Le livre de Zemmour commence avec une faute orthographe ! (No Fake)
SuppriméLe 14 septembre 2021 à 22:24:10 :
Il y a juste moi qui est surtout choqué par la comparaison foireuse à Balzac et Proust ? Depuis quand la première phrase résume tout chez ses auteurs ? C'est quoi ces conneries ?
Des ahuris qui n'ont pas la capacité intellectuelle suffisante pour s'intéresser au fond de la pensée de l'auteur.
Le 14 septembre 2021 à 22:25:06 :
Les chof chof du forum qui font style de pas comprendre
Osef qu'il y aut une faute, c'est le fait que cette faute soit à la première ligne du livre qui est cocasse
mais personne avait calculé que c'était une faute
ruquier / salamé etc ... ont lu le livre et personne l'a remarqué
on s'en branle de l'accent du mauvais sens, vous êtes ridicules
Le 14 septembre 2021 à 22:22:30 :
Ma soeur est lectrice-correctrice vous inquiétez pas aucun auteurs ne sait vraiment écrire. Après, les coquilles ça arrive et vous observerez cela dans quasi tous les livres existants.
Comment on devient lecteur correcteur ?
Le 14 septembre 2021 à 22:24:18 :
Le 14 septembre 2021 à 22:21:40 :
Le 14 septembre 2021 à 22:17:57 :
REDPILL : TOUS LES GRANDS AUTEURS FONT DES FAUTES1. Émile Zola
En annotant les pages de son bouquin un peu longuet sur les mines de charbon et les grèves d’ouvriers, Zola fait deux fautes de grammaire. Il écrit : « C’est la scène où les Grégoire se trouvent en face des ouvrier, de l’émeute. Leurs sensations, la logique qui les conduit. Et ce qu’ils penseront ensuite. C’est une scène capital, dont le contrecoup se trouve à la fin. ». Ça arrive à tout le monde d’oublier un s au pluriel, même à Zola.
2. Honoré de Balzac
Balzac disait « Il n’y a pas d’orthographe pour le cœur », c’est un peu facile comme justification mais soit. L’auteur était un habitué des fautes en tout genre qu’on pouvait retrouver dans ses romans. Dans Eugénie Grandet, il écrit même « La compatissance et la tendresse d’une jeune fille possèdent une influence vraiment magnétique ». C’est aujourd’hui accepté comme un néologisme mais en 1834, ce mot n’existait pas.
3. Victor Hugo
On n’a retrouvé que peu de fautes d’orthographe dans les écrits de Victor Hugo. Par contre, l’écrivain utilisait de nombreux pléonasmes et redondances dans ses romans. On peut notamment lire « Ouverture du puits de l’infini sans borne » dans Le Satyre et « La pieuse fille n’avait pu être canonisée sainte » dans Notre-Dame de Paris. Quel boloss ce Victor Hugo.
4. Charles Baudelaire
Baudelaire détestait plus que tout les fautes de français et était désespéré de voir son nom de famille massacré (de nombreuses personnes l’écrivaient Beaudelaire). Une simple coquille dans un texte était insupportable pour l’auteur, il a donc dû perdre tous ses moyens en lisant la première édition du recueil Les Fleurs du mal. Dans le poème Le Cygne, il écrit « Eau, quand pleuveras-tu ? Quand tonneras-tu, foudre ? ». L’erreur est corrigée dans la réédition du livre quelques années plus tard.
5. Paul Verlaine
Tout le monde connaît les premiers vers de ce poème de Verlaine : « Il pleure dans mon coeur comme il pleut sur la ville ». Avez-vous déjà remarqué que cette utilisation du verbe pleurer est incorrecte ? Dans la langue française, l’emploi impersonnel du verbe pleurer n’est pas permis. En bref, ça ne veut rien dire mais qu’est-ce que c’est joli.
6. Jules Verne
Après le coup d’État de 1851, Verne écrit une lettre à ses parents pour leur décrire la situation actuelle à Paris. Rien d’anormal jusqu’à ce que l’on lise la phrase suivante : « Les maisons sont criblées de bal ! ». On a envie de croire à un jeu de mots délibéré, prouvant que Paris est vraiment une fête, mais il s’agit plus probablement d’un simple lapsus.
7. Albert Camus
Est-ce qu’on vous a déjà repris en vous disant « On ne pallie pas À un manque, on pallie UN manque. Il faut le remplacer par compenser pour ne plus faire l’erreur. » ? C’est une faute qui m’agace quand je la vois mais si même Albert Camus a fait cette erreur, je veux bien être un peu plus laxiste. Dans La Peste, on peut lire : « Dans toutes les armées du monde, on pallie généralement au manque de matériel par des hommes ».
