[SUICIDE] L'ODEUR des NÈÈÈÈÈÈÈÈGRES :VOMI:
SuppriméLe 29 décembre 2021 à 11:28:18 :
Le 29 décembre 2021 à 11:27:15 :
Le 29 décembre 2021 à 11:26:39 :
C'est quoi le record déjà ?65 pages
Ah ouais on en est encore loin
Y’a eu un topix J qui a fait 116 pages l’année dernière
Le 29 décembre 2021 à 11:28:24 :
26 PAGES AYAAAAAAO
déjà 27, d'ailleurs je pari que mon post sera à la 28 voir 29ème page
Avantage moral
Le complotiste a un avantage moral immense par rapport à l’anti-complotiste parce qu’il doit montrer plus de courage et affronter les difficiles conséquences sociales de ses propos. Tandis que l’anti-complotiste, en bon conformiste adorateur de la normalité sociale, ne fait que relayer et répéter les paroles de l’évangile médiatico-politique qui lui est servi quotidiennement, le complotiste sait qu’il aura contre lui les puissants et la masse des bourgeois cultivés qui peuplent les cercles mondains des multiples socialités auxquelles la vie nous invite tous à participer.
Le complotiste prend constamment des risques dans sa vie professionnelle et privée pour simplement émettre des doutes et proposer des explications alternatives : on ne compte plus le nombre de complotistes débarqués de leur poste pour avoir avancé quelques hypothèses dérangeantes sur le 11 Septembre, l’implication des démocraties occidentales dans le terrorisme islamique ou la responsabilité du CO2 dans le réchauffement climatique anthropique. Si le courage ne donne pas raison, il a une valeur intrinsèque qui distingue nettement le complotiste du bourgeois cultivé conformiste qui fait office d’adversaire.
Le complotiste ose nommer le mal, il ose désigner les puissants et les puissances qui sont derrière ces manifestations humaines : il ne se contente pas, comme les professionnels de la révolte, d’attaquer des abstractions (par exemple, le capitalisme), il confronte des pouvoirs concrets (dont la somme des liens et des alliances fait et révèle le pouvoir dans toute sa puissance et ses nuisances) et nomme les responsables. Pour le 11 Septembre, il désignera volontiers le petit groupe de néoconservateurs comme responsables ou au moins complices des attentats ; il en fera le portrait détaillé en égrenant leur CV et leurs méfaits avérés. Concernant l’hystérie sanitaire mondialiste déclenchée au printemps 2020, il n’hésitera pas à pointer du doigt le rôle de Bill Gates et des dirigeants de l’OMS, de certaines firmes pharmaceutiques (comme Gilead) ou de certains médias (comme BFM TV en France) dans le déclenchement de cette expérience orwellienne à l’échelle mondiale.
L’anti-complotiste, lorsqu’il dénonce, est plutôt dans la délation puisqu’il désigne à la vindicte médiatique et judiciaire, à la censure et aux poursuites pénales, les lanceurs d’alertes qui n’ont en général que leur plume pour se défendre. L’anti-complotiste utilise volontiers la menace et l’intimidation pour faire taire ceux qui s’aventurent hors des sentiers battus et rebattus : la rhétorique de disqualification et l’hystérie émotionnelle sont ses outils préférés.
Ainsi, tandis que le complotiste dénonce les puissants et se met volontairement dans leur ligne de mire, l’anti-complotiste établi des listes d’opposants isolés à exécuter en place publique sans leur donner la parole. Il y a du Cyrano de Bergerac chez le complotiste : s’il n’a, bien évidemment, pas toujours raison, il avance empanaché d’indépendance et de franchise et revendique le droit de se tromper.
Les complotistes sont à la fois une dissidence et une résistance. Peut-être même les seuls à s’opposer aux expériences orwelliennes que nos démocraties oligarchiques nous imposent de temps à autres pour éprouver leur puissance : hystérie sanitaire, hystérie réchauffiste, hystérie anti-Trump (qui n’est que le syndrome d’une hystérie contre les souverainistes et les partisans de la diversité des nations), etc. Comme nous le verrons en partie 2, l’anti-complotisme est une hystérie.
