Topic de Iperkare :

[BLACKPILL] La vérité sur les femmes

En occident peut être

Va dire à une marocaine pure souche qu'elle n'a pas besoin d'un homme

Ah non, j'ai pas envie d'être prisonnière de la vie de famille moi j'suis une femme libre" https://image.noelshack.com/fichiers/2017/01/1483717748-dobrev1.jpg
SpoilAfficher

Fais la tchoin pendant 10 ans et adoptant ce schéma de vie, rentre dans le club prônait par la société, fais partie de la majorité des femmes nées post 70-80 et encore je pense que ce schéma est juste apparu dans ces années là, avant il était qu'une ensemble d'exceptions et n'a cessé de croître jusqu'à devenir majoritaire vers les années 2000 https://image.noelshack.com/fichiers/2018/19/2/1525795335-issou.png

30 ans "Putain ce que je me sens seule quand même, j'ai beau baiser avec un bg différent toutes les semaines, ça ne me rend pas heureuse, qu'est-ce qui cloche chez moi bon sang mais qu'est-ce que c'est que cette vie de merde" https://image.noelshack.com/fichiers/2016/39/1474977784-risitasfpleure.png

Puis elle se balade dans un parc, elle voit juste là, sous un beau soleil, un homme et sa femme qui observe amoureux l'un de l'autre, leur fils entrain de jouer https://image.noelshack.com/fichiers/2018/35/6/1535763682-bg-naitre-grandir-enfant-activite-jouer-dehors.jpg

En voyant cela, en elle se brise quelque chose, il se brise tout son formatage qu'elle a reçu et son esprit immature rebelle d'ado en crise, elle rentre chez elle et l'image de cette famille ne sort plus de sa tête, la vision de cette femme mère qui semble plus heureuse, qu'elle ne l'a jamais été réellement, lui brise le coeur, la rend morte de jalousie.

La porte de son appartement se claque, un silence accablant, pas de rire d'enfant, pas de mari demandant si sa journée s'est bien passé ou non, juste le bruit d'un sms d'un homme qu'elle nomme plan cul et qui la considère comme un vase à sperme portatif et amovible et un chat qui n'a même pas remarqué son absence, alors qu'elle lui lâche un "vu" et s'assoie sur son canapé pour regarder une énième série palliatif, ressassant l'image de cette famille qu'elle a toute sa vie fui et même moquer parfois, elle se couchera très tard.

Arrivée à ce stade, soit elle garde par fierté son mode de vie et finit dépressive, névrosée, meurt seule avec un chat, sans oublié la phase de la vieillesse où là elle sera plus que l'ombre d'elle même et attendra la mort presque avec envie tant la solitude la rongera d'égritude.

Soit elle trouve un homme avec une situation assez stable pour fonder une famille, le cas échéant les hommes de qualité, alliant personnalité et richesse abondante pour subvenir aux besoins d'un foyer étant en très gosse majorité tous déjà pris par une femme qui n'a pas attendu de perdre ses plus gros atouts de séduction avant de se caser avec le bon, la majorité des femmes comme elle se rabâchent sur un gars qui a une situation économique assez satisfaisante mais qui ne lui fait rien ressentir d'un point de vue de l'amour, du sexe ou même de l'admiration qu'elle avait pour les alphas qu'elle se tapait pendant que lui restait avec sa misère affectif et son incompréhension de son manque de succès auprès des femmes.

Attention, elle ne mise pas d'abord sur ce gars peu excitant en premier, elle cherchera d'abord à creuser la relation avec des plans culs ou à draguer des alphas qui savent repérer et faire la distinction entre femme de lit et femme de vie. C'est que lorsque (ou si, encore une fois une infime minorité de ces femmes peuvent être assez maligne pour se trouver un alpha, notamment les plus belles, qui sont déjà une minorité parmi les femmes et surtout qui suivent rarement ce schéma, c'est donc vous dire la minorité qu'elles sont), lorsque cette étape sera échoué, qu'elle sera confronté à la dure vérité que les hommes de qualité finissent avec les femmes de qualité, qu'elle aura été pour les hommes supérieurs qu'un amusement, au même titre que leur xbox ou leur voiture de sport, qu'elle est maintenant trop vieille pour leur plaire, qu'elle a trop de km pour les séduire car ils ont tous en commun une chose comme je l'ai dit, ils savent différencier et de loin, une femme de vie et une femme de lit, ils ont juste à regarder son insta ou à demander à une de ses amies comment était son passé pour découvrir la chasteté de notre dite femelle en recherche de mâle reproducteur, elle ne sera pas choisi par eux donc. Ils finiront avec une femme de 25 ans à peine, avec un passé sexuel moindre, des valeurs très prononcées, comme on dit couramment, une femme respectable.