8. Voltaire
« Mon cher philosofe […], je m’imagine que le termomètre de votre apartement est comme le mien, tout près de l’eau bouillante. ». Cette phrase de Voltaire est aujourd’hui assez connue. Elle est extraite du tome 4 de Correspondance générale.9. Stendhal
Hugo n’était pas le seul à aimer les pléonasmes. Dans Le Rouge et le Noir, Stendhal écrit « C’est ce que je demande, s’écria-t-elle, en se levant debout ». Pourquoi ? C’est encore plus improbable que le classique ‘monter en haut’.
10. Marguerite Duras
En faisant des recherches pour ce top, j’ai découvert une règle de conjugaison dont je ne connaissais pas l’existence. Dans Les Petits chevaux de Tarquinia, Marguerite Duras écrit « Une fois les poissons ramenés dans la barque, il s’en distraya ». Hors, les verbes en -traire (comme distraire, extraire, soustraire, traire) ne se conjuguent pas au passé simple. Il est également impossible de les conjuguer à l’imparfait du subjonctif (c’est bête, je suis sûre que vous en mouriez d’envie).
pas en première ligne et une faute aussi grossière
Toi à chaque topic je suis toujours fasciné par ta mauvaise foi.
C'est une spécialité du pays ou c'est toi spécialement ?
je vois le post mais je vois pas l'argument
Le 14 septembre 2021 à 22:19:19 :
REDPILL : TOUS LES GRANDS AUTEURS FONT DES FAUTES1. Émile Zola
En annotant les pages de son bouquin un peu longuet sur les mines de charbon et les grèves d’ouvriers, Zola fait deux fautes de grammaire. Il écrit : « C’est la scène où les Grégoire se trouvent en face des ouvrier, de l’émeute. Leurs sensations, la logique qui les conduit. Et ce qu’ils penseront ensuite. C’est une scène capital, dont le contrecoup se trouve à la fin. ». Ça arrive à tout le monde d’oublier un s au pluriel, même à Zola.
2. Honoré de Balzac
Balzac disait « Il n’y a pas d’orthographe pour le cœur », c’est un peu facile comme justification mais soit. L’auteur était un habitué des fautes en tout genre qu’on pouvait retrouver dans ses romans. Dans Eugénie Grandet, il écrit même « La compatissance et la tendresse d’une jeune fille possèdent une influence vraiment magnétique ». C’est aujourd’hui accepté comme un néologisme mais en 1834, ce mot n’existait pas.
3. Victor Hugo
On n’a retrouvé que peu de fautes d’orthographe dans les écrits de Victor Hugo. Par contre, l’écrivain utilisait de nombreux pléonasmes et redondances dans ses romans. On peut notamment lire « Ouverture du puits de l’infini sans borne » dans Le Satyre et « La pieuse fille n’avait pu être canonisée sainte » dans Notre-Dame de Paris. Quel boloss ce Victor Hugo.
4. Charles Baudelaire
Baudelaire détestait plus que tout les fautes de français et était désespéré de voir son nom de famille massacré (de nombreuses personnes l’écrivaient Beaudelaire). Une simple coquille dans un texte était insupportable pour l’auteur, il a donc dû perdre tous ses moyens en lisant la première édition du recueil Les Fleurs du mal. Dans le poème Le Cygne, il écrit « Eau, quand pleuveras-tu ? Quand tonneras-tu, foudre ? ». L’erreur est corrigée dans la réédition du livre quelques années plus tard.
5. Paul Verlaine
Tout le monde connaît les premiers vers de ce poème de Verlaine : « Il pleure dans mon coeur comme il pleut sur la ville ». Avez-vous déjà remarqué que cette utilisation du verbe pleurer est incorrecte ? Dans la langue française, l’emploi impersonnel du verbe pleurer n’est pas permis. En bref, ça ne veut rien dire mais qu’est-ce que c’est joli.
6. Jules Verne
Après le coup d’État de 1851, Verne écrit une lettre à ses parents pour leur décrire la situation actuelle à Paris. Rien d’anormal jusqu’à ce que l’on lise la phrase suivante : « Les maisons sont criblées de bal ! ». On a envie de croire à un jeu de mots délibéré, prouvant que Paris est vraiment une fête, mais il s’agit plus probablement d’un simple lapsus.
7. Albert Camus
Est-ce qu’on vous a déjà repris en vous disant « On ne pallie pas À un manque, on pallie UN manque. Il faut le remplacer par compenser pour ne plus faire l’erreur. » ? C’est une faute qui m’agace quand je la vois mais si même Albert Camus a fait cette erreur, je veux bien être un peu plus laxiste. Dans La Peste, on peut lire : « Dans toutes les armées du monde, on pallie généralement au manque de matériel par des hommes ».
