JUIF JUIF JUIF JUIF JUIF JUIF JUIF JUIF JUIF JUIF
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Le BDSM était antérieurement nommé « SM », le sigle « BDSM » est aujourd’hui employé pour mieux représenter la diversité des pratiques5 Le terme « sadomasochisme » fait référence à l’érotisation de la douleur8 et est dérivé des mots « sadisme » et « masochisme ». L’inventeur scientifique du mot « masochisme », Krafft-Ebing établit en 1886 un lien entre le sadisme et le masochisme en termes de taux de comorbidité. Wilhelm Stekel appuie cette corrélation et ajoute que l’intérêt porté envers une sexualité non normative prend racine dans le sadomasochisme9. L’union entre ces deux termes renforce une fonction commune de traiter la dimension traumatique propre à la nature de la pulsion. Cette union a suscité des critiques notamment de Gilles Deleuze.
Le « sadisme » et le « masochisme » appartiennent à la langue courante, à la langue scientifique de l’érotologie et la langue de la métapsychologie de la psychanalyse. En matière de phénoménologique ils caractérisent « des modalités d’investissements relationnels et des voies de satisfaction propres à la sexualité humaine au sein de laquelle ils forment un couple d’opposés complémentaires »9.
S/M image of lookalike Superman and Lois Lane drawn by the original creator during dispute with employer
Le sadisme décrit un plaisir sexuel dans lequel une personne prend plaisir à infliger une douleur, à dégrader ou à humilier une autre personne. De l’autre côté, le masochiste apprécie subir toutes sortes de souffrances physiques ou morales dans un scénario consensuel. Le sadisme associe haine et sexualité tandis que le masochisme emploi la douleur pour satisfaire ces désirs sexuels10.
Il existerait à travers les relations sadomasochistes des relations dites hard ou soft. Les relations hard seraient des relations masochistes avec douleur physique. Les relations soft seraient des relations impliquant une souffrance psychologique telle que l’humiliation ou les relations de service sans douleur corporelle.
Domination / soumission
La domination et la soumission (ou D/s) est un jeu de comportements et de désirs dans lequel une personne souhaite être dominée par une (ou plusieurs) autre(s) personne(s) dans un but érotique et sexuel. Le contact physique n'est pas nécessaire et ce type de jeu peut s'effectuer à distance, anonymement ou non, par téléphone ou par tout système de messagerie électronique. Dans d'autres cas, il peut être intensément physique, allant parfois au sadomasochisme. Les individus qui choisissent le rôle supérieur sont appelés dominants (pour les garçons) ou dominatrices (voire maîtresses, pour les filles), et les individus qui choisissent le rôle subordonné sont appelés soumis(e) (garçons et filles). Les individus peuvent également changer de rôle durant le jeu. Le jeu D/s est un échange consensuel entre les partenaires, basé sur la confiance et la communication et sur un respect mutuel dans lequel les partenaires peuvent s'explorer émotionnellement. Une relation D/s peut être sexuelle ou non, à long ou à court terme, et intime ou anonyme.
Les variantes de D/s peuvent prendre un bon nombre de formes. Ils incluent la servitude domestique qui peut devenir sexuelle, la chasteté forcée, l'humiliation érotique ou verbale, la soumission fétichiste (pieds, chaussures, bottes, uniformes, cigarettes, latex, cuir…), la déshumanisation où le dominé est considéré comme un animal et traité comme tel voire à l'objectification où il est considéré comme un objet inanimé, et enfin au travestissement (ou cross-dressing). Ces variantes peuvent être combinées avec d'autres formes de BDSM. Certaines relations D/s sont sexuelles, et d'autres totalement chastes. Les partenaires peuvent jouer des rôles classiques comme ceux de dominant/soumis, ou encore ceux de quelques figures autoritaires telles que professeur/étudiant, policier/suspect ou parent/enfant.
Bondage Ă l'aide de cordes et d'une barre d'Ă©cartement causant l'immobilisation et la douleur.
Les menottes, l'un des accessoires les plus utilisés dans le domaine du BDSM
Bondage
Article détaillé : Bondage.
Le bondage est une pratique qui consiste à rendre un corps captif11 par tout accessoire de contrainte et quel qu'en soit le procédé. Le bondage est souvent, mais pas toujours, une pratique sexuelle12. Bien que le bondage soit une variation très populaire dans le domaine BDSM, il est néanmoins souvent différencié du reste de ce domaine13. Strictement parlant, le bondage signifie immobiliser le partenaire dominé à l'aide d'accessoires tels que les menottes et les chaines. Le bondage inclut également la croix de saint André ou les barre d'écartements14.
