Ecologie: elles renoncent à faire des enfants pour sauver la planète :)
SuppriméC'est une des révélations les plus surprenantes de l'enquête participative "Il est temps" sur l’écologie, lancée par Arte : en 2020, seules 25% des femmes répondent que faire des enfants est une évidence. Face aux menaces environnementales qui pèsent sur notre planète, le refus des écoféministes de procréer est encore mal perçu en France où la figure de la mère reste sacralisée.
Extrait 1:
Longtemps, Dolorès a hésité entre s'engager avec les Femen ou au sein d'un mouvement écologiste, puis elle a découvert l'écoféminisme : "Cela a été une révélation. Je me reconnais dans ce schéma qui relie déconstruction du mythe de la maternité et salut de la planète" Pour cette Parisienne de 28 ans, commissaire d'exposition, membre d'Extinction Rébellion, mettre un enfant au monde relève de l'égoïsme et représente un "coût monstrueux" en CO2 : 58 tonnes par an et par bébé1 . "Même si on devient vegan, qu'on vend sa voiture et qu'on ne prend plus l'avion, ça ne suffit pas. Avoir envie d'un petit être pour soi, ce n'est ni un don de soi ni un don pour la planète. Il faut inverser le raisonnement !"
Extrait 2:
Ce n'est pas un essor du refus de la parentalité, explique Yann Le Lann, sociologue, maître de conférences à l'université de Lille. C'est un questionnement dans les milieux écolos, de gauche, et chez les femmes surtout. Elles connectent parentalité et écologie et vivent l'épreuve de l'égalité femmes-hommes dans le partage du maternage." Certes, cette "grève de la procréation" à laquelle appelait déjà la pionnière de l'écoféminisme, Françoise d'Eaubonne, en 19744, n'est pas une lame de fond dans la société, mais les angoisses de la jeune génération face à la dégradation de l'environnement sont réelles.
Extrait 3:
Stéphanie, 38 ans, documentaliste dans un lycée, a décrété à 30 ans qu'elle n'aurait pas d'enfant et n'a jamais changé d'avis. "Ma sœur, qui en a trois, me dit : 'Tu es mon alibi', mon mari musicien n'a pas la fibre paternelle et puis, quelles sont les solutions pour nourrir tout le monde sans détruire la planète ? Supprimer les vaches pour faire des champs de soja, ce n'est pas mieux. Aujourd'hui, la jeunesse est conscientisée. Ma nièce de 12 ans me parle de déforestation, jamais je ne me posais ces questions à son âge, et je vois bien la colère des lycéen·nes."
Extrait 4:
Lorrie Gourdin, 23 ans, étudiante en communication, vit à Lille. "Je suis écoféministe. J'ai grandi dans le bocage normand, avec un père passionné de jardinage, j'ai toujours mangé bio et local, et été intéressée par les questions environnementales. Ma génération devra se construire en tant que citoyen·nes qui prennent en compte les enjeux climatiques et écologiques. Si ma grande sœur, ma jumelle et moi ne désirons pas d'enfant, j'ai du mal à l'avouer à mes amies de peur de paraître trop extrême. C'est un sujet encore clivant. J'ai soutenu la PMA pour toutes, je ne serais pas contre l'idée de faire don de mes ovocytes, je n'empêche pas les autres de devenir parent. C'est une question intime, mais qui peut être également collective.
Enfin un petit rappel en conclusion que vous connaissez : https://youtu.be/HhjLXe0Xwqs?t=238
Sources:
https://www.marieclaire.fr/,ginks-ne-pas-avoir-d-enfant,20258,432573.asp
https://www.huffingtonpost.fr/entry/ces-francais-veulent-moins-denfants-pour-sauver-la-planete_fr_5db024ade4b0422422ce706f
http://www.observationsociete.fr/structures-familiales/couples-sans-enfant.html
https://www.rtbf.be/tendance/bien-etre/psycho/detail_pourquoi-de-nombreux-couples-choisissent-de-ne-pas-avoir-d-enfant?id=9906073
https://www.parismatch.com/Actu/Societe/Ginks-ils-ne-veulent-pas-d-enfants-ca-pollue-1671689
https://www.letemps.ch/societe/femmes-ne-denfant-lecologie
Le 16 septembre 2021 à 15:01:07 :
C'est une des révélations les plus surprenantes de l'enquête participative "Il est temps" sur l’écologie, lancée par Arte : en 2020, seules 25% des femmes répondent que faire des enfants est une évidence. Face aux menaces environnementales qui pèsent sur notre planète, le refus des écoféministes de procréer est encore mal perçu en France où la figure de la mère reste sacralisée.Extrait 1:
Longtemps, Dolorès a hésité entre s'engager avec les Femen ou au sein d'un mouvement écologiste, puis elle a découvert l'écoféminisme : "Cela a été une révélation. Je me reconnais dans ce schéma qui relie déconstruction du mythe de la maternité et salut de la planète" Pour cette Parisienne de 28 ans, commissaire d'exposition, membre d'Extinction Rébellion, mettre un enfant au monde relève de l'égoïsme et représente un "coût monstrueux" en CO2 : 58 tonnes par an et par bébé1 . "Même si on devient vegan, qu'on vend sa voiture et qu'on ne prend plus l'avion, ça ne suffit pas. Avoir envie d'un petit être pour soi, ce n'est ni un don de soi ni un don pour la planète. Il faut inverser le raisonnement !"
