SITE pour vérifier si vos ancêtres = HÉROS
[11:12:52] <PrincePhilip>
"faisant partie de l'équipage a37 ayant cessé le feu le 25 juin 1940 à 0h35, à reçu l'ordre le 30 juin de se constituer prisonnier suite à la décision de Wierbaden, le Haut Commandement assure au dénommé Martin Kirch les honneurs de la guerre".Résultats Martin Kirch inconnu au bataillon sur ton site. C'est pas de ta faute mais il est foireux
Perso je suis bien content d'avoir ce genre d'infos, on doit être le seul pays à pouvoir retracer des morts pour la patrie sur plus de 3 siècles
Y mon arrière grand père dedans avec le nom du bled pommé où était la famille de mon père
Salut à toi, Armand !
5 morts 2eme GM
2 morts Guerre Vietnam et 3 en Algérie
6 déportations dont 1 a Auschwitz
4 en opération extérieur
2 grands commandeur légion d'honneur (2 arrière grand père )
Je suis légitime pour être français
Perso le plus notable dans ma famille ---> https://fr.wikipedia.org/wiki/Henri_Karcher_(homme_politique,_1908-1983)
Docteur en médecine, Compagnon de la Libération, a son personnage joué par Jean-Pierre Cassel dans un film de 1966 avec entre autres Delon, Belmondo, et Kirk Douglas.
En fait le gars a participé au débarquement en Normandie, et à la Libération de Paris où il a arrêté le général allemand qui était devenu à l'époque le gourverneur de Paris et qui répondait directement aux ordres d'Hitler.
Le 25 août 1944, Henri Karcher est chargé avec sa section, de prendre l’hôtel Le Meurice, siège du quartier général allemand. Au cours des opérations, le capitaine Branet, commandant la 3/501e RCC étant blessé, il prend le commandement du détachement. Il entraîne ses hommes (vingt-cinq hommes à pied) à l’assaut, sous le feu des mitrailleuses et des chars qui défendent l’hôtel. Une balle l’effleure, mais il ne ralentit pas. « Quel baroud ! Toutes les rues voisines, les Tuileries, la Concorde, les toits, les fenêtres nous tiraient dessus. Enlevées à la dure la place des Pyramides, la rue d’Alger, les Tuileries côté rue de Rivoli. Du monde par terre… Beaucoup de Fritz aussi. Feu de mitrailleuses et d’antichars. A 50 m de l’hôtel Le Meurice, une balle traceuse m’érafle le sourcil gauche. Trois coups d’anti-chars au-dessus de la tête. Enfin j’arrive au Meurice qui grenade par les fenêtres. Je n’ai plus que cinq hommes avec moi. On mitraille et on grenade. Le tireur du général boche du premier étage me rate d’une rafale de mitraillette. Je riposte au coup de poing et le tue de deux balles. Je balance une grenade au phosphore. Cinq minutes après (14 h 35), la compagnie de défense du QG se rendait » (Narration de la prise de l’hôtel Meurice par Henri Karcher, 25 août 1944. Quatre pages manuscrites déposées dans le dossier Karcher, musée de l’Ordre de la Libération. On retrouve ce même récit à quelques variantes près, dans journal de guerre).
Henri Karcher pénètre le premier dans le hall. Il monte, immédiatement, au premier étage, suivi d’un de ses hommes et pénètre (14 h 43) dans le bureau du général von Choltitz « J’entre sale et crasseux, couvert de poussière et de fumée. Von Choltitz est debout derrière son bureau, entouré de son chef d’état-major et de ses officiers. Je m’annonce : lieutenant Karcher de l’armée du général de Gaulle (…). Déposez vos armes sur le bureau ». Le gouverneur militaire de Paris s’exécute le premier, ses officiers font de même dans le silence. Amené au général Leclerc à la gare de l’Est, von Choltitz signe la capitulation de Paris. Au total, l’unité de Karcher a fait prisonnier l’ensemble de la garnison, soit une cinquantaine d’officiers d’état-major et une centaine d’hommes.
Le 28 juillet 2021 à 14:43:00 :
Perso le plus notable dans ma famille ---> https://fr.wikipedia.org/wiki/Henri_Karcher_(homme_politique,_1908-1983)Docteur en médecine, Compagnon de la Libération, a son personnage joué par Jean-Pierre Cassel dans un film de 1966 avec entre autres Delon, Belmondo, et Kirk Douglas.
En fait le gars a participé au débarquement en Normandie, et à la Libération de Paris où il a arrêté le général allemand qui était devenu à l'époque le gourverneur de Paris et qui répondait directement aux ordres d'Hitler.
Le 25 août 1944, Henri Karcher est chargé avec sa section, de prendre l’hôtel Le Meurice, siège du quartier général allemand. Au cours des opérations, le capitaine Branet, commandant la 3/501e RCC étant blessé, il prend le commandement du détachement. Il entraîne ses hommes (vingt-cinq hommes à pied) à l’assaut, sous le feu des mitrailleuses et des chars qui défendent l’hôtel. Une balle l’effleure, mais il ne ralentit pas. « Quel baroud ! Toutes les rues voisines, les Tuileries, la Concorde, les toits, les fenêtres nous tiraient dessus. Enlevées à la dure la place des Pyramides, la rue d’Alger, les Tuileries côté rue de Rivoli. Du monde par terre… Beaucoup de Fritz aussi. Feu de mitrailleuses et d’antichars. A 50 m de l’hôtel Le Meurice, une balle traceuse m’érafle le sourcil gauche. Trois coups d’anti-chars au-dessus de la tête. Enfin j’arrive au Meurice qui grenade par les fenêtres. Je n’ai plus que cinq hommes avec moi. On mitraille et on grenade. Le tireur du général boche du premier étage me rate d’une rafale de mitraillette. Je riposte au coup de poing et le tue de deux balles. Je balance une grenade au phosphore. Cinq minutes après (14 h 35), la compagnie de défense du QG se rendait » (Narration de la prise de l’hôtel Meurice par Henri Karcher, 25 août 1944. Quatre pages manuscrites déposées dans le dossier Karcher, musée de l’Ordre de la Libération. On retrouve ce même récit à quelques variantes près, dans journal de guerre).
Henri Karcher pénètre le premier dans le hall. Il monte, immédiatement, au premier étage, suivi d’un de ses hommes et pénètre (14 h 43) dans le bureau du général von Choltitz « J’entre sale et crasseux, couvert de poussière et de fumée. Von Choltitz est debout derrière son bureau, entouré de son chef d’état-major et de ses officiers. Je m’annonce : lieutenant Karcher de l’armée du général de Gaulle (…). Déposez vos armes sur le bureau ». Le gouverneur militaire de Paris s’exécute le premier, ses officiers font de même dans le silence. Amené au général Leclerc à la gare de l’Est, von Choltitz signe la capitulation de Paris. Au total, l’unité de Karcher a fait prisonnier l’ensemble de la garnison, soit une cinquantaine d’officiers d’état-major et une centaine d’hommes.
Le 27 juillet 2021 à 21:29:48 :
https://www.memoiredeshommes.sga.defense.gouv.fr/fr/arkotheque/client/mdh/recherche_transversale/bases_nominatives.php
Données du topic
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- FAKESTICKER
- Date de création
- 27 juillet 2021 à 21:29:48
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