Le terme "discipline" décrit une restriction psychologique dans laquelle les règles et la punition sont utilisées pour contrôler tous types de mouvements ou comportements du dominé15. La punition peut être donnée physiquement (telle que les claques), psychologiquement (par humiliation, telle que la flagellation publique) ou par une perte de liberté physique (attaché ou menotté à un lit ou des barreaux ou encore enveloppé dans un matériau extensible tel que du film plastique)16.
Psychanalyse
Freud et Reik
Sigmund Freud et le « sado-masochisme »:
Freud écrit dans les Trois essais sur la théorie sexuelle (1905): « Celui qui, dans les rapports sexuels prend plaisir à infliger une douleur est capable aussi de jouir de la douleur qu’il peut ressentir. Un sadique est toujours en même temps un masochiste, ce qui n’empêche pas que le côté actif ou le côté passif de la perversion puisse prédominer et caractériser l’activité sexuelle qui prévaut »17. Et dans Les pulsions et leurs destins (1915), il considère que le sadique ne pourrait prendre du plaisir à la douleur d’autrui s’il n’avait d’abord éprouvé « masochistement » le lien de sa douleur et de son plaisir18.
Si Freud a confirmé le terme « sadomasochisme » cité par Krafft-Ebing, il se retrouverait, vers la fin de sa vie, devant une énigme par rapport au concept qu'il élabore plus tard dans le cadre de sa deuxième théorie des pulsions: en 1924 en effet dans Le Problème économique du masochisme, il constate qu'« il est d'ailleurs rare que les tortures masochistes produisent la même impression de sérieux que les cruautés — fantasmées ou mises en scène — du sadisme »19.
Theodor Reik sur le masochisme :
Theodor Reik écrit : « le masochisme est une tendance instinctive commune en tant que possibilité et réalisation à tous les êtres humains, et ne devient pathologique qu'en dépassant certaines limites et en adoptant une nature qui exclut presque toutes les autres directions de l'instinct »20.
Critique deleuzienne du « sado-masochisme » chez Freud
Article connexe : Masochisme # Le masochisme en psychanalyse et commentaires.
Gilles Deleuze trouve curieux le rapport fait par Freud entre sadisme et masochisme en 1915: Selon lui, Freud l’énonce dans la perspective de sa première thèse, où le sadisme précède le masochisme. Mais il distingue deux sortes de sadisme : l’un de pure agressivité, qui cherche seulement le triomphe ; l’autre hédoniste qui cherche la douleur d’autrui21.
Transformisme, « monstre sémiologique »
Deleuze voit dans le « retournement en son contraire » et le « retournement contre soi » un « transformisme » dans lequel les pulsions sexuelles sont susceptibles de passer les unes dans les autres. Il s’en étonne car Freud, dit-il, « a vis-à -vis du transformisme en général une attitude extrêmement réservée »22.
Sigmund Freud représenterait toutefois une première pierre pour la pensée de Gilles Deleuze23. Mais, aux yeux du philosophe, l'association par Freud des deux termes, sadique et masochiste, provoque un « monstre sémiologique » dans le sens où le sadique, celui qui fait souffrir dans l’œuvre de Sade, n'est pas une personne qui pourrait faire partie de l'univers mental du masochiste chez Leopold von Sacher-Masoch. En effet, le sadique (chez Sade) se complaît dans la souffrance de l'autre à condition qu'elle ne soit pas contractuelle « et en jouit d'autant plus que la victime n'est pas consentante »23, alors que le masochiste (de Leopold von Sacher-Masoch) aime à régler, dans des contrats, les modalités diverses de sa « soumission ». De ce fait, pour Deleuze, sadisme et masochisme sont deux univers différents et ne peuvent être de parfaits contraires, ni avoir une parfaite complémentarité. Le sadisme est un univers de crimes, de ce fait hors consentement ; le masochisme, l'univers du contrat où tout est accepté par le sujet qui éduque son bourreau. Là où le sadique cherche une « possession instituée », le masochiste veut établir une « alliance contractée ». Il précise qu'en cas de rencontre « chacun fuit ou périt »23.
