[ALERTE] Pierre Clastres DETRUIT le "IL Y A TOUJOURS EU DU POUVOIR"
Le 11 janvier 2022 à 21:44:41 :
Le 11 janvier 2022 à 21:38:05 :
"La chefferie n’est, dans la société primitive, que le lieu supposé, apparent du pouvoir. Quel
en est le lieu réel ? C’est le corps social lui-même qui le détient et l’exerce comme unité
indivisée. Ce pouvoir non séparé de la société s’exerce en un seul sens, Il anime un seul
projet : maintenir dans l’indivision l’être de la société, empêcher que l’inégalité entre les
hommes installe la division dans la société. Il s’ensuit que ce pouvoir s’exerce sur tout ce
qui est susceptible d’aliéner la société, d’y introduire l’inégalité : Il s’exerce, entre autres,
sur l’institution d’où pourrait surgir la captation du pouvoir, la chefferie. Le chef est, dans
la tribu, sous surveillance : la société veille à ne pas laisser le goût du prestige se
transformer en désir de pouvoir. Si le désir de pouvoir du chef devient trop évident, la
procédure mise en jeu est simple : on l’abandonne, voire même on le tue."Pierre Clastres, la question du pouvoir dans les société primitives, 1976
Clastres "il n'y a pas de pouvoir mais il y a un chef"
Chefferie et pouvoir ne doivent pas être confondus.
Au sein des tribus primitives, le chef n'est que le représentant de la communauté, il ne fait qu'exercer les volontés de la communauté. S'il va à l'encontre de la communauté, il est menacé, voire tué.
Le chef ne détient pas le pouvoir, c'est la communauté qui a le pouvoir. Le pouvoir politique, en tant qu'organe séparé et autonome, n'existe pas. La communauté n'est pas scindée.
C'est seulement à partir du néolithique que l'on voit l'apparition du "politique séparé" avec un pouvoir politique autonome qui donnent des ordres et soumet des dominés.
Le 11 janvier 2022 à 21:51:02 :
Le 11 janvier 2022 à 21:44:41 :
Le 11 janvier 2022 à 21:38:05 :
"La chefferie n’est, dans la société primitive, que le lieu supposé, apparent du pouvoir. Quel
en est le lieu réel ? C’est le corps social lui-même qui le détient et l’exerce comme unité
indivisée. Ce pouvoir non séparé de la société s’exerce en un seul sens, Il anime un seul
projet : maintenir dans l’indivision l’être de la société, empêcher que l’inégalité entre les
hommes installe la division dans la société. Il s’ensuit que ce pouvoir s’exerce sur tout ce
qui est susceptible d’aliéner la société, d’y introduire l’inégalité : Il s’exerce, entre autres,
sur l’institution d’où pourrait surgir la captation du pouvoir, la chefferie. Le chef est, dans
la tribu, sous surveillance : la société veille à ne pas laisser le goût du prestige se
transformer en désir de pouvoir. Si le désir de pouvoir du chef devient trop évident, la
procédure mise en jeu est simple : on l’abandonne, voire même on le tue."Pierre Clastres, la question du pouvoir dans les société primitives, 1976
Clastres "il n'y a pas de pouvoir mais il y a un chef"
Chefferie et pouvoir ne doivent pas être confondus.
Au sein des tribus primitives, le chef n'est que le représentant de la communauté, il ne fait qu'exercer les volontés de la communauté. S'il va à l'encontre de la communauté, il est menacé, voire tué.
Le chef ne détient pas le pouvoir, c'est la communauté qui a le pouvoir. Le pouvoir politique, en tant qu'organe séparé et autonome, n'existe pas. La communauté n'est pas scindée.C'est seulement à partir du néolithique que l'on voit l'apparition du "politique séparé" avec un pouvoir politique autonome qui donnent des ordres et soumet des dominés.
