Topic de PetiteNenette_4 :

Le livre de Zemmour commence avec une faute orthographe ! (No Fake)

Supprimé
Elle a raison mais étant donné qu'elle vient d'une émission 'gauchiste' et qu'elle tape sur Éric Zemmour, vous n'allez pas l'admettre.

Bordel le malaise https://image.noelshack.com/fichiers/2018/20/7/1526806974-ayeu.png

Mais le pire c'est que la meuf éprouve même pas de honte, elle se rend même pas compte qu'elle est ridicule et qu'elle passe pour une totale autiste https://image.noelshack.com/fichiers/2018/20/7/1526806974-ayeu.png

Genre son passage dans l'émission c'est "ololz y'a une faute, voilà achetez pas le livre" et elle se pense géniale alors qu'elle a 0 arguments et passe pour une guignole https://image.noelshack.com/fichiers/2018/20/7/1526806974-ayeu.png

Ils lui font de la publicité ces crétins :rire:

Le 14 septembre 2021 à 22:19:19 :
REDPILL : TOUS LES GRANDS AUTEURS FONT DES FAUTES :)

1. Émile Zola

En annotant les pages de son bouquin un peu longuet sur les mines de charbon et les grèves d’ouvriers, Zola fait deux fautes de grammaire. Il écrit : « C’est la scène où les Grégoire se trouvent en face des ouvrier, de l’émeute. Leurs sensations, la logique qui les conduit. Et ce qu’ils penseront ensuite. C’est une scène capital, dont le contrecoup se trouve à la fin. ». Ça arrive à tout le monde d’oublier un s au pluriel, même à Zola.

2. Honoré de Balzac

Balzac disait « Il n’y a pas d’orthographe pour le cœur », c’est un peu facile comme justification mais soit. L’auteur était un habitué des fautes en tout genre qu’on pouvait retrouver dans ses romans. Dans Eugénie Grandet, il écrit même « La compatissance et la tendresse d’une jeune fille possèdent une influence vraiment magnétique ». C’est aujourd’hui accepté comme un néologisme mais en 1834, ce mot n’existait pas.

3. Victor Hugo

On n’a retrouvé que peu de fautes d’orthographe dans les écrits de Victor Hugo. Par contre, l’écrivain utilisait de nombreux pléonasmes et redondances dans ses romans. On peut notamment lire « Ouverture du puits de l’infini sans borne » dans Le Satyre et « La pieuse fille n’avait pu être canonisée sainte » dans Notre-Dame de Paris. Quel boloss ce Victor Hugo.

4. Charles Baudelaire

Baudelaire détestait plus que tout les fautes de français et était désespéré de voir son nom de famille massacré (de nombreuses personnes l’écrivaient Beaudelaire). Une simple coquille dans un texte était insupportable pour l’auteur, il a donc dû perdre tous ses moyens en lisant la première édition du recueil Les Fleurs du mal. Dans le poème Le Cygne, il écrit « Eau, quand pleuveras-tu ? Quand tonneras-tu, foudre ? ». L’erreur est corrigée dans la réédition du livre quelques années plus tard.

5. Paul Verlaine

Tout le monde connaît les premiers vers de ce poème de Verlaine : « Il pleure dans mon coeur comme il pleut sur la ville ». Avez-vous déjà remarqué que cette utilisation du verbe pleurer est incorrecte ? Dans la langue française, l’emploi impersonnel du verbe pleurer n’est pas permis. En bref, ça ne veut rien dire mais qu’est-ce que c’est joli.

6. Jules Verne

Après le coup d’État de 1851, Verne écrit une lettre à ses parents pour leur décrire la situation actuelle à Paris. Rien d’anormal jusqu’à ce que l’on lise la phrase suivante : « Les maisons sont criblées de bal ! ». On a envie de croire à un jeu de mots délibéré, prouvant que Paris est vraiment une fête, mais il s’agit plus probablement d’un simple lapsus.

7. Albert Camus

Est-ce qu’on vous a déjà repris en vous disant « On ne pallie pas À un manque, on pallie UN manque. Il faut le remplacer par compenser pour ne plus faire l’erreur. » ? C’est une faute qui m’agace quand je la vois mais si même Albert Camus a fait cette erreur, je veux bien être un peu plus laxiste. Dans La Peste, on peut lire : « Dans toutes les armées du monde, on pallie généralement au manque de matériel par des hommes ».

8. Voltaire

« Mon cher philosofe […], je m’imagine que le termomètre de votre apartement est comme le mien, tout près de l’eau bouillante. ». Cette phrase de Voltaire est aujourd’hui assez connue. Elle est extraite du tome 4 de Correspondance générale.

9. Stendhal

Hugo n’était pas le seul à aimer les pléonasmes. Dans Le Rouge et le Noir, Stendhal écrit « C’est ce que je demande, s’écria-t-elle, en se levant debout ». Pourquoi ? C’est encore plus improbable que le classique ‘monter en haut’.

10. Marguerite Duras

En faisant des recherches pour ce top, j’ai découvert une règle de conjugaison dont je ne connaissais pas l’existence. Dans Les Petits chevaux de Tarquinia, Marguerite Duras écrit « Une fois les poissons ramenés dans la barque, il s’en distraya ». Hors, les verbes en -traire (comme distraire, extraire, soustraire, traire) ne se conjuguent pas au passé simple. Il est également impossible de les conjuguer à l’imparfait du subjonctif (c’est bête, je suis sûre que vous en mouriez d’envie).

https://image.noelshack.com/fichiers/2021/05/7/1612738731-7484ae4516cs5420.jpg

Les gauchix en PLS https://image.noelshack.com/fichiers/2021/05/7/1612738731-7484ae4516cs5420.jpg

Le 14 septembre 2021 à 22:17:57 :
REDPILL : TOUS LES GRANDS AUTEURS FONT DES FAUTES :)

1. Émile Zola

En annotant les pages de son bouquin un peu longuet sur les mines de charbon et les grèves d’ouvriers, Zola fait deux fautes de grammaire. Il écrit : « C’est la scène où les Grégoire se trouvent en face des ouvrier, de l’émeute. Leurs sensations, la logique qui les conduit. Et ce qu’ils penseront ensuite. C’est une scène capital, dont le contrecoup se trouve à la fin. ». Ça arrive à tout le monde d’oublier un s au pluriel, même à Zola.