Pour Deleuze, « À la base de la croyance en l’unité sado-masochiste, n’y a-t-il pas d’abord des équivoques et des facilités déplorables ? » Gilles Deleuze considère qu’il y a deux couples :
un masochiste et son bourreau ; le masochiste pédagogue et son bourreau font, tous deux, partie intégrante du masochisme : « Si la femme bourreau dans le masochisme ne peut pas être sadique, c’est précisément parce qu’elle est dans le masochisme, parce qu’elle est partie intégrante de la situation masochiste, élément réalisé du phantasme masochiste en se faisant masochisante dans cette situation ».
le sadique et sa victime ; une victime qui « appartient entièrement au sadisme. Elle est partie intégrante du sadisme »24.
Commentaires et débats
Emma Watson est fascinée par le BDSM : « je suis légèrement devenue fascinée par la culture kinky, car les personnes qui la pratiquent sont celles qui communiquent le mieux. Elles savent tout sur le consentement. Elles gèrent totalement cette notion car elles sont obligées de l'avoir. Nous pourrions tous nous en servir comme modèles, ce sont des modèles qui aident vraiment »25.
Jacques Lacan juge comme suit l'analyse de Deleuze dans la présentation de Leopold von Sacher-Masoch : « Incontestablement, le meilleur texte qui ait jamais été écrit. J'entends, le meilleur texte comparé à tout ce qui a été écrit sur ce thème dans la psychanalyse… »26. Pour Jacques Lacan, ce que vise le masochiste c'est provoquer l'angoisse de l'Autre. Le masochiste ne se projette nullement dans le sadique dont il cherche au contraire la capitulation en touchant son point d'angoisse27.
Selon Julie Mazaleigue-Labaste, il est impossible « de maintenir l'affirmation freudienne selon laquelle il existerait une réciprocité entre sadisme et masochisme »28.
Jean-Paul Sartre évoque aussi le sadisme et le masochisme séparément. Il écrit que le masochiste, pour satisfaire sa pulsion, fait appel à une femme qu’il paye. Ou alors, il exploite l’amour des femmes, comme le faisait Leopold von Sacher-Masoch. Dans les deux cas la femme « s’éprouve » comme un objet sexuel. Ainsi Jean-Paul Sartre démontre que le masochiste ne s'adresse pas au sadique, mais qu'il éduque un bras armé pour tenir le rôle de dominant dans le monde masochiste.
« En particulier le masochiste qui paye une femme pour qu'elle le fouette, la traite en instrument et, de ce fait, se pose en transcendance par rapport à elle. Ainsi le masochiste finit par traiter l'autre en objet et par le transcender vers sa propre objectivité. On rappelle, par exemple, les tribulations de Leopold von Sacher-Masoch qui, pour se faire mépriser, insulter, réduire à une position humiliante, était contraint d'utiliser le grand amour que les femmes lui portaient, c'est-à -dire d'agir sur elles en tant qu'elles s'éprouvaient comme un objet pour lui… »29.
Pour Michel de M'Uzan, le masochiste pousse le tiers dans ses retranchements au point qu'il « se dégonfle ». Il confirme la transfiguration « classiquement invoquée » de l'esclave en maître30. Leopold von Sacher-Masoch lui-même se posait la question : « Qui est le marteau, qui est l'enclume ? »
Selon Julie Mazaleigue-Labaste, de M'Uzan a décelé et souligné l'essentielle relation au tiers, bourreau ou dépositaire de témoignage masochiste, voué au mépris et à une instrumentalisation qui transparaissaient déjà chez Leopold von Sacher-Masoch28.
Dans sa préface de La Vénus à la fourrure, Daniel Leuwers nous dit que dans la relation masochiste « il s'agit de donner au dominant ou à la dominante, l'illusion d'un pouvoir alors qu'il se trouve sous l'emprise souterraine du dominé qui le force à le battre très précisément selon ses attentes et ses désirs »31.
Régis Michel confirme plus récemment « Exit le sadomasochisme, créature monstrueuse d’un Frankenstein sémiologue, qu’on n’a mis en cage que pour l’exhiber à des fins hygiénistes dans les foires à concept de la morale bourgeoise… »32. Et il précise : « Bataille est deleuzien avant l'heure, il sait bien que les deux ne font pas la paire, fût-elle freudienne… »32.
Selon Bernard Michel, « Je préfère renvoyer au livre de Gilles Deleuze qui a montré que sadisme et masochisme ne sont pas complémentaires mais totalement séparés ». Et il cite : « En fait le génie de Sade et le génie de Masoch sont tout à fait différents, leur monde incommunicant ; leur technique romanesque sans rapport ». Il conclut à « la différence radicale entre l'apathie sadique et le froid masochiste »33.
