on dit "on serait pas venu" ou "on serait pas venus"
Le 10 novembre 2021 Ă 12:21:37 :
Le 10 novembre 2021 Ă 12:20:33 :
En réalité, les personnes ne sont pas identifiés clef.j'ai précisé dans mon premier post que je parlais de plusieurs personnes
Ces personnes, tu les connais, vous appartenez Ă un groupe particulier ?
Pour le coup ça m'intéresse aussi.
Le 10 novembre 2021 Ă 12:23:19 :
Le 10 novembre 2021 Ă 12:21:37 :
Le 10 novembre 2021 Ă 12:20:33 :
En réalité, les personnes ne sont pas identifiés clef.j'ai précisé dans mon premier post que je parlais de plusieurs personnes
Ces personnes, tu les connais, vous appartenez Ă un groupe particulier ?
Pour le coup ça m'intéresse aussi.
bah du coup dans la question que je posais c'Ă©tait sous-entendu que je parlais d'un groupe de personnes bien distinct, moi et d'autres
mais du coup je me demande même si dans le cas de figure que j'ai cité le "perdu" prend pas carrément toujours un s peu importe la situation
en fait j'arrive pas à trouver un exemple où le "on" serait impersonnel ça me casse la tête
Le 10 novembre 2021 Ă 12:26:58 :
Le 10 novembre 2021 Ă 12:23:19 :
Le 10 novembre 2021 Ă 12:21:37 :
Le 10 novembre 2021 Ă 12:20:33 :
En réalité, les personnes ne sont pas identifiés clef.j'ai précisé dans mon premier post que je parlais de plusieurs personnes
Ces personnes, tu les connais, vous appartenez Ă un groupe particulier ?
Pour le coup ça m'intéresse aussi.
bah du coup dans la question que je posais c'Ă©tait sous-entendu que je parlais d'un groupe de personnes bien distinct, moi et d'autres
mais du coup je me demande même si dans le cas de figure que j'ai cité le "perdu" prend pas carrément toujours un s peu importe la situation
en fait j'arrive pas à trouver un exemple où le "on" serait impersonnel ça me casse la tête
De tout temps, on a été envahi par les nations voisines.
Le 10 novembre 2021 Ă 12:14:17 :
Le 10 novembre 2021 Ă 12:13:20 :
on c'est du singulier pas du pluriel mon kheyje sais, mais dans ce cas de figure en sachant qu'on est plusieurs accorder le participe passé au singulier ça fait bizarre
On s'en fou c'est comme ça , point
Tu peux toujours envoyer un courrier à l'académie Française pour faire changer ça au pire
Le 10 novembre 2021 Ă 12:24:51 :
Y'a un s si on exprime plusieurs personnes, toi et tes amis par exemple. C'est une sacrée couillonade de la grammaire française l'accord avec on.
en fait ça semble logique mais bon ça me triturait l'esprit, c'est juste l'accord du "on" à un verbe/auxiliaire direct qui a pas de sens, mais le participe passé est pas touché par cette règle étrange
Le 10 novembre 2021 Ă 12:30:04 :
Le 10 novembre 2021 Ă 12:14:17 :
Le 10 novembre 2021 Ă 12:13:20 :
on c'est du singulier pas du pluriel mon kheyje sais, mais dans ce cas de figure en sachant qu'on est plusieurs accorder le participe passé au singulier ça fait bizarre
On s'en fou c'est comme ça , point
Tu peux toujours envoyer un courrier à l'académie Française pour faire changer ça au pire
mais vous le faites exprès ou quoi, ça prend bien un "s", le participe passé est pas touché par l'accord de l'auxiliaire à la première personne mais par le pronom "on" qui lui est un pronom pluriel vu qu'il désigne plusieurs individus
On ne serait pas venuent
'''Ce qui est très perturbant, chez ce « on », c’est qu’il correspond à la troisième personne du singulier, alors que, la plupart du temps, il désigne un collectif.
Étymologiquement, nous l’avons vu, « on » est masculin singulier. Le participe passé du verbe dont il est sujet s’accorde donc au masculin singulier. Ainsi, le talk-show de Laurent Ruquier diffusé tous les samedis soir sur France 2 s’intitule On n’est pas couché. Dans ce cas, « on » a une valeur englobante, il ne désigne personne en particulier.
Mais depuis le XVIIe siècle, l’attribut peut s’accorder en genre et en nombre avec la ou les personnes que « on » représente, dès lors qu’elles sont identifiables. Si des petites filles se réjouissent d’être ensemble, elles pourront s’exclamer « On est contentes ! » ; l’accord se faisant au féminin pluriel.
Cela dit, si l’une et l’autre de ces formes vous gênent, rien ne vous empêche de remplacer « on » par « nous », ou de conserver les deux, pour plus d’emphase. Par exemple, un des livres de l’économiste Jacques Généreux, préfacé par Jean-Luc Mélenchon, a pour titre : Nous, on peut !'''