2. Honoré de Balzac

Balzac disait « Il n’y a pas d’orthographe pour le cœur », c’est un peu facile comme justification mais soit. L’auteur était un habitué des fautes en tout genre qu’on pouvait retrouver dans ses romans. Dans Eugénie Grandet, il écrit même « La compatissance et la tendresse d’une jeune fille possèdent une influence vraiment magnétique ». C’est aujourd’hui accepté comme un néologisme mais en 1834, ce mot n’existait pas.

3. Victor Hugo

On n’a retrouvé que peu de fautes d’orthographe dans les écrits de Victor Hugo. Par contre, l’écrivain utilisait de nombreux pléonasmes et redondances dans ses romans. On peut notamment lire « Ouverture du puits de l’infini sans borne » dans Le Satyre et « La pieuse fille n’avait pu être canonisée sainte » dans Notre-Dame de Paris. Quel boloss ce Victor Hugo.

4. Charles Baudelaire

Baudelaire détestait plus que tout les fautes de français et était désespéré de voir son nom de famille massacré (de nombreuses personnes l’écrivaient Beaudelaire). Une simple coquille dans un texte était insupportable pour l’auteur, il a donc dû perdre tous ses moyens en lisant la première édition du recueil Les Fleurs du mal. Dans le poème Le Cygne, il écrit « Eau, quand pleuveras-tu ? Quand tonneras-tu, foudre ? ». L’erreur est corrigée dans la réédition du livre quelques années plus tard.

5. Paul Verlaine

Tout le monde connaît les premiers vers de ce poème de Verlaine : « Il pleure dans mon coeur comme il pleut sur la ville ». Avez-vous déjà remarqué que cette utilisation du verbe pleurer est incorrecte ? Dans la langue française, l’emploi impersonnel du verbe pleurer n’est pas permis. En bref, ça ne veut rien dire mais qu’est-ce que c’est joli.

6. Jules Verne

Après le coup d’État de 1851, Verne écrit une lettre à ses parents pour leur décrire la situation actuelle à Paris. Rien d’anormal jusqu’à ce que l’on lise la phrase suivante : « Les maisons sont criblées de bal ! ». On a envie de croire à un jeu de mots délibéré, prouvant que Paris est vraiment une fête, mais il s’agit plus probablement d’un simple lapsus.

7. Albert Camus

Est-ce qu’on vous a déjà repris en vous disant « On ne pallie pas À un manque, on pallie UN manque. Il faut le remplacer par compenser pour ne plus faire l’erreur. » ? C’est une faute qui m’agace quand je la vois mais si même Albert Camus a fait cette erreur, je veux bien être un peu plus laxiste. Dans La Peste, on peut lire : « Dans toutes les armées du monde, on pallie généralement au manque de matériel par des hommes ».

8. Voltaire

« Mon cher philosofe […], je m’imagine que le termomètre de votre apartement est comme le mien, tout près de l’eau bouillante. ». Cette phrase de Voltaire est aujourd’hui assez connue. Elle est extraite du tome 4 de Correspondance générale.

9. Stendhal

Hugo n’était pas le seul à aimer les pléonasmes. Dans Le Rouge et le Noir, Stendhal écrit « C’est ce que je demande, s’écria-t-elle, en se levant debout ». Pourquoi ? C’est encore plus improbable que le classique ‘monter en haut’.

10. Marguerite Duras

En faisant des recherches pour ce top, j’ai découvert une règle de conjugaison dont je ne connaissais pas l’existence. Dans Les Petits chevaux de Tarquinia, Marguerite Duras écrit « Une fois les poissons ramenés dans la barque, il s’en distraya ». Hors, les verbes en -traire (comme distraire, extraire, soustraire, traire) ne se conjuguent pas au passé simple. Il est également impossible de les conjuguer à l’imparfait du subjonctif (c’est bête, je suis sûre que vous en mouriez d’envie).

https://image.noelshack.com/fichiers/2021/05/7/1612738731-7484ae4516cs5420.jpg

c'est très grave, j'ai 80 qi je suis mieux qu'eux https://image.noelshack.com/fichiers/2019/03/4/1547680066-this-meme-is-called-brainlet-wojak-73c052b7ce6b031a7963b29e865681eb.jpg

Le 14 septembre 2021 à 21:58:25 :

Le 14 septembre 2021 à 21:55:49 :
Premièrement les journalistes feraient mieux de la fermer sur les fautes d'orthographe, chez eux non-plus il n'y a plus de relecteur (on fait confiance au correcteur automatique :malade: ), et leur niveau ayant considérablement baissé, leurs papier en sont systématiquement truffés.

Ensuite je constate qu'ils l'attaquent toujours sur la forme: "Oh mon dieu, une faute d'orthographe", "Oh mon dieu vous avez dit 17% au lieu de 13,5", voire carrément sur son physique ou son origine. Mais jamais sur le fond. Car ils savent que justement, au fond, il a raison. :ok:

On en a rien foutre de ce que tu dis, c'est ce que tu refuses de comprendre.

Il fait 3 fautes en une ligne dans un livre destiné à la vente, c'est un médiocre et c'est tout, tu ne pourras jamais changer ça.

Continu à couiner dans le désert tout le monde s'en branle https://image.noelshack.com/fichiers/2021/37/2/1631650048-1.png

Cette faute lui permet de dire que c'est dû à la précipitation suite à la censure qu'il a subit de la part d'Albin Michel.