8. Voltaire
« Mon cher philosofe […], je m’imagine que le termomètre de votre apartement est comme le mien, tout près de l’eau bouillante. ». Cette phrase de Voltaire est aujourd’hui assez connue. Elle est extraite du tome 4 de Correspondance générale.9. Stendhal
Hugo n’était pas le seul à aimer les pléonasmes. Dans Le Rouge et le Noir, Stendhal écrit « C’est ce que je demande, s’écria-t-elle, en se levant debout ». Pourquoi ? C’est encore plus improbable que le classique ‘monter en haut’.
10. Marguerite Duras
En faisant des recherches pour ce top, j’ai découvert une règle de conjugaison dont je ne connaissais pas l’existence. Dans Les Petits chevaux de Tarquinia, Marguerite Duras écrit « Une fois les poissons ramenés dans la barque, il s’en distraya ». Hors, les verbes en -traire (comme distraire, extraire, soustraire, traire) ne se conjuguent pas au passé simple. Il est également impossible de les conjuguer à l’imparfait du subjonctif (c’est bête, je suis sûre que vous en mouriez d’envie).
Le 14 septembre 2021 à 22:22:38 :
Le 14 septembre 2021 à 22:19:24 :
Le 14 septembre 2021 à 22:11:02 :
Le livre sort dans 2 jours, il peut surement faire un truc non ?C'est bien connu, un livre ça s'imprime et ça se distribue dans les magasins en deux jours, c'est aussi rapide que d'aller faire des photocopies au tabac du coin
Comme disait quelqu'un plus haut "et après ça ose parler de la carte"
Les coquilles sont assez fréquentes dans le monde de l'édition et pour en faire la remarque c'est bien la preuve que critiquer le fond du Z est compliqué
Je ne me verrais pas relever une coquille dans la biographie de Mélenchon.
Les gauchos c'est vraiment spéciale. Je me demande comment fontionne votre cerveau
S'il suffit de ne pas lécher les pieds de votre clown pour être gaucho, c'est plutôt le tien qui a du mal à fonctionner
Et Méluche (qui serait l'un des pires au pouvoir de mon point de vue) n'a jamais dit qu'untel n'était pas assez français, c'est ça qui fait la différence
Quand Ségogo avait sorti sa bravitude, tout le monde s'était foutu de sa gueule mais gentiment, parce qu'elle avait pas la prétention d'être une gardienne du temple (du moins pas sur la culture), posture avec laquelle Zemmour emmerde tout le monde depuis 10 ans
PS : je suis gentil, je te laisse passer ta faute énorme, t'as vu
C’est pas grave une faute de français.
En revanche, pour la première phrase d’un livre, venant d’un mec sensible à la littérature, c’est très symbolique.
En soi c’est pas dramatique mais c’est quand même révélateur du genre de déchet qu’est Zemmour et ça fait pas sérieux du tout.
Le 14 septembre 2021 à 22:24:26 :
Le 14 septembre 2021 à 22:22:03 :
Au moins ça prouve qu'il a vraiment écrit le livreben non ..de plus il a montré plusieurs fois qu'il ne connaissait pas ses livres
Les pays du Maghreb sont les pays qui lisent le moi du monde ( en retirant le coran)
Du coup ce moquer de zemmour alors que tout le monde sait que c'est un grand lecteur cela frise l’indécence
L’extrême droite ne fait que creuser
y’a que soral qui y a de l’honneur
Le 14 septembre 2021 à 22:22:30 :
Ma soeur est lectrice-correctrice vous inquiétez pas aucun auteurs ne sait vraiment écrire. Après, les coquilles ça arrive et vous observerez cela dans quasi tous les livres existants.
Mec, absolument tout le monde fait des fautes d'orthographe, que ce soit de l'inattention ou de la fatigue (je vous invite à essayer de passer 8 heures d'affilée à écrire quelque chose d'un peu construit et intelligent, ça fout la tête en choux-fleur). Mais c'est vrai qu'on voit de plus en plus de fautes d'ortho ET de grammaire dans les bouquins qui ont été corrigés et relus par des maisons d'édition, et ça par contre c'est pas normal.
La vérité, c'est que les gens s'en battent de plus en plus les couilles de ça et font mal leur boulot, auteurs et correcteurs compris.
Le 14 septembre 2021 à 22:26:01 :
Le 14 septembre 2021 à 22:24:18 :
Le 14 septembre 2021 à 22:21:40 :
Le 14 septembre 2021 à 22:17:57 :
REDPILL : TOUS LES GRANDS AUTEURS FONT DES FAUTES1. Émile Zola
En annotant les pages de son bouquin un peu longuet sur les mines de charbon et les grèves d’ouvriers, Zola fait deux fautes de grammaire. Il écrit : « C’est la scène où les Grégoire se trouvent en face des ouvrier, de l’émeute. Leurs sensations, la logique qui les conduit. Et ce qu’ils penseront ensuite. C’est une scène capital, dont le contrecoup se trouve à la fin. ». Ça arrive à tout le monde d’oublier un s au pluriel, même à Zola.
