j'espère que tu seras avec des petits culs.

j'ai fait un an d'usine aya plus jamais

je préfère retourner sur chantier

Le 25 novembre 2022 à 19:39:39 :
5 ans en usine poses tes questions l'op

Comment t'a survécu ? Pourquoi avoir fait ca ? T'a gardé des séquelles je présume ?