Surtout un libertaire 68ard qui fantasme ses propres délires dans les tribus amazoniennes
"qu’est-ce qui fait
que, quelque part à un moment donné, un type dise « c’est moi le chef et vous allez m’obéir » ? C’est la question du sommet de la pyramide. La question du bas, de la base de la pyramide, c’est : pourquoi les gens acceptent-ils d’obéir, alors que ce n’est pas un type ou un groupe de types qui détient une force, une capacité de violence suffisante pour faire régner la terreur sur tout le monde. Donc il y a autre chose ; cette acceptation de l’obéissance renvoie à autre chose. Je ne sais pas trop ce que c’est ; je suis un chercheur... donc je cherche."
Pierre Clastres, Entretien avec l’anti-mythe, 1974
Le 11 janvier 2022 à 22:10:12 :
On peut vivre dans un système esclavagiste et être libre. Cf la république romaine.
Libre de paraître dans le spectacle des renommés aliénatoires du cursus honorum ? Libre de posséder quatre esclaves ?
Du point de vue de la société marchande, oui c'est être "libre"
Si le triptyque maçonnique français est entre autre composé de la notion de "liberté" depuis la révolution, c'est pas anodin. La liberté de quoi ? La liberté de salarier, la liberté de marchander, la liberté d'aller se vendre... !
La "liberté" est une valeur bourgeoise, le prolétariat abolira la liberté qui n'est rien d'autre que la liberté d'exploiter son coreligionnaire pour lui substituer l'émancipation humaine
"Une société qui n’aurait pas de leader, de type qui parle, serait incomplète, au sens où il
faut que la figure du pouvoir possible (c’est-à-dire ce que la société veut empêcher), le lieu du pouvoir, ne soit pas perdu. Il faut que
ce lieu soit défini. Il faut quelqu’un dont on puisse dire : « Voilà, le chef c’est lui, et c’est précisément lui qu’on empêchera d’être le
chef. » Si on ne peut pas s’adresser à lui pour lui demander des choses, s’il n’y a pas cette figure-là qui occupe ce lieu du pouvoir
possible, on ne peut pas empêcher que ce pouvoir devienne réel. Pour empêcher que ce pouvoir devienne réel, il faut piéger ce
lieu, il faut y mettre quelqu’un, et ce quelqu’un c’est le chef. Quand il est chef, on lui dit : « À partir de maintenant, tu es celui qui
va être le porte-parole, celui qui va faire des discours, celui qui va remplir correctement son obligation de générosité ; tu vas
travailler un peu plus que les autres, tu vas être celui qui est au service de la communauté. »"
Pierre Clastres, Entretien avec l’anti-mythe, 1974
IN-CROY-ABLE. Les communautés primitives sont activement CONTRE toute forme de pouvoir dominateur.
Il n'y pas de pouvoir tant qu'il n'y a pas d'espace rendant possible cette soif de pouvoir
« La plupart des leaders yanomami sont des leaders de guerre, des organisateurs de raids. Et c’était un grand
leader, un type courageux. Seulement, peu à peu, ce type est devenu fou. Il est devenu paranoïaque et mégalomane : c’est la
dynamique de la guerre, c’est le destin des guerriers. Qu’est-ce que veut le guerrier ? Il veut faire tout le temps la guerre. C’est
normal, puisqu’il est guerrier. Et peu à peu, au lieu de vouloir faire des guerres qui correspondaient à ce que voulait la société, la
tribu dont il était le leader, il a voulu faire la guerre à son propre compte. Il avait un compte personnel, qui ne concernait que lui,
avec un groupe. Et il a voulu entraîner sa tribu dans cette guerre-là. Mais cette guerre, ce n’était pas celle de la société.
