[BORDEL] "C'est de l'ART mais tu es trop CON pour COMPRENDRE
https://www.kazoart.com/blog/oeuvre-a-la-loupe-skull-jean-michel-basquiat/
Renommée Skull, cette œuvre de 1981 s’intitule à l’origine Untitled comme beaucoup des peintures et dessins de Basquiat. Force est de constater que sous l’apparence simpliste d’un crâne humain se cache une véritable complexité liée à la nature même de notre condition. Une recherche picturale placée sous le signe de la dichotomie interne/externe.
Basquiat multiplie les techniques dans cette toile. La peinture acrylique d’abord à laquelle il a ajouté du crayon pour un rendu tout à fait détonnant. Impossible de rester insensible face à ce crâne qui parait partiellement en décomposition !
Là est la magie de l’œuvre, on croirait à une autopsie rondement traduite par une mâchoire dépourvue de peau et un squelette visible. Mais contrairement à une simple figure squelettique, Basquiat a rajouté les yeux, les oreilles, le nez et même des poils et cheveux. Une perception externe de la tête en définitive.
Comme pour beaucoup de ses œuvres, Basquiat se met en scène dans des autoportraits qui, au premier abord, peuvent paraître manquer de réalisme. À juste titre, la patte de l’artiste est davantage dans l’esquisse que dans la véritable figuration.
Ce crâne est recouvert de peau noire sur la partie droite, nous ramenant évidemment à l’artiste lui-même. Est-ce pour lui une façon de se projeter dans l’après ? de faire une analyse sur sa propre anatomie ?
Il peint cette toile à seulement 20 ans, au lancement même de ce qu’allait être une carrière éclair et pourtant pleine de promesses. S’il s’agit bien d’un autoportrait, que révèle-t-il de l’artiste sur sa perception de la société ? évoque-t-il le sujet de la race, lutte qu’il manifestait à travers ses toiles, questionnant évidemment la place de la communauté noire dans le milieu du divertissement américain.
Autre ambivalence intéressante, le rapport entre la vibration des couleurs assez positives qui encadrent le crâne et la profonde noirceur disséminée sur un visage à demi construit. Le regard parle pour lui-même, révélant une tristesse, tout du moins teintée par un sentiment d’abattement.
Le coin de la bouche est replié, les yeux sont bulbeux et engoncés, les dents crispées. Quelle émotion Basquiat cherchait-il à retranscrire ici ? Une chose est sûre, il était obsédé par l’idée qu’il ne vivrait pas bien longtemps. Avec cette toile, il révèle une physiologie interne mêlée à un psychisme bien conscient.
Les organes sensoriels sont présents, un crâne décomposé pleinement disposé à vivre ? Une réflexion régulièrement portée par l’artiste dans l’ensemble de ses toiles.
Demeure encore le mystère de ces inscriptions au-dessus du crâne et en bas à droite du tableau. Quel message à travers une telle représentation ? Pris séparément, les éléments de cette toile portent en eux la cohérence : les sens sont retranscrits d’une part et un autoportrait est supposé d’autre part.
À cela s’ajoute l’étude complexe d’un crâne que l’on devine mort, sans forcément pouvoir l’affirmer. Ce visage pratiquement décharné est captivant, passionnant à analyser même s’il porte en lui des questions auxquelles l’artiste n’a jamais vraiment répondues. Peu importe finalement si incohérence il y a, puisqu’elle reste maîtrisée de bout en bout chez Basquiat.
http://histoire-des-arts.over-blog.com/article-le-monochrome-bleu-d-yves-klein-51715413.html
Yves Klein surnommé Yves le monochrome, pousse l'expérience de la couleur pure jusqu'à son terme. Au-delà de la provocation, sa peinture se charge de force et d'énergie.
Au premier abord, le tableau se présente comme une simple surface de couleur pleine. Il n'est pas collé au mur, il s'en détache comme l'a voulu le peintre.
Le bleu outremer est saturé à tel point qu'il en fatigue les yeux. De ce bleu, plus que bleu, irradie une vibration colorée qui atteint une amplitude maximale.
Alors, cette uniformité commence à s'animer. La surface apparaît pelucheuse : trace de rouleau que l'artiste a emprunté au peintre en bâtiment.
Le pigment de couleur prend la consistance d'une grossière toile de coton. Chaque passage du rouleau à laissé des striures légères, qui dessinent d'étranges paysages dont l'horizon semble flotter. le regard plonge dans une profondeur qui n'appartient pas à l'espace en trois dimensions du quotidien, mais à une dimension supplémentaire que le peintre invite à sonder : la profondeur de la couleur.
Ce bleu, hors du commun n'engage pas seulement le regard du spectateur, "c'est l'esprit qui voit avec les yeux". Avec le "monochrome ", l'impact de la couleur reste entier. La couleur est une donnée concrète, mais elle a un effet puissant et instantané sur le mental.