Extrait 2:
Ce n'est pas un essor du refus de la parentalité, explique Yann Le Lann, sociologue, maître de conférences à l'université de Lille. C'est un questionnement dans les milieux écolos, de gauche, et chez les femmes surtout. Elles connectent parentalité et écologie et vivent l'épreuve de l'égalité femmes-hommes dans le partage du maternage." Certes, cette "grève de la procréation" à laquelle appelait déjà la pionnière de l'écoféminisme, Françoise d'Eaubonne, en 19744, n'est pas une lame de fond dans la société, mais les angoisses de la jeune génération face à la dégradation de l'environnement sont réelles.
Extrait 3:
Stéphanie, 38 ans, documentaliste dans un lycée, a décrété à 30 ans qu'elle n'aurait pas d'enfant et n'a jamais changé d'avis. "Ma sœur, qui en a trois, me dit : 'Tu es mon alibi', mon mari musicien n'a pas la fibre paternelle et puis, quelles sont les solutions pour nourrir tout le monde sans détruire la planète ? Supprimer les vaches pour faire des champs de soja, ce n'est pas mieux. Aujourd'hui, la jeunesse est conscientisée. Ma nièce de 12 ans me parle de déforestation, jamais je ne me posais ces questions à son âge, et je vois bien la colère des lycéen·nes."
Extrait 4:
Lorrie Gourdin, 23 ans, étudiante en communication, vit à Lille. "Je suis écoféministe. J'ai grandi dans le bocage normand, avec un père passionné de jardinage, j'ai toujours mangé bio et local, et été intéressée par les questions environnementales. Ma génération devra se construire en tant que citoyen·nes qui prennent en compte les enjeux climatiques et écologiques. Si ma grande sœur, ma jumelle et moi ne désirons pas d'enfant, j'ai du mal à l'avouer à mes amies de peur de paraître trop extrême. C'est un sujet encore clivant. J'ai soutenu la PMA pour toutes, je ne serais pas contre l'idée de faire don de mes ovocytes, je n'empêche pas les autres de devenir parent. C'est une question intime, mais qui peut être également collective.
Enfin un petit rappel en conclusion que vous connaissez : https://youtu.be/HhjLXe0Xwqs?t=238
Sources:
https://www.marieclaire.fr/,ginks-ne-pas-avoir-d-enfant,20258,432573.asp
https://www.huffingtonpost.fr/entry/ces-francais-veulent-moins-denfants-pour-sauver-la-planete_fr_5db024ade4b0422422ce706f
http://www.observationsociete.fr/structures-familiales/couples-sans-enfant.html
https://www.rtbf.be/tendance/bien-etre/psycho/detail_pourquoi-de-nombreux-couples-choisissent-de-ne-pas-avoir-d-enfant?id=9906073
https://www.parismatch.com/Actu/Societe/Ginks-ils-ne-veulent-pas-d-enfants-ca-pollue-1671689
https://www.letemps.ch/societe/femmes-ne-denfant-lecologie
La vidéo à la fin sur la vieille quinqua esseulée, toujours un plaisir sah. Beaucoup finiront comme ça .
Le 16 septembre 2021 à 15:06:01 :
Le 16 septembre 2021 à 15:01:07 :
C'est une des révélations les plus surprenantes de l'enquête participative "Il est temps" sur l’écologie, lancée par Arte : en 2020, seules 25% des femmes répondent que faire des enfants est une évidence. Face aux menaces environnementales qui pèsent sur notre planète, le refus des écoféministes de procréer est encore mal perçu en France où la figure de la mère reste sacralisée.Extrait 1:
Longtemps, Dolorès a hésité entre s'engager avec les Femen ou au sein d'un mouvement écologiste, puis elle a découvert l'écoféminisme : "Cela a été une révélation. Je me reconnais dans ce schéma qui relie déconstruction du mythe de la maternité et salut de la planète" Pour cette Parisienne de 28 ans, commissaire d'exposition, membre d'Extinction Rébellion, mettre un enfant au monde relève de l'égoïsme et représente un "coût monstrueux" en CO2 : 58 tonnes par an et par bébé1 . "Même si on devient vegan, qu'on vend sa voiture et qu'on ne prend plus l'avion, ça ne suffit pas. Avoir envie d'un petit être pour soi, ce n'est ni un don de soi ni un don pour la planète. Il faut inverser le raisonnement !"