Alors, maintenant que cette phase de recherche de mâle alpha reproducteur a échoué, elle se rabat sur les hommes de piètre qualité comme cités plus haut, ces mêmes hommes qu'elle a toujours traité d'harceleurs si ils lui adressaient la parole et dont elle s'est toujours moqué. Elle arrivera donc à fonder une famille, elle aura un enfant qu'elle aimera comme rien d'autre avant, mais l'ironie de l'histoire, c'est que même là, elle n'aura pas ce pourquoi elle a agit, cette image de famille dans le parc qui lui a torturé l'esprit et poussait à fonder une famille à son tour, elle n'aura jamais la même chose, car ce n'était pas juste une famille, c'était une famille d'un homme alpha et d'une femme alpha, les deux vont de pair et laisse le reste majoritaire de la population vivre une vie indésirable.

Quand elle verra le père de ses enfants, elle verra cet homme, qui s'éprend d'une femme d'aussi petite vertu qu'elle, elle verra un homme, qu'elle ne pourra respecter, son attirance et son amour envers cet homme n'existeront jamais ironiquement justement parce qu'il ose aimer et se satisfaire d'une femme comme elle, car lui ne sait pas et surtout ne veut même pas savoir, même pas voir, la personne qu'elle a été, la personne qu'elle est vraiment et ça c'est inadmissible pour une femme, elle ne peut éprouver du désir pour un homme qui ne se respecte pas lui-même et qui se laisse manquer de respect, un homme sans virilité en somme, elle aura sûrement de l'attachement pour lui, mais ça n'ira jamais plus loin, jamais il ne la fera jouir comme les alpha qui se sont servi d'elle comme d'un vide couille et pire encore, à un dîner entre ami ou dans la rue, il sourira à un homme qui aura déjà baisé la mère de son gosse dans le passé, devant les yeux de cette même femme, qui sera seule à comprendre avec l'homme qui l'avait baisé.

Une femme ne peut pas désirer un homme qui l'aime aveuglement pour ce qu'elle n'est pas, les alphas ne se sont pas mis avec elle, car comme je vous l'ai dit, il cherchent, ils veulent savoir, alors ils trouvent et ils déclinent cette femme et toute proposition autre que coup d'un soir qu'elle leur ferai. Certains diront, mais non, il ne faut pas être aussi inspecteur, tout le monde a fait des erreurs dans la vie, il faut pardonner, parfois, il vaut mieux ne pas savoir que savoir, c'est ça le vrai amour... Oui, c'est vrai, pour que cela marche pour les gens pas fait pu plutôt mal construits pour que ça marche, il vaut mieux ne pas savoir, mais pour que cela soit de l'amour, là non c'est faux. L'amour c'est aimer la personne, pour ce qu'elle est, ce qu'elle a été et ce qu'elle sera, pas ce qu'on croit qu'elle est, l'illusion qu'on se fait de son passé et ce qu'on imagine qu'elle deviendra.

Alors ce moment dans le parc qui lui a tant donner envie de franchir le pas à son tour, jamais elle ne pourra le vivre, jamais elle ne regardera son mari avec amour et ça déteindra sur l'enfant. Elle va divorcer, n'en pourra plus de se laisser toucher par un "homme" aussi peu homme, sa relation avec son enfant en sera affecté. Elle entendra parfois des "Il est où mon père ?" accompagné de haine, l'enfant jugeant responsable sa mère (et elle l'est) du manque de présence paternel qu'il doit subir, il l'aimera sa mère tout de même, mais il lui en voudra pour ça, pour être orphelin d'un père encore en vie, car ça ne suffit de voir son papa tous les 3 mois pour aller manger une glace. Leur famille ne sera jamais parfaite ou ne serait-ce que bonne, parfois recomposée, parfois redivorcé, beaucoup de non-dits, beaucoup de frustration, de la part de tous les membres, beaucoup de peine.

Voici l'histoire pathétique de la majorité des femmes de ce siècle, facilement vérifiable en observant juste son entourage, les statistiques de divorce, les gens en général. La vraie tristesse de ce schéma sociétal que l'on prône actuellement, qui une fois arrivé à 30 ans du coté de la femme devient irréparable. La véritable tragédie, c'est le fait que tout ça ne se résume qu'à un seul mauvais choix de vie, la femme de notre histoire, n'est pas foncièrement mauvaise ou incapable, elle a juste eu affaire dans sa jeunesse à un mauvais modèle parental, a subi une influence dont elle n'a pas su juger avec un esprit critique la dangerosité, a manqué d'avoir une vision d'avenir, tout ça, à cause d'un mauvais choix de vie, jusqu'au point de non retour, ou elle se rend compte qu'elle ne peut que essayer de rattraper le peu qu'elle peut, si ce n'est rien.

