Topic de ZaynMaliiik :

Plus que 150 000 personnes de 18-29 non VACCINÉS !

Le 06 juillet 2022 à 20:50:19 :
Vous aussi ça vous fait ressentir un sentiment de puissance ? Notre capacité de résistance face au chantage et à la pression sociale et gouvernementale est énorme quand même, on ne réalise pas vraiment :bave:

Je ne me sens pas plus "puissant" que les autres sur le fait d'avoir refusé le vaccin, ce fut peut être le cas à un moment (au plus dur de la pression sociale, tu trouves la force de dire non comme tu peux, et comme la pression était parfois forte, constante, quotidienne, le moyen de tenir était d'être aussi extrême dans tes convictions).

J'ai parfaitement conscience que des gens qui ont des personnes à charge et qui étaient dans une profession où le vaccin était obligatoire (on parle souvent des médecins, mais on oublie que les militaires ont pris aussi cher avant les autres, mais comme dans l'esprit populaire le militaire ferme sa gueule et obéit, ça leur paraissait moins grave) avaient d'autres enjeux que leur petite personne ou leur fierté personnelle.

Les juger avec ces enjeux ? J'estime avoir eu de la chance, finalement, de ne pas avoir d'enfant à charge.
Est-ce que je suis puissant pour avoir tenu sans ces paramètres, avec un métier qui permet le télétravail ?
Peut être pas autant que d'autres, mais j'ai eu à sacrifier des activités que je prévoyais depuis longtemps, des sorties, et surtout: j'en ai voulu à l'Etat.
Je n'ai pas enfreint la loi, pourtant j'ai été considéré comme sous-citoyen, cotisant par mon différentiel brut-net à la société, mais me voyant refuser le remboursement des tests, la suppression de mes droits pour avoir refusé d'obéir à quelque chose qui n'a jamais été, officiellement et selon la loi, un devoir.
La balance droit/devoir étant alors bafouée, je ne ressens plus aucun sentiment d'appartenance ou devoir envers ce pays qui tue des milliers d'êtres en devenir depuis des dizaines d'années au nom de la liberté de disposer de son corps, mais la bafoue pour protéger des gens qui sont déjà aux portes de la mort (mais qui font partie de la population électorale la plus nombreuse).
Je n'en veux pas (plus) aux gens d'avoir céder au chantage, mais ne leur pardonne pas d'en avoir réclamé une couche. Qu'ils ne disent pas "non", paralysés par la peur, je le conçois.
Mais qu'ils disent "encore !", je ne peux le respecter.
Peu importe que ça aie été pour faire barrage: ce peuple a remis au pouvoir celui qui les a fait éborgner, amputer, museler, piquer par la contrainte, dit officiellement vouloir les emmerder...

J'ignore si je suis puissant, mais pour ces dernières raison, je ne ressens plus aucun sentiment d'appartenance, plus aucune solidarité.
Ca a un avantage: je n'attends plus de solution collective, de grand soir, je suis désormais conscient du fait que mon avenir ne dépendra plus que de mon aptitude à me démerder seul, à être autonome financièrement (et plus salarié), à n'attendre rien de l'Etat, mais bien déterminé à parvenir au stade où je ne lui donnerai plus rien, au bout du compte.
C'est peut être la fin d'une illusion, mais du sentiment de stabilité, de sécurité.

Cette perspective me fait peur, comme une grande montagne à franchir.
Puissant ? Je ne sais pas, tenir a eu un prix, a émoussé ma lame, ma flamme ne brille peut être pas d'une lueur puissante après des années de pluie.
Mais me contenter de financer ce système qui nous a tous craché à la gueule ? Là, j'aurai vraiment honte de moi.
A défaut d'être puissant, soyons résilients et avançons.
Chacun pour sa gueule, peut être, mais si chacun réalise la même chose, ça sera pour le mieux.
Plus d'attente, il n'y aura pas de héros pour vous sauver.