Dans ses tableaux, Yves Klein s'attache à l'apect spirituel autant que physique. Pour lui, la peinture est affaire de méditation, affaire d'"immatériel". Elle échappe à l'espace de la vie quotidienne, pour ouvrir celui de la réflexion.
Et maintenant, ma réponse à l'autre qui nie ma performance artistique à base de patates
Le 16 juin 2021 à 14:44:18 :
Le 16 juin 2021 à 14:26:36 :
Le 16 juin 2021 à 14:19:40 :
Le 16 juin 2021 à 14:16:15 :
Le 16 juin 2021 à 14:10:09 :
Le 16 juin 2021 à 14:05:00 :
Le 16 juin 2021 à 14:02:37 :
L'art n'a pas forcément vocation à être beau. Si une oeuvre provoque en vous une émotion, et ici en l'occurrence, de la colère (devant la vacuité apparente de ladite oeuvre), alors elle légitime sa raison d'être.Moi non plus je n'aime pas les monochromes, mais si le monochrome vous énerve, alors il vous touche en tant qu'oeuvre artistique puisqu'il fait appel à vos émotions négatives.
Si je suis en colère car j'en ai marre de voir des expos présentant de la merde avec le fric du contribuable, alors elle a réussi ?
Oui. Non mais moi aussi ça m'enerve ce genre d'arts. Je préfère de loin l'art technique / figuratif mais je ne critique pas leur raison d'exister en tant qu'oeuvres artistiques. Je dis juste que je trouve ça minable d'un point de vue esthétique.
Bien ton relativisme ? Retirer le critère esthétique puis donner pour seul critère à l'art l'émotion, c'est complètement idiot, et ça sort de nul part.
C'est littéralement la définition de l'art en fait ahi.
https://www.iesa.fr/definition-art
"L’art regroupe les œuvres humaines destinées à toucher les sens et les émotions du public. Il peut s’agir aussi bien de peinture que de sculpture, vidéo, photo, dessin, littérature, musique, danse…"
A part chez les débiles mentaux du XXe siècle, on n'a jamais évacué le critère esthétique.
Si je mets ma merde dans une boite et que je la mets sous le nez des gens dans la rue, j'aurais réussi, et mon oeuvre, et ma performance artistique ? vu qu'elles seront parvenues à invoquer le dégoût chez les personnes, ce qui est une émotion.
Bah si ta démarche est artistique, oui
C'est génial, tout est de l'art du coup. Dès que tu dis que c'est de l'art, allez, hop, c'est de l'art. Tout ce qui provoque une émotion et que l'on dit être de l'art devient de l'art.
Il faut que ta démarche soit artistique et s'inscrive dans un art. Foutre des patates aux gens dans la rue comme disait l'autre khey, ça s'inscrit pas dans le cadre de l'art.
Bien sûr que si, ça s'inscrit dans le cadre de l'art vu que je le dis, et que ça provoque une émotion. ça rend les gens en colère.
T'es au courant qu'on a établi une liste des arts et que foutre des papates dans la rue n'en a jamais fait partie ? Les mecs, faites un effort.
Gros malaise.
Alors, déjà, des classifications d'art, t'en a plusieurs, celle-là n'est pas la première, et ensuite, c'est pas une parole d'Evangile. Et c'est pas non plus à toi de décider qu'est-ce qui est un art ou non. Surtout que foutre des patates, ça rentre bien dans la définition de l'art que tu viens de me donner. Mes patates sont des oeuvres, et elles touchent les sens et les émotions du public auquel je fous des patates
Je cite des sources, toi non.
Alors, déjà, on cite pas des sources pour citer des sources, mais pour ce qui est dit dedans, soit car l'argumentation est bonne, soit car elles appuient un fait observable. Or, là, on philosophe, et tes liens n'apportent aucune argumentation pouvant faire avancer la disputation.
Au passage, vous êtes tellement dans un esprit de contradiction que tout à l'heure, tu assurais que l'art était purement esthétique,
Je n'ai jamais dit que l'art est purement esthétique. Tu mens éhontément. Ad hominem + mensonge. Tu viens de te contredire par la propre définition que tu m'as donnée, donc t'as plus rien à dire.
et maintenant tu es en train de m'affirmer le contraire, que provoquer des émotions en boxant des gens dans la rue, c'est de l'art. Va falloir te décider mon garçon. On peut vous retourner comme des crêpes, vous n'écoutez pas les arguments des gens avec qui vous débattez, vous voulez juste être dans l'opposition constante.
Selon moi, ce n'est pas de l'art, puisque l'art doit avoir un critère esthétique. Je ne fais que reprendre tes (ou vos. Je sais pas si t'es le seul à qui j'ai répondu depuis mon message sur la performance artistique consistant à faire sentir du caca pour provoquer l'émotion du dégoût) définitions et critères de l'art pour démontrer qu'ils sont absurdes. Mes patates, selon eux, sont de l'art.
