[ALERTE/MEDECINE] Il faut SAUVER Abel ! (#12)
Le 03 février 2022 à 06:47:55 :
Le 03 février 2022 à 06:47:09 :
Le 03 février 2022 à 06:44:39 :
Le 03 février 2022 à 06:43:23 :
E parce qu'il que, tremblements, et sevrage sévère d'alcool ?Parfait
Il faut, en plus du palu grave, également évoquer un pré-délirium tremens, car le patient a commencé un sevrage alcoolique par lui-même, les symptômes ont débuté quelques jours après le sevrage alcoolique, et les symptômes corroborent (confusion et désorientation, tremblements, sudation abondante, pouls accéléré, hyperthermie). Par contre, le patient n’est ni délirant, ni agité, ni agressif, donc ça n’est pas le diagnostic à envisager en priorité.
Bon, maintenant qu'on a nos hypothèses en tête, quel examen faut-il demander en urgence ?
A. Une scintigraphie
B. Un frottis sanguin
C. Une IRM
D. Une tomodensitométrie
E. Une biopsie cérébrale stéréotaxiqueLa par contre aucune idée khey j'ai fait L
Procède par élimination, de quels examens on aurait pas besoin pour confirmer un palu ?
Je suis sportif de haut niveau donc à part les IRM je ne connais aucun des autres choix d'examen malheureusement, ce n'est pas mon domaine mes bonnes réponses c'était juste de la logique puis de la culture générale. Courage aux kheys pour sauver le patient néanmoins
Le 03 février 2022 à 06:51:32 :
Le 03 février 2022 à 06:49:37 :
B du coupExact.
On doit demander un frottis sanguin avec recherche du Plasmodium, identification de l’espèce (P. falciparum) et détermination de la parasitémie (le % d’hématies parasitées).
- Quelle va être, dans un premier temps, notre attitude thérapeutique chez ce patient, avant même d'attendre les résultats du frottis ?
A. Retour à domicile, tout va bien
B. Hospitalisation en médecine interne
C. Hospitalisation en psychiatrie
D. Hospitalisation en infectiologie
E. Hospitalisation en réanimation
B
Le 03 février 2022 à 06:53:38 :
Le 03 février 2022 à 06:51:32 :
Le 03 février 2022 à 06:49:37 :
B du coupExact.
On doit demander un frottis sanguin avec recherche du Plasmodium, identification de l’espèce (P. falciparum) et détermination de la parasitémie (le % d’hématies parasitées).
- Quelle va être, dans un premier temps, notre attitude thérapeutique chez ce patient, avant même d'attendre les résultats du frottis ?
A. Retour à domicile, tout va bien
B. Hospitalisation en médecine interne
C. Hospitalisation en psychiatrie
D. Hospitalisation en infectiologie
E. Hospitalisation en réanimationB
Ça pourrait être une solution à défaut de mieux, mais le caractère sévère du palu et le risque d'évolution vers un éventuel délirium tremens impose de sortir l'artillerie lourde.
Alors les kheys, on l'envoie où ?
A. Retour à domicile, tout va bienB. Hospitalisation en médecine interne
C. Hospitalisation en psychiatrie
D. Hospitalisation en infectiologie
E. Hospitalisation en réanimation
Le 03 février 2022 à 06:54:56 :
Le 03 février 2022 à 06:53:38 :
Le 03 février 2022 à 06:51:32 :
Le 03 février 2022 à 06:49:37 :
B du coupExact.
On doit demander un frottis sanguin avec recherche du Plasmodium, identification de l’espèce (P. falciparum) et détermination de la parasitémie (le % d’hématies parasitées).
- Quelle va être, dans un premier temps, notre attitude thérapeutique chez ce patient, avant même d'attendre les résultats du frottis ?
A. Retour à domicile, tout va bien
B. Hospitalisation en médecine interne
C. Hospitalisation en psychiatrie
D. Hospitalisation en infectiologie
E. Hospitalisation en réanimationB
Ça pourrait être une solution à défaut de mieux, mais le caractère sévère du palu et le risque d'évolution vers un éventuel délirium tremens impose de sortir l'artillerie lourde.
Alors les kheys, on l'envoie où ?
A. Retour à domicile, tout va bien
B. Hospitalisation en médecine interne
C. Hospitalisation en psychiatrie
D. Hospitalisation en infectiologie
E. Hospitalisation en réanimation
tout va bien, un doliprane et au lit
Le 03 février 2022 à 06:53:27 :
D par élimination (un peu au hasard en fait)
Pour un paludisme sévère et compte tenu du risque de delirium tremens, les infectiologues n'accepteront pas de l'admettre...
Le 03 février 2022 à 06:53:33 :
Le 03 février 2022 à 06:47:55 :
Le 03 février 2022 à 06:47:09 :
Le 03 février 2022 à 06:44:39 :
Le 03 février 2022 à 06:43:23 :
E parce qu'il que, tremblements, et sevrage sévère d'alcool ?Parfait
Il faut, en plus du palu grave, également évoquer un pré-délirium tremens, car le patient a commencé un sevrage alcoolique par lui-même, les symptômes ont débuté quelques jours après le sevrage alcoolique, et les symptômes corroborent (confusion et désorientation, tremblements, sudation abondante, pouls accéléré, hyperthermie). Par contre, le patient n’est ni délirant, ni agité, ni agressif, donc ça n’est pas le diagnostic à envisager en priorité.