Le 10 novembre 2021 Ă 12:12:46 :
je sais, mais dans ce cas de figure en sachant qu'on est plusieurs accorder le participe passé au singulier ça fait bizarreLe 10 novembre 2021 à 12:20:38 :
Si "on" remplace "nous", on met un "s"Si "on" désigne une personne, pas de "s"
Si "on" désigne UNE personne, on sait que "on" désigne Alain Delon du coup (il n'y a que lui qui dit on en parlant de lui ) du coup, ON n'est pas plus dans un cas de pluriel
Le pronom « on » est un pronom indéfini neutre dont les caractéristiques sont les suivantes :
Il est employé uniquement comme sujet et ne s’applique qu’à des êtres humains ou des animaux, et jamais à des objets.
Il désigne généralement une ou des personnes inconnues. Dans cet usage, il a le sens de « quelqu’un », « quiconque ». Puisque le genre et le nombre des personnes en question sont ignorés, « on » est considéré comme étant de la troisième personne du masculin singulier, et il exclut celui qui parle. Exemple : On frappe à la porte.
Il peut représenter un ensemble de personnes et signifier « tout le monde ». Là encore, il relève de la troisième personne du masculin singulier, mais il inclut le locuteur. Il est souvent employé de cette façon dans les proverbes ou pour formuler des maximes à valeur de vérité générale. Exemples : On ira tous au paradis, comme l’affirme avec optimisme le chanteur Michel Polnareff ; On a souvent besoin d’un plus petit que soi, ainsi que l’énonce le moraliste Jean de La Fontaine dans la fable « Le Lion et le Rat ».
Il peut désigner des personnes précises et prendre la valeur du pronom personnel qu’il remplace. Dans ce cas, le verbe est toujours conjugué au masculin singulier, mais l’adjectif et les participes, passé et présent, relatifs au sujet s’accordent en genre et en nombre avec le pronom personnel auquel il se substitue. Cet emploi sert à exprimer différents sentiments tels la modestie, l’ironie, le mépris, l’orgueil, etc. Exemples :
Pour « je » : Vous ne méritez pas l’amour qu’on [je] a pour vous, assène Célimène à Alceste dans Le Misanthrope de Molière.
Pour « tu » : Eh bien ! petite, est-on [tu] toujours fâchée ? lance un client à Élisabeth, la bonne de l’auberge, dans Notre cœur de Guy de Maupassant
Pour « elle » : Commandez qu’on [elle] vous aime et vous serez aimé, promet Narcisse à Néron dans Britannicus de Jean Racine.
Pour « nous » : Si je mets une signature à gauche, c’est qu’on [nous] aura été bombardés, écrit Henri de Montherlant dans la pièce Fils de personne.À noter que cette utilisation de « on » à la place de « nous » est la plus courante dans la langue parlée. Elle se rencontre également dans la littérature.
Pour « vous » : Un couplet qu’on [vous] s’en va chantant / Efface-t-il la trace altière / Du pied de nos chevaux marqué dans votre sang ? s’interroge Alfred de Musset dans « Le Rhin allemand ».
Pour exprimer un pronom possessif ou un pronom personnel complément du sujet « on » :
Ce sont les pronoms de la troisième personne du masculin singulier qui s’appliquent, en principe : « son, sa, ses, le sien, les siens, les siennes, soi, lui… ». Exemples : Se mire-t-on près d’un rivage/Ce n’est pas soi qu’on voit, écrit Jean de la Fontaine, dans la fable « Tircis et Amarante » ; Qu’on évite d’être vu avec une femme qui n’est point la sienne, voilà une pudeur qui est bien placée, constate Jean de La Bruyère dans Les caractères.
Toutefois, si le sujet est une collectivité indéterminée et que la personne qui parle s’y inclut, alors les pronoms de la première personne du pluriel (nous) sont requis. Exemple : Qu’on hait un ennemi quand il est près de nous ! s’exclame Étéocle dans La Thébaïde de Jean Racine.
Si le locuteur s’efface, les pronoms de la deuxième personne du pluriel (vous) conviennent. Exemple : Comme la musique vous approche de l’être qu’on aime ! s’écrie Jean-Louis Vaudoyer dans Laure et Laurence.
L’on: Il arrive que « on » soit précédé de l’article « l’ ». Si cet usage est euphonique (il permet d’éviter un hiatus, soit la succession de deux voyelles), il est en réalité historique : en effet, « on » vient du latin homo, signifiant « homme », devenu « om » puis « on » auquel un article était apposé. Aujourd’hui, « l’on » est employé dans la langue soignée après « et, où, qui, quoi, si, aussi ». Exemple : Le monde où l’on s’ennuie, comme s’intitule une comédie d’Édouard Pailleron. « L’on » est valablement choisi également après « que » pour éviter la syllabe « qu’on », surtout si le mot suivant commence pas « con ». Il apparaît également en tête de phrase, cependant cette tournure est vieillotte comme le montre l’exemple emprunté de nouveau à Jean de La Bruyère : L’on espère de vieillir et l’on craint la vieillesse. En revanche, pour l’euphonie, l’article « l’ »est proscrit après « dont », et les mots commençant par « l » : Si on lit le livre dont on parle…
C'est clair.
Est-ce que cela ne montrerait pas un total échec et manque de pédagogie de l'éducation nationale à instruire la grammaire ?
Je crois bien.
Données du topic
- Auteur
- niknakbof
- Date de création
- 10 novembre 2021 Ă 12:12:46
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- 63
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