Les candaules sont flippant, serieux je comprend pas...
Bon alors je suis en apesanteur, je ne sais même plus par où commencer tant la soirée d'hier fut mémorable !
Comme je l'avais évoqué de manière lapidaire dans l'autre sujet consacré à mon histoire ma femme avait invité son amant pour un apéro à la maison. Elle m'avait prévenu qu'il se passerait sûrement pas grand chose me concernant pour un premier rendez-vous.
Comme l'amant devait arriver à une heure à laquelle je devais m'absenter il y avait fort à parier que j'arriverai après la "guerre".
Le soir venu je prends une bonne douche, me mets sur mon 31, prêt à abandonner ma femme aux mains de l'amant avant de le rencontrer lors de l'apéro. Nous nous étions mis d'accord avec Brigitte qu'elle devait me procurer une vidéo d'elle en train de lui pratiquer une fellation, ainsi que de récupérer une capote remplie de son sperme pour qu'on y plonge nos alliances.
Première surprise de la soirée : l'amant arrive avec une heure d'avance à 19 h00. Brigitte et moi l'accueillons autour d'un bon verre. La discussion va bon train autour du boulot, de la musique,de la culture... avec seulement quelques allusions glissées sur le candaulisme. Il avait paraît-il plein de questions à me poser, il faudra que j'attende. 19 h 45 je dois partir exécuter ma course impérative ( 30 minutes), et leur demande ce qu'ils vont faire en mon absence. Sourire entendus mais pas de réponses claires... A peine dans le garage j'envoie un SMS pour leur demander ce qu'ils font... Aucune réponse ! Je lui envoie un "Et bien ça n'a pas tardé" et démarre ... Je roule un peu vite en me disant que si je fais vite je pourrais peut être surprendre une partie des galipettes. En rentrant je les trouve tranquillement assis là où il se trouvaient. J'ai l'impression qu'il sont restés là à discuter. Je ressens un étrange sentiment mêlé de soulagement et de déception. Je leur demande s'ils n'ont rien fait d'autre que discuter. Encore une fois des réponses évasives. Je jette alors un coup d'oeil sur messenger et grosse surprise : "chut j'ai fait la vidéo de la pipe mais n'en parle pas" avec toutes les fautes possible et imaginables quand on fait un texto vite fait à l'aveuglette. Ouaouh, elle l'a fait.... Et je n'étais qu'au début des surprises que m'apporteront par la suite cette soirée folle !
Nous avions pensé depuis longtemps à une rencontre à 4. Mais il n’est jamais évident d’aligner les agendas. Parmi les dates possibles, l’une correspondait à celle de notre anniversaire de mariage. Ne serait-ce pas une occasion parfaite de confirmer mes vœux de cocufiage devant témoins ?
Ma force de conviction (ou le hasard je ne sais plus) font que finalement cette rencontre se déroulera bien le 25 juin. L’occasion pour moi d’organiser une mini cérémonie un brin sacrilège pour marquer le coup.
Nous prenons possessions de notre suite dans un bel hôtel nancéen. Je suis en compagnie des complices dans la partie salon, alors que Brigitte attend dans la chambre. Je leur tends un petit ruban rose pour qu’ils se le nouent autour de la verge... Un bien beau cadeau de mari cocu attentionné, non ? La perplexité se lit sur leurs visages mais, certainement par pitié, ils cèdent à mon caprice en s’échangeant des regards mi-amusés, mi-consternés.
Nous appelons Brigitte qui va pouvoir faire son entrée triomphale alors que Joe Cocker chante pour elle « You can leave your hat on. » Les battants de portes s’écartent pour laisser apparaître sa beauté quasi-virginale dans sa courte robe blanche à l’étoffe aussi légère que l’atmosphère qui règne dans la pièce (vous savez bien ces robes faciles à enlever, telle que devrait toujours l’être une robe de mariée !
Elle prend place sur le canapé encadrée par ses amants.
Je peux commencer mon allocution pour renouveler mes vœux de cocufiage :
« Ma chère cocufieuse, mes chers complices, j’aimerais vous prendre à témoin,
pour qu’en ce jour solennelle de renouvellement de mes vœux candaulistes,
la remise de ce bracelet de cheville fasse office de sceau indélébile de la liberté absolue de ma femme.
Ma chère Brigitte, je voudrais que tu te saisisses des membres de nos deux témoins ici présents, et me jurer sur leurs gourdins que tu ne me seras jamais plus fidèle et que je serai cocu à vie. » Elle s’exécute, et éclate de rire en découvrant leur sexe joliment enrubanné de rose.
Je lui enserre alors un bracelet autour de la cheville. Il comporte le symbole infini (∞), allusion à sa liberté sans limites. Puis je lui demande de répéter après moi :
« Je te le promets, sur la bite de mes amants. Je ne te serai plus jamais fidèle, et tu seras à jamais cocu ! »
Embrasse maintenant leur sexe (elle s’exécute.)
Je demande désormais aux complices de répéter après moi :
« Elle ne te sera plus jamais fidèle et tu seras à jamais cocu ! »
Ils s’exécutent, puis tous ensemble nous faisons le signe des cornes avec les mains.
Je reprends la parole pour annoncer la lecture de poèmes que j’ai commandé pour l’occasion (merci encore) Je m’autorise au passage un vilain syncrétisme entre le polythéisme grec et le Christianisme :
« Nous allons sceller ce pacte à jamais en récitant tour à tour un poème de Saint Dionysos patron des candaulistes. Le signal de la lecture vous sera donné quand Brigitte prendra votre sexe dans sa bouche. »
Brigitte commence à sucer le premier complice qui lit l’œuvre du poète.
Données du topic
- Auteur
- attilaledheux
- Date de création
- 29 décembre 2021 à 21:29:14
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