Si si, elles ont bien besoin des hommes, mais juste le top 5% https://www.youtube.com/watch?v=5hJ1Sc5gyAc

Le 21 mai 2022 à 18:26:11 :
genant l'auteur.
Puceau.

Les femmes n’ont ni le senti­ment, ni l’intelligence de la musique, pas plus que de la poésie ou des arts plas­tiques ; ce n’est chez elles que pure singerie, pur prétexte, pure affectation exploitée par leur désir de plaire. Elles sont incapables de prendre une part désintéressée à quoi que ce soit, en voici la raison. L’homme s’efforce en toute chose de dominer directement soit par l’intelligence, soit par la force ; la femme, au contraire, est toujours et par­tout réduite à une domination absolu­ment indirecte, c’est-à-dire qu’elle n’a de pouvoir que par l’homme, et c’est en lui seul qu’elle exerce une influence immé­diate. En conséquence, la nature porte les femmes à chercher en toutes choses un moyen de conquérir l’homme, et l’intérêt qu’elles semblent prendre aux choses extérieures est toujours une feinte, un détour, c’est-à-dire pure coquetterie et pure singerie. Rousseau l’a dit : « Les femmes en général n’aiment aucun art, ne se connaissent à aucun et n’ont aucun génie. » Ceux qui ne s’arrêtent pas aux apparences ont pu le remarquer déjà. Il suffit d’observer par exemple ce qui occupe et attire leur attention dans un concert, à l’opéra ou à la comédie, de remarquer le sans-façon avec lequel, aux plus beaux endroits des plus grands chefs-d’œuvre, elles continuent leur caquetage. S’il est vrai que les Grecs n’aient pas admis les femmes au specta­cle, ils ont eu bien raison ; dans leurs théâtres l’on pouvait du moins entendre quelque chose. De notre temps, il serait bon d’ajouter au mulier taceat in ecclesia, un taceat mulier in theatro, ou bien de substituer un précepte à l’autre, et de suspendre ce dernier en gros caractères sur le rideau de la scène.

Mais que peut-on attendre de mieux de la part des femmes, si l’on réfléchit que dans le monde entier, ce sexe n’a pu produire un seul esprit véritablement grand, ni une œuvre complète originale dans les beaux-arts, ni en quoi que ce soit un seul ouvrage d’une valeur durable. Cela est saisissant dans la peinture ; elles sont pourtant aussi capables que nous d’en saisir le côté technique et elles cultivent assidûment cet art, sans pouvoir se faire gloire d’un seul chef-d’œuvre, parce qu’il leur manque justement cette objec­tivité de l’esprit qui est surtout nécessaire dans la peinture ; elles ne peuvent sortir d’elles-mêmes. Aussi les femmes ordinai­res ne sont même pas capables d’en sen­tir les beautés, car natura non facit sal­tus. Huarte, dans son célèbre livre Exa­men de ingenios para las sciencias qui date de 200 ans, refuse aux femmes toute capacité supérieure : « Le cerveau féminin est ainsi fait que la femme n’est capable ni de beaucoup d’esprit ni de grande sagesse. » De même au chapitre 15 : « Dans la mesure où la femme est ce qu’elle est, chaque genre de littérature et de science est contraire à son esprit… Les femmes donc, à cause de la froideur et de l’humidité de leur sexe, ne peuvent atteindre à aucune profondeur d’esprit. Nous voyons maintenant qu’elles parlent avec adresse de choses insignifiantes et futiles.

https://image.noelshack.com/fichiers/2015/49/1449264132-sans-titre-2.png

Les émotions avant la logique

Les femmes sont irrationnelles et incohérentes. Elles ont la capacité de raisonner logiquement mais leurs émotions prennent naturellement le dessus. Leur hormone sexuelle dominante, l’oestrogène, est la raison principale à cela. Le taux d’oestrogène d’une femme augmente fortement durant sa phase ovulatoire ce qui l’amène souvent à des changements d’humeurs et contradictions inexplicables. Une partie des femmes ne peuvent même pas supporter la pillule contraceptive pour les mêmes raisons.

