on dit "on serait pas venu" ou "on serait pas venus"
Le 10 novembre 2021 à 12:36:12 :
Le pronom « on » est un pronom indéfini neutre dont les caractéristiques sont les suivantes :Il est employé uniquement comme sujet et ne s’applique qu’à des êtres humains ou des animaux, et jamais à des objets.
Il désigne généralement une ou des personnes inconnues. Dans cet usage, il a le sens de « quelqu’un », « quiconque ». Puisque le genre et le nombre des personnes en question sont ignorés, « on » est considéré comme étant de la troisième personne du masculin singulier, et il exclut celui qui parle. Exemple : On frappe à la porte.
Il peut représenter un ensemble de personnes et signifier « tout le monde ». Là encore, il relève de la troisième personne du masculin singulier, mais il inclut le locuteur. Il est souvent employé de cette façon dans les proverbes ou pour formuler des maximes à valeur de vérité générale. Exemples : On ira tous au paradis, comme l’affirme avec optimisme le chanteur Michel Polnareff ; On a souvent besoin d’un plus petit que soi, ainsi que l’énonce le moraliste Jean de La Fontaine dans la fable « Le Lion et le Rat ».
Il peut désigner des personnes précises et prendre la valeur du pronom personnel qu’il remplace. Dans ce cas, le verbe est toujours conjugué au masculin singulier, mais l’adjectif et les participes, passé et présent, relatifs au sujet s’accordent en genre et en nombre avec le pronom personnel auquel il se substitue. Cet emploi sert à exprimer différents sentiments tels la modestie, l’ironie, le mépris, l’orgueil, etc. Exemples :
Pour « je » : Vous ne méritez pas l’amour qu’on [je] a pour vous, assène Célimène à Alceste dans Le Misanthrope de Molière.
Pour « tu » : Eh bien ! petite, est-on [tu] toujours fâchée ? lance un client à Élisabeth, la bonne de l’auberge, dans Notre cœur de Guy de Maupassant
Pour « elle » : Commandez qu’on [elle] vous aime et vous serez aimé, promet Narcisse à Néron dans Britannicus de Jean Racine.
Pour « nous » : Si je mets une signature à gauche, c’est qu’on [nous] aura été bombardés, écrit Henri de Montherlant dans la pièce Fils de personne.À noter que cette utilisation de « on » à la place de « nous » est la plus courante dans la langue parlée. Elle se rencontre également dans la littérature.
Pour « vous » : Un couplet qu’on [vous] s’en va chantant / Efface-t-il la trace altière / Du pied de nos chevaux marqué dans votre sang ? s’interroge Alfred de Musset dans « Le Rhin allemand ».
Pour exprimer un pronom possessif ou un pronom personnel complément du sujet « on » :
Ce sont les pronoms de la troisième personne du masculin singulier qui s’appliquent, en principe : « son, sa, ses, le sien, les siens, les siennes, soi, lui… ». Exemples : Se mire-t-on près d’un rivage/Ce n’est pas soi qu’on voit, écrit Jean de la Fontaine, dans la fable « Tircis et Amarante » ; Qu’on évite d’être vu avec une femme qui n’est point la sienne, voilà une pudeur qui est bien placée, constate Jean de La Bruyère dans Les caractères.
Toutefois, si le sujet est une collectivité indéterminée et que la personne qui parle s’y inclut, alors les pronoms de la première personne du pluriel (nous) sont requis. Exemple : Qu’on hait un ennemi quand il est près de nous ! s’exclame Étéocle dans La Thébaïde de Jean Racine.
Si le locuteur s’efface, les pronoms de la deuxième personne du pluriel (vous) conviennent. Exemple : Comme la musique vous approche de l’être qu’on aime ! s’écrie Jean-Louis Vaudoyer dans Laure et Laurence.