Si tu retires le critère esthétique, à peu près tout peut être de l'art, puisque l'émotion est subjective et qu'absolument tout est susceptible de la provoquer.
Le 16 juin 2021 à 14:56:02 :
http://histoire-des-arts.over-blog.com/article-le-monochrome-bleu-d-yves-klein-51715413.htmlYves Klein surnommé Yves le monochrome, pousse l'expérience de la couleur pure jusqu'à son terme. Au-delà de la provocation, sa peinture se charge de force et d'énergie.
Au premier abord, le tableau se présente comme une simple surface de couleur pleine. Il n'est pas collé au mur, il s'en détache comme l'a voulu le peintre.
Le bleu outremer est saturé à tel point qu'il en fatigue les yeux. De ce bleu, plus que bleu, irradie une vibration colorée qui atteint une amplitude maximale.
Alors, cette uniformité commence à s'animer. La surface apparaît pelucheuse : trace de rouleau que l'artiste a emprunté au peintre en bâtiment.
Le pigment de couleur prend la consistance d'une grossière toile de coton. Chaque passage du rouleau à laissé des striures légères, qui dessinent d'étranges paysages dont l'horizon semble flotter. le regard plonge dans une profondeur qui n'appartient pas à l'espace en trois dimensions du quotidien, mais à une dimension supplémentaire que le peintre invite à sonder : la profondeur de la couleur.
Ce bleu, hors du commun n'engage pas seulement le regard du spectateur, "c'est l'esprit qui voit avec les yeux". Avec le "monochrome ", l'impact de la couleur reste entier. La couleur est une donnée concrète, mais elle a un effet puissant et instantané sur le mental.
Dans ses tableaux, Yves Klein s'attache à l'apect spirituel autant que physique. Pour lui, la peinture est affaire de méditation, affaire d'"immatériel". Elle échappe à l'espace de la vie quotidienne, pour ouvrir celui de la réflexion.
C'est le décor de Avengers 4
Le 16 juin 2021 à 14:59:40 :
Le 16 juin 2021 à 14:56:02 :
http://histoire-des-arts.over-blog.com/article-le-monochrome-bleu-d-yves-klein-51715413.htmlYves Klein surnommé Yves le monochrome, pousse l'expérience de la couleur pure jusqu'à son terme. Au-delà de la provocation, sa peinture se charge de force et d'énergie.
Au premier abord, le tableau se présente comme une simple surface de couleur pleine. Il n'est pas collé au mur, il s'en détache comme l'a voulu le peintre.
Le bleu outremer est saturé à tel point qu'il en fatigue les yeux. De ce bleu, plus que bleu, irradie une vibration colorée qui atteint une amplitude maximale.
Alors, cette uniformité commence à s'animer. La surface apparaît pelucheuse : trace de rouleau que l'artiste a emprunté au peintre en bâtiment.
Le pigment de couleur prend la consistance d'une grossière toile de coton. Chaque passage du rouleau à laissé des striures légères, qui dessinent d'étranges paysages dont l'horizon semble flotter. le regard plonge dans une profondeur qui n'appartient pas à l'espace en trois dimensions du quotidien, mais à une dimension supplémentaire que le peintre invite à sonder : la profondeur de la couleur.
Ce bleu, hors du commun n'engage pas seulement le regard du spectateur, "c'est l'esprit qui voit avec les yeux". Avec le "monochrome ", l'impact de la couleur reste entier. La couleur est une donnée concrète, mais elle a un effet puissant et instantané sur le mental.
Dans ses tableaux, Yves Klein s'attache à l'apect spirituel autant que physique. Pour lui, la peinture est affaire de méditation, affaire d'"immatériel". Elle échappe à l'espace de la vie quotidienne, pour ouvrir celui de la réflexion.
C'est le décor de Avengers 4
Le 16 juin 2021 à 14:58:28 :
Le 16 juin 2021 à 14:56:16 :
Faut être un beauf low IQ pour critiquer Basquiat + l'art permet de direct repérer un riche d'un prolo french dreamer
Klein est mort avant que Basquiat perce + Klein est une arnaque, mais les mecs qui rejettent catégoriquement l'art moderne/contemporain = beauf cassos french dreamer low IQ
Le 16 juin 2021 à 15:00:22 :
Le 16 juin 2021 à 14:58:28 :
Le 16 juin 2021 à 14:56:16 :
Faut être un beauf low IQ pour critiquer Basquiat + l'art permet de direct repérer un riche d'un prolo french dreamerKlein est mort avant que Basquiat perce + Klein est une arnaque, mais les mecs qui rejettent catégoriquement l'art moderne/contemporain = beauf cassos french dreamer low IQ
J'avais pas lu ton message. J'ai corrigé. Réponds à ma question maintenant.