Et ça lui permet aussi de dire que ses adversaires ne parlent que de la forme parce qu'ils sont incapables de l’attaquer sur le fond.

Le 14 septembre 2021 à 22:17:14 :

Le 14 septembre 2021 à 22:15:48 :
" Wlh il sé pas écrire en sah c'est tro la honte zebi https://image.noelshack.com/fichiers/2016/51/1482574900-wesh.png "

https://image.noelshack.com/fichiers/2020/45/7/1604835984-picsart-11-08-12-45-40.jpg

le culot de ces gens :rire: :rire: :rire:

"En SAH il est serieux wsh c koi cbouffon qui ces pas ecrire" https://image.noelshack.com/fichiers/2016/51/1482574900-wesh.png

:rire:

Le 14 septembre 2021 à 22:17:57 :
REDPILL : TOUS LES GRANDS AUTEURS FONT DES FAUTES :)

1. Émile Zola

En annotant les pages de son bouquin un peu longuet sur les mines de charbon et les grèves d’ouvriers, Zola fait deux fautes de grammaire. Il écrit : « C’est la scène où les Grégoire se trouvent en face des ouvrier, de l’émeute. Leurs sensations, la logique qui les conduit. Et ce qu’ils penseront ensuite. C’est une scène capital, dont le contrecoup se trouve à la fin. ». Ça arrive à tout le monde d’oublier un s au pluriel, même à Zola.

2. Honoré de Balzac

Balzac disait « Il n’y a pas d’orthographe pour le cœur », c’est un peu facile comme justification mais soit. L’auteur était un habitué des fautes en tout genre qu’on pouvait retrouver dans ses romans. Dans Eugénie Grandet, il écrit même « La compatissance et la tendresse d’une jeune fille possèdent une influence vraiment magnétique ». C’est aujourd’hui accepté comme un néologisme mais en 1834, ce mot n’existait pas.

3. Victor Hugo

On n’a retrouvé que peu de fautes d’orthographe dans les écrits de Victor Hugo. Par contre, l’écrivain utilisait de nombreux pléonasmes et redondances dans ses romans. On peut notamment lire « Ouverture du puits de l’infini sans borne » dans Le Satyre et « La pieuse fille n’avait pu être canonisée sainte » dans Notre-Dame de Paris. Quel boloss ce Victor Hugo.

4. Charles Baudelaire

Baudelaire détestait plus que tout les fautes de français et était désespéré de voir son nom de famille massacré (de nombreuses personnes l’écrivaient Beaudelaire). Une simple coquille dans un texte était insupportable pour l’auteur, il a donc dû perdre tous ses moyens en lisant la première édition du recueil Les Fleurs du mal. Dans le poème Le Cygne, il écrit « Eau, quand pleuveras-tu ? Quand tonneras-tu, foudre ? ». L’erreur est corrigée dans la réédition du livre quelques années plus tard.

5. Paul Verlaine

Tout le monde connaît les premiers vers de ce poème de Verlaine : « Il pleure dans mon coeur comme il pleut sur la ville ». Avez-vous déjà remarqué que cette utilisation du verbe pleurer est incorrecte ? Dans la langue française, l’emploi impersonnel du verbe pleurer n’est pas permis. En bref, ça ne veut rien dire mais qu’est-ce que c’est joli.

6. Jules Verne

Après le coup d’État de 1851, Verne écrit une lettre à ses parents pour leur décrire la situation actuelle à Paris. Rien d’anormal jusqu’à ce que l’on lise la phrase suivante : « Les maisons sont criblées de bal ! ». On a envie de croire à un jeu de mots délibéré, prouvant que Paris est vraiment une fête, mais il s’agit plus probablement d’un simple lapsus.

7. Albert Camus

Est-ce qu’on vous a déjà repris en vous disant « On ne pallie pas À un manque, on pallie UN manque. Il faut le remplacer par compenser pour ne plus faire l’erreur. » ? C’est une faute qui m’agace quand je la vois mais si même Albert Camus a fait cette erreur, je veux bien être un peu plus laxiste. Dans La Peste, on peut lire : « Dans toutes les armées du monde, on pallie généralement au manque de matériel par des hommes ».

8. Voltaire

« Mon cher philosofe […], je m’imagine que le termomètre de votre apartement est comme le mien, tout près de l’eau bouillante. ». Cette phrase de Voltaire est aujourd’hui assez connue. Elle est extraite du tome 4 de Correspondance générale.

9. Stendhal

Hugo n’était pas le seul à aimer les pléonasmes. Dans Le Rouge et le Noir, Stendhal écrit « C’est ce que je demande, s’écria-t-elle, en se levant debout ». Pourquoi ? C’est encore plus improbable que le classique ‘monter en haut’.

10. Marguerite Duras

En faisant des recherches pour ce top, j’ai découvert une règle de conjugaison dont je ne connaissais pas l’existence. Dans Les Petits chevaux de Tarquinia, Marguerite Duras écrit « Une fois les poissons ramenés dans la barque, il s’en distraya ». Hors, les verbes en -traire (comme distraire, extraire, soustraire, traire) ne se conjuguent pas au passé simple. Il est également impossible de les conjuguer à l’imparfait du subjonctif (c’est bête, je suis sûre que vous en mouriez d’envie).

https://image.noelshack.com/fichiers/2021/05/7/1612738731-7484ae4516cs5420.jpg

Oui, sauf qu'ils ne donnent pas de leçons de francitude aux autres en permanence https://image.noelshack.com/fichiers/2021/07/4/1613639007-risichauve.png

Vous avez vraiment du mal à comprendre, les fanboys https://image.noelshack.com/fichiers/2016/30/1469541952-risitas182.png