L’on: Il arrive que « on » soit précédé de l’article « l’ ». Si cet usage est euphonique (il permet d’éviter un hiatus, soit la succession de deux voyelles), il est en réalité historique : en effet, « on » vient du latin homo, signifiant « homme », devenu « om » puis « on » auquel un article était apposé. Aujourd’hui, « l’on » est employé dans la langue soignée après « et, où, qui, quoi, si, aussi ». Exemple : Le monde où l’on s’ennuie, comme s’intitule une comédie d’Édouard Pailleron. « L’on » est valablement choisi également après « que » pour éviter la syllabe « qu’on », surtout si le mot suivant commence pas « con ». Il apparaît également en tête de phrase, cependant cette tournure est vieillotte comme le montre l’exemple emprunté de nouveau à Jean de La Bruyère : L’on espère de vieillir et l’on craint la vieillesse. En revanche, pour l’euphonie, l’article « l’ »est proscrit après « dont », et les mots commençant par « l » : Si on lit le livre dont on parle…C'est clair.
ahahahahah
Le 10 novembre 2021 à 12:38:21 :
Est-ce que cela ne montrerait pas un total échec et manque de pédagogie de l'éducation nationale à instruire la grammaire ?Je crois bien.
Ca montre que la langue française est un sacré tas de merde.
Bon je vais pas citer le pavé mais je vais résumer :
- Si le "on" est impersonnel = 3e personne du singulier
- S'il désigne un groupe de personnes défini = le participe passé se conjugue au pluriel
donc dans le cas de figure de mon exemple ayant bien précisé qu'on était plusieurs donc que ça sous-entend que c'est moi et d'autres têtes de pipe qui m'accompagnent on dit bien "on serait pas venus", merci à tous pour vos réponses erronées les golomos et merci à mon ami Jambonketchoupe de remettre les pendulent à l'heure
Le 10 novembre 2021 à 12:14:11 :
Oublie pas la double négationOn NE serait pas venu
N'oublie*
Le 10 novembre 2021 à 12:43:01 :
Le 10 novembre 2021 à 12:41:40 :
Le 10 novembre 2021 à 12:40:49 :
Le 10 novembre 2021 à 12:14:11 :
Oublie pas la double négationOn NE serait pas venu
N'oublie*
aya tu l'as cassé en mille morceau ce petit golem de pacotille
"morceaux" fdp
oui j'ai corrigé + ddb insulte j'ai pleuré ma maman t'a rien fait
Le 10 novembre 2021 à 12:36:12 :
Le pronom « on » est un pronom indéfini neutre dont les caractéristiques sont les suivantes :Il est employé uniquement comme sujet et ne s’applique qu’à des êtres humains ou des animaux, et jamais à des objets.
Il désigne généralement une ou des personnes inconnues. Dans cet usage, il a le sens de « quelqu’un », « quiconque ». Puisque le genre et le nombre des personnes en question sont ignorés, « on » est considéré comme étant de la troisième personne du masculin singulier, et il exclut celui qui parle. Exemple : On frappe à la porte.
Il peut représenter un ensemble de personnes et signifier « tout le monde ». Là encore, il relève de la troisième personne du masculin singulier, mais il inclut le locuteur. Il est souvent employé de cette façon dans les proverbes ou pour formuler des maximes à valeur de vérité générale. Exemples : On ira tous au paradis, comme l’affirme avec optimisme le chanteur Michel Polnareff ; On a souvent besoin d’un plus petit que soi, ainsi que l’énonce le moraliste Jean de La Fontaine dans la fable « Le Lion et le Rat ».
Il peut désigner des personnes précises et prendre la valeur du pronom personnel qu’il remplace. Dans ce cas, le verbe est toujours conjugué au masculin singulier, mais l’adjectif et les participes, passé et présent, relatifs au sujet s’accordent en genre et en nombre avec le pronom personnel auquel il se substitue. Cet emploi sert à exprimer différents sentiments tels la modestie, l’ironie, le mépris, l’orgueil, etc. Exemples :
Pour « je » : Vous ne méritez pas l’amour qu’on [je] a pour vous, assène Célimène à Alceste dans Le Misanthrope de Molière.
Pour « tu » : Eh bien ! petite, est-on [tu] toujours fâchée ? lance un client à Élisabeth, la bonne de l’auberge, dans Notre cœur de Guy de Maupassant
Pour « elle » : Commandez qu’on [elle] vous aime et vous serez aimé, promet Narcisse à Néron dans Britannicus de Jean Racine.
