Je défonce les « CINÉPHILES » du FOROM
Le 10 juillet 2022 à 19:49:16 :
Le 10 juillet 2022 à 19:45:10 :
Pour info dans le top 5 des meilleurs films selon lop on y trouve Spring Breakers un film avec Selena Gomez et la meuf de High school musical , film étant noté 5/10 sur Imdb.Voila voila
Imagine t’as besoin d’IMDB pour déterminer la qualité d’un film.
Imagine t’es dénué de curiosité et d’esprit critique.
Imagine tu penses qu’un film avec une actrice sur laquelle tu as des a priori réducteurs est nécessairement mauvais.
Imagine tu sais pas que “Spring Breakers” est un chef d’œuvre qui capture à la fois le zeitgeist du début de la dernière décennie tout en épousant la philosophie de Baudrillard.
Malaise lop
Le 10 juillet 2022 à 19:41:46 :
plutôt que par l’appréciation authentique de ces réalisateurs ou de ces œuvres en question. Quand un cinéphile prétend aimer l’œuvre de Tsai Ming-Liang ou Weerasethakul Apichatpong, ce qu’il faut comprendre c’est qu’il apprécie les discours autour de ces réalisateurs et la possibilité de s’approprier ces discours pour signaler sa capacité à apprécier des formes de cinéma
Comment fais-tu concrètement la distinction entre les deux ?
Parce que là on a simplement l'impression que les technicistes formés au discours critique sont authentiquement frappés de disgrâce à tes yeux, mais j'imagine qu'il n'y a pas que ça.
Il y a ceux qui produisent un ou des discours par une herméneutique rigoureuse et il y a ceux qui régurgitent des discours préfabriqués.
Le 10 juillet 2022 à 19:51:51 :
Le 10 juillet 2022 à 19:41:46 :
plutôt que par l’appréciation authentique de ces réalisateurs ou de ces œuvres en question. Quand un cinéphile prétend aimer l’œuvre de Tsai Ming-Liang ou Weerasethakul Apichatpong, ce qu’il faut comprendre c’est qu’il apprécie les discours autour de ces réalisateurs et la possibilité de s’approprier ces discours pour signaler sa capacité à apprécier des formes de cinéma
Comment fais-tu concrètement la distinction entre les deux ?
Parce que là on a simplement l'impression que les technicistes formés au discours critique sont authentiquement frappés de disgrâce à tes yeux, mais j'imagine qu'il n'y a pas que ça.
Il y a ceux qui produisent un ou des discours par une herméneutique rigoureuse et il y a ceux qui régurgitent des discours préfabriqués.
T'as des exemples précis des deux pour les opposer a minima ou tu peux spécifier ? Ce sont des mots.
Le 09 juillet 2022 à 22:29:02 :
Les « cinéphiles » du forum — comme l’immense majorité des cuistres qui se définissent à travers ce terme — ont un rapport au cinéma purement accumulatoire, en témoigne leur tendance à notifier chaque film qu’ils regardent sur des sites comme Letterboxd, SensCritique ou Cinelounge. Ce rapport, consumériste et superficiel, est également codifié par le ou les discours autour de réalisateurs ou d’œuvres plutôt que par l’appréciation authentique de ces réalisateurs ou de ces œuvres en question. Quand un cinéphile prétend aimer l’œuvre de Tsai Ming-Liang ou Weerasethakul Apichatpong, ce qu’il faut comprendre c’est qu’il apprécie les discours autour de ces réalisateurs et la possibilité de s’approprier ces discours pour signaler sa capacité à apprécier des formes de cinéma qui échappent au mainstream.Comprenez donc qu’un vrai cinéphile, c’est Bégaudeau, parce qu’il est capable, durant plus d’une heure, de dégager une herméneutique du film « Memoria » et le tout, à l’oral.
Comprenez qu’un cuistre qui se prétend cinéphile, c’est AG. Un ignare tout juste bon à retranscrire de manière paresseuse ses affects :
Une blague.