Cette émotivité rend les femmes beaucoup plus manipulables que les hommes. J’ai rarement entendu un homme se plaindre de s’être fait avoir par une « belle parleuse ». En revanche, mentir et vendre du rêve à une femme fonctionne à merveille. Si je voulais faire grincer des dents, je dirai même que c’est la raison pour laquelle le pouvoir a donné le droit de vote aux femmes (et aussi aux jeunes, en abaissant l’âge de 21 à 18 ans). Car ces deux catégories sont les plus manipulables, c’est à dire soumises à l’idéologie dominante. Ils ne feront certainement pas la révolution demain et ne voteront même jamais à contre-courant.

Utilisez votre logique. N’écoutez pas ce qu’elle dit, mais regardez ce qu’elle fait. Elle prétend n’aimer que les mecs gentils et romantiques mais finit toujours dans le lit du mec un peu autoritaire et borderline ? Je vous laisse conclure.

Homme actif, femme passive

Les sacrifices et efforts réalisés par l’homme ne peuvent pas être appréciés par la femme. Pour elle, c’est normal, c’était attendu. Elle ne s’en rend même pas compte. Une femme est quotidienement couverte de subtils services rendus, de petites choses qui facilitent sa vie. Quelle est la dernière fois que quelqu’un vous a spontanément proposé un coup de main, payé quelque chose hors évènement particulier ou fait un compliment gratuit qui a ensoleillé votre journée ?

Imaginez que quelqu’un vous offre le café tous les matins pendant 1 an. Au bout de quelque mois, vous ne serez plus reconnaissants. Ce sera l’habitude, la norme. Vous n’y prêterez même plus attention. Mais le jour ou ça s’arrêtera, cela vous manquera. Et vous apprécierez d’autant plus le retour de ce putain de café gratuit.

Les femmes se font offrir le café tous les jours, sans coupure. Explication partielle du succès du mec qui ne fait aucun effort pour la femme (le fameux « bad boy »), car le moindre effort de sa part sera instantanément remarqué et apprécié. Le gentil mec qui offre le café tous les jours, lui, n’est jamais récompensé.

Tous vos efforts ne peuvent être réellement appréciés que si ils sont rares.

« Un couple, ça se construit »

Je n’ai jamais entendu un homme prononcer cette phrase. Quand on se met en couple, on n’attend en réalité rien de la femme, si ce n’est du calme et du sexe. Mais la femme, elle, attend tout de l’homme. Elle a des critères précis. Un couple devrait naturellement fonctionner comme une amitié ou une relation familiale. On apprécie juste les moments passés avec eux, sans attentes particulières. Une femme attend des sacrifices de la part d’un homme. Elle veut qu’il change pour elle, qu’il se conforme à son idéal. Réfléchissons, dans quelle situation doit-elle faire des efforts pour lui ? Exactement. Jamais.

Quand un homme se montre trop amoureux, la femme flippe et perd son désir. Car être amoureux met une pression sur l’autre, qui est obligé de rendre de l’amour sous peine de décevoir. Rendre n’existe pas dans le vocabulaire féminin. Elle prend juste, dans tous les sens du terme. Tous les hommes aimeraient pouvoir se confier à leur femme : avouer leurs sentiments, leurs faiblesses, leurs tracas. Mais à chaque déclaration de faiblesse, même si elle ne l’avouera jamais, elle perd du désir pour lui. Son statut passe progressivement d’amant à ami.

Un homme doit être dominant, non pas par une violence quelconque, mais dans le sens où la femme se repose sur lui, pas l’inverse. Il est l’élément qui maintien le couple grâce à ses sacrifices et décisions. Les femmes ne peuvent pas supporter 2 phrases : « je ne sais pas » et « comme tu veux ». Vous êtes censé savoir, vous êtes censé décider.

Attachement non réciproque

Nous pouvons aimer une femme de manière quasi-inconditonnelle car notre attachement à elle est profond, de par notre investissement personnel et nos efforts fournis. On est toujours attaché aux choses pour lesquelles on s’est impliqué. Car, à moins d’être dingue, des efforts fournis supposent une attente de résultat. Imaginez bosser sur un projet pendant 1 an, en y consacrant toute votre énergie, pour finalement le voir s’effondrer du jour au lendemain. Vous allez avoir le coeur brisé et surtout n’allez pas accepter de l’abandonner comme ça, car vous y êtes attaché, vous l’aimez.

Les enfants ne pourront jamais autant aimer leurs parents que ceux-ci les aiment, car ce sont les parents qui ont fait les efforts et investi leurs ressources (temps, argent, amour, etc.). Les enfants profitent seulement de tout ça, ils n’ont eu aucun effort à faire. Les femmes ne pourront jamais aimer les hommes comme ceux-ci les aiment, pour les mêmes raisons. D’où la hiérarchie suivante, simplement basée sur la quantité d’investissement personnel : Homme -> Femme -> Enfant.