Pour « nous » : Si je mets une signature à gauche, c’est qu’on [nous] aura été bombardés, écrit Henri de Montherlant dans la pièce Fils de personne.À noter que cette utilisation de « on » à la place de « nous » est la plus courante dans la langue parlée. Elle se rencontre également dans la littérature.
Pour « vous » : Un couplet qu’on [vous] s’en va chantant / Efface-t-il la trace altière / Du pied de nos chevaux marqué dans votre sang ? s’interroge Alfred de Musset dans « Le Rhin allemand ».
Pour exprimer un pronom possessif ou un pronom personnel complément du sujet « on » :
Ce sont les pronoms de la troisième personne du masculin singulier qui s’appliquent, en principe : « son, sa, ses, le sien, les siens, les siennes, soi, lui… ». Exemples : Se mire-t-on près d’un rivage/Ce n’est pas soi qu’on voit, écrit Jean de la Fontaine, dans la fable « Tircis et Amarante » ; Qu’on évite d’être vu avec une femme qui n’est point la sienne, voilà une pudeur qui est bien placée, constate Jean de La Bruyère dans Les caractères.
Toutefois, si le sujet est une collectivité indéterminée et que la personne qui parle s’y inclut, alors les pronoms de la première personne du pluriel (nous) sont requis. Exemple : Qu’on hait un ennemi quand il est près de nous ! s’exclame Étéocle dans La Thébaïde de Jean Racine.
Si le locuteur s’efface, les pronoms de la deuxième personne du pluriel (vous) conviennent. Exemple : Comme la musique vous approche de l’être qu’on aime ! s’écrie Jean-Louis Vaudoyer dans Laure et Laurence.
L’on: Il arrive que « on » soit précédé de l’article « l’ ». Si cet usage est euphonique (il permet d’éviter un hiatus, soit la succession de deux voyelles), il est en réalité historique : en effet, « on » vient du latin homo, signifiant « homme », devenu « om » puis « on » auquel un article était apposé. Aujourd’hui, « l’on » est employé dans la langue soignée après « et, où, qui, quoi, si, aussi ». Exemple : Le monde où l’on s’ennuie, comme s’intitule une comédie d’Édouard Pailleron. « L’on » est valablement choisi également après « que » pour éviter la syllabe « qu’on », surtout si le mot suivant commence pas « con ». Il apparaît également en tête de phrase, cependant cette tournure est vieillotte comme le montre l’exemple emprunté de nouveau à Jean de La Bruyère : L’on espère de vieillir et l’on craint la vieillesse. En revanche, pour l’euphonie, l’article « l’ »est proscrit après « dont », et les mots commençant par « l » : Si on lit le livre dont on parle…C'est clair.
Fin du topax
Le 10 novembre 2021 à 12:43:31 :
Le 10 novembre 2021 à 12:43:01 :
Le 10 novembre 2021 à 12:41:40 :
Le 10 novembre 2021 à 12:40:49 :
Le 10 novembre 2021 à 12:14:11 :
Oublie pas la double négationOn NE serait pas venu
N'oublie*
aya tu l'as cassé en mille morceau ce petit golem de pacotille
"morceaux" fdp
oui j'ai corrigé + ddb insulte j'ai pleuré ma maman t'a rien fait
Le 10 novembre 2021 à 12:43:56 :
Le 10 novembre 2021 à 12:36:12 :
Le pronom « on » est un pronom indéfini neutre dont les caractéristiques sont les suivantes :Il est employé uniquement comme sujet et ne s’applique qu’à des êtres humains ou des animaux, et jamais à des objets.
Il désigne généralement une ou des personnes inconnues. Dans cet usage, il a le sens de « quelqu’un », « quiconque ». Puisque le genre et le nombre des personnes en question sont ignorés, « on » est considéré comme étant de la troisième personne du masculin singulier, et il exclut celui qui parle. Exemple : On frappe à la porte.
Il peut représenter un ensemble de personnes et signifier « tout le monde ». Là encore, il relève de la troisième personne du masculin singulier, mais il inclut le locuteur. Il est souvent employé de cette façon dans les proverbes ou pour formuler des maximes à valeur de vérité générale. Exemples : On ira tous au paradis, comme l’affirme avec optimisme le chanteur Michel Polnareff ; On a souvent besoin d’un plus petit que soi, ainsi que l’énonce le moraliste Jean de La Fontaine dans la fable « Le Lion et le Rat ».