Zemmour : "Il y a un grand remplacement en cours, le peuple Français va disparaitre , il faut agir"

Réaction des gauchistes : "AHAHAHAHA REGARDEZ CE BOUFFON IL A MI UN ACCENT DU MAUVAIS SENS DANS SON LIVRE" https://image.noelshack.com/fichiers/2017/06/1486460009-lolz.png https://image.noelshack.com/fichiers/2018/36/5/1536271405-yann-barthes-jnounaient-du-cul-kekeh.png https://image.noelshack.com/fichiers/2016/51/1482574900-wesh.png https://image.noelshack.com/fichiers/2020/21/2/1589902107-le2r-mdr-v2.png

https://image.noelshack.com/fichiers/2021/32/1/1628468300-8be1d18d-c1ef-4ac7-90b5-9f10976e42de.png

Le 14 septembre 2021 à 22:18:35 :

Le 14 septembre 2021 à 21:00:09 :
Quand on n'a aucun argument, on pinaille. Classique.

Les gauchistes ne répondent pas sur la forme que par pinaillage, ils sont réellement incapable de répondre sur le fond, si l'un d'eux avait déjà fourni un argumentaire logique et structuré ça se saurait

Et c'est certainement pas la gourde de chroniqueuse qui pourrait argumenter face à lui

Le 14 septembre 2021 à 22:20:52 :

Le 14 septembre 2021 à 22:17:57 :
REDPILL : TOUS LES GRANDS AUTEURS FONT DES FAUTES :)

1. Émile Zola

En annotant les pages de son bouquin un peu longuet sur les mines de charbon et les grèves d’ouvriers, Zola fait deux fautes de grammaire. Il écrit : « C’est la scène où les Grégoire se trouvent en face des ouvrier, de l’émeute. Leurs sensations, la logique qui les conduit. Et ce qu’ils penseront ensuite. C’est une scène capital, dont le contrecoup se trouve à la fin. ». Ça arrive à tout le monde d’oublier un s au pluriel, même à Zola.

2. Honoré de Balzac

Balzac disait « Il n’y a pas d’orthographe pour le cœur », c’est un peu facile comme justification mais soit. L’auteur était un habitué des fautes en tout genre qu’on pouvait retrouver dans ses romans. Dans Eugénie Grandet, il écrit même « La compatissance et la tendresse d’une jeune fille possèdent une influence vraiment magnétique ». C’est aujourd’hui accepté comme un néologisme mais en 1834, ce mot n’existait pas.

3. Victor Hugo

On n’a retrouvé que peu de fautes d’orthographe dans les écrits de Victor Hugo. Par contre, l’écrivain utilisait de nombreux pléonasmes et redondances dans ses romans. On peut notamment lire « Ouverture du puits de l’infini sans borne » dans Le Satyre et « La pieuse fille n’avait pu être canonisée sainte » dans Notre-Dame de Paris. Quel boloss ce Victor Hugo.

4. Charles Baudelaire

Baudelaire détestait plus que tout les fautes de français et était désespéré de voir son nom de famille massacré (de nombreuses personnes l’écrivaient Beaudelaire). Une simple coquille dans un texte était insupportable pour l’auteur, il a donc dû perdre tous ses moyens en lisant la première édition du recueil Les Fleurs du mal. Dans le poème Le Cygne, il écrit « Eau, quand pleuveras-tu ? Quand tonneras-tu, foudre ? ». L’erreur est corrigée dans la réédition du livre quelques années plus tard.

5. Paul Verlaine

Tout le monde connaît les premiers vers de ce poème de Verlaine : « Il pleure dans mon coeur comme il pleut sur la ville ». Avez-vous déjà remarqué que cette utilisation du verbe pleurer est incorrecte ? Dans la langue française, l’emploi impersonnel du verbe pleurer n’est pas permis. En bref, ça ne veut rien dire mais qu’est-ce que c’est joli.

6. Jules Verne

Après le coup d’État de 1851, Verne écrit une lettre à ses parents pour leur décrire la situation actuelle à Paris. Rien d’anormal jusqu’à ce que l’on lise la phrase suivante : « Les maisons sont criblées de bal ! ». On a envie de croire à un jeu de mots délibéré, prouvant que Paris est vraiment une fête, mais il s’agit plus probablement d’un simple lapsus.

7. Albert Camus

Est-ce qu’on vous a déjà repris en vous disant « On ne pallie pas À un manque, on pallie UN manque. Il faut le remplacer par compenser pour ne plus faire l’erreur. » ? C’est une faute qui m’agace quand je la vois mais si même Albert Camus a fait cette erreur, je veux bien être un peu plus laxiste. Dans La Peste, on peut lire : « Dans toutes les armées du monde, on pallie généralement au manque de matériel par des hommes ».

8. Voltaire

« Mon cher philosofe […], je m’imagine que le termomètre de votre apartement est comme le mien, tout près de l’eau bouillante. ». Cette phrase de Voltaire est aujourd’hui assez connue. Elle est extraite du tome 4 de Correspondance générale.

9. Stendhal

Hugo n’était pas le seul à aimer les pléonasmes. Dans Le Rouge et le Noir, Stendhal écrit « C’est ce que je demande, s’écria-t-elle, en se levant debout ». Pourquoi ? C’est encore plus improbable que le classique ‘monter en haut’.