L’amour féminin est temporaire

Son amour semble se dissiper aussi vite qu’il est apparu. Sa recherche constante du meilleur mâle et sa haute émotivité l’empêche d’aimer de manière inconditionnelle. Elle ne vit que sur les émotions, et a un besoin quotidien de se rappeler que vous êtes le bon. La communauté des PUA (Pick-Up Artists, qui sont des dragueurs) appelle ça des shit-test. Elle teste vos limites, pour voir si vous ne vous écroulez pas à la moindre difficulté, ce qui reviendrait dans son esprit à un acte de faiblesse, chose qu’elle ne peut supporter.

Cet amour éphémère pose un problème pour la vision masculine du couple. Elle peut difficilement supporter la routine et se lasse très vite. D’où sa propension à créer du drame à partir de rien. Elle doit ressentir quelque chose, tout le temps, pour se sentir connectée à l’homme, car son amour pour lui n’est que de l’engouement.

« Pourquoi tu ne me dis jamais que tu m’aimes ? » Besoin d’émotions pour se sentir connectée à lui.

« C’est évident que je t’aime, sinon je t’aurai déjà quittée. » La logique suffit. C’est pour lui une évidence.

Incompréhension partagée

L’incompréhension de l’amour féminin empêche l’homme de voir si la femme l’aime ou pas. Il veut croire qu’il puisse être aimé pour ce qu’il est, et non pas pour son utilité ou les émotions qu’il transmet à la femme. Il va donc « construire » sa relation en faisant les efforts qu’il attend en fait d’elle, puisque c’est sa vision masculine de l’amour. Il va rester lui-même. Pourquoi changerait-il puisqu’elle l’a choisi comme ça ?

La routine s’installera dans le couple et sera de plus en plus pesante pour elle. Elle finira par ne plus l’aimer sans qu’il le sache, aveuglé par sa propre perception de l’amour. Une fois qu’il aura compris ce qu’il se passe, ce sera déjà trop tard. Sa réponse logique va être d’essayer de se souvenir de ce qu’il faisait au début. Il ne comprendra jamais que rien n’a changé, et que c’est justement ça le problème. Cette vie plate, confortable et insatisfaisante (pour elle) a détruit son couple. Le manque d’émotions a tué l’amour et le désir de la femme.

Les hommes sont les vrais romantiques

Ce sont les hommes qui se trouent le cul pour déborder d’imagination et innover. Une femme, elle, comme toujours, profite de l’instant. Ce qu’elle perçoit comme romantique n’est jamais quelque chose de planifié, ça doit venir « comme ça », au hasard. Car planification veut dire obligation d’appréciation. C’est à dire que l’homme attend quelque chose en retour, et ça, la femme ne peut pas l’assumer. Elles n’aiment pas se faire aborder, elles préfèrent les rencontres « naturelles ». Il faut forcer ce « hasard » et lui faire croire que cela en est un. Car si on attend que le vrai hasard fasse les choses, rien ne se passe.

L’homme marié qui trompe sa femme avec une plus désirable ne la quittera jamais pour sa maîtresse. Il est excité par la jeune, mais aime sa femme. Car il peut dissocier amour et désir. Quand une femme trompe son conjoint, elle n’a plus de désir pour lui et donc plus d’amour. 75% des divorces sont initiés par les femmes. Une rupture est souvent incroyablement plus douloureuse pour un homme, à cause de son attachement réel et profond. 75 % des gens qui se suicident sont des hommes. On estime que 60 % de ces suicides le sont suite à une rupture amoureuse.

Ces différentes représentations de l’amour sont à la base des incompréhensions et déceptions entre hommes et femmes. Chacun voit l’amour selon son propre paradigme mais n’imagine pas que l’autre puisse avoir des attentes et besoins différents.

Les femmes aiment de manière opportuniste. Les hommes par sacrifice

Génial la blackpill que tout le monde sait :rire:

Bordel les pavés

La blackpill fait et fera toujours mal

Le 13 octobre 2021 à 19:26:34 :
Une femme n'a plus besoin d'un homme pour être heureuse, elle peut tout avoir par elle même, les aides gouvernementales, le travail qui est a peu près égal a tout les niveaux, paye comme heures de travails mais avec plus de congès si on inclut la maternité et toutes les conneries du genre en plus d'avoir des moyens d'auto-satisfaction bien plus efficient qu'un homme :hap: Pour elles, nous sommes des restos gratuits et des sous-merdes changeables.

