"Guerre" de Louis-Ferdinand Céline sortirait le 5 mai

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Guerre ne ferait que 192 pages.

Le 16 avril 2022 à 01:57:08 :
Avec l'avant propos nous mettant en garde contre l'antisémitisme

Et qu'on ne va pas lire

Le 16 avril 2022 à 01:58:13 :
Quel livre pour commencer Céline svp ?
Ça se lit bien ?

Voyage au bout de la nuit.

Moi je trouve que oui mais il y a des réfractaires.

Le 16 avril 2022 à 02:01:02 :

Le 16 avril 2022 à 01:58:13 :
Quel livre pour commencer Céline svp ?
Ça se lit bien ?

Voyage au bout de la nuit.

Moi je trouve que oui mais il y a des réfractaires.

Merci, j'ai justement faillis le prendre y'a 2 jours en libraire
Je pense l'acheter la prochaine fois, j'ai plusieurs livres à rattraper

[18:59:47] <NoctisLeBon>
C'est un scandale j'ai précommandé le bouquin en mars mais l'envoi est prévu pour le 13 mai

J'ai bien fait de pas précommander.
En même temps, 18 € pour 180 pages, ça fait cher. Mais j'irai voir demain en boutique Gallimard.

Le 17 février 2022 à 13:37:49 :

Le 17 février 2022 à 13:34:12 :

Le 17 février 2022 à 13:34:44 :
En tout cas moi je suis très pressé de lire la suite de casse pipe et la légende du roi krogold

J'attends surtout Guerre donc je suis refait qu'il soit le premier du lot à sortir.

La théorie de Nabe est que ce serait un morceau situé au début du Voyage que Céline aurait amputé pour ne pas sortir un bouquin trop long.

Cela ne m'étonnerait pas parce que j'ai toujours eu l'impression qu'il manquait un morceau de l'histoire à cet endroit.

L'extrait suivant semble convenir avec cette théorie : « J’ai bien dû rester là encore une partie de la nuit suivante. Toute l’oreille à gauche était collée par terre avec du sang, la bouche aussi. Entre les deux y avait un bruit immense. J’ai dormi dans ce bruit et puis il a plu, de la pluie bien serrée. Kersuzon à côté était tout lourd tendu sous l’eau. J’ai remué un bras vers son corps. J’ai touché. L’autre je pouvais plus. Je ne savais pas où il était l’autre bras. Il était monté en l’air très haut, il tourbillonnait dans l’espace et puis il redescendait me tirer sur l’épaule, dans le cru de la viande. […] Ça ne servait à rien de se révolter. C’est la première fois dans cette mélasse pleine d’obus qui passaient en sifflant que j’ai dormi, dans tout le bruit qu’on a voulu, sans tout à fait perdre conscience, c’est-à-dire dans l’horreur en somme. […] J’ai toujours dormi ainsi dans le bruit atroce depuis décembre 14. J’ai attrapé la guerre dans ma tête, elle est enfermée dans ma tête. »