10. Marguerite Duras

En faisant des recherches pour ce top, j’ai découvert une règle de conjugaison dont je ne connaissais pas l’existence. Dans Les Petits chevaux de Tarquinia, Marguerite Duras écrit « Une fois les poissons ramenés dans la barque, il s’en distraya ». Hors, les verbes en -traire (comme distraire, extraire, soustraire, traire) ne se conjuguent pas au passé simple. Il est également impossible de les conjuguer à l’imparfait du subjonctif (c’est bête, je suis sûre que vous en mouriez d’envie).

https://image.noelshack.com/fichiers/2021/05/7/1612738731-7484ae4516cs5420.jpg

c'est très grave, j'ai 80 qi je suis mieux qu'eux https://image.noelshack.com/fichiers/2019/03/4/1547680066-this-meme-is-called-brainlet-wojak-73c052b7ce6b031a7963b29e865681eb.jpg

C'est tellement ça, vraiment de l'hypocrisie ces gens là :rire:

Le 14 septembre 2021 à 22:17:57 :
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1. Émile Zola

En annotant les pages de son bouquin un peu longuet sur les mines de charbon et les grèves d’ouvriers, Zola fait deux fautes de grammaire. Il écrit : « C’est la scène où les Grégoire se trouvent en face des ouvrier, de l’émeute. Leurs sensations, la logique qui les conduit. Et ce qu’ils penseront ensuite. C’est une scène capital, dont le contrecoup se trouve à la fin. ». Ça arrive à tout le monde d’oublier un s au pluriel, même à Zola.

2. Honoré de Balzac

Balzac disait « Il n’y a pas d’orthographe pour le cœur », c’est un peu facile comme justification mais soit. L’auteur était un habitué des fautes en tout genre qu’on pouvait retrouver dans ses romans. Dans Eugénie Grandet, il écrit même « La compatissance et la tendresse d’une jeune fille possèdent une influence vraiment magnétique ». C’est aujourd’hui accepté comme un néologisme mais en 1834, ce mot n’existait pas.

3. Victor Hugo

On n’a retrouvé que peu de fautes d’orthographe dans les écrits de Victor Hugo. Par contre, l’écrivain utilisait de nombreux pléonasmes et redondances dans ses romans. On peut notamment lire « Ouverture du puits de l’infini sans borne » dans Le Satyre et « La pieuse fille n’avait pu être canonisée sainte » dans Notre-Dame de Paris. Quel boloss ce Victor Hugo.

4. Charles Baudelaire

Baudelaire détestait plus que tout les fautes de français et était désespéré de voir son nom de famille massacré (de nombreuses personnes l’écrivaient Beaudelaire). Une simple coquille dans un texte était insupportable pour l’auteur, il a donc dû perdre tous ses moyens en lisant la première édition du recueil Les Fleurs du mal. Dans le poème Le Cygne, il écrit « Eau, quand pleuveras-tu ? Quand tonneras-tu, foudre ? ». L’erreur est corrigée dans la réédition du livre quelques années plus tard.

5. Paul Verlaine

Tout le monde connaît les premiers vers de ce poème de Verlaine : « Il pleure dans mon coeur comme il pleut sur la ville ». Avez-vous déjà remarqué que cette utilisation du verbe pleurer est incorrecte ? Dans la langue française, l’emploi impersonnel du verbe pleurer n’est pas permis. En bref, ça ne veut rien dire mais qu’est-ce que c’est joli.

6. Jules Verne

Après le coup d’État de 1851, Verne écrit une lettre à ses parents pour leur décrire la situation actuelle à Paris. Rien d’anormal jusqu’à ce que l’on lise la phrase suivante : « Les maisons sont criblées de bal ! ». On a envie de croire à un jeu de mots délibéré, prouvant que Paris est vraiment une fête, mais il s’agit plus probablement d’un simple lapsus.

7. Albert Camus

Est-ce qu’on vous a déjà repris en vous disant « On ne pallie pas À un manque, on pallie UN manque. Il faut le remplacer par compenser pour ne plus faire l’erreur. » ? C’est une faute qui m’agace quand je la vois mais si même Albert Camus a fait cette erreur, je veux bien être un peu plus laxiste. Dans La Peste, on peut lire : « Dans toutes les armées du monde, on pallie généralement au manque de matériel par des hommes ».

8. Voltaire

« Mon cher philosofe […], je m’imagine que le termomètre de votre apartement est comme le mien, tout près de l’eau bouillante. ». Cette phrase de Voltaire est aujourd’hui assez connue. Elle est extraite du tome 4 de Correspondance générale.

9. Stendhal

Hugo n’était pas le seul à aimer les pléonasmes. Dans Le Rouge et le Noir, Stendhal écrit « C’est ce que je demande, s’écria-t-elle, en se levant debout ». Pourquoi ? C’est encore plus improbable que le classique ‘monter en haut’.

10. Marguerite Duras

En faisant des recherches pour ce top, j’ai découvert une règle de conjugaison dont je ne connaissais pas l’existence. Dans Les Petits chevaux de Tarquinia, Marguerite Duras écrit « Une fois les poissons ramenés dans la barque, il s’en distraya ». Hors, les verbes en -traire (comme distraire, extraire, soustraire, traire) ne se conjuguent pas au passé simple. Il est également impossible de les conjuguer à l’imparfait du subjonctif (c’est bête, je suis sûre que vous en mouriez d’envie).

https://image.noelshack.com/fichiers/2021/05/7/1612738731-7484ae4516cs5420.jpg

pas en première ligne et une faute aussi grossière :)

Le 14 septembre 2021 à 22:17:57 :
REDPILL : TOUS LES GRANDS AUTEURS FONT DES FAUTES :)

1. Émile Zola

En annotant les pages de son bouquin un peu longuet sur les mines de charbon et les grèves d’ouvriers, Zola fait deux fautes de grammaire. Il écrit : « C’est la scène où les Grégoire se trouvent en face des ouvrier, de l’émeute. Leurs sensations, la logique qui les conduit. Et ce qu’ils penseront ensuite. C’est une scène capital, dont le contrecoup se trouve à la fin. ». Ça arrive à tout le monde d’oublier un s au pluriel, même à Zola.