On a pas tous 250 de QI comme toi l'OP
Merci de nous éclairer de ta lumière. Mais fait gaffe, elle pue l'arrogance et le narcissisme.
Quand un cinéphile prétend aimer l’œuvre de Tsai Ming-Liang ou Weerasethakul Apichatpong, ce qu’il faut comprendre c’est qu’il apprécie les discours autour de ces réalisateurs et la possibilité de s’approprier ces discours pour signaler sa capacité à apprécier des formes de cinéma qui échappent au mainstream.
Ah ok
Le 10 juillet 2022 à 19:54:49 :
Le 09 juillet 2022 à 22:29:02 :
Les « cinéphiles » du forum — comme l’immense majorité des cuistres qui se définissent à travers ce terme — ont un rapport au cinéma purement accumulatoire, en témoigne leur tendance à notifier chaque film qu’ils regardent sur des sites comme Letterboxd, SensCritique ou Cinelounge. Ce rapport, consumériste et superficiel, est également codifié par le ou les discours autour de réalisateurs ou d’œuvres plutôt que par l’appréciation authentique de ces réalisateurs ou de ces œuvres en question. Quand un cinéphile prétend aimer l’œuvre de Tsai Ming-Liang ou Weerasethakul Apichatpong, ce qu’il faut comprendre c’est qu’il apprécie les discours autour de ces réalisateurs et la possibilité de s’approprier ces discours pour signaler sa capacité à apprécier des formes de cinéma qui échappent au mainstream.Comprenez donc qu’un vrai cinéphile, c’est Bégaudeau, parce qu’il est capable, durant plus d’une heure, de dégager une herméneutique du film « Memoria » et le tout, à l’oral.
Comprenez qu’un cuistre qui se prétend cinéphile, c’est AG. Un ignare tout juste bon à retranscrire de manière paresseuse ses affects :
Une blague.On a pas tous 250 de QI comme toi l'OP
Merci de nous éclairer de ta lumière. Mais fait gaffe, elle pue l'arrogance et le narcissisme.
Résumé ?
Le 10 juillet 2022 à 19:53:36 :
Au hasard, un mec qui utilise la théorie de la réception de Iser et Jauss pour discuter de deux visages d'un film à deux périodes données. Il régurgite ou il est dans l'herméneutique rigoureuse ?
Coucou Moizi
Le 10 juillet 2022 à 19:53:36 :
Au hasard, un mec qui utilise la théorie de la réception de Iser et Jauss pour discuter de deux visages d'un film à deux périodes données. Il régurgite ou il est dans l'herméneutique rigoureuse ?
Tout dépend de la manière dont il emploie ces outils théoriques.
Mais à titre d’exemple, tu peux comparer d’un côté François Bégaudeau (qui n’est pas non plus le meilleur sur ce plan mais qui reste très bon) et de l’autre une Rebecca Manzoni.
Le 10 juillet 2022 à 19:57:28 :
Le 10 juillet 2022 à 19:53:36 :
Au hasard, un mec qui utilise la théorie de la réception de Iser et Jauss pour discuter de deux visages d'un film à deux périodes données. Il régurgite ou il est dans l'herméneutique rigoureuse ?Coucou Moizi
M'insulte pas, je le hais, ce petit patin à roulette a déjà cru m'intimider en me menaçant de contacter l'administration qui m'emploie par courrier anonyme.
Mais le propos de l'auteur en l'état me paraît un peu faiblard.
De l' "art-hoe" fan de Carpenter/Argento, au binoclard chétif qui ne jure que par Sorrentino, en passant par le nipponophile protéiforme, et par le boomer éternel dont les grommellements d'intervenant France Inter ne visent qu'à nous faire oublier qu'il se branle sous la table en matant Charlotte, fille Ginsburg dans Nymphomaniac (ou Bellucci chez Gaspar Noé, on se sent sulfureux), sans parler du casual fan de Tarantino qui ne se lasse pas des "hommages" convenus au cinema d'exploitation des années 70 qu'il pense être le seul à reconnaître, on ne sait pas par quel bout prendre cette farandole de cuistres.