Alors, qu’est-ce qui s’est passé ? On pourrait dire qu’une des différences entre les sauvages et les autres, c’est que eux, les
sauvages, quand ils ne veulent pas faire la guerre, ils ne la font pas ; tandis que nous, quand l’État veut qu’on fasse la guerre,
qu’on veuille ou qu’on ne veuille pas, jusqu’à présent en tout cas il fallait y aller ! Qu’est-ce qui s’est passé dans le cas de ce
leader ? Les gens l’ont abandonné. ils l’ont abandonné à tel point que, lui, d’un autre côté, ne pouvait pas perdre la face (parce
que c’était un guerrier), il n’allait pas dire : « Bon, puisque vous ne venez pas avec moi, je n’y vais pas non plus. » Un guerrier ne
peut pas dire ça. Alors qu’est-ce qu’il a fait ? Il est parti attaquer tout seul et il a été tué naturellement ! C’était un suicide. Mais il
était condamné à mort, parce qu’il n’avait pas voulu imposer sa guerre à la société qui n’en voulait pas. Voilà comment on
empêche les chefs d’être chefs. Là, il y a un exemple magnifique. C’est ce qui est arrivé constamment à Geronimo,
indépendamment du fait que c’était un héros. »
Pierre Clastres, Entretien avec l’anti-mythe, 1974
Vous imaginez Georges Bush partir tout seul contre les Irakiens en 2003 ?
« Un homme initié, c'est un
homme marqué. Le but de l'initiation, en son moment tortionnaire, c'est de marquer le corps : dans le rituel initiatique, la société imprime sa marque sur le corps
des jeunes gens. Or, une cicatrice, une trace, une marque sont ineffaçables.
Inscrites dans la profondeur de la peau, elles attesteront toujours, éternelles, que
si la douleur peut n'être plus qu'un mauvais souvenir, elle fut néanmoins éprouvée
dans la crainte et le tremblement. La marque est un obstacle à l'oubli, le corps
lui-même porte imprimées sur soi les traces du souvenir, le corps est une mémoire.
Car il s'agit de ne pas perdre la mémoire du secret confié par la tribu, la
mémoire de ce savoir dont sont désormais dépositaires les jeunes initiés. Que
savent-ils maintenant, le jeune chasseur guayaki, le jeune guerrier mandan ? La
marque dit assurément leur appartenance au groupe : « Tu es des nôtres, et tu ne
l'oublieras pas. »
(…)
« Mesurer l'endurance personnelle, signifier une appartenance sociale : telles
sont deux fonctions évidentes de l'initiation comme inscription de marques sur le
corps. »
(...)
«Les premiers chroniqueurs disaient, au xvie siècle, des Indiens brésiliens que
c'étaient des gens sans foi, sans roi, sans loi. Certes, ces tribus ignoraient la dure
loi séparée, celle qui, dans une société divisée, impose le pouvoir de quelques-uns
sur tous les autres. Cette loi-là, loi de roi, loi de l'État, les Mandan et les Guaycuru,
les Guayaki et les Abipones l'ignorent. La loi qu'ils apprennent à connaître dans
la douleur, c'est la loi de la société primitive qui dit à chacun : tu ne vaux pas
moins qu'un autre, tu ne vaux pas plus qu'un autre. La loi, inscrite sur les corps, dit
le refus de la société primitive de courir le risque de la division, le risque d'un pou
voir séparé d'elle-même, d'un pouvoir qui lui échapperait. La loi primitive, cruellement enseignée, est une interdiction d'inégalité dont chacun se souviendra.»
Pierre Clastres, de la torture, 1973
« Il est une circonstance cependant où les sociétés indiennes tolèrent la rencontre
provisoire de la chefferie et de l'autorité : la guerre, seul moment peut-être où
un chef accepte de donner des ordres et ses hommes de les exécuter (et encore
il y faudrait voir de plus près). »
Pierre Clastres, une ethnographie sauvage, 1969
Le 12 janvier 2022 à 02:01:23 :
Les rites initiatiques similaires au MK Ultra, fracturer la psyché par la frayeur, provoquer un traumatisme afin de créer des individus alter ou chez les "primitifs" (rien de péjoratif) un Homme nouveau passant de l'enfance à l'âge "adulte". Fascinant. ..