Bon, maintenant qu'on a nos hypothèses en tête, quel examen faut-il demander en urgence ?
A. Une scintigraphie
B. Un frottis sanguin
C. Une IRM
D. Une tomodensitométrie
E. Une biopsie cérébrale stéréotaxiqueLa par contre aucune idée khey j'ai fait L
Procède par élimination, de quels examens on aurait pas besoin pour confirmer un palu ?
Je suis sportif de haut niveau donc à part les IRM je ne connais aucun des autres choix d'examen malheureusement, ce n'est pas mon domaine mes bonnes réponses c'était juste de la logique puis de la culture générale. Courage aux kheys pour sauver le patient néanmoins
Pas de soucis khey, merci d'avoir fait vivre le topic.
Le 03 février 2022 à 06:54:56 :
Le 03 février 2022 à 06:53:38 :
Le 03 février 2022 à 06:51:32 :
Le 03 février 2022 à 06:49:37 :
B du coupExact.
On doit demander un frottis sanguin avec recherche du Plasmodium, identification de l’espèce (P. falciparum) et détermination de la parasitémie (le % d’hématies parasitées).
- Quelle va être, dans un premier temps, notre attitude thérapeutique chez ce patient, avant même d'attendre les résultats du frottis ?
A. Retour à domicile, tout va bien
B. Hospitalisation en médecine interne
C. Hospitalisation en psychiatrie
D. Hospitalisation en infectiologie
E. Hospitalisation en réanimationB
Ça pourrait être une solution à défaut de mieux, mais le caractère sévère du palu et le risque d'évolution vers un éventuel délirium tremens impose de sortir l'artillerie lourde.
Alors les kheys, on l'envoie où ?
A. Retour à domicile, tout va bien
B. Hospitalisation en médecine interne
C. Hospitalisation en psychiatrie
D. Hospitalisation en infectiologie
E. Hospitalisation en réanimation
E alors
Le 03 février 2022 à 06:56:53 :
Le 03 février 2022 à 06:54:56 :
Le 03 février 2022 à 06:53:38 :
Le 03 février 2022 à 06:51:32 :
Le 03 février 2022 à 06:49:37 :
B du coupExact.
On doit demander un frottis sanguin avec recherche du Plasmodium, identification de l’espèce (P. falciparum) et détermination de la parasitémie (le % d’hématies parasitées).
- Quelle va être, dans un premier temps, notre attitude thérapeutique chez ce patient, avant même d'attendre les résultats du frottis ?
A. Retour à domicile, tout va bien
B. Hospitalisation en médecine interne
C. Hospitalisation en psychiatrie
D. Hospitalisation en infectiologie
E. Hospitalisation en réanimationB
Ça pourrait être une solution à défaut de mieux, mais le caractère sévère du palu et le risque d'évolution vers un éventuel délirium tremens impose de sortir l'artillerie lourde.
Alors les kheys, on l'envoie où ?
A. Retour à domicile, tout va bien
B. Hospitalisation en médecine interne
C. Hospitalisation en psychiatrie
D. Hospitalisation en infectiologie
E. Hospitalisation en réanimationE alors
C'est ça ouais, la réa est l'idéal dans ce cas mais la médecine interne peut faire l'affaire si pas de place.
- Sans attendre les résultats du frottis, comment on traite le palu ?
A. Perfusion de quinine + G5%
B. Perfusion de phénobarbital
C. Perfusion d’antibiotiques à large spectre
D. Perfusion de paracétamol
E. Perfusion de diacétylmorphine
Le 03 février 2022 à 06:58:17 :
Le 03 février 2022 à 06:56:53 :
Le 03 février 2022 à 06:54:56 :
Le 03 février 2022 à 06:53:38 :
Le 03 février 2022 à 06:51:32 :
Le 03 février 2022 à 06:49:37 :
B du coupExact.
On doit demander un frottis sanguin avec recherche du Plasmodium, identification de l’espèce (P. falciparum) et détermination de la parasitémie (le % d’hématies parasitées).
- Quelle va être, dans un premier temps, notre attitude thérapeutique chez ce patient, avant même d'attendre les résultats du frottis ?
A. Retour à domicile, tout va bien
B. Hospitalisation en médecine interne
C. Hospitalisation en psychiatrie
D. Hospitalisation en infectiologie
E. Hospitalisation en réanimationB
Ça pourrait être une solution à défaut de mieux, mais le caractère sévère du palu et le risque d'évolution vers un éventuel délirium tremens impose de sortir l'artillerie lourde.
Alors les kheys, on l'envoie où ?