Si vous voulez plus de blackpill du genre n'hésitez pas a DDB pour m'encourager a vous foutre le seum

pour ca que je les aiment pas mais bon t'aura tjr des wk et autre suceurs de vagins pour les defendres https://image.noelshack.com/fichiers/2018/44/5/1541114130-near.jpg

Le 21 mai 2022 à 18:29:41 :

Le 21 mai 2022 à 18:26:11 :
genant l'auteur.
Puceau.

Les femmes n’ont ni le senti­ment, ni l’intelligence de la musique, pas plus que de la poésie ou des arts plas­tiques ; ce n’est chez elles que pure singerie, pur prétexte, pure affectation exploitée par leur désir de plaire. Elles sont incapables de prendre une part désintéressée à quoi que ce soit, en voici la raison. L’homme s’efforce en toute chose de dominer directement soit par l’intelligence, soit par la force ; la femme, au contraire, est toujours et par­tout réduite à une domination absolu­ment indirecte, c’est-à-dire qu’elle n’a de pouvoir que par l’homme, et c’est en lui seul qu’elle exerce une influence immé­diate. En conséquence, la nature porte les femmes à chercher en toutes choses un moyen de conquérir l’homme, et l’intérêt qu’elles semblent prendre aux choses extérieures est toujours une feinte, un détour, c’est-à-dire pure coquetterie et pure singerie. Rousseau l’a dit : « Les femmes en général n’aiment aucun art, ne se connaissent à aucun et n’ont aucun génie. » Ceux qui ne s’arrêtent pas aux apparences ont pu le remarquer déjà. Il suffit d’observer par exemple ce qui occupe et attire leur attention dans un concert, à l’opéra ou à la comédie, de remarquer le sans-façon avec lequel, aux plus beaux endroits des plus grands chefs-d’œuvre, elles continuent leur caquetage. S’il est vrai que les Grecs n’aient pas admis les femmes au specta­cle, ils ont eu bien raison ; dans leurs théâtres l’on pouvait du moins entendre quelque chose. De notre temps, il serait bon d’ajouter au mulier taceat in ecclesia, un taceat mulier in theatro, ou bien de substituer un précepte à l’autre, et de suspendre ce dernier en gros caractères sur le rideau de la scène.

Mais que peut-on attendre de mieux de la part des femmes, si l’on réfléchit que dans le monde entier, ce sexe n’a pu produire un seul esprit véritablement grand, ni une œuvre complète originale dans les beaux-arts, ni en quoi que ce soit un seul ouvrage d’une valeur durable. Cela est saisissant dans la peinture ; elles sont pourtant aussi capables que nous d’en saisir le côté technique et elles cultivent assidûment cet art, sans pouvoir se faire gloire d’un seul chef-d’œuvre, parce qu’il leur manque justement cette objec­tivité de l’esprit qui est surtout nécessaire dans la peinture ; elles ne peuvent sortir d’elles-mêmes. Aussi les femmes ordinai­res ne sont même pas capables d’en sen­tir les beautés, car natura non facit sal­tus. Huarte, dans son célèbre livre Exa­men de ingenios para las sciencias qui date de 200 ans, refuse aux femmes toute capacité supérieure : « Le cerveau féminin est ainsi fait que la femme n’est capable ni de beaucoup d’esprit ni de grande sagesse. » De même au chapitre 15 : « Dans la mesure où la femme est ce qu’elle est, chaque genre de littérature et de science est contraire à son esprit… Les femmes donc, à cause de la froideur et de l’humidité de leur sexe, ne peuvent atteindre à aucune profondeur d’esprit. Nous voyons maintenant qu’elles parlent avec adresse de choses insignifiantes et futiles.

https://image.noelshack.com/fichiers/2015/49/1449264132-sans-titre-2.png

Les émotions avant la logique

Les femmes sont irrationnelles et incohérentes. Elles ont la capacité de raisonner logiquement mais leurs émotions prennent naturellement le dessus. Leur hormone sexuelle dominante, l’oestrogène, est la raison principale à cela. Le taux d’oestrogène d’une femme augmente fortement durant sa phase ovulatoire ce qui l’amène souvent à des changements d’humeurs et contradictions inexplicables. Une partie des femmes ne peuvent même pas supporter la pillule contraceptive pour les mêmes raisons.