Le MK Ultra ou les expériences glauques de la société du Spectacle n'ont rien à voir avec les rites initiatiques des communautés primitives. Clastres avoue que certains participants lui souriaient même dans la douleur, que certains en faisaient plus que prévu pour montrer au yeux de tous leur bonne volonté.
Il n'y a pas de dissociation de la personnalité ou autres troubles de répression mémorielle chez les primitifs.
Le MK Ultra et autres joyeusetés modernes sont là pour dominer le sujet, le détruire psychologiquement. Les rites initiatiques des tribus primitives ont des objectifs bien différents.
Malheureusement pour les gauchistes , il y a aujourd'hui des gens qui comprennent le fonctionnement d'un réacteur nucléaire et d'autres qui hésitent entre la CAF et un cap plomberie.
C'est juste la limite haute qui a augmentée.
Le 11 janvier 2022 à 23:27:46 :
« La plupart des leaders yanomami sont des leaders de guerre, des organisateurs de raids. Et c’était un grand
leader, un type courageux. Seulement, peu à peu, ce type est devenu fou. Il est devenu paranoïaque et mégalomane : c’est la
dynamique de la guerre, c’est le destin des guerriers. Qu’est-ce que veut le guerrier ? Il veut faire tout le temps la guerre. C’est
normal, puisqu’il est guerrier. Et peu à peu, au lieu de vouloir faire des guerres qui correspondaient à ce que voulait la société, la
tribu dont il était le leader, il a voulu faire la guerre à son propre compte. Il avait un compte personnel, qui ne concernait que lui,
avec un groupe. Et il a voulu entraîner sa tribu dans cette guerre-là. Mais cette guerre, ce n’était pas celle de la société.
Alors, qu’est-ce qui s’est passé ? On pourrait dire qu’une des différences entre les sauvages et les autres, c’est que eux, les
sauvages, quand ils ne veulent pas faire la guerre, ils ne la font pas ; tandis que nous, quand l’État veut qu’on fasse la guerre,
qu’on veuille ou qu’on ne veuille pas, jusqu’à présent en tout cas il fallait y aller ! Qu’est-ce qui s’est passé dans le cas de ce
leader ? Les gens l’ont abandonné. ils l’ont abandonné à tel point que, lui, d’un autre côté, ne pouvait pas perdre la face (parce
que c’était un guerrier), il n’allait pas dire : « Bon, puisque vous ne venez pas avec moi, je n’y vais pas non plus. » Un guerrier ne
peut pas dire ça. Alors qu’est-ce qu’il a fait ? Il est parti attaquer tout seul et il a été tué naturellement ! C’était un suicide. Mais il
était condamné à mort, parce qu’il n’avait pas voulu imposer sa guerre à la société qui n’en voulait pas. Voilà comment on
empêche les chefs d’être chefs. Là, il y a un exemple magnifique. C’est ce qui est arrivé constamment à Geronimo,
indépendamment du fait que c’était un héros. »Pierre Clastres, Entretien avec l’anti-mythe, 1974
Vous imaginez Georges Bush partir tout seul contre les Irakiens en 2003 ?
Sarko en Libye , il tient 15 seconde puis se fait neutraliser par un enfant sous nutrie en fauteuil roulant
Le 12 janvier 2022 à 12:23:34 :
C'est logique , quand la principale différence entre un riche et un pauvre , c'est le nombre de mammouth chassé et le nombre de femmes fécondé , c'est difficile de créé de gros différentiel.
Malheureusement pour les gauchistes , il y a aujourd'hui des gens qui comprennent le fonctionnement d'un réacteur nucléaire et d'autres qui hésitent entre la CAF et un cap plomberie.
C'est juste la limite haute qui a augmentée.