Extrait 2:
Ce n'est pas un essor du refus de la parentalité, explique Yann Le Lann, sociologue, maître de conférences à l'université de Lille. C'est un questionnement dans les milieux écolos, de gauche, et chez les femmes surtout. Elles connectent parentalité et écologie et vivent l'épreuve de l'égalité femmes-hommes dans le partage du maternage." Certes, cette "grève de la procréation" à laquelle appelait déjà la pionnière de l'écoféminisme, Françoise d'Eaubonne, en 19744, n'est pas une lame de fond dans la société, mais les angoisses de la jeune génération face à la dégradation de l'environnement sont réelles.
Extrait 3:
Stéphanie, 38 ans, documentaliste dans un lycée, a décrété à 30 ans qu'elle n'aurait pas d'enfant et n'a jamais changé d'avis. "Ma sœur, qui en a trois, me dit : 'Tu es mon alibi', mon mari musicien n'a pas la fibre paternelle et puis, quelles sont les solutions pour nourrir tout le monde sans détruire la planète ? Supprimer les vaches pour faire des champs de soja, ce n'est pas mieux. Aujourd'hui, la jeunesse est conscientisée. Ma nièce de 12 ans me parle de déforestation, jamais je ne me posais ces questions à son âge, et je vois bien la colère des lycéen·nes."
Extrait 4:
Lorrie Gourdin, 23 ans, étudiante en communication, vit à Lille. "Je suis écoféministe. J'ai grandi dans le bocage normand, avec un père passionné de jardinage, j'ai toujours mangé bio et local, et été intéressée par les questions environnementales. Ma génération devra se construire en tant que citoyen·nes qui prennent en compte les enjeux climatiques et écologiques. Si ma grande sœur, ma jumelle et moi ne désirons pas d'enfant, j'ai du mal à l'avouer à mes amies de peur de paraître trop extrême. C'est un sujet encore clivant. J'ai soutenu la PMA pour toutes, je ne serais pas contre l'idée de faire don de mes ovocytes, je n'empêche pas les autres de devenir parent. C'est une question intime, mais qui peut être également collective.
Enfin un petit rappel en conclusion que vous connaissez : https://youtu.be/HhjLXe0Xwqs?t=238
Sources:
https://www.marieclaire.fr/,ginks-ne-pas-avoir-d-enfant,20258,432573.asp
https://www.huffingtonpost.fr/entry/ces-francais-veulent-moins-denfants-pour-sauver-la-planete_fr_5db024ade4b0422422ce706f
http://www.observationsociete.fr/structures-familiales/couples-sans-enfant.html
https://www.rtbf.be/tendance/bien-etre/psycho/detail_pourquoi-de-nombreux-couples-choisissent-de-ne-pas-avoir-d-enfant?id=9906073
https://www.parismatch.com/Actu/Societe/Ginks-ils-ne-veulent-pas-d-enfants-ca-pollue-1671689
https://www.letemps.ch/societe/femmes-ne-denfant-lecologieLa vidéo à la fin sur la vieille quinqua esseulée, toujours un plaisir sah. Beaucoup finiront comme ça .
La raison écologique est pétée mais ne pas faire d'enfants est un choix légitime. Beaucoup de gens sont heureux et épanouis sans enfants.
Le 16 septembre 2021 à 15:07:31 :
Le 16 septembre 2021 à 15:06:01 :
Le 16 septembre 2021 à 15:01:07 :
C'est une des révélations les plus surprenantes de l'enquête participative "Il est temps" sur l’écologie, lancée par Arte : en 2020, seules 25% des femmes répondent que faire des enfants est une évidence. Face aux menaces environnementales qui pèsent sur notre planète, le refus des écoféministes de procréer est encore mal perçu en France où la figure de la mère reste sacralisée.Extrait 1:
Longtemps, Dolorès a hésité entre s'engager avec les Femen ou au sein d'un mouvement écologiste, puis elle a découvert l'écoféminisme : "Cela a été une révélation. Je me reconnais dans ce schéma qui relie déconstruction du mythe de la maternité et salut de la planète" Pour cette Parisienne de 28 ans, commissaire d'exposition, membre d'Extinction Rébellion, mettre un enfant au monde relève de l'égoïsme et représente un "coût monstrueux" en CO2 : 58 tonnes par an et par bébé1 . "Même si on devient vegan, qu'on vend sa voiture et qu'on ne prend plus l'avion, ça ne suffit pas. Avoir envie d'un petit être pour soi, ce n'est ni un don de soi ni un don pour la planète. Il faut inverser le raisonnement !"