Et t'en fais pas Gilbert: j'ai pas l'intention de risquer mon avenir pour sauver qui que ce soit ni renverser ton système, juste de le quitter, de m'évader.

[23:06:20] <Flu89>

Le 06 juillet 2022 à 20:50:19 :
Vous aussi ça vous fait ressentir un sentiment de puissance ? Notre capacité de résistance face au chantage et à la pression sociale et gouvernementale est énorme quand même, on ne réalise pas vraiment :bave:

Je ne me sens pas plus "puissant" que les autres sur le fait d'avoir refusé le vaccin, ce fut peut être le cas à un moment (au plus dur de la pression sociale, tu trouves la force de dire non comme tu peux, et comme la pression était parfois forte, constante, quotidienne, le moyen de tenir était d'être aussi extrême dans tes convictions).

J'ai parfaitement conscience que des gens qui ont des personnes à charge et qui étaient dans une profession où le vaccin était obligatoire (on parle souvent des médecins, mais on oublie que les militaires ont pris aussi cher avant les autres, mais comme dans l'esprit populaire le militaire ferme sa gueule et obéit, ça leur paraissait moins grave) avaient d'autres enjeux que leur petite personne ou leur fierté personnelle.

Les juger avec ces enjeux ? J'estime avoir eu de la chance, finalement, de ne pas avoir d'enfant à charge.
Est-ce que je suis puissant pour avoir tenu sans ces paramètres, avec un métier qui permet le télétravail ?
Peut être pas autant que d'autres, mais j'ai eu à sacrifier des activités que je prévoyais depuis longtemps, des sorties, et surtout: j'en ai voulu à l'Etat.
Je n'ai pas enfreint la loi, pourtant j'ai été considéré comme sous-citoyen, cotisant par mon différentiel brut-net à la société, mais me voyant refuser le remboursement des tests, la suppression de mes droits pour avoir refusé d'obéir à quelque chose qui n'a jamais été, officiellement et selon la loi, un devoir.
La balance droit/devoir étant alors bafouée, je ne ressens plus aucun sentiment d'appartenance ou devoir envers ce pays qui tue des milliers d'êtres en devenir depuis des dizaines d'années au nom de la liberté de disposer de son corps, mais la bafoue pour protéger des gens qui sont déjà aux portes de la mort (mais qui font partie de la population électorale la plus nombreuse).
Je n'en veux pas (plus) aux gens d'avoir céder au chantage, mais ne leur pardonne pas d'en avoir réclamé une couche. Qu'ils ne disent pas "non", paralysés par la peur, je le conçois.
Mais qu'ils disent "encore !", je ne peux le respecter.
Peu importe que ça aie été pour faire barrage: ce peuple a remis au pouvoir celui qui les a fait éborgner, amputer, museler, piquer par la contrainte, dit officiellement vouloir les emmerder...

J'ignore si je suis puissant, mais pour ces dernières raison, je ne ressens plus aucun sentiment d'appartenance, plus aucune solidarité.
Ca a un avantage: je n'attends plus de solution collective, de grand soir, je suis désormais conscient du fait que mon avenir ne dépendra plus que de mon aptitude à me démerder seul, à être autonome financièrement (et plus salarié), à n'attendre rien de l'Etat, mais bien déterminé à parvenir au stade où je ne lui donnerai plus rien, au bout du compte.
C'est peut être la fin d'une illusion, mais du sentiment de stabilité, de sécurité.

Cette perspective me fait peur, comme une grande montagne à franchir.
Puissant ? Je ne sais pas, tenir a eu un prix, a émoussé ma lame, ma flamme ne brille peut être pas d'une lueur puissante après des années de pluie.
Mais me contenter de financer ce système qui nous a tous craché à la gueule ? Là, j'aurai vraiment honte de moi.
A défaut d'être puissant, soyons résilients et avançons.
Chacun pour sa gueule, peut être, mais si chacun réalise la même chose, ça sera pour le mieux.
Plus d'attente, il n'y aura pas de héros pour vous sauver.