Il n'y a pas de différences entre les chasseurs selon leur gibiers, puisque le gibier n'appartient pas au chasseur. Le gibier appartient à la communauté. Et si le chasseur entend garder son gibier ou le manger, il subira les foudres de ses compagnons.
Il n'y a pas de pauvres dans les communautés primitives, ni de riches d'ailleurs.
Les peuples les plus primitifs du monde ont peu de biens, mais ils ne sont pas pauvres. Car la pauvreté ne consiste pas en une faible quantité de biens, c'est avant tout une relation d'homme à homme : un statut social.
Les hommes primitifs vivent dans l'abondance alimentaire (cf "Âge de pierre, âge d'abondance" de M.Sahlins). La famine y est inexistante. La famine est un phénomène purement civilisationnel.
Le 12 janvier 2022 à 12:35:07 :
Le 12 janvier 2022 à 12:23:34 :
C'est logique , quand la principale différence entre un riche et un pauvre , c'est le nombre de mammouth chassé et le nombre de femmes fécondé , c'est difficile de créé de gros différentiel.
Malheureusement pour les gauchistes , il y a aujourd'hui des gens qui comprennent le fonctionnement d'un réacteur nucléaire et d'autres qui hésitent entre la CAF et un cap plomberie.
C'est juste la limite haute qui a augmentée.Il n'y a pas de différences entre les chasseurs selon leur gibiers, puisque le gibier n'appartient pas au chasseur. Le gibier appartient à la communauté. Et si le chasseur entend garder son gibier ou le manger, il subira les foudres de ses compagnons.
Il n'y a pas de pauvres dans les communautés primitives, ni de riches d'ailleurs.
Les peuples les plus primitifs du monde ont peu de biens, mais ils ne sont pas pauvres. Car la pauvreté ne consiste pas en une faible quantité de biens, c'est avant tout une relation d'homme à homme : un statut social.Les hommes primitifs vivent dans l'abondance alimentaire (cf "Âge de pierre, âge d'abondance" de M.Sahlins). La famine y est inexistante. La famine est un phénomène purement civilisationnel.
Les indiens guayakis avaient même de quoi tenir 3 mois pénards en terme de nourriture.
L'oisiveté est le maitre mot cheux eux.
Les femmes étaient simplement des objets sexuels et continuellement violées dans les tribus sauvages hein.
L'esclavage était aussi tres courant et tres violent
Le 12 janvier 2022 à 18:54:32 :
Les femmes étaient simplement des objets sexuels et continuellement violées dans les tribus sauvages hein.L'esclavage était aussi tres courant et tres violent
Quelles sont tes sources ?
La plupart des anthropologues/ethnologues que j'ai lu n'ont jamais évoqué une maltraitance particulière sur les femmes des chasseurs-cueilleurs. Il y a parfois des conflits, des violences, sans jamais que cela soit systémique. Les femmes mangent à leur faim, il n'y pas de domination institutionalisée de l'homme sur la femme. Le patriarcat naît avec le Néolithique, là, la situation changera.
Au sein d'une même tribu primitive (au Paléolithique), les femmes sont bien traitées, elles sont, à l'instar des hommes, toujours pimpantes, souriantes, heureuses. C'est une constante qu'on retrouve toujours dans les reportage sur les tribus de chasseurs cueilleurs : https://streamable.com/c1zhvu (tribu des Jarawas, Inde)
On a également le témoignage d'Helena Valero, jeune fille occidentale brésilienne, qui fut enlevée à l'âge de 11 ans par des Indiens d'Amazonie en 1939. Elle resta 22 ans chez eux et a eu plusieurs époux (elle est tombée amoureuse d'un chef, notamment). Elle vécut, nous dit-on, constamment dans la peur d'être battue ou tuée, mais non parce qu'elle était femme, mais bien parce qu'elle était "étrangère", "blanche" et sans "famille" pour la protéger.
Données du topic
- Auteur
- COUSINED_____
- Date de création
- 11 janvier 2022 à 20:04:47
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