Quand Virginie Despentes parle de ses fantasmes de viol, elle est dans l’univers du fantasme masochiste, mais face au vrai viol qu’elle a subi, elle dit qu’elle est face à la mort, victime non consentante dans l'univers du sadisme : plus de fantasme, mais la peur de la mort34. Si dans le fantasme masochiste, la rêverie, comme le dit Krafft-Ebing, le sadique a sa place, il ne l’a pas dans le passage à l’acte avec le masochiste. Le masochiste cherche celui qui fait semblant et donc un bourreau sous contrat faisant intégralement partie de l’univers masochiste.
Leopold von Sacher-Masoch rêve d’être cocu. Cocu à sa manière en dirigeant, choisissant l’amant de Wanda. Mais quand il est hors course, hors contrat, il devient furieux. Sa misogynie devient explicite. « J'ai été un âne et j'ai fait de moi l'esclave d'une femme comprends-tu ? D'où la morale de l'histoire : qui se laisse fouetter mérite d'être fouetté… Mais, comme tu vois j'ai bien supporté les coups, le brouillard rose suprasensuel de mon imagination s'est dissipé et personne ne pourra plus me faire prendre les guenons sacrées de Bénares35 ou le coq de Platon36 pour l'image de Dieu »37.
Contrat
« Non désolé, moi je n'ai pas d'ami imaginaire. Différence avec le Père Noël ? »
« Moi je suis pastafariste hehe, gloire au monstre spaghetti volant ! »
« C'est pour les gens qui ont peur de la mort, moi je suis un libre penseur »
Des êtres infâmes
Ces gros porcs sont déclinables à toutes les sauces, et en bons gorets incultes tu peux être sûr qu'à chaque topic qui tend l'hameçon ils accourront en nombre pour chier leur bien-pensance. C'est simple : dans notre beau pays qui brille par son absence de sentiment religieux, les athées, ou agnostiques (titre commode qu'ils s'octroient pour dissimuler leur nature répugnante mais qui a le mérite de témoigner de leur inclination à l'ignorance), sont les rois de l'époque. Mais au royaume des aveugles, celui qui parle le plus est roi. Une caractéristique singulière les rend particulièrement abominables : la condescendance infinie avec laquelle ils s'érigent en docteur pour débattre d'un sujet qu'ils ne maîtrisent pas.
Faites-en l'expérience. Jetez quelques miettes à ces cuistres, ivres d'orgueil et boursouflés de ressentiment, et s'enclenchera aussitôt un savant concours de lieux communs tous plus éculés les uns que les autres. Ils trépigneront, scandant avec fierté : « Dieu existe ? Preuve ? », « Si Dieu a créé le monde, qui a créé Dieu ? », « Et pourquoi pas une licorne rose à trois têtes ? », s'imaginant susciter un embarras unanime dans l'assemblée et porter un point final à la controverse, là où ils font uniquement montre de leurs lacunes métaphysiques.
Chateaubriand avait raison
Bref, les athées sont avant tout des pauvres types qui projettent leur vie de merde sur l'ordre cosmique. « Comment ? Pourquoi moi-même, gentleman pertinent et raffiné, fan de fantasy, de mangas et de métal, trouvé-je l'existence si vaine, si Dieu existe ? Pourquoi mes hésitations, pourquoi mes infirmités ? Si l'être suprême soutient l'univers, que n'a-t-il pallié à mes défauts et trouvé remède à mes douleurs ? » Oui, la vie de l'athée, qui sue, qui pue, qui chiale et hurle à la lune, est un océan de complaintes où le Créateur est un bouc-émissaire de tous les instants bien pratique.