J'aurais pas dit mieux. Globalement le même sentiment, les mêmes conclusions. Merci pour le pavé. https://image.noelshack.com/fichiers/2022/52/6/1640999327-picsart-22-01-01-02-08-24-084.png

Le 06 juillet 2022 à 23:17:30 :

[23:06:20] <Flu89>

Le 06 juillet 2022 à 20:50:19 :
Vous aussi ça vous fait ressentir un sentiment de puissance ? Notre capacité de résistance face au chantage et à la pression sociale et gouvernementale est énorme quand même, on ne réalise pas vraiment :bave:

Je ne me sens pas plus "puissant" que les autres sur le fait d'avoir refusé le vaccin, ce fut peut être le cas à un moment (au plus dur de la pression sociale, tu trouves la force de dire non comme tu peux, et comme la pression était parfois forte, constante, quotidienne, le moyen de tenir était d'être aussi extrême dans tes convictions).

J'ai parfaitement conscience que des gens qui ont des personnes à charge et qui étaient dans une profession où le vaccin était obligatoire (on parle souvent des médecins, mais on oublie que les militaires ont pris aussi cher avant les autres, mais comme dans l'esprit populaire le militaire ferme sa gueule et obéit, ça leur paraissait moins grave) avaient d'autres enjeux que leur petite personne ou leur fierté personnelle.

Les juger avec ces enjeux ? J'estime avoir eu de la chance, finalement, de ne pas avoir d'enfant à charge.
Est-ce que je suis puissant pour avoir tenu sans ces paramètres, avec un métier qui permet le télétravail ?
Peut être pas autant que d'autres, mais j'ai eu à sacrifier des activités que je prévoyais depuis longtemps, des sorties, et surtout: j'en ai voulu à l'Etat.
Je n'ai pas enfreint la loi, pourtant j'ai été considéré comme sous-citoyen, cotisant par mon différentiel brut-net à la société, mais me voyant refuser le remboursement des tests, la suppression de mes droits pour avoir refusé d'obéir à quelque chose qui n'a jamais été, officiellement et selon la loi, un devoir.
La balance droit/devoir étant alors bafouée, je ne ressens plus aucun sentiment d'appartenance ou devoir envers ce pays qui tue des milliers d'êtres en devenir depuis des dizaines d'années au nom de la liberté de disposer de son corps, mais la bafoue pour protéger des gens qui sont déjà aux portes de la mort (mais qui font partie de la population électorale la plus nombreuse).
Je n'en veux pas (plus) aux gens d'avoir céder au chantage, mais ne leur pardonne pas d'en avoir réclamé une couche. Qu'ils ne disent pas "non", paralysés par la peur, je le conçois.
Mais qu'ils disent "encore !", je ne peux le respecter.
Peu importe que ça aie été pour faire barrage: ce peuple a remis au pouvoir celui qui les a fait éborgner, amputer, museler, piquer par la contrainte, dit officiellement vouloir les emmerder...

J'ignore si je suis puissant, mais pour ces dernières raison, je ne ressens plus aucun sentiment d'appartenance, plus aucune solidarité.
Ca a un avantage: je n'attends plus de solution collective, de grand soir, je suis désormais conscient du fait que mon avenir ne dépendra plus que de mon aptitude à me démerder seul, à être autonome financièrement (et plus salarié), à n'attendre rien de l'Etat, mais bien déterminé à parvenir au stade où je ne lui donnerai plus rien, au bout du compte.
C'est peut être la fin d'une illusion, mais du sentiment de stabilité, de sécurité.