Mais attention, le cinéphile est polymathe, touche à tout. Desco la plupart du temps ou -pour les plus investis- étudiant en cinéma, ce qui revient au même, l'endettement en plus, il ne trouvera cependant aucun mal à discourir en veux tu en voilà sur les thèmes gnostiques abordés dans le cinéma de Panos Cosmatos, ou à louer le traitement de la relativité restreinte dans le dernier Nolan pour les plus proches du peuple. Le cinéphile se fait sociologue devant Loach ou Tavernier, mystique devant Jodorowsky ou Pialat, musicien devant Tarkovski... Qui l'eût cru ! Tant de siècles et de pages sacrifiés, tous, à l'amour de la vérité- sacrifiés en vain, jetés par la fenêtre- alors qu'il aurait suffi de se divertir. Le cinéphile est la preuve par trois que, oui, on PEUT apprendre en s'amusant.
Le cinéphile disserte, l'air blasé, de sexe et de violence, c'est profond voyez vous. C'est cru, c'est vrai. Un film n'en est pas un sans une scène de cul non simulée (Brown Bunny, Dernier Tango à Paris) ou des longues scènes de torture, de préférence à composante psychologique, que le cinéphile n'aura sans doute aucune peine à affubler d'une ébauche de sens afin de justifier son voyeurisme glauque. L'art doit être LIBRE. La liberté, c'est bien. Le cinéphile aime la retenue et la classe seulement quand elle est produit d'une autre époque, seulement quand elle est en noir et blanc et qu'on la trouve dans un film qu'il a le droit d'aimer.
D'ailleurs, les classiques, le cinéphile les évite comme la peste. Ne lui parlez pas du Parrain, ou affrontez le ridicule. Voyez, ce n'est pas parce que c'est populaire, c'est que euh... ça témoigne d'un manque de personnalité cinématographique. Il a beau retourner son jugement dans tous les sens, il est essentiellement un contrarien. Conscient de cet écueil et désireux par dessus tout de sembler imprévisible, il parsème parfois çà et là dans ses top50 senscritique des daubes sans nom, des petites production obscures, des films d'actions "straight to dvd", dans le même élan narquois de post-ironie qui a fait la génération Tarantino et série B. Il espère ainsi occulter le fait qu'il se définisse strictement par négatif.
Il était attendu que, comme le cinéma va en remplaçant l'art, le cinéphile aille en remplaçant le mélomane, et, à terme rejoigne les penseurs désignés d'une époque qui ne pense plus, avec les psychologues, les politologues, et tous les autres ultraspécialisés récipiendaires de bribes abâtardies de la philosophie. Sous (il dirait "contre")-culturel enorgueilli, Il sera, lui, pour toujours, une instanciation de plus de la cagole qui cite du rap dans son bac de philo.
Le 10 juillet 2022 à 19:58:36 :
Le 10 juillet 2022 à 19:57:28 :
Le 10 juillet 2022 à 19:53:36 :
Au hasard, un mec qui utilise la théorie de la réception de Iser et Jauss pour discuter de deux visages d'un film à deux périodes données. Il régurgite ou il est dans l'herméneutique rigoureuse ?Coucou Moizi
M'insulte pas, je le hais, ce petit patin à roulette a déjà cru m'intimider en me menaçant de contacter l'administration qui m'emploie par courrier anonyme.
Mais le propos de l'auteur en l'état me paraît un peu faiblard.
Toi, t’es IchibanKirin, un truc comme ça, non ?
Le 10 juillet 2022 à 19:59:40 :
Trop con pour faire des études, trop hyperactif pour lire un bouquin, trop flemmard pour apprendre à créer ou à faire quoi que ce soit de vos dix doigts: pas de panique, en prétextant la CINEPHILIE, vous pourrez passer pour quelqu'un de sérieux et briller en société, sans bouger de votre chaise de bureau de merde depuis laquelle vous disséquez les abjects navets de Lars Von Trier visionnés en x1.25 pour pouvoir vite passer à une autre daube dont les longueurs insupportables et le symbolisme facile viendront alimenter, à leur tour, la machine à brasser du vent qui se trouve entre vos deux oreilles.