Le 16 juin 2021 à 14:56:54 :
Et maintenant, ma réponse à l'autre qui nie ma performance artistique à base de patatesLe 16 juin 2021 à 14:44:18 :
Le 16 juin 2021 à 14:26:36 :
Le 16 juin 2021 à 14:19:40 :
Le 16 juin 2021 à 14:16:15 :
Le 16 juin 2021 à 14:10:09 :
Le 16 juin 2021 à 14:05:00 :
Le 16 juin 2021 à 14:02:37 :
L'art n'a pas forcément vocation à être beau. Si une oeuvre provoque en vous une émotion, et ici en l'occurrence, de la colère (devant la vacuité apparente de ladite oeuvre), alors elle légitime sa raison d'être.Moi non plus je n'aime pas les monochromes, mais si le monochrome vous énerve, alors il vous touche en tant qu'oeuvre artistique puisqu'il fait appel à vos émotions négatives.
Si je suis en colère car j'en ai marre de voir des expos présentant de la merde avec le fric du contribuable, alors elle a réussi ?
Oui. Non mais moi aussi ça m'enerve ce genre d'arts. Je préfère de loin l'art technique / figuratif mais je ne critique pas leur raison d'exister en tant qu'oeuvres artistiques. Je dis juste que je trouve ça minable d'un point de vue esthétique.
Bien ton relativisme ? Retirer le critère esthétique puis donner pour seul critère à l'art l'émotion, c'est complètement idiot, et ça sort de nul part.
C'est littéralement la définition de l'art en fait ahi.
https://www.iesa.fr/definition-art
"L’art regroupe les œuvres humaines destinées à toucher les sens et les émotions du public. Il peut s’agir aussi bien de peinture que de sculpture, vidéo, photo, dessin, littérature, musique, danse…"
A part chez les débiles mentaux du XXe siècle, on n'a jamais évacué le critère esthétique.
Si je mets ma merde dans une boite et que je la mets sous le nez des gens dans la rue, j'aurais réussi, et mon oeuvre, et ma performance artistique ? vu qu'elles seront parvenues à invoquer le dégoût chez les personnes, ce qui est une émotion.
Bah si ta démarche est artistique, oui
C'est génial, tout est de l'art du coup. Dès que tu dis que c'est de l'art, allez, hop, c'est de l'art. Tout ce qui provoque une émotion et que l'on dit être de l'art devient de l'art.
Il faut que ta démarche soit artistique et s'inscrive dans un art. Foutre des patates aux gens dans la rue comme disait l'autre khey, ça s'inscrit pas dans le cadre de l'art.
Bien sûr que si, ça s'inscrit dans le cadre de l'art vu que je le dis, et que ça provoque une émotion. ça rend les gens en colère.
T'es au courant qu'on a établi une liste des arts et que foutre des papates dans la rue n'en a jamais fait partie ? Les mecs, faites un effort.
Gros malaise.
Alors, déjà, des classifications d'art, t'en a plusieurs, celle-là n'est pas la première, et ensuite, c'est pas une parole d'Evangile. Et c'est pas non plus à toi de décider qu'est-ce qui est un art ou non. Surtout que foutre des patates, ça rentre bien dans la définition de l'art que tu viens de me donner. Mes patates sont des oeuvres, et elles touchent les sens et les émotions du public auquel je fous des patates
Je cite des sources, toi non.
Alors, déjà, on cite pas des sources pour citer des sources, mais pour ce qui est dit dedans, soit car l'argumentation est bonne, soit car elles appuient un fait observable. Or, là, on philosophe, et tes liens n'apportent aucune argumentation pouvant faire avancer la disputation.
Au passage, vous êtes tellement dans un esprit de contradiction que tout à l'heure, tu assurais que l'art était purement esthétique,
Je n'ai jamais dit que l'art est purement esthétique. Tu mens éhontément. Ad hominem + mensonge. Tu viens de te contredire par la propre définition que tu m'as donnée, donc t'as plus rien à dire.
et maintenant tu es en train de m'affirmer le contraire, que provoquer des émotions en boxant des gens dans la rue, c'est de l'art. Va falloir te décider mon garçon. On peut vous retourner comme des crêpes, vous n'écoutez pas les arguments des gens avec qui vous débattez, vous voulez juste être dans l'opposition constante.
Selon moi, ce n'est pas de l'art, puisque l'art doit avoir un critère esthétique. Je ne fais que reprendre tes (ou vos. Je sais pas si t'es le seul à qui j'ai répondu depuis mon message sur la performance artistique consistant à faire sentir du caca pour provoquer l'émotion du dégoût) définitions et critères de l'art pour démontrer qu'ils sont absurdes. Mes patates, selon eux, sont de l'art.