Cette perspective me fait peur, comme une grande montagne à franchir.
Puissant ? Je ne sais pas, tenir a eu un prix, a émoussé ma lame, ma flamme ne brille peut être pas d'une lueur puissante après des années de pluie.
Mais me contenter de financer ce système qui nous a tous craché à la gueule ? Là, j'aurai vraiment honte de moi.
A défaut d'être puissant, soyons résilients et avançons.
Chacun pour sa gueule, peut être, mais si chacun réalise la même chose, ça sera pour le mieux.
Plus d'attente, il n'y aura pas de héros pour vous sauver.

J'aurais pas dit mieux. Globalement le même sentiment, les mêmes conclusions. Merci pour le pavé. https://image.noelshack.com/fichiers/2022/52/6/1640999327-picsart-22-01-01-02-08-24-084.png

Merci d'avoir lu, merci au khey qui a posé la question, aussi.
Cette conclusion a le mérite d'être réalisable à l'échelle individuelle, sans attendre quiconque.

Toujours 0 vaccin et 0 test et ça restera comme ça en dépit des golems.

Le 06 juillet 2022 à 23:06:20 :

Le 06 juillet 2022 à 20:50:19 :
Vous aussi ça vous fait ressentir un sentiment de puissance ? Notre capacité de résistance face au chantage et à la pression sociale et gouvernementale est énorme quand même, on ne réalise pas vraiment :bave:

Je ne me sens pas plus "puissant" que les autres sur le fait d'avoir refusé le vaccin, ce fut peut être le cas à un moment (au plus dur de la pression sociale, tu trouves la force de dire non comme tu peux, et comme la pression était parfois forte, constante, quotidienne, le moyen de tenir était d'être aussi extrême dans tes convictions).

J'ai parfaitement conscience que des gens qui ont des personnes à charge et qui étaient dans une profession où le vaccin était obligatoire (on parle souvent des médecins, mais on oublie que les militaires ont pris aussi cher avant les autres, mais comme dans l'esprit populaire le militaire ferme sa gueule et obéit, ça leur paraissait moins grave) avaient d'autres enjeux que leur petite personne ou leur fierté personnelle.

Les juger avec ces enjeux ? J'estime avoir eu de la chance, finalement, de ne pas avoir d'enfant à charge.
Est-ce que je suis puissant pour avoir tenu sans ces paramètres, avec un métier qui permet le télétravail ?
Peut être pas autant que d'autres, mais j'ai eu à sacrifier des activités que je prévoyais depuis longtemps, des sorties, et surtout: j'en ai voulu à l'Etat.
Je n'ai pas enfreint la loi, pourtant j'ai été considéré comme sous-citoyen, cotisant par mon différentiel brut-net à la société, mais me voyant refuser le remboursement des tests, la suppression de mes droits pour avoir refusé d'obéir à quelque chose qui n'a jamais été, officiellement et selon la loi, un devoir.
La balance droit/devoir étant alors bafouée, je ne ressens plus aucun sentiment d'appartenance ou devoir envers ce pays qui tue des milliers d'êtres en devenir depuis des dizaines d'années au nom de la liberté de disposer de son corps, mais la bafoue pour protéger des gens qui sont déjà aux portes de la mort (mais qui font partie de la population électorale la plus nombreuse).
Je n'en veux pas (plus) aux gens d'avoir céder au chantage, mais ne leur pardonne pas d'en avoir réclamé une couche. Qu'ils ne disent pas "non", paralysés par la peur, je le conçois.
Mais qu'ils disent "encore !", je ne peux le respecter.
Peu importe que ça aie été pour faire barrage: ce peuple a remis au pouvoir celui qui les a fait éborgner, amputer, museler, piquer par la contrainte, dit officiellement vouloir les emmerder...

J'ignore si je suis puissant, mais pour ces dernières raison, je ne ressens plus aucun sentiment d'appartenance, plus aucune solidarité.
Ca a un avantage: je n'attends plus de solution collective, de grand soir, je suis désormais conscient du fait que mon avenir ne dépendra plus que de mon aptitude à me démerder seul, à être autonome financièrement (et plus salarié), à n'attendre rien de l'Etat, mais bien déterminé à parvenir au stade où je ne lui donnerai plus rien, au bout du compte.
C'est peut être la fin d'une illusion, mais du sentiment de stabilité, de sécurité.