A. Retour à domicile, tout va bien
B. Hospitalisation en médecine interne
C. Hospitalisation en psychiatrie
D. Hospitalisation en infectiologie
E. Hospitalisation en réanimationE alors
C'est ça ouais, la réa est l'idéal dans ce cas mais la médecine interne peut faire l'affaire si pas de place.
- Sans attendre les résultats du frottis, comment on traite le palu ?
A. Perfusion de quinine + G5%
B. Perfusion de phénobarbital
C. Perfusion d’antibiotiques à large spectre
D. Perfusion de paracétamol
E. Perfusion de diacétylmorphine
je préconise plutôt de la redbull par intraveineuse
Le 03 février 2022 à 06:59:37 :
Je dirais la A
Exact
Les résultats du frottis nous parviennent et confirment le paludisme. Comment on traite ?
A. quinine en IV pendant 7 jours
B. quinine per os même si le patient est confus, quitte à lui coudre un entonnoir dans le gosier à ce fdp
C. quinine en IV jusqu’à ce que le patient se réveille
D. quinine en IV pendant 3 jours, puis relais per os si le patient se réveille, le tout pendant 7 jours
E. quinine par voie intra-rectale pendant 7 jours
Le 03 février 2022 à 07:02:38 :
c'est quoi IV?
Voie intra veineuse, et per os = voie orale
Le 03 février 2022 à 07:04:36 :
La D? intuition uniquement
Bien joué.
Et pour le sevrage alcoolique, on traite comment ?
A. Acamprosate en IV et réhydratation
B. Benzodiazépines à faible dose sur une longue période, réhydratation jusqu’à normalisation de l’état clinique, vitaminothérapie B12
C. Naltrexone en IV et réhydratation
D. Benzodiazépines à haute dose sur une courte période, réhydratation jusqu’à normalisation de l’état clinique, vitaminothérapie B1
E. On soigne le mal par le mal : absinthe en IV jusqu’à ce que le patient arrête de se plaindre
Le 03 février 2022 à 07:05:48 :
Le hasard sera t'il de mon côté, la D
Pour quelle question ? Le ttt du palu ou du sevrage ?
Le 03 février 2022 à 07:05:20 :
Le 03 février 2022 à 07:04:36 :
La D? intuition uniquementBien joué.
Et pour le sevrage alcoolique, on traite comment ?
A. Acamprosate en IV et réhydratation
B. Benzodiazépines à faible dose sur une longue période, réhydratation jusqu’à normalisation de l’état clinique, vitaminothérapie B12
C. Naltrexone en IV et réhydratation
D. Benzodiazépines à haute dose sur une courte période, réhydratation jusqu’à normalisation de l’état clinique, vitaminothérapie B1
E. On soigne le mal par le mal : absinthe en IV jusqu’à ce que le patient arrête de se plaindre
On consulte un vrai médecin
La A je dirais
Le 03 février 2022 à 07:06:48 :
Le 03 février 2022 à 07:05:20 :
Le 03 février 2022 à 07:04:36 :
La D? intuition uniquementBien joué.
Et pour le sevrage alcoolique, on traite comment ?
A. Acamprosate en IV et réhydratation
B. Benzodiazépines à faible dose sur une longue période, réhydratation jusqu’à normalisation de l’état clinique, vitaminothérapie B12
C. Naltrexone en IV et réhydratation
D. Benzodiazépines à haute dose sur une courte période, réhydratation jusqu’à normalisation de l’état clinique, vitaminothérapie B1
E. On soigne le mal par le mal : absinthe en IV jusqu’à ce que le patient arrête de se plaindreOn consulte un vrai médecin
La A je dirais
Pour un sevrage simple, on pourrait, mais là on a un risque évolutif vers un delirium tremens.
A. Acamprosate en IV et réhydratation
B. Benzodiazépines à faible dose sur une longue période, réhydratation jusqu’à normalisation de l’état clinique, vitaminothérapie B12
C. Naltrexone en IV et réhydratation
D. Benzodiazépines à haute dose sur une courte période, réhydratation jusqu’à normalisation de l’état clinique, vitaminothérapie B1
E. On soigne le mal par le mal : absinthe en IV jusqu’à ce que le patient arrête de se plaindre
Le 03 février 2022 à 07:08:14 :
je dirais la B, faut forcément réhydrater ce chacal et la benzo il me semble que ça permet de détendre? À forte de dose ça risque de créer une accoutumance
Les benzos ne doivent pas être prescrits sur plus de 12 semaines, même à faible dose
A. Acamprosate en IV et réhydratation
B. Benzodiazépines à faible dose sur une longue période, réhydratation jusqu’à normalisation de l’état clinique, vitaminothérapie B12
C. Naltrexone en IV et réhydratation
D. Benzodiazépines à haute dose sur une courte période, réhydratation jusqu’à normalisation de l’état clinique, vitaminothérapie B1
E. On soigne le mal par le mal : absinthe en IV jusqu’à ce que le patient arrête de se plaindre
Données du topic
- Auteur
- CasCliniques
- Date de création
- 3 février 2022 à 06:20:00
- Nb. messages archivés
- 104
- Nb. messages JVC
- 101