Force aux étudiants. Je crois que j'aurais galéré à valider mes années, particulièrement celle de licence 2, si la compensation n'existait pas. Je ne comprends pas l'intérêt de durcir autant les modalités même si j'ai conscience qu'ils veulent élever le niveau avant de fusionner totalement avec l'université Paris-Saclay. Je me demande néanmoins si les modifications des modalités pour valider son année sont les seules responsables. Les 88% et 92% d'échecs, ce sont ceux qui ont passé les années lycée chez eux, avec des modalités d'obtention du baccalauréat adapté aux circonstances de la pandémie. J'ai cru comprendre aussi que l'évaluation du baccalauréat avait changé et accorde une plus grande place au contrôle continu. Peut-être pour ces raisons, les étudiants ne sont pas suffisamment préparés à la réussite en licence. Malgré les bonnes volontés des professeurs, il est notamment difficile de noter une copie dont les phrases ne sont pas correctement construites et ne veulent par conséquent rien dire.