Il peut désigner des personnes précises et prendre la valeur du pronom personnel qu’il remplace. Dans ce cas, le verbe est toujours conjugué au masculin singulier, mais l’adjectif et les participes, passé et présent, relatifs au sujet s’accordent en genre et en nombre avec le pronom personnel auquel il se substitue. Cet emploi sert à exprimer différents sentiments tels la modestie, l’ironie, le mépris, l’orgueil, etc. Exemples :
Pour « je » : Vous ne méritez pas l’amour qu’on [je] a pour vous, assène Célimène à Alceste dans Le Misanthrope de Molière.
Pour « tu » : Eh bien ! petite, est-on [tu] toujours fâchée ? lance un client à Élisabeth, la bonne de l’auberge, dans Notre cœur de Guy de Maupassant
Pour « elle » : Commandez qu’on [elle] vous aime et vous serez aimé, promet Narcisse à Néron dans Britannicus de Jean Racine.
Pour « nous » : Si je mets une signature à gauche, c’est qu’on [nous] aura été bombardés, écrit Henri de Montherlant dans la pièce Fils de personne.À noter que cette utilisation de « on » à la place de « nous » est la plus courante dans la langue parlée. Elle se rencontre également dans la littérature.
Pour « vous » : Un couplet qu’on [vous] s’en va chantant / Efface-t-il la trace altière / Du pied de nos chevaux marqué dans votre sang ? s’interroge Alfred de Musset dans « Le Rhin allemand ».
Pour exprimer un pronom possessif ou un pronom personnel complément du sujet « on » :
Ce sont les pronoms de la troisième personne du masculin singulier qui s’appliquent, en principe : « son, sa, ses, le sien, les siens, les siennes, soi, lui… ». Exemples : Se mire-t-on près d’un rivage/Ce n’est pas soi qu’on voit, écrit Jean de la Fontaine, dans la fable « Tircis et Amarante » ; Qu’on évite d’être vu avec une femme qui n’est point la sienne, voilà une pudeur qui est bien placée, constate Jean de La Bruyère dans Les caractères.
Toutefois, si le sujet est une collectivité indéterminée et que la personne qui parle s’y inclut, alors les pronoms de la première personne du pluriel (nous) sont requis. Exemple : Qu’on hait un ennemi quand il est près de nous ! s’exclame Étéocle dans La Thébaïde de Jean Racine.
Si le locuteur s’efface, les pronoms de la deuxième personne du pluriel (vous) conviennent. Exemple : Comme la musique vous approche de l’être qu’on aime ! s’écrie Jean-Louis Vaudoyer dans Laure et Laurence.
L’on: Il arrive que « on » soit précédé de l’article « l’ ». Si cet usage est euphonique (il permet d’éviter un hiatus, soit la succession de deux voyelles), il est en réalité historique : en effet, « on » vient du latin homo, signifiant « homme », devenu « om » puis « on » auquel un article était apposé. Aujourd’hui, « l’on » est employé dans la langue soignée après « et, où, qui, quoi, si, aussi ». Exemple : Le monde où l’on s’ennuie, comme s’intitule une comédie d’Édouard Pailleron. « L’on » est valablement choisi également après « que » pour éviter la syllabe « qu’on », surtout si le mot suivant commence pas « con ». Il apparaît également en tête de phrase, cependant cette tournure est vieillotte comme le montre l’exemple emprunté de nouveau à Jean de La Bruyère : L’on espère de vieillir et l’on craint la vieillesse. En revanche, pour l’euphonie, l’article « l’ »est proscrit après « dont », et les mots commençant par « l » : Si on lit le livre dont on parle…C'est clair.
Fin du topax
arrête de citer des pavés traaaak
Le 10 novembre 2021 à 12:40:49 :
Le 10 novembre 2021 à 12:14:11 :
Oublie pas la double négationOn NE serait pas venu
N'oublie*
Bien joué, chu une merde.
Sinon l'OP, si tu sais que on remplace nous, pourquoi ne pas mettre nous à la place directement ?