Si tu retires le critère esthétique, à peu près tout peut être de l'art, puisque l'émotion est subjective et qu'absolument tout est susceptible de la provoquer.
giga malaise le bidochon
le bot qui ressuscite le topic en le volant + c/c des covnersation tant sa pls a été violente
Le 16 juin 2021 à 15:02:45 :
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Et maintenant, ma réponse à l'autre qui nie ma performance artistique à base de patatesLe 16 juin 2021 à 14:44:18 :
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L'art n'a pas forcément vocation à être beau. Si une oeuvre provoque en vous une émotion, et ici en l'occurrence, de la colère (devant la vacuité apparente de ladite oeuvre), alors elle légitime sa raison d'être.Moi non plus je n'aime pas les monochromes, mais si le monochrome vous énerve, alors il vous touche en tant qu'oeuvre artistique puisqu'il fait appel à vos émotions négatives.
Si je suis en colère car j'en ai marre de voir des expos présentant de la merde avec le fric du contribuable, alors elle a réussi ?
Oui. Non mais moi aussi ça m'enerve ce genre d'arts. Je préfère de loin l'art technique / figuratif mais je ne critique pas leur raison d'exister en tant qu'oeuvres artistiques. Je dis juste que je trouve ça minable d'un point de vue esthétique.
Bien ton relativisme ? Retirer le critère esthétique puis donner pour seul critère à l'art l'émotion, c'est complètement idiot, et ça sort de nul part.
C'est littéralement la définition de l'art en fait ahi.
https://www.iesa.fr/definition-art
"L’art regroupe les œuvres humaines destinées à toucher les sens et les émotions du public. Il peut s’agir aussi bien de peinture que de sculpture, vidéo, photo, dessin, littérature, musique, danse…"
A part chez les débiles mentaux du XXe siècle, on n'a jamais évacué le critère esthétique.
Si je mets ma merde dans une boite et que je la mets sous le nez des gens dans la rue, j'aurais réussi, et mon oeuvre, et ma performance artistique ? vu qu'elles seront parvenues à invoquer le dégoût chez les personnes, ce qui est une émotion.
Bah si ta démarche est artistique, oui
C'est génial, tout est de l'art du coup. Dès que tu dis que c'est de l'art, allez, hop, c'est de l'art. Tout ce qui provoque une émotion et que l'on dit être de l'art devient de l'art.
Il faut que ta démarche soit artistique et s'inscrive dans un art. Foutre des patates aux gens dans la rue comme disait l'autre khey, ça s'inscrit pas dans le cadre de l'art.
Bien sûr que si, ça s'inscrit dans le cadre de l'art vu que je le dis, et que ça provoque une émotion. ça rend les gens en colère.
T'es au courant qu'on a établi une liste des arts et que foutre des papates dans la rue n'en a jamais fait partie ? Les mecs, faites un effort.
Gros malaise.
Alors, déjà, des classifications d'art, t'en a plusieurs, celle-là n'est pas la première, et ensuite, c'est pas une parole d'Evangile. Et c'est pas non plus à toi de décider qu'est-ce qui est un art ou non. Surtout que foutre des patates, ça rentre bien dans la définition de l'art que tu viens de me donner. Mes patates sont des oeuvres, et elles touchent les sens et les émotions du public auquel je fous des patates
Je cite des sources, toi non.
Alors, déjà, on cite pas des sources pour citer des sources, mais pour ce qui est dit dedans, soit car l'argumentation est bonne, soit car elles appuient un fait observable. Or, là, on philosophe, et tes liens n'apportent aucune argumentation pouvant faire avancer la disputation.
Au passage, vous êtes tellement dans un esprit de contradiction que tout à l'heure, tu assurais que l'art était purement esthétique,
Je n'ai jamais dit que l'art est purement esthétique. Tu mens éhontément. Ad hominem + mensonge. Tu viens de te contredire par la propre définition que tu m'as donnée, donc t'as plus rien à dire.
et maintenant tu es en train de m'affirmer le contraire, que provoquer des émotions en boxant des gens dans la rue, c'est de l'art. Va falloir te décider mon garçon. On peut vous retourner comme des crêpes, vous n'écoutez pas les arguments des gens avec qui vous débattez, vous voulez juste être dans l'opposition constante.
Selon moi, ce n'est pas de l'art, puisque l'art doit avoir un critère esthétique. Je ne fais que reprendre tes (ou vos. Je sais pas si t'es le seul à qui j'ai répondu depuis mon message sur la performance artistique consistant à faire sentir du caca pour provoquer l'émotion du dégoût) définitions et critères de l'art pour démontrer qu'ils sont absurdes. Mes patates, selon eux, sont de l'art.