2. Honoré de Balzac

Balzac disait « Il n’y a pas d’orthographe pour le cœur », c’est un peu facile comme justification mais soit. L’auteur était un habitué des fautes en tout genre qu’on pouvait retrouver dans ses romans. Dans Eugénie Grandet, il écrit même « La compatissance et la tendresse d’une jeune fille possèdent une influence vraiment magnétique ». C’est aujourd’hui accepté comme un néologisme mais en 1834, ce mot n’existait pas.

3. Victor Hugo

On n’a retrouvé que peu de fautes d’orthographe dans les écrits de Victor Hugo. Par contre, l’écrivain utilisait de nombreux pléonasmes et redondances dans ses romans. On peut notamment lire « Ouverture du puits de l’infini sans borne » dans Le Satyre et « La pieuse fille n’avait pu être canonisée sainte » dans Notre-Dame de Paris. Quel boloss ce Victor Hugo.

4. Charles Baudelaire

Baudelaire détestait plus que tout les fautes de français et était désespéré de voir son nom de famille massacré (de nombreuses personnes l’écrivaient Beaudelaire). Une simple coquille dans un texte était insupportable pour l’auteur, il a donc dû perdre tous ses moyens en lisant la première édition du recueil Les Fleurs du mal. Dans le poème Le Cygne, il écrit « Eau, quand pleuveras-tu ? Quand tonneras-tu, foudre ? ». L’erreur est corrigée dans la réédition du livre quelques années plus tard.

5. Paul Verlaine

Tout le monde connaît les premiers vers de ce poème de Verlaine : « Il pleure dans mon coeur comme il pleut sur la ville ». Avez-vous déjà remarqué que cette utilisation du verbe pleurer est incorrecte ? Dans la langue française, l’emploi impersonnel du verbe pleurer n’est pas permis. En bref, ça ne veut rien dire mais qu’est-ce que c’est joli.

6. Jules Verne

Après le coup d’État de 1851, Verne écrit une lettre à ses parents pour leur décrire la situation actuelle à Paris. Rien d’anormal jusqu’à ce que l’on lise la phrase suivante : « Les maisons sont criblées de bal ! ». On a envie de croire à un jeu de mots délibéré, prouvant que Paris est vraiment une fête, mais il s’agit plus probablement d’un simple lapsus.

7. Albert Camus

Est-ce qu’on vous a déjà repris en vous disant « On ne pallie pas À un manque, on pallie UN manque. Il faut le remplacer par compenser pour ne plus faire l’erreur. » ? C’est une faute qui m’agace quand je la vois mais si même Albert Camus a fait cette erreur, je veux bien être un peu plus laxiste. Dans La Peste, on peut lire : « Dans toutes les armées du monde, on pallie généralement au manque de matériel par des hommes ».

8. Voltaire

« Mon cher philosofe […], je m’imagine que le termomètre de votre apartement est comme le mien, tout près de l’eau bouillante. ». Cette phrase de Voltaire est aujourd’hui assez connue. Elle est extraite du tome 4 de Correspondance générale.

9. Stendhal

Hugo n’était pas le seul à aimer les pléonasmes. Dans Le Rouge et le Noir, Stendhal écrit « C’est ce que je demande, s’écria-t-elle, en se levant debout ». Pourquoi ? C’est encore plus improbable que le classique ‘monter en haut’.

10. Marguerite Duras

En faisant des recherches pour ce top, j’ai découvert une règle de conjugaison dont je ne connaissais pas l’existence. Dans Les Petits chevaux de Tarquinia, Marguerite Duras écrit « Une fois les poissons ramenés dans la barque, il s’en distraya ». Hors, les verbes en -traire (comme distraire, extraire, soustraire, traire) ne se conjuguent pas au passé simple. Il est également impossible de les conjuguer à l’imparfait du subjonctif (c’est bête, je suis sûre que vous en mouriez d’envie).

https://image.noelshack.com/fichiers/2021/05/7/1612738731-7484ae4516cs5420.jpg

Cette détermination putain :( Éric ?

C'est chaud quand même. Comment c'est possible ?

Le 14 septembre 2021 à 22:21:09 :

Le 14 septembre 2021 à 22:17:57 :
REDPILL : TOUS LES GRANDS AUTEURS FONT DES FAUTES :)

1. Émile Zola

En annotant les pages de son bouquin un peu longuet sur les mines de charbon et les grèves d’ouvriers, Zola fait deux fautes de grammaire. Il écrit : « C’est la scène où les Grégoire se trouvent en face des ouvrier, de l’émeute. Leurs sensations, la logique qui les conduit. Et ce qu’ils penseront ensuite. C’est une scène capital, dont le contrecoup se trouve à la fin. ». Ça arrive à tout le monde d’oublier un s au pluriel, même à Zola.

2. Honoré de Balzac

Balzac disait « Il n’y a pas d’orthographe pour le cœur », c’est un peu facile comme justification mais soit. L’auteur était un habitué des fautes en tout genre qu’on pouvait retrouver dans ses romans. Dans Eugénie Grandet, il écrit même « La compatissance et la tendresse d’une jeune fille possèdent une influence vraiment magnétique ». C’est aujourd’hui accepté comme un néologisme mais en 1834, ce mot n’existait pas.

3. Victor Hugo

On n’a retrouvé que peu de fautes d’orthographe dans les écrits de Victor Hugo. Par contre, l’écrivain utilisait de nombreux pléonasmes et redondances dans ses romans. On peut notamment lire « Ouverture du puits de l’infini sans borne » dans Le Satyre et « La pieuse fille n’avait pu être canonisée sainte » dans Notre-Dame de Paris. Quel boloss ce Victor Hugo.

4. Charles Baudelaire

Baudelaire détestait plus que tout les fautes de français et était désespéré de voir son nom de famille massacré (de nombreuses personnes l’écrivaient Beaudelaire). Une simple coquille dans un texte était insupportable pour l’auteur, il a donc dû perdre tous ses moyens en lisant la première édition du recueil Les Fleurs du mal. Dans le poème Le Cygne, il écrit « Eau, quand pleuveras-tu ? Quand tonneras-tu, foudre ? ». L’erreur est corrigée dans la réédition du livre quelques années plus tard.