De l' "art-hoe" fan de Carpenter/Argento, au binoclard chétif qui ne jure que par Sorrentino, en passant par le nipponophile protéiforme, et par le boomer éternel dont les grommellements d'intervenant France Inter ne visent qu'à nous faire oublier qu'il se branle sous la table en matant Charlotte, fille Ginsburg dans Nymphomaniac (ou Bellucci chez Gaspar Noé, on se sent sulfureux), sans parler du casual fan de Tarantino qui ne se lasse pas des "hommages" convenus au cinema d'exploitation des années 70 qu'il pense être le seul à reconnaître, on ne sait pas par quel bout prendre cette farandole de cuistres.
Mais attention, le cinéphile est polymathe, touche à tout. Desco la plupart du temps ou -pour les plus investis- étudiant en cinéma, ce qui revient au même, l'endettement en plus, il ne trouvera cependant aucun mal à discourir en veux tu en voilà sur les thèmes gnostiques abordés dans le cinéma de Panos Cosmatos, ou à louer le traitement de la relativité restreinte dans le dernier Nolan pour les plus proches du peuple. Le cinéphile se fait sociologue devant Loach ou Tavernier, mystique devant Jodorowsky ou Pialat, musicien devant Tarkovski... Qui l'eût cru ! Tant de siècles et de pages sacrifiés, tous, à l'amour de la vérité- sacrifiés en vain, jetés par la fenêtre- alors qu'il aurait suffi de se divertir. Le cinéphile est la preuve par trois que, oui, on PEUT apprendre en s'amusant.
Le cinéphile disserte, l'air blasé, de sexe et de violence, c'est profond voyez vous. C'est cru, c'est vrai. Un film n'en est pas un sans une scène de cul non simulée (Brown Bunny, Dernier Tango à Paris) ou des longues scènes de torture, de préférence à composante psychologique, que le cinéphile n'aura sans doute aucune peine à affubler d'une ébauche de sens afin de justifier son voyeurisme glauque. L'art doit être LIBRE. La liberté, c'est bien. Le cinéphile aime la retenue et la classe seulement quand elle est produit d'une autre époque, seulement quand elle est en noir et blanc et qu'on la trouve dans un film qu'il a le droit d'aimer.
D'ailleurs, les classiques, le cinéphile les évite comme la peste. Ne lui parlez pas du Parrain, ou affrontez le ridicule. Voyez, ce n'est pas parce que c'est populaire, c'est que euh... ça témoigne d'un manque de personnalité cinématographique. Il a beau retourner son jugement dans tous les sens, il est essentiellement un contrarien. Conscient de cet écueil et désireux par dessus tout de sembler imprévisible, il parsème parfois çà et là dans ses top50 senscritique des daubes sans nom, des petites production obscures, des films d'actions "straight to dvd", dans le même élan narquois de post-ironie qui a fait la génération Tarantino et série B. Il espère ainsi occulter le fait qu'il se définisse strictement par négatif.
Il était attendu que, comme le cinéma va en remplaçant l'art, le cinéphile aille en remplaçant le mélomane, et, à terme rejoigne les penseurs désignés d'une époque qui ne pense plus, avec les psychologues, les politologues, et tous les autres ultraspécialisés récipiendaires de bribes abâtardies de la philosophie. Sous (il dirait "contre")-culturel enorgueilli, Il sera, lui, pour toujours, une instanciation de plus de la cagole qui cite du rap dans son bac de philo.