Cette perspective me fait peur, comme une grande montagne à franchir.
Puissant ? Je ne sais pas, tenir a eu un prix, a émoussé ma lame, ma flamme ne brille peut être pas d'une lueur puissante après des années de pluie.
Mais me contenter de financer ce système qui nous a tous craché à la gueule ? Là, j'aurai vraiment honte de moi.
A défaut d'être puissant, soyons résilients et avançons.
Chacun pour sa gueule, peut être, mais si chacun réalise la même chose, ça sera pour le mieux.
Plus d'attente, il n'y aura pas de héros pour vous sauver.

Bien résumé kheyou https://image.noelshack.com/fichiers/2017/39/3/1506463228-risibg.png

Cette génération de golem , y a plus de boomers non vaccinés alors que c'est les seuls à risque

Le 07 juillet 2022 à 09:12:08 :
Cette génération de golem

Heureusement qu'ils ont pas mis le passe gueguerre, plus d'un golem serais allé combattre en Ukraine par simple obéissance https://image.noelshack.com/fichiers/2018/13/4/1522325846-jesusopti.png

Les chiffres semblent avoir bougé donc difficile d'avoir confiance maintenant sur la vraie proportion de non vaccinés mais il y en a moinsnchaque jour qui passe c'est sûr
les chiffres sont surévalués, ça fait partie de la propagande pour inciter les refractaires

Le 07 juillet 2022 à 09:12:08 :
Cette génération de golem , y a plus de boomers non vaccinés alors que c'est les seuls à risque

en meme temps ce ne sont pas les boomers qui sont visés par la sterilisation :)

Bordel, je vais vraiment finir par l'avoir mon top 1 https://image.noelshack.com/fichiers/2021/43/4/1635454847-elton-john-tison-golem.png

Le 07 juillet 2022 à 09:01:08 :

Le 06 juillet 2022 à 23:06:20 :

Le 06 juillet 2022 à 20:50:19 :
Vous aussi ça vous fait ressentir un sentiment de puissance ? Notre capacité de résistance face au chantage et à la pression sociale et gouvernementale est énorme quand même, on ne réalise pas vraiment :bave:

Je ne me sens pas plus "puissant" que les autres sur le fait d'avoir refusé le vaccin, ce fut peut être le cas à un moment (au plus dur de la pression sociale, tu trouves la force de dire non comme tu peux, et comme la pression était parfois forte, constante, quotidienne, le moyen de tenir était d'être aussi extrême dans tes convictions).

J'ai parfaitement conscience que des gens qui ont des personnes à charge et qui étaient dans une profession où le vaccin était obligatoire (on parle souvent des médecins, mais on oublie que les militaires ont pris aussi cher avant les autres, mais comme dans l'esprit populaire le militaire ferme sa gueule et obéit, ça leur paraissait moins grave) avaient d'autres enjeux que leur petite personne ou leur fierté personnelle.