Si tu retires le critère esthétique, à peu près tout peut être de l'art, puisque l'émotion est subjective et qu'absolument tout est susceptible de la provoquer.giga malaise le bidochon
le bot qui ressuscite le topic en le volant + c/c des covnersation tant sa pls a été violente
T'es sur Paris ? Le bidochon va t'offrir une performance artistique.
Le 16 juin 2021 à 15:04:17 :
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Et maintenant, ma réponse à l'autre qui nie ma performance artistique à base de patatesLe 16 juin 2021 à 14:44:18 :
Le 16 juin 2021 à 14:26:36 :
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L'art n'a pas forcément vocation à être beau. Si une oeuvre provoque en vous une émotion, et ici en l'occurrence, de la colère (devant la vacuité apparente de ladite oeuvre), alors elle légitime sa raison d'être.Moi non plus je n'aime pas les monochromes, mais si le monochrome vous énerve, alors il vous touche en tant qu'oeuvre artistique puisqu'il fait appel à vos émotions négatives.
Si je suis en colère car j'en ai marre de voir des expos présentant de la merde avec le fric du contribuable, alors elle a réussi ?
Oui. Non mais moi aussi ça m'enerve ce genre d'arts. Je préfère de loin l'art technique / figuratif mais je ne critique pas leur raison d'exister en tant qu'oeuvres artistiques. Je dis juste que je trouve ça minable d'un point de vue esthétique.
Bien ton relativisme ? Retirer le critère esthétique puis donner pour seul critère à l'art l'émotion, c'est complètement idiot, et ça sort de nul part.
C'est littéralement la définition de l'art en fait ahi.
https://www.iesa.fr/definition-art
"L’art regroupe les œuvres humaines destinées à toucher les sens et les émotions du public. Il peut s’agir aussi bien de peinture que de sculpture, vidéo, photo, dessin, littérature, musique, danse…"
A part chez les débiles mentaux du XXe siècle, on n'a jamais évacué le critère esthétique.
Si je mets ma merde dans une boite et que je la mets sous le nez des gens dans la rue, j'aurais réussi, et mon oeuvre, et ma performance artistique ? vu qu'elles seront parvenues à invoquer le dégoût chez les personnes, ce qui est une émotion.
Bah si ta démarche est artistique, oui
C'est génial, tout est de l'art du coup. Dès que tu dis que c'est de l'art, allez, hop, c'est de l'art. Tout ce qui provoque une émotion et que l'on dit être de l'art devient de l'art.
Il faut que ta démarche soit artistique et s'inscrive dans un art. Foutre des patates aux gens dans la rue comme disait l'autre khey, ça s'inscrit pas dans le cadre de l'art.
Bien sûr que si, ça s'inscrit dans le cadre de l'art vu que je le dis, et que ça provoque une émotion. ça rend les gens en colère.
T'es au courant qu'on a établi une liste des arts et que foutre des papates dans la rue n'en a jamais fait partie ? Les mecs, faites un effort.
Gros malaise.
Alors, déjà, des classifications d'art, t'en a plusieurs, celle-là n'est pas la première, et ensuite, c'est pas une parole d'Evangile. Et c'est pas non plus à toi de décider qu'est-ce qui est un art ou non. Surtout que foutre des patates, ça rentre bien dans la définition de l'art que tu viens de me donner. Mes patates sont des oeuvres, et elles touchent les sens et les émotions du public auquel je fous des patates
Je cite des sources, toi non.
Alors, déjà, on cite pas des sources pour citer des sources, mais pour ce qui est dit dedans, soit car l'argumentation est bonne, soit car elles appuient un fait observable. Or, là, on philosophe, et tes liens n'apportent aucune argumentation pouvant faire avancer la disputation.
Au passage, vous êtes tellement dans un esprit de contradiction que tout à l'heure, tu assurais que l'art était purement esthétique,
Je n'ai jamais dit que l'art est purement esthétique. Tu mens éhontément. Ad hominem + mensonge. Tu viens de te contredire par la propre définition que tu m'as donnée, donc t'as plus rien à dire.
et maintenant tu es en train de m'affirmer le contraire, que provoquer des émotions en boxant des gens dans la rue, c'est de l'art. Va falloir te décider mon garçon. On peut vous retourner comme des crêpes, vous n'écoutez pas les arguments des gens avec qui vous débattez, vous voulez juste être dans l'opposition constante.
Selon moi, ce n'est pas de l'art, puisque l'art doit avoir un critère esthétique. Je ne fais que reprendre tes (ou vos. Je sais pas si t'es le seul à qui j'ai répondu depuis mon message sur la performance artistique consistant à faire sentir du caca pour provoquer l'émotion du dégoût) définitions et critères de l'art pour démontrer qu'ils sont absurdes. Mes patates, selon eux, sont de l'art.