Extrait 2:
Ce n'est pas un essor du refus de la parentalité, explique Yann Le Lann, sociologue, maître de conférences à l'université de Lille. C'est un questionnement dans les milieux écolos, de gauche, et chez les femmes surtout. Elles connectent parentalité et écologie et vivent l'épreuve de l'égalité femmes-hommes dans le partage du maternage." Certes, cette "grève de la procréation" à laquelle appelait déjà la pionnière de l'écoféminisme, Françoise d'Eaubonne, en 19744, n'est pas une lame de fond dans la société, mais les angoisses de la jeune génération face à la dégradation de l'environnement sont réelles.
Extrait 3:
Stéphanie, 38 ans, documentaliste dans un lycée, a décrété à 30 ans qu'elle n'aurait pas d'enfant et n'a jamais changé d'avis. "Ma sœur, qui en a trois, me dit : 'Tu es mon alibi', mon mari musicien n'a pas la fibre paternelle et puis, quelles sont les solutions pour nourrir tout le monde sans détruire la planète ? Supprimer les vaches pour faire des champs de soja, ce n'est pas mieux. Aujourd'hui, la jeunesse est conscientisée. Ma nièce de 12 ans me parle de déforestation, jamais je ne me posais ces questions à son âge, et je vois bien la colère des lycéen·nes."
Extrait 4:
Lorrie Gourdin, 23 ans, étudiante en communication, vit à Lille. "Je suis écoféministe. J'ai grandi dans le bocage normand, avec un père passionné de jardinage, j'ai toujours mangé bio et local, et été intéressée par les questions environnementales. Ma génération devra se construire en tant que citoyen·nes qui prennent en compte les enjeux climatiques et écologiques. Si ma grande sœur, ma jumelle et moi ne désirons pas d'enfant, j'ai du mal à l'avouer à mes amies de peur de paraître trop extrême. C'est un sujet encore clivant. J'ai soutenu la PMA pour toutes, je ne serais pas contre l'idée de faire don de mes ovocytes, je n'empêche pas les autres de devenir parent. C'est une question intime, mais qui peut être également collective.
Enfin un petit rappel en conclusion que vous connaissez : https://youtu.be/HhjLXe0Xwqs?t=238
Sources:
https://www.marieclaire.fr/,ginks-ne-pas-avoir-d-enfant,20258,432573.asp
https://www.huffingtonpost.fr/entry/ces-francais-veulent-moins-denfants-pour-sauver-la-planete_fr_5db024ade4b0422422ce706f
http://www.observationsociete.fr/structures-familiales/couples-sans-enfant.html
https://www.rtbf.be/tendance/bien-etre/psycho/detail_pourquoi-de-nombreux-couples-choisissent-de-ne-pas-avoir-d-enfant?id=9906073
https://www.parismatch.com/Actu/Societe/Ginks-ils-ne-veulent-pas-d-enfants-ca-pollue-1671689
https://www.letemps.ch/societe/femmes-ne-denfant-lecologieLa vidéo à la fin sur la vieille quinqua esseulée, toujours un plaisir sah. Beaucoup finiront comme ça .
La raison écologique est pétée mais ne pas faire d'enfants est un choix légitime. Beaucoup de gens sont heureux et épanouis sans enfants.
L'horloge biologique aura toujours le dernier mot
Le 16 septembre 2021 à 15:10:03 :
Le 16 septembre 2021 à 15:07:31 :
Le 16 septembre 2021 à 15:06:01 :
Le 16 septembre 2021 à 15:01:07 :
C'est une des révélations les plus surprenantes de l'enquête participative "Il est temps" sur l’écologie, lancée par Arte : en 2020, seules 25% des femmes répondent que faire des enfants est une évidence. Face aux menaces environnementales qui pèsent sur notre planète, le refus des écoféministes de procréer est encore mal perçu en France où la figure de la mère reste sacralisée.Extrait 1:
Longtemps, Dolorès a hésité entre s'engager avec les Femen ou au sein d'un mouvement écologiste, puis elle a découvert l'écoféminisme : "Cela a été une révélation. Je me reconnais dans ce schéma qui relie déconstruction du mythe de la maternité et salut de la planète" Pour cette Parisienne de 28 ans, commissaire d'exposition, membre d'Extinction Rébellion, mettre un enfant au monde relève de l'égoïsme et représente un "coût monstrueux" en CO2 : 58 tonnes par an et par bébé1 . "Même si on devient vegan, qu'on vend sa voiture et qu'on ne prend plus l'avion, ça ne suffit pas. Avoir envie d'un petit être pour soi, ce n'est ni un don de soi ni un don pour la planète. Il faut inverser le raisonnement !"