5. Paul Verlaine

Tout le monde connaît les premiers vers de ce poème de Verlaine : « Il pleure dans mon coeur comme il pleut sur la ville ». Avez-vous déjà remarqué que cette utilisation du verbe pleurer est incorrecte ? Dans la langue française, l’emploi impersonnel du verbe pleurer n’est pas permis. En bref, ça ne veut rien dire mais qu’est-ce que c’est joli.

6. Jules Verne

Après le coup d’État de 1851, Verne écrit une lettre à ses parents pour leur décrire la situation actuelle à Paris. Rien d’anormal jusqu’à ce que l’on lise la phrase suivante : « Les maisons sont criblées de bal ! ». On a envie de croire à un jeu de mots délibéré, prouvant que Paris est vraiment une fête, mais il s’agit plus probablement d’un simple lapsus.

7. Albert Camus

Est-ce qu’on vous a déjà repris en vous disant « On ne pallie pas À un manque, on pallie UN manque. Il faut le remplacer par compenser pour ne plus faire l’erreur. » ? C’est une faute qui m’agace quand je la vois mais si même Albert Camus a fait cette erreur, je veux bien être un peu plus laxiste. Dans La Peste, on peut lire : « Dans toutes les armées du monde, on pallie généralement au manque de matériel par des hommes ».

8. Voltaire

« Mon cher philosofe […], je m’imagine que le termomètre de votre apartement est comme le mien, tout près de l’eau bouillante. ». Cette phrase de Voltaire est aujourd’hui assez connue. Elle est extraite du tome 4 de Correspondance générale.

9. Stendhal

Hugo n’était pas le seul à aimer les pléonasmes. Dans Le Rouge et le Noir, Stendhal écrit « C’est ce que je demande, s’écria-t-elle, en se levant debout ». Pourquoi ? C’est encore plus improbable que le classique ‘monter en haut’.

10. Marguerite Duras

En faisant des recherches pour ce top, j’ai découvert une règle de conjugaison dont je ne connaissais pas l’existence. Dans Les Petits chevaux de Tarquinia, Marguerite Duras écrit « Une fois les poissons ramenés dans la barque, il s’en distraya ». Hors, les verbes en -traire (comme distraire, extraire, soustraire, traire) ne se conjuguent pas au passé simple. Il est également impossible de les conjuguer à l’imparfait du subjonctif (c’est bête, je suis sûre que vous en mouriez d’envie).

https://image.noelshack.com/fichiers/2021/05/7/1612738731-7484ae4516cs5420.jpg

Oui, sauf qu'ils ne donnent pas de leçons de francitude aux autres en permanence https://image.noelshack.com/fichiers/2021/07/4/1613639007-risichauve.png

Vous avez vraiment du mal à comprendre, les fanboys https://image.noelshack.com/fichiers/2016/30/1469541952-risitas182.png

Ils sont morts

Le 14 septembre 2021 à 22:19:20 :

Le 14 septembre 2021 à 22:15:54 :

Le 14 septembre 2021 à 22:09:04 :

Le 14 septembre 2021 à 22:05:07 2far a écrit :

Le 14 septembre 2021 à 22:04:10 :

Le 14 septembre 2021 à 22:01:48 2far a écrit :

Le 14 septembre 2021 à 22:00:56 :

Le 14 septembre 2021 à 21:56:55 Zoubidouchonclo a écrit :
Je vais pas cracher sur Zemmour car ça arrive à tout le monde, même aux meilleurs, mais ça la fout mal. Perso à sa place, ça me ferait chier. Un livre tu dois le sortir avec 0 faute et surtout un livre comme ça.

Pourtant même nos maisons d'éditions françaises ont l'habitude de sortir des v1 avec des fôtes. :)

Tu trouveras rarement une faute sur le 2ème mot d'un bouquin, quand même :noel:

Entre des entreprises qui publient uniquement des livres en français depuis des décennies et contenant régulièrement des fôtes et un mec seul dans son coin, qui devrait avoir le plus honte que ça se puisse se produire ? :)

Le mec, qui ne fait que donner des leçons sur la France, et qui n'est pas foutu de soit écrire sans faute, soit faire appel à un correcteur.

Jules Verne, Balzac, Apollinaire, Maupassant, Baudelaire, Zola, etc tous en ont fait. Etrangemment on vous entend pas vous en plaindre. :)

Ils n'étaient pas intégristes sur la culture française, eux. C'est surtout ça la différence.

Un mec qui vilipende toute sa vie des gens qui ne sont jamais assez purement français à ses yeux et qui n'est lui-même pas capable de l'être détruit à lui tout seul tout son argumentaire

Parce qu'être français, c'est avoir une orthographe parfaite ? https://image.noelshack.com/fichiers/2021/04/4/1611841177-ahiahiahi.png

Tu peux me citer le passage où le Z dit ça, s'il te plaît ? https://image.noelshack.com/fichiers/2021/04/4/1611841177-ahiahiahi.png

je me souviens pas mais il l'a dit https://image.noelshack.com/fichiers/2019/03/4/1547680066-this-meme-is-called-brainlet-wojak-73c052b7ce6b031a7963b29e865681eb.jpg

Le 14 septembre 2021 à 22:21:27 :
Zemmour : "Il y a un grand remplacement en cours, le peuple Français va disparaitre , il faut agir"

Réaction des gauchistes : "AHAHAHAHA REGARDEZ CE BOUFFON IL A MI UN ACCENT DU MAUVAIS SENS DANS SON LIVRE" https://image.noelshack.com/fichiers/2017/06/1486460009-lolz.png https://image.noelshack.com/fichiers/2018/36/5/1536271405-yann-barthes-jnounaient-du-cul-kekeh.png https://image.noelshack.com/fichiers/2016/51/1482574900-wesh.png https://image.noelshack.com/fichiers/2020/21/2/1589902107-le2r-mdr-v2.png

https://image.noelshack.com/fichiers/2021/32/1/1628468300-8be1d18d-c1ef-4ac7-90b5-9f10976e42de.png

AYAAAAAAAAAAAAAAAA https://image.noelshack.com/fichiers/2021/05/7/1612738731-7484ae4516cs5420.jpg

Au moins ça prouve qu'il a vraiment écrit le livre
Ma soeur est lectrice-correctrice vous inquiétez pas aucun auteurs ne sait vraiment écrire. Après, les coquilles ça arrive et vous observerez cela dans quasi tous les livres existants.