Si tu retires le critère esthétique, à peu près tout peut être de l'art, puisque l'émotion est subjective et qu'absolument tout est susceptible de la provoquer.giga malaise le bidochon
le bot qui ressuscite le topic en le volant + c/c des covnersation tant sa pls a été violenteT'es sur Paris ? Le bidochon va t'offrir une performance artistique.
je suis au luxembourg le golem
je passe à paris en aout à ta guise le malaise
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Le 16 juin 2021 à 14:56:54 :
Et maintenant, ma réponse à l'autre qui nie ma performance artistique à base de patatesLe 16 juin 2021 à 14:44:18 :
Le 16 juin 2021 à 14:26:36 :
Le 16 juin 2021 à 14:19:40 :
Le 16 juin 2021 à 14:16:15 :
Le 16 juin 2021 à 14:10:09 :
Le 16 juin 2021 à 14:05:00 :
Le 16 juin 2021 à 14:02:37 :
L'art n'a pas forcément vocation à être beau. Si une oeuvre provoque en vous une émotion, et ici en l'occurrence, de la colère (devant la vacuité apparente de ladite oeuvre), alors elle légitime sa raison d'être.Moi non plus je n'aime pas les monochromes, mais si le monochrome vous énerve, alors il vous touche en tant qu'oeuvre artistique puisqu'il fait appel à vos émotions négatives.
Si je suis en colère car j'en ai marre de voir des expos présentant de la merde avec le fric du contribuable, alors elle a réussi ?
Oui. Non mais moi aussi ça m'enerve ce genre d'arts. Je préfère de loin l'art technique / figuratif mais je ne critique pas leur raison d'exister en tant qu'oeuvres artistiques. Je dis juste que je trouve ça minable d'un point de vue esthétique.
Bien ton relativisme ? Retirer le critère esthétique puis donner pour seul critère à l'art l'émotion, c'est complètement idiot, et ça sort de nul part.
C'est littéralement la définition de l'art en fait ahi.
https://www.iesa.fr/definition-art
"L’art regroupe les œuvres humaines destinées à toucher les sens et les émotions du public. Il peut s’agir aussi bien de peinture que de sculpture, vidéo, photo, dessin, littérature, musique, danse…"
A part chez les débiles mentaux du XXe siècle, on n'a jamais évacué le critère esthétique.
Si je mets ma merde dans une boite et que je la mets sous le nez des gens dans la rue, j'aurais réussi, et mon oeuvre, et ma performance artistique ? vu qu'elles seront parvenues à invoquer le dégoût chez les personnes, ce qui est une émotion.
Bah si ta démarche est artistique, oui
C'est génial, tout est de l'art du coup. Dès que tu dis que c'est de l'art, allez, hop, c'est de l'art. Tout ce qui provoque une émotion et que l'on dit être de l'art devient de l'art.
Il faut que ta démarche soit artistique et s'inscrive dans un art. Foutre des patates aux gens dans la rue comme disait l'autre khey, ça s'inscrit pas dans le cadre de l'art.
Bien sûr que si, ça s'inscrit dans le cadre de l'art vu que je le dis, et que ça provoque une émotion. ça rend les gens en colère.
T'es au courant qu'on a établi une liste des arts et que foutre des papates dans la rue n'en a jamais fait partie ? Les mecs, faites un effort.
Gros malaise.
Alors, déjà, des classifications d'art, t'en a plusieurs, celle-là n'est pas la première, et ensuite, c'est pas une parole d'Evangile. Et c'est pas non plus à toi de décider qu'est-ce qui est un art ou non. Surtout que foutre des patates, ça rentre bien dans la définition de l'art que tu viens de me donner. Mes patates sont des oeuvres, et elles touchent les sens et les émotions du public auquel je fous des patates
Je cite des sources, toi non.
Alors, déjà, on cite pas des sources pour citer des sources, mais pour ce qui est dit dedans, soit car l'argumentation est bonne, soit car elles appuient un fait observable. Or, là, on philosophe, et tes liens n'apportent aucune argumentation pouvant faire avancer la disputation.
Au passage, vous êtes tellement dans un esprit de contradiction que tout à l'heure, tu assurais que l'art était purement esthétique,
Je n'ai jamais dit que l'art est purement esthétique. Tu mens éhontément. Ad hominem + mensonge. Tu viens de te contredire par la propre définition que tu m'as donnée, donc t'as plus rien à dire.
et maintenant tu es en train de m'affirmer le contraire, que provoquer des émotions en boxant des gens dans la rue, c'est de l'art. Va falloir te décider mon garçon. On peut vous retourner comme des crêpes, vous n'écoutez pas les arguments des gens avec qui vous débattez, vous voulez juste être dans l'opposition constante.