Le 10 novembre 2021 à 12:44:07 :
Le 10 novembre 2021 à 12:43:31 :
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Oublie pas la double négationOn NE serait pas venu
N'oublie*
aya tu l'as cassé en mille morceau ce petit golem de pacotille
"morceaux" fdp
oui j'ai corrigé + ddb insulte j'ai pleuré ma maman t'a rien fait
c'est toi qui a mal répondu à ma question le desco, prends pas la mouche, on dit bien "on serait pas venus"
Le 10 novembre 2021 à 12:45:09 :
Le 10 novembre 2021 à 12:40:49 :
Le 10 novembre 2021 à 12:14:11 :
Oublie pas la double négationOn NE serait pas venu
N'oublie*
Bien joué, chu une merde.
Sinon l'OP, si tu sais que on remplace nous, pourquoi ne pas mettre nous à la place directement ?
parce que c'est désuet peut-être ?
et osef en vrai, je parlais du "on" parce que c'est un cas de figure intéressant, la preuve vu le nombre de mauvaises réponses
Le 10 novembre 2021 à 12:46:59 :
Le 10 novembre 2021 à 12:45:09 :
Le 10 novembre 2021 à 12:40:49 :
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Oublie pas la double négationOn NE serait pas venu
N'oublie*
Bien joué, chu une merde.
Sinon l'OP, si tu sais que on remplace nous, pourquoi ne pas mettre nous à la place directement ?
parce que c'est désuet peut-être ?
et osef en vrai, je parlais du "on" parce que c'est un cas de figure intéressant, la preuve vu le nombre de mauvaises réponses
Je pensais que c'était pour un travail ou un mail, d'où ma remarque sur la double négation si j'avais su j'aurais fermé ma gueule
Du coup c'est un consensus que ça s'accorde au pluriel, j'aurais appris quelque chose d'utile pour moi la question ne se posait même pas
Le 10 novembre 2021 à 12:45:49 :
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Oublie pas la double négationOn NE serait pas venu
N'oublie*
aya tu l'as cassé en mille morceau ce petit golem de pacotille
"morceaux" fdp
oui j'ai corrigé + ddb insulte j'ai pleuré ma maman t'a rien fait
c'est toi qui a mal répondu à ma question le desco, prends pas la mouche, on dit bien "on serait pas venus"
Ca dépend du contexte en fait, c'était bien le sujet de ton interrogation et tu ne sembles toujours pas avoir compris Débilax
Le 10 novembre 2021 à 12:50:50 :
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Oublie pas la double négationOn NE serait pas venu
N'oublie*
aya tu l'as cassé en mille morceau ce petit golem de pacotille
"morceaux" fdp
oui j'ai corrigé + ddb insulte j'ai pleuré ma maman t'a rien fait
c'est toi qui a mal répondu à ma question le desco, prends pas la mouche, on dit bien "on serait pas venus"
Ca dépend du contexte en fait, c'était bien le sujet de ton interrogation et tu ne sembles toujours pas avoir compris Débilax
j'ai expliqué 20 fois si tu sais pas lire la flemme, continue à t'enfoncer dans ton illettrisme si ça te chante le bas de plafond
Le 10 novembre 2021 à 12:50:00 :
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Le 10 novembre 2021 à 12:45:09 :
Le 10 novembre 2021 à 12:40:49 :
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Oublie pas la double négationOn NE serait pas venu
N'oublie*
Bien joué, chu une merde.
Sinon l'OP, si tu sais que on remplace nous, pourquoi ne pas mettre nous à la place directement ?
parce que c'est désuet peut-être ?
et osef en vrai, je parlais du "on" parce que c'est un cas de figure intéressant, la preuve vu le nombre de mauvaises réponses
Je pensais que c'était pour un travail ou un mail, d'où ma remarque sur la double négation si j'avais su j'aurais fermé ma gueule
Du coup c'est un consensus que ça s'accorde au pluriel, j'aurais appris quelque chose d'utile pour moi la question ne se posait même pas
non ça a juste pop complètement par hasard dans ma tête et je me suis posé la question, c'est pour ça que j'ai pas mis de négation ni rien
Données du topic
- Auteur
- niknakbof
- Date de création
- 10 novembre 2021 à 12:12:46
- Nb. messages archivés
- 63
- Nb. messages JVC
- 61