Extrait 2:
Ce n'est pas un essor du refus de la parentalité, explique Yann Le Lann, sociologue, maître de conférences à l'université de Lille. C'est un questionnement dans les milieux écolos, de gauche, et chez les femmes surtout. Elles connectent parentalité et écologie et vivent l'épreuve de l'égalité femmes-hommes dans le partage du maternage." Certes, cette "grève de la procréation" à laquelle appelait déjà la pionnière de l'écoféminisme, Françoise d'Eaubonne, en 19744, n'est pas une lame de fond dans la société, mais les angoisses de la jeune génération face à la dégradation de l'environnement sont réelles.
Extrait 3:
Stéphanie, 38 ans, documentaliste dans un lycée, a décrété à 30 ans qu'elle n'aurait pas d'enfant et n'a jamais changé d'avis. "Ma sœur, qui en a trois, me dit : 'Tu es mon alibi', mon mari musicien n'a pas la fibre paternelle et puis, quelles sont les solutions pour nourrir tout le monde sans détruire la planète ? Supprimer les vaches pour faire des champs de soja, ce n'est pas mieux. Aujourd'hui, la jeunesse est conscientisée. Ma nièce de 12 ans me parle de déforestation, jamais je ne me posais ces questions à son âge, et je vois bien la colère des lycéen·nes."
Extrait 4:
Lorrie Gourdin, 23 ans, étudiante en communication, vit à Lille. "Je suis écoféministe. J'ai grandi dans le bocage normand, avec un père passionné de jardinage, j'ai toujours mangé bio et local, et été intéressée par les questions environnementales. Ma génération devra se construire en tant que citoyen·nes qui prennent en compte les enjeux climatiques et écologiques. Si ma grande sœur, ma jumelle et moi ne désirons pas d'enfant, j'ai du mal à l'avouer à mes amies de peur de paraître trop extrême. C'est un sujet encore clivant. J'ai soutenu la PMA pour toutes, je ne serais pas contre l'idée de faire don de mes ovocytes, je n'empêche pas les autres de devenir parent. C'est une question intime, mais qui peut être également collective.
Enfin un petit rappel en conclusion que vous connaissez : https://youtu.be/HhjLXe0Xwqs?t=238
Sources:
https://www.marieclaire.fr/,ginks-ne-pas-avoir-d-enfant,20258,432573.asp
https://www.huffingtonpost.fr/entry/ces-francais-veulent-moins-denfants-pour-sauver-la-planete_fr_5db024ade4b0422422ce706f
http://www.observationsociete.fr/structures-familiales/couples-sans-enfant.html
https://www.rtbf.be/tendance/bien-etre/psycho/detail_pourquoi-de-nombreux-couples-choisissent-de-ne-pas-avoir-d-enfant?id=9906073
https://www.parismatch.com/Actu/Societe/Ginks-ils-ne-veulent-pas-d-enfants-ca-pollue-1671689
https://www.letemps.ch/societe/femmes-ne-denfant-lecologieLa vidéo à la fin sur la vieille quinqua esseulée, toujours un plaisir sah. Beaucoup finiront comme ça .
La raison écologique est pétée mais ne pas faire d'enfants est un choix légitime. Beaucoup de gens sont heureux et épanouis sans enfants.
L'horloge biologique aura toujours le dernier mot
Non. Tu veux pas d'enfants t'en fais pas en fait. Les gens vont pas pondre des gosses s'ils en veulent pas.
Le 16 septembre 2021 à 15:10:03 :
Le 16 septembre 2021 à 15:07:31 :
Le 16 septembre 2021 à 15:06:01 :
Le 16 septembre 2021 à 15:01:07 :
C'est une des révélations les plus surprenantes de l'enquête participative "Il est temps" sur l’écologie, lancée par Arte : en 2020, seules 25% des femmes répondent que faire des enfants est une évidence. Face aux menaces environnementales qui pèsent sur notre planète, le refus des écoféministes de procréer est encore mal perçu en France où la figure de la mère reste sacralisée.Extrait 1:
Longtemps, Dolorès a hésité entre s'engager avec les Femen ou au sein d'un mouvement écologiste, puis elle a découvert l'écoféminisme : "Cela a été une révélation. Je me reconnais dans ce schéma qui relie déconstruction du mythe de la maternité et salut de la planète" Pour cette Parisienne de 28 ans, commissaire d'exposition, membre d'Extinction Rébellion, mettre un enfant au monde relève de l'égoïsme et représente un "coût monstrueux" en CO2 : 58 tonnes par an et par bébé1 . "Même si on devient vegan, qu'on vend sa voiture et qu'on ne prend plus l'avion, ça ne suffit pas. Avoir envie d'un petit être pour soi, ce n'est ni un don de soi ni un don pour la planète. Il faut inverser le raisonnement !"