Le 14 septembre 2021 à 22:21:40 :

Le 14 septembre 2021 à 22:17:57 :
REDPILL : TOUS LES GRANDS AUTEURS FONT DES FAUTES :)

1. Émile Zola

En annotant les pages de son bouquin un peu longuet sur les mines de charbon et les grèves d’ouvriers, Zola fait deux fautes de grammaire. Il écrit : « C’est la scène où les Grégoire se trouvent en face des ouvrier, de l’émeute. Leurs sensations, la logique qui les conduit. Et ce qu’ils penseront ensuite. C’est une scène capital, dont le contrecoup se trouve à la fin. ». Ça arrive à tout le monde d’oublier un s au pluriel, même à Zola.

2. Honoré de Balzac

Balzac disait « Il n’y a pas d’orthographe pour le cœur », c’est un peu facile comme justification mais soit. L’auteur était un habitué des fautes en tout genre qu’on pouvait retrouver dans ses romans. Dans Eugénie Grandet, il écrit même « La compatissance et la tendresse d’une jeune fille possèdent une influence vraiment magnétique ». C’est aujourd’hui accepté comme un néologisme mais en 1834, ce mot n’existait pas.

3. Victor Hugo

On n’a retrouvé que peu de fautes d’orthographe dans les écrits de Victor Hugo. Par contre, l’écrivain utilisait de nombreux pléonasmes et redondances dans ses romans. On peut notamment lire « Ouverture du puits de l’infini sans borne » dans Le Satyre et « La pieuse fille n’avait pu être canonisée sainte » dans Notre-Dame de Paris. Quel boloss ce Victor Hugo.

4. Charles Baudelaire

Baudelaire détestait plus que tout les fautes de français et était désespéré de voir son nom de famille massacré (de nombreuses personnes l’écrivaient Beaudelaire). Une simple coquille dans un texte était insupportable pour l’auteur, il a donc dû perdre tous ses moyens en lisant la première édition du recueil Les Fleurs du mal. Dans le poème Le Cygne, il écrit « Eau, quand pleuveras-tu ? Quand tonneras-tu, foudre ? ». L’erreur est corrigée dans la réédition du livre quelques années plus tard.

5. Paul Verlaine

Tout le monde connaît les premiers vers de ce poème de Verlaine : « Il pleure dans mon coeur comme il pleut sur la ville ». Avez-vous déjà remarqué que cette utilisation du verbe pleurer est incorrecte ? Dans la langue française, l’emploi impersonnel du verbe pleurer n’est pas permis. En bref, ça ne veut rien dire mais qu’est-ce que c’est joli.

6. Jules Verne

Après le coup d’État de 1851, Verne écrit une lettre à ses parents pour leur décrire la situation actuelle à Paris. Rien d’anormal jusqu’à ce que l’on lise la phrase suivante : « Les maisons sont criblées de bal ! ». On a envie de croire à un jeu de mots délibéré, prouvant que Paris est vraiment une fête, mais il s’agit plus probablement d’un simple lapsus.

7. Albert Camus

Est-ce qu’on vous a déjà repris en vous disant « On ne pallie pas À un manque, on pallie UN manque. Il faut le remplacer par compenser pour ne plus faire l’erreur. » ? C’est une faute qui m’agace quand je la vois mais si même Albert Camus a fait cette erreur, je veux bien être un peu plus laxiste. Dans La Peste, on peut lire : « Dans toutes les armées du monde, on pallie généralement au manque de matériel par des hommes ».

8. Voltaire

« Mon cher philosofe […], je m’imagine que le termomètre de votre apartement est comme le mien, tout près de l’eau bouillante. ». Cette phrase de Voltaire est aujourd’hui assez connue. Elle est extraite du tome 4 de Correspondance générale.

9. Stendhal

Hugo n’était pas le seul à aimer les pléonasmes. Dans Le Rouge et le Noir, Stendhal écrit « C’est ce que je demande, s’écria-t-elle, en se levant debout ». Pourquoi ? C’est encore plus improbable que le classique ‘monter en haut’.

10. Marguerite Duras

En faisant des recherches pour ce top, j’ai découvert une règle de conjugaison dont je ne connaissais pas l’existence. Dans Les Petits chevaux de Tarquinia, Marguerite Duras écrit « Une fois les poissons ramenés dans la barque, il s’en distraya ». Hors, les verbes en -traire (comme distraire, extraire, soustraire, traire) ne se conjuguent pas au passé simple. Il est également impossible de les conjuguer à l’imparfait du subjonctif (c’est bête, je suis sûre que vous en mouriez d’envie).

https://image.noelshack.com/fichiers/2021/05/7/1612738731-7484ae4516cs5420.jpg

pas en première ligne et une faute aussi grossière :)

Arrêtez de faire les mythos, c'est pas une faute grossière, c'est qu'un putain d'accent :rire:

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PetiteNenette_4
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14 septembre 2021 à 20:51:59
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15 septembre 2021 à 13:51:30
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