Avantage prédictif
Ce qui frappe, quand on fait le bilan du complotisme sur les deux dernières décennies, c’est l’incroyable capacité de celui-ci à avoir raison, à prédire ce qui va advenir. En analysant avec sérieux et pertinence le présent et le passé récent, le complotisme est capable de mieux appréhender les grandes orientations qui se dessinent devant nous que tous les experts réunis en conclaves officiels.
Sur le 11 Septembre, sur la guerre en Irak et en Syrie, sur le réchauffement climatique anthropique, sur le Russiagate et l’affaire ukrainienne aux États-Unis, sur le Covid-19 et sur tant d’autres sujets scientifiques ou géopolitiques, le complotisme engrange les victoires les unes après les autres.
La démonstration de la force prédictive de la pensée complotiste a été particulièrement spectaculaire lors de l’épisode de totalitarisme sanitaire et sécuritaire que nous avons tous vécus au printemps 2020. Aux modèles prédictifs délirants (souvent informatiques) invoqués par les comités « scientifiques » mis en place un peu partout en Occident lors de cette drôle de crise sanitaire qui prévoyaient l’apocalypse tous les matins du monde, les complotistes ont opposé le bon sens, l’analyse cartésienne, le raisonnement et le sang-froid, et ont ainsi pu identifier rapidement des solutions efficaces pourtant décriées par tous les médias dominants tombés volontairement dans une hystérie destinée à faire perdre l’entendement collectif. Le complotiste est parvenu à s’extraire du bruit et de la fureur de l’actualité brouillonne et a eu raison sur toute la ligne : de l’analyse du problème à la proposition d’un remède. N’ayant d’a priori à l’égard de personne, le complotiste a écouté toutes les parties en présence et à pu saisir au vol le réel avant qu’il ne soit confisqué et défiguré par les tortionnaires de l’information qui lui ont substitué la peur comme seul vecteur de la représentation du monde. Nous y reviendrons en détail dans la deuxième partie ou dans un article séparé.
Depuis le début du conflit en Syrie, seuls les complotistes savaient que le président Bachar el-Assad était soutenu par la grande majorité de son peuple et n’était pas au bord de la déroute, bien que tous les journaux ayant pignon sur rue en Occident annonçaient à longueur de colonnes la fin imminente du « régime sanguinaire ». Concernant le Russiagate et l’implication du clan Obama dans l’espionnage dont la campagne de Trump a fait l’objet en 2016 et 2017, seuls les complotistes ont compris qu’il s’agissait bien d’une tentative de déstabilisation d’un candidat (puis d’un président) pas assez mondialiste, de la part de l’État profond américain et qu’aucun élément probant ne permettait d’affirmer qu’il était, de près ou de loin, un agent russe (tous les documents récemment déclassifiés confirment cette analyse). Concernant le réchauffement climatique, nous détaillerons dans un papier à venir, les nombreuses victoires épistémologiques emportées de haute lutte contre (i) les prédictions arrogantes et foireuses de « l’unanimité » des scientifiques de la planète et (ii) l’intime conviction d’une opinion publique mondiale chauffée à blanc à l’encontre d’une menace qui n’existe que dans les modèles informatiques délirants des marchands de peur !
Le complotisme est la grande aventure humaine, intellectuelle et politique de notre siècle. Si nous voulons que l’homme perdure dans ses fondamentaux humains, loin des promesses transhumaniste et technicistes qu’on veut nous imposer sans débat, il est temps d’affirmer ce que nous sommes : un humanisme.
Données du topic
- Auteur
- Slavic-NS264
- Date de création
- 29 décembre 2021 à 11:08:45
- Date de suppression
- 29 décembre 2021 à 12:05:56
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