Extrait 2:
Ce n'est pas un essor du refus de la parentalité, explique Yann Le Lann, sociologue, maître de conférences à l'université de Lille. C'est un questionnement dans les milieux écolos, de gauche, et chez les femmes surtout. Elles connectent parentalité et écologie et vivent l'épreuve de l'égalité femmes-hommes dans le partage du maternage." Certes, cette "grève de la procréation" à laquelle appelait déjà la pionnière de l'écoféminisme, Françoise d'Eaubonne, en 19744, n'est pas une lame de fond dans la société, mais les angoisses de la jeune génération face à la dégradation de l'environnement sont réelles.
Extrait 3:
Stéphanie, 38 ans, documentaliste dans un lycée, a décrété à 30 ans qu'elle n'aurait pas d'enfant et n'a jamais changé d'avis. "Ma sœur, qui en a trois, me dit : 'Tu es mon alibi', mon mari musicien n'a pas la fibre paternelle et puis, quelles sont les solutions pour nourrir tout le monde sans détruire la planète ? Supprimer les vaches pour faire des champs de soja, ce n'est pas mieux. Aujourd'hui, la jeunesse est conscientisée. Ma nièce de 12 ans me parle de déforestation, jamais je ne me posais ces questions à son âge, et je vois bien la colère des lycéen·nes."
Extrait 4:
Lorrie Gourdin, 23 ans, étudiante en communication, vit à Lille. "Je suis écoféministe. J'ai grandi dans le bocage normand, avec un père passionné de jardinage, j'ai toujours mangé bio et local, et été intéressée par les questions environnementales. Ma génération devra se construire en tant que citoyen·nes qui prennent en compte les enjeux climatiques et écologiques. Si ma grande sœur, ma jumelle et moi ne désirons pas d'enfant, j'ai du mal à l'avouer à mes amies de peur de paraître trop extrême. C'est un sujet encore clivant. J'ai soutenu la PMA pour toutes, je ne serais pas contre l'idée de faire don de mes ovocytes, je n'empêche pas les autres de devenir parent. C'est une question intime, mais qui peut être également collective.
Enfin un petit rappel en conclusion que vous connaissez : https://youtu.be/HhjLXe0Xwqs?t=238
Sources:
https://www.marieclaire.fr/,ginks-ne-pas-avoir-d-enfant,20258,432573.asp
https://www.huffingtonpost.fr/entry/ces-francais-veulent-moins-denfants-pour-sauver-la-planete_fr_5db024ade4b0422422ce706f
http://www.observationsociete.fr/structures-familiales/couples-sans-enfant.html
https://www.rtbf.be/tendance/bien-etre/psycho/detail_pourquoi-de-nombreux-couples-choisissent-de-ne-pas-avoir-d-enfant?id=9906073
https://www.parismatch.com/Actu/Societe/Ginks-ils-ne-veulent-pas-d-enfants-ca-pollue-1671689
https://www.letemps.ch/societe/femmes-ne-denfant-lecologieLa vidéo à la fin sur la vieille quinqua esseulée, toujours un plaisir sah. Beaucoup finiront comme ça .
La raison écologique est pétée mais ne pas faire d'enfants est un choix légitime. Beaucoup de gens sont heureux et épanouis sans enfants.
L'horloge biologique aura toujours le dernier mot
Continue de pleurer si tu veux en attendant je monopolise une femme sans avoir de gosses
Le 16 septembre 2021 à 15:10:03 :
Le 16 septembre 2021 à 15:07:31 :
Le 16 septembre 2021 à 15:06:01 :
Le 16 septembre 2021 à 15:01:07 :
C'est une des révélations les plus surprenantes de l'enquête participative "Il est temps" sur l’écologie, lancée par Arte : en 2020, seules 25% des femmes répondent que faire des enfants est une évidence. Face aux menaces environnementales qui pèsent sur notre planète, le refus des écoféministes de procréer est encore mal perçu en France où la figure de la mère reste sacralisée.Extrait 1:
Longtemps, Dolorès a hésité entre s'engager avec les Femen ou au sein d'un mouvement écologiste, puis elle a découvert l'écoféminisme : "Cela a été une révélation. Je me reconnais dans ce schéma qui relie déconstruction du mythe de la maternité et salut de la planète" Pour cette Parisienne de 28 ans, commissaire d'exposition, membre d'Extinction Rébellion, mettre un enfant au monde relève de l'égoïsme et représente un "coût monstrueux" en CO2 : 58 tonnes par an et par bébé1 . "Même si on devient vegan, qu'on vend sa voiture et qu'on ne prend plus l'avion, ça ne suffit pas. Avoir envie d'un petit être pour soi, ce n'est ni un don de soi ni un don pour la planète. Il faut inverser le raisonnement !"