Cette émotivité rend les femmes beaucoup plus manipulables que les hommes. J’ai rarement entendu un homme se plaindre de s’être fait avoir par une « belle parleuse ». En revanche, mentir et vendre du rêve à une femme fonctionne à merveille. Si je voulais faire grincer des dents, je dirai même que c’est la raison pour laquelle le pouvoir a donné le droit de vote aux femmes (et aussi aux jeunes, en abaissant l’âge de 21 à 18 ans). Car ces deux catégories sont les plus manipulables, c’est à dire soumises à l’idéologie dominante. Ils ne feront certainement pas la révolution demain et ne voteront même jamais à contre-courant.

Utilisez votre logique. N’écoutez pas ce qu’elle dit, mais regardez ce qu’elle fait. Elle prétend n’aimer que les mecs gentils et romantiques mais finit toujours dans le lit du mec un peu autoritaire et borderline ? Je vous laisse conclure.

Homme actif, femme passive

Les sacrifices et efforts réalisés par l’homme ne peuvent pas être appréciés par la femme. Pour elle, c’est normal, c’était attendu. Elle ne s’en rend même pas compte. Une femme est quotidienement couverte de subtils services rendus, de petites choses qui facilitent sa vie. Quelle est la dernière fois que quelqu’un vous a spontanément proposé un coup de main, payé quelque chose hors évènement particulier ou fait un compliment gratuit qui a ensoleillé votre journée ?

Imaginez que quelqu’un vous offre le café tous les matins pendant 1 an. Au bout de quelque mois, vous ne serez plus reconnaissants. Ce sera l’habitude, la norme. Vous n’y prêterez même plus attention. Mais le jour ou ça s’arrêtera, cela vous manquera. Et vous apprécierez d’autant plus le retour de ce putain de café gratuit.

Les femmes se font offrir le café tous les jours, sans coupure. Explication partielle du succès du mec qui ne fait aucun effort pour la femme (le fameux « bad boy »), car le moindre effort de sa part sera instantanément remarqué et apprécié. Le gentil mec qui offre le café tous les jours, lui, n’est jamais récompensé.

Tous vos efforts ne peuvent être réellement appréciés que si ils sont rares.

« Un couple, ça se construit »

Je n’ai jamais entendu un homme prononcer cette phrase. Quand on se met en couple, on n’attend en réalité rien de la femme, si ce n’est du calme et du sexe. Mais la femme, elle, attend tout de l’homme. Elle a des critères précis. Un couple devrait naturellement fonctionner comme une amitié ou une relation familiale. On apprécie juste les moments passés avec eux, sans attentes particulières. Une femme attend des sacrifices de la part d’un homme. Elle veut qu’il change pour elle, qu’il se conforme à son idéal. Réfléchissons, dans quelle situation doit-elle faire des efforts pour lui ? Exactement. Jamais.

Quand un homme se montre trop amoureux, la femme flippe et perd son désir. Car être amoureux met une pression sur l’autre, qui est obligé de rendre de l’amour sous peine de décevoir. Rendre n’existe pas dans le vocabulaire féminin. Elle prend juste, dans tous les sens du terme. Tous les hommes aimeraient pouvoir se confier à leur femme : avouer leurs sentiments, leurs faiblesses, leurs tracas. Mais à chaque déclaration de faiblesse, même si elle ne l’avouera jamais, elle perd du désir pour lui. Son statut passe progressivement d’amant à ami.

Un homme doit être dominant, non pas par une violence quelconque, mais dans le sens où la femme se repose sur lui, pas l’inverse. Il est l’élément qui maintien le couple grâce à ses sacrifices et décisions. Les femmes ne peuvent pas supporter 2 phrases : « je ne sais pas » et « comme tu veux ». Vous êtes censé savoir, vous êtes censé décider.

Attachement non réciproque

Nous pouvons aimer une femme de manière quasi-inconditonnelle car notre attachement à elle est profond, de par notre investissement personnel et nos efforts fournis. On est toujours attaché aux choses pour lesquelles on s’est impliqué. Car, à moins d’être dingue, des efforts fournis supposent une attente de résultat. Imaginez bosser sur un projet pendant 1 an, en y consacrant toute votre énergie, pour finalement le voir s’effondrer du jour au lendemain. Vous allez avoir le coeur brisé et surtout n’allez pas accepter de l’abandonner comme ça, car vous y êtes attaché, vous l’aimez.

Les enfants ne pourront jamais autant aimer leurs parents que ceux-ci les aiment, car ce sont les parents qui ont fait les efforts et investi leurs ressources (temps, argent, amour, etc.). Les enfants profitent seulement de tout ça, ils n’ont eu aucun effort à faire. Les femmes ne pourront jamais aimer les hommes comme ceux-ci les aiment, pour les mêmes raisons. D’où la hiérarchie suivante, simplement basée sur la quantité d’investissement personnel : Homme -> Femme -> Enfant.