Selon moi, ce n'est pas de l'art, puisque l'art doit avoir un critère esthétique. Je ne fais que reprendre tes (ou vos. Je sais pas si t'es le seul à qui j'ai répondu depuis mon message sur la performance artistique consistant à faire sentir du caca pour provoquer l'émotion du dégoût) définitions et critères de l'art pour démontrer qu'ils sont absurdes. Mes patates, selon eux, sont de l'art.
Si tu retires le critère esthétique, à peu près tout peut être de l'art, puisque l'émotion est subjective et qu'absolument tout est susceptible de la provoquer.giga malaise le bidochon
le bot qui ressuscite le topic en le volant + c/c des covnersation tant sa pls a été violenteT'es sur Paris ? Le bidochon va t'offrir une performance artistique.
je suis au luxembourg le golem
je passe à paris en aout à ta guise le malaise
Je vois. Tu ne veux donc pas une performance artistique ? Je suis artiste moi.
Le 16 juin 2021 à 14:56:02 :
http://histoire-des-arts.over-blog.com/article-le-monochrome-bleu-d-yves-klein-51715413.htmlYves Klein surnommé Yves le monochrome, pousse l'expérience de la couleur pure jusqu'à son terme. Au-delà de la provocation, sa peinture se charge de force et d'énergie.
Au premier abord, le tableau se présente comme une simple surface de couleur pleine. Il n'est pas collé au mur, il s'en détache comme l'a voulu le peintre.
Le bleu outremer est saturé à tel point qu'il en fatigue les yeux. De ce bleu, plus que bleu, irradie une vibration colorée qui atteint une amplitude maximale.
Alors, cette uniformité commence à s'animer. La surface apparaît pelucheuse : trace de rouleau que l'artiste a emprunté au peintre en bâtiment.
Le pigment de couleur prend la consistance d'une grossière toile de coton. Chaque passage du rouleau à laissé des striures légères, qui dessinent d'étranges paysages dont l'horizon semble flotter. le regard plonge dans une profondeur qui n'appartient pas à l'espace en trois dimensions du quotidien, mais à une dimension supplémentaire que le peintre invite à sonder : la profondeur de la couleur.
Ce bleu, hors du commun n'engage pas seulement le regard du spectateur, "c'est l'esprit qui voit avec les yeux". Avec le "monochrome ", l'impact de la couleur reste entier. La couleur est une donnée concrète, mais elle a un effet puissant et instantané sur le mental.
Dans ses tableaux, Yves Klein s'attache à l'apect spirituel autant que physique. Pour lui, la peinture est affaire de méditation, affaire d'"immatériel". Elle échappe à l'espace de la vie quotidienne, pour ouvrir celui de la réflexion.
Allez voir cette œuvre IRL les khey sceptiques sur l’Art, moi elle m’a complètement scotché.
C’est 2 mètres du bleu le plus profond que tu verras jamais de ta vie
Le 16 juin 2021 à 15:09:59 :
Le 16 juin 2021 à 14:56:02 :
http://histoire-des-arts.over-blog.com/article-le-monochrome-bleu-d-yves-klein-51715413.htmlYves Klein surnommé Yves le monochrome, pousse l'expérience de la couleur pure jusqu'à son terme. Au-delà de la provocation, sa peinture se charge de force et d'énergie.
Au premier abord, le tableau se présente comme une simple surface de couleur pleine. Il n'est pas collé au mur, il s'en détache comme l'a voulu le peintre.
Le bleu outremer est saturé à tel point qu'il en fatigue les yeux. De ce bleu, plus que bleu, irradie une vibration colorée qui atteint une amplitude maximale.
Alors, cette uniformité commence à s'animer. La surface apparaît pelucheuse : trace de rouleau que l'artiste a emprunté au peintre en bâtiment.
Le pigment de couleur prend la consistance d'une grossière toile de coton. Chaque passage du rouleau à laissé des striures légères, qui dessinent d'étranges paysages dont l'horizon semble flotter. le regard plonge dans une profondeur qui n'appartient pas à l'espace en trois dimensions du quotidien, mais à une dimension supplémentaire que le peintre invite à sonder : la profondeur de la couleur.
Ce bleu, hors du commun n'engage pas seulement le regard du spectateur, "c'est l'esprit qui voit avec les yeux". Avec le "monochrome ", l'impact de la couleur reste entier. La couleur est une donnée concrète, mais elle a un effet puissant et instantané sur le mental.
Dans ses tableaux, Yves Klein s'attache à l'apect spirituel autant que physique. Pour lui, la peinture est affaire de méditation, affaire d'"immatériel". Elle échappe à l'espace de la vie quotidienne, pour ouvrir celui de la réflexion.
Allez voir cette œuvre IRL les khey sceptiques sur l’Art, moi elle m’a complètement scotché.
C’est 2 mètres du bleu le plus profond que tu verras jamais de ta vie
Données du topic
- Auteur
- DentsDeChancla
- Date de création
- 16 juin 2021 à 14:55:43
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