Extrait 2:
Ce n'est pas un essor du refus de la parentalité, explique Yann Le Lann, sociologue, maître de conférences à l'université de Lille. C'est un questionnement dans les milieux écolos, de gauche, et chez les femmes surtout. Elles connectent parentalité et écologie et vivent l'épreuve de l'égalité femmes-hommes dans le partage du maternage." Certes, cette "grève de la procréation" à laquelle appelait déjà la pionnière de l'écoféminisme, Françoise d'Eaubonne, en 19744, n'est pas une lame de fond dans la société, mais les angoisses de la jeune génération face à la dégradation de l'environnement sont réelles.
Extrait 3:
Stéphanie, 38 ans, documentaliste dans un lycée, a décrété à 30 ans qu'elle n'aurait pas d'enfant et n'a jamais changé d'avis. "Ma sœur, qui en a trois, me dit : 'Tu es mon alibi', mon mari musicien n'a pas la fibre paternelle et puis, quelles sont les solutions pour nourrir tout le monde sans détruire la planète ? Supprimer les vaches pour faire des champs de soja, ce n'est pas mieux. Aujourd'hui, la jeunesse est conscientisée. Ma nièce de 12 ans me parle de déforestation, jamais je ne me posais ces questions à son âge, et je vois bien la colère des lycéen·nes."
Extrait 4:
Lorrie Gourdin, 23 ans, étudiante en communication, vit à Lille. "Je suis écoféministe. J'ai grandi dans le bocage normand, avec un père passionné de jardinage, j'ai toujours mangé bio et local, et été intéressée par les questions environnementales. Ma génération devra se construire en tant que citoyen·nes qui prennent en compte les enjeux climatiques et écologiques. Si ma grande sœur, ma jumelle et moi ne désirons pas d'enfant, j'ai du mal à l'avouer à mes amies de peur de paraître trop extrême. C'est un sujet encore clivant. J'ai soutenu la PMA pour toutes, je ne serais pas contre l'idée de faire don de mes ovocytes, je n'empêche pas les autres de devenir parent. C'est une question intime, mais qui peut être également collective.
Enfin un petit rappel en conclusion que vous connaissez : https://youtu.be/HhjLXe0Xwqs?t=238
Sources:
https://www.marieclaire.fr/,ginks-ne-pas-avoir-d-enfant,20258,432573.asp
https://www.huffingtonpost.fr/entry/ces-francais-veulent-moins-denfants-pour-sauver-la-planete_fr_5db024ade4b0422422ce706f
http://www.observationsociete.fr/structures-familiales/couples-sans-enfant.html
https://www.rtbf.be/tendance/bien-etre/psycho/detail_pourquoi-de-nombreux-couples-choisissent-de-ne-pas-avoir-d-enfant?id=9906073
https://www.parismatch.com/Actu/Societe/Ginks-ils-ne-veulent-pas-d-enfants-ca-pollue-1671689
https://www.letemps.ch/societe/femmes-ne-denfant-lecologieLa vidéo à la fin sur la vieille quinqua esseulée, toujours un plaisir sah. Beaucoup finiront comme ça .
La raison écologique est pétée mais ne pas faire d'enfants est un choix légitime. Beaucoup de gens sont heureux et épanouis sans enfants.