L’amour féminin est temporaire

Son amour semble se dissiper aussi vite qu’il est apparu. Sa recherche constante du meilleur mâle et sa haute émotivité l’empêche d’aimer de manière inconditionnelle. Elle ne vit que sur les émotions, et a un besoin quotidien de se rappeler que vous êtes le bon. La communauté des PUA (Pick-Up Artists, qui sont des dragueurs) appelle ça des shit-test. Elle teste vos limites, pour voir si vous ne vous écroulez pas à la moindre difficulté, ce qui reviendrait dans son esprit à un acte de faiblesse, chose qu’elle ne peut supporter.

Cet amour éphémère pose un problème pour la vision masculine du couple. Elle peut difficilement supporter la routine et se lasse très vite. D’où sa propension à créer du drame à partir de rien. Elle doit ressentir quelque chose, tout le temps, pour se sentir connectée à l’homme, car son amour pour lui n’est que de l’engouement.

« Pourquoi tu ne me dis jamais que tu m’aimes ? » Besoin d’émotions pour se sentir connectée à lui.

« C’est évident que je t’aime, sinon je t’aurai déjà quittée. » La logique suffit. C’est pour lui une évidence.

Incompréhension partagée

L’incompréhension de l’amour féminin empêche l’homme de voir si la femme l’aime ou pas. Il veut croire qu’il puisse être aimé pour ce qu’il est, et non pas pour son utilité ou les émotions qu’il transmet à la femme. Il va donc « construire » sa relation en faisant les efforts qu’il attend en fait d’elle, puisque c’est sa vision masculine de l’amour. Il va rester lui-même. Pourquoi changerait-il puisqu’elle l’a choisi comme ça ?

La routine s’installera dans le couple et sera de plus en plus pesante pour elle. Elle finira par ne plus l’aimer sans qu’il le sache, aveuglé par sa propre perception de l’amour. Une fois qu’il aura compris ce qu’il se passe, ce sera déjà trop tard. Sa réponse logique va être d’essayer de se souvenir de ce qu’il faisait au début. Il ne comprendra jamais que rien n’a changé, et que c’est justement ça le problème. Cette vie plate, confortable et insatisfaisante (pour elle) a détruit son couple. Le manque d’émotions a tué l’amour et le désir de la femme.

Les hommes sont les vrais romantiques

Ce sont les hommes qui se trouent le cul pour déborder d’imagination et innover. Une femme, elle, comme toujours, profite de l’instant. Ce qu’elle perçoit comme romantique n’est jamais quelque chose de planifié, ça doit venir « comme ça », au hasard. Car planification veut dire obligation d’appréciation. C’est à dire que l’homme attend quelque chose en retour, et ça, la femme ne peut pas l’assumer. Elles n’aiment pas se faire aborder, elles préfèrent les rencontres « naturelles ». Il faut forcer ce « hasard » et lui faire croire que cela en est un. Car si on attend que le vrai hasard fasse les choses, rien ne se passe.

L’homme marié qui trompe sa femme avec une plus désirable ne la quittera jamais pour sa maîtresse. Il est excité par la jeune, mais aime sa femme. Car il peut dissocier amour et désir. Quand une femme trompe son conjoint, elle n’a plus de désir pour lui et donc plus d’amour. 75% des divorces sont initiés par les femmes. Une rupture est souvent incroyablement plus douloureuse pour un homme, à cause de son attachement réel et profond. 75 % des gens qui se suicident sont des hommes. On estime que 60 % de ces suicides le sont suite à une rupture amoureuse.

Ces différentes représentations de l’amour sont à la base des incompréhensions et déceptions entre hommes et femmes. Chacun voit l’amour selon son propre paradigme mais n’imagine pas que l’autre puisse avoir des attentes et besoins différents.

Les femmes aiment de manière opportuniste. Les hommes par sacrifice

Humm beaucoup de choses vraies et profondes, mais ces redpill ne seront appréciées à leur juste valeur que par les gens qui ont du vécu, qui ont roulé leur bosse.

Ici sur ce forum avec autant de célestins et de cucks, c'est comme donner de la confiture aux cochons, ils ne vont pas les apprécier à leur juste valeur, pire, ils vont te cracher à la gueule et se moquer de toi

Données du topic

Auteur
Iperkare
Date de création
13 octobre 2021 à 19:26:34
Nb. messages archivés
30
Nb. messages JVC
30
En ligne sur JvArchive 751