Je viens de terminer 1984

Le 04 août 2021 à 02:06:03 :
Tiens je te copie colle un extrait de l’analyse du livre sur sa notice Wikipedia :

« Un roman en écho à son époque
Le roman écrit durant l'occupation de la France par l'Allemagne met en scène un protagoniste qui se méfie du progrès et prône le retour à la terre. (...)
Si l'on a pu déceler une influence pétainiste dans Ravage, l'État français n'est pas épargné par les passages clairement pamphlétaires du roman, qui raille les ministères aux titres pré-orwelliens (ministères du Progrès social, de la Moralité publique, de la Production et de la Coordination, de la Médecine gratuite et obligatoire…), les « artistes diplômés par le gouvernement » seuls autorisés à peindre, ou encore les « aïeux » surgelés veillant sur leurs descendants au milieu même des habitations : la satire est parfois très grosse.

L'impuissance des gouvernements français de l'avant-guerre face à la montée des périls trouve un écho dans le roman de Barjavel qui met en scène, avec une ironie mordante, un Conseil des ministres totalement dépassé par la situation créée par la disparition de l'électricité. Le comble de l'impuissance et de l'ineptie est atteint par le ministre de la Jeunesse et des Sports, absent car incapable de faire à vélo les quelques kilomètres entre Passy et le quartier des ministères. »

Ça me vend déjà mieux le roman . L'auteur est un profond pessimiste ou pas ? Ça me casse facilement le moral les visions du monde plongées dans le nihilisme.

Le 04 août 2021 à 02:07:54 :
j'ai telechargé le film depuis le 27 mai 2010 et c'est tellement nul que j'ai toujours pas reussi a le regarder entierement

Je parle du livre. Je ne connais pas les adaptations cinématographiques, mais je doute que j'irais les voir, j'ai déjà eu ma dose de désespoir avec le bouquin.

Le 04 août 2021 à 02:11:49 :
L’auteur n’est pas pessimiste, au contraire l’idée du roman est clairement qu’il y a toujours un retour à ce qui fait de nous des hommes libres

Je vais peut-être le lire. Une plume française me sera surement déjà plus familière.

C'est vrai que la partie du livre avec la salle 101 m'avait clairement mis en PLS

Et O'Brien ce malade mental vraiment, j'avais presque failli lui donner raison avec ses arguments

Ils ont complètement détruit le couple entre Julie et Winston, on comprend mieux pourquoi le livre s'attardait autant sur leur romance.

Ce livre c'est la perte total d'espoir, je pensais au début qu'il allait avoir une résistance AYAA

Franchement niveau distorsion du langage et description des PNJ, on ne fait pas mieux que ce livre. Il fait partie des chefs-d’œuvre de la littérature.

Je pense que l’appendice est au passé parce que l’auteur voulait insuffler un peu d’espoir.

Un classique, souvent cité par les golems pour "dénoncer" mais au final très peu l'ont Lu

En revanche le concept du double penser dans le livre est assez effrayant et aujourd'hui on a déjà des similitudes de double penser

Le 04 août 2021 à 02:15:27 :
C'est vrai que la partie du livre avec la salle 101 m'avait clairement mis en PLS

Et O'Brien ce malade mental vraiment, j'avais presque failli lui donner raison avec ses arguments

Ils ont complètement détruit le couple entre Julie et Winston, on comprend mieux pourquoi le livre s'attardait autant sur leur romance.

Ce livre c'est la perte total d'espoir, je pensais au début qu'il allait avoir une résistance AYAA

La salle 101, bof pour moi, le passage que j'ai trouvé le plus délirant, c'est surtout celui de l'interrogatoire, et de l'exposition d'O'Brien de son propre système de pensée.
Quand Winston découvre sa nouvelle allure.

Le 04 août 2021 à 02:20:01 :

Le 04 août 2021 à 02:15:27 :
C'est vrai que la partie du livre avec la salle 101 m'avait clairement mis en PLS

Et O'Brien ce malade mental vraiment, j'avais presque failli lui donner raison avec ses arguments

Ils ont complètement détruit le couple entre Julie et Winston, on comprend mieux pourquoi le livre s'attardait autant sur leur romance.

Ce livre c'est la perte total d'espoir, je pensais au début qu'il allait avoir une résistance AYAA

La salle 101, bof pour moi, le passage que j'ai trouvé le plus délirant, c'est surtout celui de l'interrogatoire, et de l'exposition d'O'Brien de son propre système de pensée.
Quand Winston découvre sa nouvelle allure.

Ah bah je pensais que ce moment se passait dans la salle 101 aussi

Le 04 août 2021 à 02:18:14 :
Franchement niveau distorsion du langage et description des PNJ, on ne fait pas mieux que ce livre. Il fait partie des chefs-d’œuvre de la littérature.

Pour moi le livre est moyen, j'ai l'impression d'avoir été impacté émotionnellement principalement par seulement deux scènes, celles qui parlent de Winston en compagnie de sa mère et sa soeur. Mais je suis peut-être sévère. En tout cas ce qui est sûr c'est que sans elles, le livre ne m'aurait pas autant chamboulé.

Je pense que l’appendice est au passé parce que l’auteur voulait insuffler un peu d’espoir.

Après c'est une fiction, on ne pourra jamais changer la nature humaine (contrairement à ce que souhaite la gauche). On peut voir la fin comme le souhaite.

Le 04 août 2021 à 02:18:57 :
Un classique, souvent cité par les golems pour "dénoncer" mais au final très peu l'ont Lu

En revanche le concept du double penser dans le livre est assez effrayant et aujourd'hui on a déjà des similitudes de double penser

Double-pensée = négation du principe de non-contradiction. Ce qu'on retrouve dans tous les médias d'aujourd'hui quoi. Détenus par QUI ? L'Ingsoc n'existe pourtant pas.

Ce qu'est marrant c'est que l'énorme cuck qui a écrit la préface de mon édition, Dorian Lynskey, nous parle des concepts d'Orwell comme de vérités en citant les "fake news" et "populismes autoritaires" d'aujourd'hui.
Le mec est passé sur BBC. BBC a fait une émission "Why 1984 is still important", quelque chose comme ça.

Oui, BBC.

Le 04 août 2021 à 02:21:28 :

Le 04 août 2021 à 02:20:01 :

Le 04 août 2021 à 02:15:27 :
C'est vrai que la partie du livre avec la salle 101 m'avait clairement mis en PLS

Et O'Brien ce malade mental vraiment, j'avais presque failli lui donner raison avec ses arguments

Ils ont complètement détruit le couple entre Julie et Winston, on comprend mieux pourquoi le livre s'attardait autant sur leur romance.

Ce livre c'est la perte total d'espoir, je pensais au début qu'il allait avoir une résistance AYAA

La salle 101, bof pour moi, le passage que j'ai trouvé le plus délirant, c'est surtout celui de l'interrogatoire, et de l'exposition d'O'Brien de son propre système de pensée.
Quand Winston découvre sa nouvelle allure.

Ah bah je pensais que ce moment se passait dans la salle 101 aussi

La salle 101 c'est celle avec les rats, aprés que Winston ait craqué en hurlant le nom de sa copine.

Le 04 août 2021 à 02:26:04 :
Ma partie préférée c'est le cinquième chapitre où on en apprend plus sur la destruction de langue et sur les objectifs de la novlangue

Moi ça m'a pas particulièrement marqué.