L'horloge biologique aura toujours le dernier mot
Il y a aucune horloge biologique, c'est un mythe des celestin du fofo pour se rassurer
Le 16 septembre 2021 à 15:11:35 :
Le 16 septembre 2021 à 15:10:03 :
Le 16 septembre 2021 à 15:07:31 :
Le 16 septembre 2021 à 15:06:01 :
Le 16 septembre 2021 à 15:01:07 :
C'est une des révélations les plus surprenantes de l'enquête participative "Il est temps" sur l’écologie, lancée par Arte : en 2020, seules 25% des femmes répondent que faire des enfants est une évidence. Face aux menaces environnementales qui pèsent sur notre planète, le refus des écoféministes de procréer est encore mal perçu en France où la figure de la mère reste sacralisée.Extrait 1:
Longtemps, Dolorès a hésité entre s'engager avec les Femen ou au sein d'un mouvement écologiste, puis elle a découvert l'écoféminisme : "Cela a été une révélation. Je me reconnais dans ce schéma qui relie déconstruction du mythe de la maternité et salut de la planète" Pour cette Parisienne de 28 ans, commissaire d'exposition, membre d'Extinction Rébellion, mettre un enfant au monde relève de l'égoïsme et représente un "coût monstrueux" en CO2 : 58 tonnes par an et par bébé1 . "Même si on devient vegan, qu'on vend sa voiture et qu'on ne prend plus l'avion, ça ne suffit pas. Avoir envie d'un petit être pour soi, ce n'est ni un don de soi ni un don pour la planète. Il faut inverser le raisonnement !"
Extrait 2:
Ce n'est pas un essor du refus de la parentalité, explique Yann Le Lann, sociologue, maître de conférences à l'université de Lille. C'est un questionnement dans les milieux écolos, de gauche, et chez les femmes surtout. Elles connectent parentalité et écologie et vivent l'épreuve de l'égalité femmes-hommes dans le partage du maternage." Certes, cette "grève de la procréation" à laquelle appelait déjà la pionnière de l'écoféminisme, Françoise d'Eaubonne, en 19744, n'est pas une lame de fond dans la société, mais les angoisses de la jeune génération face à la dégradation de l'environnement sont réelles.
Extrait 3:
Stéphanie, 38 ans, documentaliste dans un lycée, a décrété à 30 ans qu'elle n'aurait pas d'enfant et n'a jamais changé d'avis. "Ma sœur, qui en a trois, me dit : 'Tu es mon alibi', mon mari musicien n'a pas la fibre paternelle et puis, quelles sont les solutions pour nourrir tout le monde sans détruire la planète ? Supprimer les vaches pour faire des champs de soja, ce n'est pas mieux. Aujourd'hui, la jeunesse est conscientisée. Ma nièce de 12 ans me parle de déforestation, jamais je ne me posais ces questions à son âge, et je vois bien la colère des lycéen·nes."
Extrait 4:
Lorrie Gourdin, 23 ans, étudiante en communication, vit à Lille. "Je suis écoféministe. J'ai grandi dans le bocage normand, avec un père passionné de jardinage, j'ai toujours mangé bio et local, et été intéressée par les questions environnementales. Ma génération devra se construire en tant que citoyen·nes qui prennent en compte les enjeux climatiques et écologiques. Si ma grande sœur, ma jumelle et moi ne désirons pas d'enfant, j'ai du mal à l'avouer à mes amies de peur de paraître trop extrême. C'est un sujet encore clivant. J'ai soutenu la PMA pour toutes, je ne serais pas contre l'idée de faire don de mes ovocytes, je n'empêche pas les autres de devenir parent. C'est une question intime, mais qui peut être également collective.
Enfin un petit rappel en conclusion que vous connaissez : https://youtu.be/HhjLXe0Xwqs?t=238
Sources:
https://www.marieclaire.fr/,ginks-ne-pas-avoir-d-enfant,20258,432573.asp
https://www.huffingtonpost.fr/entry/ces-francais-veulent-moins-denfants-pour-sauver-la-planete_fr_5db024ade4b0422422ce706f
http://www.observationsociete.fr/structures-familiales/couples-sans-enfant.html
https://www.rtbf.be/tendance/bien-etre/psycho/detail_pourquoi-de-nombreux-couples-choisissent-de-ne-pas-avoir-d-enfant?id=9906073
https://www.parismatch.com/Actu/Societe/Ginks-ils-ne-veulent-pas-d-enfants-ca-pollue-1671689
https://www.letemps.ch/societe/femmes-ne-denfant-lecologieLa vidéo à la fin sur la vieille quinqua esseulée, toujours un plaisir sah. Beaucoup finiront comme ça .
La raison écologique est pétée mais ne pas faire d'enfants est un choix légitime. Beaucoup de gens sont heureux et épanouis sans enfants.
L'horloge biologique aura toujours le dernier mot
Non. Tu veux pas d'enfants t'en fais pas en fait. Les gens vont pas pondre des gosses s'ils en veulent pas.
Les gens se plaignent du manque d'éducation des gosses de nos jours mais veulent forcer les personnes qui n'en veulent pas à en avoir, cocasse
En vrai elles ont tout simplement pas envie d'en avoir
Données du topic
- Auteur
- ActionJV2
- Date de création
- 16 septembre 2021 à 15:01:07
- Date de suppression
- 16 septembre 2021 à 16:02:18
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