Chateaubriand, qui brille autrement qu'eux et leur peau grasse, résume bien la situation : « En recherchant les causes de l’athéisme, on est conduit à cette triste observation, que la plupart de ceux qui se révoltent contre le Ciel ont à se plaindre en quelque chose de la société ou de la nature (excepté toutefois des jeunes gens séduits par le monde, ou des écrivains qui ne veulent faire que du bruit). Mais comment ceux qui sont privés des frivoles avantages que le hasard donne ou ravit dans ses caprices ne savent-ils pas trouver le remède à ce léger malheur en se rapprochant de la Divinité ? [...] Laissons l’athéisme à ceux qui, n’ayant pas assez de noblesse pour s’élever au-dessus des injustices du sort, ne montrent dans leurs blasphèmes que le premier vice de l’homme chatouillé dans sa partie la plus sensible. »
Vous n'avez pas les bases
Ce qui nous amène à un premier argument tout droit de leur fion démoniaque :
« Donc je dois croire en Dieu parce que c'est écrit dans un livre de 2000 ans ? »
Regardez-moi cette inculture plus crasse que le corps fatigué d'un chouffin par trente années d'hygiène de vie douteuse. Ces vieux dégueulasses, je reviens aux athées, n'ont même pas une fois sur deux la présence d'esprit fondamentale de distinguer la théologie naturelle, qui est la recherche, déiste, de Dieu par la raison, de la religion, théiste, et son approche surnaturelle. Quand il est question des arguments en faveur de l'existence de Dieu, c'est bien sûr la théologie naturelle qui est invoquée. C'est redondant d'avoir à le préciser mais v'là le niveau des génies qu'on a en face, des intellectuels de haut vol parés des oripeaux de la sainte science (« le labarum des imbéciles », dit Bloy) en croisade contre l'obscurantisme des ces arriérés de croyants.
Vraiment ? Légère digression en invoquant un argument que je viens de voir avancé sournoisement par une pute immonde, naturellement athée, et que répète nombre de ses cosectateurs. Je cite : « Du plus même en admettant que dieu existe et qu'il tient à ce que sa parole soit respectée à la lettre qui te dit que tu as choisit la bonne religion ? » Même si les religions (et en particulier les monothéismes abrahamiques) consentent à voir dans l’adhésion à leur doctrine un acte de foi, elle ne prétendent pas moins, chacune à leur façon, s’appuyer sur des éléments empiriques et sensibles tendant à établir leur légitimité et, in fine, leur supériorité sur les autres. Le critère discriminatoire qu’implique une pluralité de religions est donc une aubaine, pas une honte : elle fait appel à l’intelligence et à la démonstration logique pour atteindre la vérité. Avec ce raisonnement de gros con d’athée, par exemple, on ne peut pas connaître la forme de la terre parce qu’après tout, il y a des arguments solides en faveur de sa rontondité, mais vous comprenez, certaines personnes pensent qu’elle est plate, cubique, trapézoïdale. En somme, flemme de chercher l’extrait, mais je suis à peu près sûr d’avoir vu dans les Pensées Pascal écrire quelque chose comme : « Multiplicité des religions. Vraiment un argument d’attardé. »
Je vous pisse au cul
Sérieusement, l’odeur des athées pendant les débats. J’ai tendance à les dire adipeux, mais entre nous, je n’oublie pas les freluquets, les filiformes, les cure-dentesques, pas plus propres, pas moins sots, putains du progrès et pourfendeurs manchots des antiques superstititions : tous répugnent au sens commun, sans discrimination, pas de ça chez nous. L’athéisme est au développement intellectuel ce que l’adoslescence est au développement humain, c’est à dire une phase de transition et de remise en question qui peut être bénéfique et structurante à court terme. C’est ce qu’on peut tirer de l’auteur des Provinciales, ouais je le cite encore, quand il écrit : « Athéisme, force de l'esprit, mais jusqu’à un certain degré seulement ». Il y a un temps pour remettre en question les principes universels, et il y en a un autre pour comprendre leur sens profond. Les athées, demi-habiles de toute éternité, demeurent prostrés dans leur confort puéril sans jamais ô grand jamais daigner s’en extirper. C’est ce cousin gothique, grabataire un peu taré, qui met des jeans troués passée la vingtaine et qu’on préfère regarder de loin. Individualistes, matérialistes, ce sont des rebelles, de sacrés rebelles.
SĂ©lection naturelle
Je ne vous apprends rien en rappelant qu’une société athée est une société crevée. La désintégration civilisationnelle est l’aboutissement fatal de la décadence intellectuelle, morale et culturelle que ces rats distillent tantôt par leur action, tantôt leur inaction. Mais rassurez-vous, et tressaillez de joie ! Ils gagneront des batailles, mais jamais la guerre. Ultra-minoritaires à l’échelle mondiale, la pulsion de mort qui les pousse à délaisser le cycle reproductif les condamne à la disparition. L’Histoire universelle les jugera implacablement, et, voué aux gémonies, leur souvenir cotoiera celui des tyrans et des prostituées. Mais l’important, c’était de boire de la chouffe et se branler sur des elfes, n’est-ce pas ?
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Données du topic
- Auteur
- Le_Pory
- Date de création
- 30 octobre 2021 Ă 22:15:03
- Date de suppression
- 30 octobre 2021 Ă 22:28:12
- Supprimé par
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