Cette pls en bonnet diforme
Le 10 juillet 2022 à 19:59:40 :
Trop con pour faire des études, trop hyperactif pour lire un bouquin, trop flemmard pour apprendre à créer ou à faire quoi que ce soit de vos dix doigts: pas de panique, en prétextant la CINEPHILIE, vous pourrez passer pour quelqu'un de sérieux et briller en société, sans bouger de votre chaise de bureau de merde depuis laquelle vous disséquez les abjects navets de Lars Von Trier visionnés en x1.25 pour pouvoir vite passer à une autre daube dont les longueurs insupportables et le symbolisme facile viendront alimenter, à leur tour, la machine à brasser du vent qui se trouve entre vos deux oreilles.
De l' "art-hoe" fan de Carpenter/Argento, au binoclard chétif qui ne jure que par Sorrentino, en passant par le nipponophile protéiforme, et par le boomer éternel dont les grommellements d'intervenant France Inter ne visent qu'à nous faire oublier qu'il se branle sous la table en matant Charlotte, fille Ginsburg dans Nymphomaniac (ou Bellucci chez Gaspar Noé, on se sent sulfureux), sans parler du casual fan de Tarantino qui ne se lasse pas des "hommages" convenus au cinema d'exploitation des années 70 qu'il pense être le seul à reconnaître, on ne sait pas par quel bout prendre cette farandole de cuistres.
Mais attention, le cinéphile est polymathe, touche à tout. Desco la plupart du temps ou -pour les plus investis- étudiant en cinéma, ce qui revient au même, l'endettement en plus, il ne trouvera cependant aucun mal à discourir en veux tu en voilà sur les thèmes gnostiques abordés dans le cinéma de Panos Cosmatos, ou à louer le traitement de la relativité restreinte dans le dernier Nolan pour les plus proches du peuple. Le cinéphile se fait sociologue devant Loach ou Tavernier, mystique devant Jodorowsky ou Pialat, musicien devant Tarkovski... Qui l'eût cru ! Tant de siècles et de pages sacrifiés, tous, à l'amour de la vérité- sacrifiés en vain, jetés par la fenêtre- alors qu'il aurait suffi de se divertir. Le cinéphile est la preuve par trois que, oui, on PEUT apprendre en s'amusant.
Le cinéphile disserte, l'air blasé, de sexe et de violence, c'est profond voyez vous. C'est cru, c'est vrai. Un film n'en est pas un sans une scène de cul non simulée (Brown Bunny, Dernier Tango à Paris) ou des longues scènes de torture, de préférence à composante psychologique, que le cinéphile n'aura sans doute aucune peine à affubler d'une ébauche de sens afin de justifier son voyeurisme glauque. L'art doit être LIBRE. La liberté, c'est bien. Le cinéphile aime la retenue et la classe seulement quand elle est produit d'une autre époque, seulement quand elle est en noir et blanc et qu'on la trouve dans un film qu'il a le droit d'aimer.
D'ailleurs, les classiques, le cinéphile les évite comme la peste. Ne lui parlez pas du Parrain, ou affrontez le ridicule. Voyez, ce n'est pas parce que c'est populaire, c'est que euh... ça témoigne d'un manque de personnalité cinématographique. Il a beau retourner son jugement dans tous les sens, il est essentiellement un contrarien. Conscient de cet écueil et désireux par dessus tout de sembler imprévisible, il parsème parfois çà et là dans ses top50 senscritique des daubes sans nom, des petites production obscures, des films d'actions "straight to dvd", dans le même élan narquois de post-ironie qui a fait la génération Tarantino et série B. Il espère ainsi occulter le fait qu'il se définisse strictement par négatif.
Il était attendu que, comme le cinéma va en remplaçant l'art, le cinéphile aille en remplaçant le mélomane, et, à terme rejoigne les penseurs désignés d'une époque qui ne pense plus, avec les psychologues, les politologues, et tous les autres ultraspécialisés récipiendaires de bribes abâtardies de la philosophie. Sous (il dirait "contre")-culturel enorgueilli, Il sera, lui, pour toujours, une instanciation de plus de la cagole qui cite du rap dans son bac de philo.
J’ai survolé… Ça m’a l’air plutôt correct.
Données du topic
- Auteur
- UMLA
- Date de création
- 9 juillet 2022 à 22:29:02
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