Vous savez QUI vous êtes
Vous pensez vous connaître, avoir une idée de vous-mêmes conforme à qui vous êtes véritablement ?
Justifiez vos réponses.
non.
Nous sommes infinis. La découverte de soi ne s'arrête jamais
edit : il est facile de penser que nous sommes ceci, ou cela. De s'identifier à notre prénom, notre métier, notre rôle dans la société ou dans notre famille, relation de couple.
Ce "qui" dépend du niveau de soi auquel on s'identifie. Ce qui, qui à la racine, n'est rien d'autre que soi, sans aucune étiquette, sans forme.
Le 25 août 2022 à 00:46:17 :
non.Nous sommes infinis. La découverte de soi ne s'arrête jamais
Ah je m’attendais pas à cette première réponse.
Le 25 août 2022 à 00:48:50 :
Non mais juste parce que j’ai des trous de mémoire donc j’oublie des pans entier de ma vie sinon j’aurais dis oui
T’as une maladie ?
Le 25 août 2022 à 00:47:26 :
Le 25 août 2022 à 00:46:17 :
non.Nous sommes infinis. La découverte de soi ne s'arrête jamais
Ah je m’attendais pas à cette première réponse.
je l'ai modifiée ! Et toi quelle serait ta réponse?
Le 25 août 2022 à 00:51:07 :
Le 25 août 2022 à 00:47:26 :
Le 25 août 2022 à 00:46:17 :
non.Nous sommes infinis. La découverte de soi ne s'arrête jamais
Ah je m’attendais pas à cette première réponse.
je l'ai modifiée ! Et toi quelle serait ta réponse?
Je pense que notre compréhension de notre propre identité se définit de manière dialectique par le contact avec l’Autre et donc, le monde extérieur. Si en étant au sein du monde, un monde avec l’Autre, que je peux définir une représentation de ce que je suis et ce que je ne suis pas. Plus notre rapport à l’altérité est perturbé et pervers, moins on peut définir une identité saine puisqu’on se renferme alors dans une sorte de solipsisme qui nous amène à réifier tout ce qui nous entoure.
Se connaître soi-même, ce donc un processus, jamais quelque chose de figé définitivement.
Le 25 août 2022 à 00:56:47 :
Un déchet creux et générique inadapté à la vie sociale
Je me cite :
Plus notre rapport à l’altérité est perturbé et pervers, moins on peut définir une identité saine puisqu’on se renferme alors dans une sorte de solipsisme qui nous amène à réifier tout ce qui nous entoure.
T’es dans une régression solipsiste. C’est pas irrémédiable. Mais plus t’enfonces, plus il est difficile d’en sortir.
Le 25 août 2022 à 00:54:27 :
Le 25 août 2022 à 00:51:07 :
Le 25 août 2022 à 00:47:26 :
Le 25 août 2022 à 00:46:17 :
non.Nous sommes infinis. La découverte de soi ne s'arrête jamais
Ah je m’attendais pas à cette première réponse.
je l'ai modifiée ! Et toi quelle serait ta réponse?
Je pense que notre compréhension de notre propre identité se définit de manière dialectique par le contact avec l’Autre et donc, le monde extérieur. Si on étant au sein du monde, un monde avec l’Autre, que je peux définir ce que je suis et ce que je ne suis pas. Plus notre rapport à l’altérité est perturbé et pervers, moins on peut définir une identité saine puisqu’on se renferme alors dans une sorte de solipsisme qui nous amène à réifier tout ce qui nous entoure.
Se connaître soi-même, ce donc un processus, jamais quelque chose de figé définitivement.
Oui je te rejoins ! J'aime bien la façon dont tu intègres l'autre (avec je ne sais pas trop pourquoi, une majsucule ?)
J'aime également la pensée suivante : tu ne vois pas le monde tel qu'il est mais tel que tu es. Cet échange avec l'autre, ce que de mes sens je considère comme : autre que moi, c'est aussi la recontre avec soi.
Car d'une certaine manière, rien n'existe pour moi, hors de moi.
Et c'est pour ça que je te rejoindrais aussi : ce que je suis, qui je suis, c'est ce processus, cette rencontre.
Mais ce que je pense, c'est que ce que je suis n'est pas mon identité, c'est sous jacent, c'est imanent.
Ce qu'on appelle conscience et que je ne saurait décrire avec aucun mot
Le 25 août 2022 à 01:01:19 :
Le 25 août 2022 à 00:54:27 :
Le 25 août 2022 à 00:51:07 :
Le 25 août 2022 à 00:47:26 :
Le 25 août 2022 à 00:46:17 :
non.Nous sommes infinis. La découverte de soi ne s'arrête jamais
Ah je m’attendais pas à cette première réponse.
je l'ai modifiée ! Et toi quelle serait ta réponse?
Je pense que notre compréhension de notre propre identité se définit de manière dialectique par le contact avec l’Autre et donc, le monde extérieur. Si on étant au sein du monde, un monde avec l’Autre, que je peux définir ce que je suis et ce que je ne suis pas. Plus notre rapport à l’altérité est perturbé et pervers, moins on peut définir une identité saine puisqu’on se renferme alors dans une sorte de solipsisme qui nous amène à réifier tout ce qui nous entoure.
Se connaître soi-même, ce donc un processus, jamais quelque chose de figé définitivement.
Oui je te rejoins ! J'aime bien la façon dont tu intègres l'autre (avec je ne sais pas trop pourquoi, une majsucule ?)
J'aime également la pensée suivante : tu ne vois pas le monde tel qu'il est mais tel que tu es. Cet échange avec l'autre, ce que de mes sens je considère comme : autre que moi, c'est aussi la recontre avec soi.
Car d'une certaine manière, rien n'existe pour moi, hors de moi.Et c'est pour ça que je te rejoindrais aussi : ce que je suis, qui je suis, c'est ce processus, cette rencontre.
Mais ce que je pense, c'est que ce que je suis n'est pas mon identité, c'est sous jacent, c'est imanent.
Ce qu'on appelle conscience et que je ne saurait décrire avec aucun mot
Je crois que la dernière partie de ton post concerne le Dasein.
Oui !
être,
merci
Données du topic
- Auteur
- NOUVOMODE
- Date de création
- 25 août 2022 à 00:44:30
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