2. Honoré de Balzac
Balzac disait « Il n’y a pas d’orthographe pour le cœur », c’est un peu facile comme justification mais soit. L’auteur était un habitué des fautes en tout genre qu’on pouvait retrouver dans ses romans. Dans Eugénie Grandet, il écrit même « La compatissance et la tendresse d’une jeune fille possèdent une influence vraiment magnétique ». C’est aujourd’hui accepté comme un néologisme mais en 1834, ce mot n’existait pas.
3. Victor Hugo
On n’a retrouvé que peu de fautes d’orthographe dans les écrits de Victor Hugo. Par contre, l’écrivain utilisait de nombreux pléonasmes et redondances dans ses romans. On peut notamment lire « Ouverture du puits de l’infini sans borne » dans Le Satyre et « La pieuse fille n’avait pu être canonisée sainte » dans Notre-Dame de Paris. Quel boloss ce Victor Hugo.
4. Charles Baudelaire
Baudelaire détestait plus que tout les fautes de français et était désespéré de voir son nom de famille massacré (de nombreuses personnes l’écrivaient Beaudelaire). Une simple coquille dans un texte était insupportable pour l’auteur, il a donc dû perdre tous ses moyens en lisant la première édition du recueil Les Fleurs du mal. Dans le poème Le Cygne, il écrit « Eau, quand pleuveras-tu ? Quand tonneras-tu, foudre ? ». L’erreur est corrigée dans la réédition du livre quelques années plus tard.
5. Paul Verlaine
Tout le monde connaît les premiers vers de ce poème de Verlaine : « Il pleure dans mon coeur comme il pleut sur la ville ». Avez-vous déjà remarqué que cette utilisation du verbe pleurer est incorrecte ? Dans la langue française, l’emploi impersonnel du verbe pleurer n’est pas permis. En bref, ça ne veut rien dire mais qu’est-ce que c’est joli.
6. Jules Verne
Après le coup d’État de 1851, Verne écrit une lettre à ses parents pour leur décrire la situation actuelle à Paris. Rien d’anormal jusqu’à ce que l’on lise la phrase suivante : « Les maisons sont criblées de bal ! ». On a envie de croire à un jeu de mots délibéré, prouvant que Paris est vraiment une fête, mais il s’agit plus probablement d’un simple lapsus.
7. Albert Camus
Est-ce qu’on vous a déjà repris en vous disant « On ne pallie pas À un manque, on pallie UN manque. Il faut le remplacer par compenser pour ne plus faire l’erreur. » ? C’est une faute qui m’agace quand je la vois mais si même Albert Camus a fait cette erreur, je veux bien être un peu plus laxiste. Dans La Peste, on peut lire : « Dans toutes les armées du monde, on pallie généralement au manque de matériel par des hommes ».
8. Voltaire
« Mon cher philosofe […], je m’imagine que le termomètre de votre apartement est comme le mien, tout près de l’eau bouillante. ». Cette phrase de Voltaire est aujourd’hui assez connue. Elle est extraite du tome 4 de Correspondance générale.9. Stendhal
Hugo n’était pas le seul à aimer les pléonasmes. Dans Le Rouge et le Noir, Stendhal écrit « C’est ce que je demande, s’écria-t-elle, en se levant debout ». Pourquoi ? C’est encore plus improbable que le classique ‘monter en haut’.
10. Marguerite Duras
En faisant des recherches pour ce top, j’ai découvert une règle de conjugaison dont je ne connaissais pas l’existence. Dans Les Petits chevaux de Tarquinia, Marguerite Duras écrit « Une fois les poissons ramenés dans la barque, il s’en distraya ». Hors, les verbes en -traire (comme distraire, extraire, soustraire, traire) ne se conjuguent pas au passé simple. Il est également impossible de les conjuguer à l’imparfait du subjonctif (c’est bête, je suis sûre que vous en mouriez d’envie).
pas en première ligne et une faute aussi grossière
Toi à chaque topic je suis toujours fasciné par ta mauvaise foi.
C'est une spécialité du pays ou c'est toi spécialement ?
je vois le post mais je vois pas l'argument
On argumente pas avec un gauchiste, on l'emmène chez un psychologue pour qu'il se fasse soigner.
Données du topic
- Auteur
- PetiteNenette_4
- Date de création
- 14 septembre 2021 à 20:51:59
- Date de suppression
- 15 septembre 2021 à 13:51:30
- Supprimé par
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