Je suis TIMIDE et j'ai travaillé avec des JEUNES

Oui, les fameux jeunes. On les connait tous.

Il y a eu des hauts et des bas, ce n'était pas un job fait pour moi. Mais j'ai tenté. Il y a eu des moments où j'étais à bout mais aussi des moments de rire et de joies. Bref, là n'est pas la question.

Et au final je reste toujours aussi timide qu'il y a un an avant de commencer ce job malgré le fait que j'ai enchaîné les exposés, les confrontations, la création de liens avec ce public difficile.

Bref, tout ça pour dire qu'il n'y a aucun travail sur soi qui marche pour détruire la timidité.

La seule chose qui fonctionne réellement ce sont les ISRS. C'est triste à dire mais c'est la vérité.

Le 17 août 2021 à 01:10:51 :
Et l'alcool

Non, ça ne fonctionne pas. Ni à court ni à moyen terme.

Le 17 août 2021 à 01:12:46 :
Pour moi si ça marche

Non, car le lendemain tu redeviens timide et en plus, tu ne sors pas de la timidité avec l'alcool: t'es toujours aussi malaisant même si tu te sens moins anxieux: aux yeux de tous, tu es simplement un timide bourré.

Le 17 août 2021 à 01:14:51 :
Tu a déjà test les ISRS pour la timidité ?

Oui.

Le 17 août 2021 à 01:13:57 :

Le 17 août 2021 à 01:12:46 :
Pour moi si ça marche

Non, car le lendemain tu redeviens timide et en plus, tu ne sors pas de la timidité avec l'alcool: t'es toujours aussi malaisant même si tu te sens moins anxieux: aux yeux de tous, tu es simplement un timide bourré.

Je suis pas malaisant perso, j'ai juste du mal à me laisser aller et l'alcool fonctionne bien pour contrer ça

Le timide utilise des zones du cerveau différentes de ses congénères, les sapiens sans-gêne (qu'on appelle aussi les gens normaux), mais moi, je ne vous vois que comme des singes excités et sans retenus. Et pourtant, j'éprouve énormément d'empathie à votre égard (plus que vous en éprouvez vous-même pour vos congénères) car je ressens les stimulis du contact social de manière très importante au point où ça devient désagréable, anxiogène et paralysant,

Bref, avec un petit ISRS, on se sent comme vous, et je peux également décrire ce que vous ressentez: vous êtes des automates guidés par votre instinct animal. En étant "normaux", vous êtes bien plus proche des psychopathes que les timides.

Le 17 août 2021 à 01:16:02 :
100% sûr t’as progressé de fou et tu t’en rends même pas compte

Alors oui. Mais je suis encore anxieux dans les situations sociales et je suis loin d'avoir la capacité de reproduire le comportement de mes anciens élèves.

La timidité c’est à vie khey.

Je ne sortais presque jamais quand j’étais au collège/lycée car je passais mon temps sur les ordinateurs ce qui fait que au moindre contact sociale j’évitais le regard et mon cœur battait vite, je répondais des réponses rapide et ferme.

Sans parler de mon physique en surpoids mais bon ça c’est ma faute j’avoue.

Le 17 août 2021 à 01:19:06 :
Le timide utilise des zones du cerveau différentes de ses congénères, les sapiens sans-gêne (qu'on appelle aussi les gens normaux), mais moi, je ne vous vois que comme des singes excités et sans retenus. Et pourtant, j'éprouve énormément d'empathie à votre égard (plus que vous en éprouvez vous-même pour vos congénères) car je ressens les stimulis du contact social de manière très importante au point où ça devient désagréable, anxiogène et paralysant,

Bref, avec un petit ISRS, on se sent comme vous, et je peux également décrire ce que vous ressentez: vous êtes des automates guidés par votre instinct animal. En étant "normaux", vous êtes bien plus proche des psychopathes que les timides.

Putain ce genre de timide

Le 17 août 2021 à 01:15:26 :

Le 17 août 2021 à 01:14:51 :
Tu a déjà test les ISRS pour la timidité ?

Oui.

Pourquoi t’en prend plus du coup ? (Je te demande car je suis timide aussi)

Le 17 août 2021 à 01:18:20 :
Et pourquoi tu es timide enfaite ?

Éducation ou trait de caractère ?! Quand t'es parents ton toujours apris à ne jamais écouter une autre voix que la tienne, tu finis par te renfermer, finalement peu importe la solitude tout le monde la veux mais personne ne l'a supporte , c'est un calvaire qu'il faudra supporter jusqu'à ma mort inéluctable.