Les juger avec ces enjeux ? J'estime avoir eu de la chance, finalement, de ne pas avoir d'enfant à charge.
Est-ce que je suis puissant pour avoir tenu sans ces paramètres, avec un métier qui permet le télétravail ?
Peut être pas autant que d'autres, mais j'ai eu à sacrifier des activités que je prévoyais depuis longtemps, des sorties, et surtout: j'en ai voulu à l'Etat.
Je n'ai pas enfreint la loi, pourtant j'ai été considéré comme sous-citoyen, cotisant par mon différentiel brut-net à la société, mais me voyant refuser le remboursement des tests, la suppression de mes droits pour avoir refusé d'obéir à quelque chose qui n'a jamais été, officiellement et selon la loi, un devoir.
La balance droit/devoir étant alors bafouée, je ne ressens plus aucun sentiment d'appartenance ou devoir envers ce pays qui tue des milliers d'êtres en devenir depuis des dizaines d'années au nom de la liberté de disposer de son corps, mais la bafoue pour protéger des gens qui sont déjà aux portes de la mort (mais qui font partie de la population électorale la plus nombreuse).
Je n'en veux pas (plus) aux gens d'avoir céder au chantage, mais ne leur pardonne pas d'en avoir réclamé une couche. Qu'ils ne disent pas "non", paralysés par la peur, je le conçois.
Mais qu'ils disent "encore !", je ne peux le respecter.
Peu importe que ça aie été pour faire barrage: ce peuple a remis au pouvoir celui qui les a fait éborgner, amputer, museler, piquer par la contrainte, dit officiellement vouloir les emmerder...

J'ignore si je suis puissant, mais pour ces dernières raison, je ne ressens plus aucun sentiment d'appartenance, plus aucune solidarité.
Ca a un avantage: je n'attends plus de solution collective, de grand soir, je suis désormais conscient du fait que mon avenir ne dépendra plus que de mon aptitude à me démerder seul, à être autonome financièrement (et plus salarié), à n'attendre rien de l'Etat, mais bien déterminé à parvenir au stade où je ne lui donnerai plus rien, au bout du compte.
C'est peut être la fin d'une illusion, mais du sentiment de stabilité, de sécurité.

Cette perspective me fait peur, comme une grande montagne à franchir.
Puissant ? Je ne sais pas, tenir a eu un prix, a émoussé ma lame, ma flamme ne brille peut être pas d'une lueur puissante après des années de pluie.
Mais me contenter de financer ce système qui nous a tous craché à la gueule ? Là, j'aurai vraiment honte de moi.
A défaut d'être puissant, soyons résilients et avançons.
Chacun pour sa gueule, peut être, mais si chacun réalise la même chose, ça sera pour le mieux.
Plus d'attente, il n'y aura pas de héros pour vous sauver.

Bien résumé kheyou https://image.noelshack.com/fichiers/2017/39/3/1506463228-risibg.png

ce demi golem qui na pas capté que comme en 2017 macronescu a fraudé, comme biden, comme trudeau

ne pas capter le jeu pipé des elections pestilentielles

Le 06 juillet 2022 à 21:21:57 :

Le 06 juillet 2022 à 21:20:24 :

Le 06 juillet 2022 à 21:19:26 :
Je rentre dans le domaine de la santé (études et stages), ils le requièrent et vont vérifier les qr codes, comment suis je censer faire, je n'ai plus de choix

On a toujours le choix.

This jpp des veaux qui beuglent meuuh jé pa lichoi

une autre variante " ce sont les ordres "

[22:59:36] <LeFuretAzur>

Le 06 juillet 2022 à 22:12:35 :
Fut un temps où parler de l’existence d’un pass sanitaire relevait du complotisme https://image.noelshack.com/fichiers/2022/27/3/1657138263-58bc3025-95bf-48e2-ac32-b7fa6fd5894b.jpeg

On en a fait du chemin, bientôt 5 doses pour les moutons https://image.noelshack.com/fichiers/2022/27/3/1657138263-58bc3025-95bf-48e2-ac32-b7fa6fd5894b.jpeg

https://image.noelshack.com/fichiers/2017/22/1496583962-risisingecigarette.png

La meilleure chose à faire n'est pas l'insurrection mais se développer de manière autonome. On ne peut pas combattre quelqu'un avec les outils qu'il nous donne, en utilisant sa monnaie ou ses énergies. Le plus gros pied de nez qu'on puisse faire à l'état est de se passer de lui.

Données du topic

Auteur
ZaynMaliiik
Date de création
6 juillet 2022 à 19:05:50
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