Ces journaux de 1942 :rire:
Supprimé1 ) Gouvernements :
Gouvernement PĂ©tain I :
- Vice-présidents du conseil :
Camille Chautemps Radical-socialiste, anicen ministre de LĂ©on Blum.
Pierre Laval, Député SFIO, radical-socialiste.
- Ministre d'Etat :
Adrien Marquet, ex-SFIO, radical-socialiste puis néo-socialiste.
- Ministre des affaires étrangères :
Paul Baudoin, ex-membre du Sillon ( mouvement catholique de gauche), adhérent au cercle Proudhon.
- Ministre des finances :
Yves Bouthillier, ex-ministre des finances de Léon Blum, pacifiste, et mort en déportation.
- Ministre de l'Ă©ducation :
Albert Rivaud, professeur de philo, néo-marxiste, fondateur de la revue Le capital
- Ministre de l'intérieur :
Charles Pomaret, ex-parti socialiste radical, puis ex- la Gauche radicale.
- Ministre de la marine :
François Darlan, radical-socialiste, pro-SFIO, agnostique laïquard.
- Ministre des travaux publics et de l'information :
Ludovic-Oscar Frossard, ex-secrétaire de la SFIO, puis Secrétaire Général de la Section française de l'internationale communiste.
- Ministre de l'agriculture et du ravitaillement :
Albert Chichery, radical-socialiste
- Ministre des transmissions :
André Février, ex-SFIO, pionnier du syndicalisme aux PTT.
- Ministre des colonies :
Albert Rivière, député SFIO
- Ministre du travail :
André Février, ex-SFIO, pionnier du syndicalisme aux PTT.
- Sous-secrétaire d'Etat aux réfugiés :
Robert Schuman, membre du Parti DĂ©mocrate Populaire, catholique de gauche.
Gouvernement Laval :
On prend les mĂŞmes, et on recommence, sauf qu'on remplace :
- Le ministre du travail ( André Février, ex-SFIO, pionnier du syndicalisme aux PTT ) par René Belin ( syndicaliste, président de la CGT )
- Le ministre de l'éducation ( Albert Rivaud, professeur de philo, néo-marxiste, fondateur de la revue Le capital ) par Emile Mireaux, intellectuel radical-socialiste.
Puis on crée de nouveaux postes avec de nouveaux ministres :
- Ministre secrétaire d’État aux Communications :
François Piétri, membre des républicains de gauche
- Ministre secrétaire d’État aux Colonies :
Henry Leméry, membre du parti : la 'Gauche''' démocratique.
Entreront le 16 juillet :
- Secrétaire général à la Justice :
Georges Dayras, ex-directeur du cabinet LĂ©o Lagrange sous LĂ©on Blum
- Secrétaire général aux Finances publiques :
Henry Deroy, SFIO
- Maurice Schwartz, SFIO, principal conseiller Ă l'Ă©conomie de LĂ©on Blum.
Gouvernement Flandin :
On prend les mĂŞmes, et on recommence.
A l'exception de :
- Pierre Laval ( Député SFIO, radical-socialiste ), remplacé par Flandin, membre de la Fédération des Gauches.
- Emile Mireaux, intellectuel radical-socialiste, remplacé par Jacques Chevalier, philosophe chrétien radical-socialiste et pillier de la revue catholique de gauche Esprit.
- Albert Chichery, radical-socialiste, y est remplacé par Jean Achard, agriculteur syndicaliste, chef de la confédération générale des producteurs de betteraves.
Gouvernement Darlan :
On prend les mĂŞmes, et on recommence.
A l'exception de :
A l'Ă©ductaion :
Emile Mireaux, intellectuel radical-socialiste, remplacé par Jacques Chevalier, philosophe chrétien radical-socialiste et pillier de la revue catholique de gauche Esprit, est remplacé par Jérôme Carcopino, Pacifiste et libre-penseur .
Au ministère du travail :
René Belin ( syndicaliste, président de la CGT ), sera remplacé par Joseph barthélémy, co-fondateur du Groupe Gauche républicaine démocratique
A l'information :
François Piétri, membre des républicains de gauche, sera remplacé par Paul Marion, ex-communiste passé par la SFIO avant de devenir néo-socialiste.
Puis on créé un nouveau poste :
- Aux secrétariat économique :
Jean Fillipi, radical-socialiste.
Gouvernement Laval VI :
On prend les mĂŞmes, et on recommence, sauf pour :
- Ministre de l'Ă©conomie :
Maurice Schwartz, SFIO, principal conseiller à l'économie de Léon Blum, remplacé par Pierre Cathala, ex- parti radical de Gauche.
- Ministre du travail :
Joseph barthélémy, co-fondateur du Groupe Gauche républicaine démocratique, sera remplacé par Hubert Lagardelle, ex-parti marxiste français, ex-CGT, spécialsite et adhérant à la pensée syndicaliste-révolutionnaire.
Puis on créé des postes :
- Secrétaire Général à la Police :
René Bousquet, radical-socialiste, ancien ministre de Léon Blum sous le Front Populaire.
- Ministre du ravitaillement Ă©tatiste :
Max Bonnafous, socialiste.
- Ministre de la solidarité nationale :
Marcel DĂ©at, socialiste.
RĂ©sistance royaliste en France durant la Seconde Guerre mondiale
Si des royalistes virent dans la Révolution nationale du Maréchal Pétain, les perspectives d'une restauration de la monarchie, ainsi que brièvement le comte de Paris Henri VI d'Orléans (qui déçu de ne pas être entendu, rejoindra le Général Charles de Gaulle), d'autres s'engagèrent dans la résistance.
Car loin de toute idéologie républicaine ou communiste, le premier groupe de résistants recensé en France fut monté par un monarchiste alsacien de Molsheim, le journaliste Paul Armbruster. Il envoie rapidement l’abbé de Dartein (précepteur du comte de Paris) prendre contact avec le général de Gaulle à Londres. La plupart des résistants monarchistes, membre du groupe clandestin n'avaient pas entendu l'Appel du 18 juin (comme une large majorité de français par ailleurs).
C'est dans l'Action française, avec les comptes rendus réguliers fait par le royaliste, (écrivain et futur chef des Forces françaises de l'intérieur) Hubert de Lagarde (mort en déportation en 1945) à propos des premiers ouvrages du général de Gaulle ainsi que ceux de Maurras (qui rendra compte des actions de résistance du Général par des articles entre le 6 juin et le 17 juin 1940), qu'ils découvriront Charles de Gaulle. De leurs contacts avec Dartein et De Gaulle que Londres va comprendre que des groupes de résistance se sont déjà formés et sont actifs sur le territoire français. Les monarchistes venaient de créer la résistance auquel De Gaulle donnera ses lettres de noblesse.
Parmi les résistants (et vichysso-résistants), citons encore le lieutenant Honoré d’Estienne d’Orves, Jacques Renouvin, (père de Bertrand Renouvin), chef des groupes francs de Combat, Raymond Toublanc, membre du réseau royaliste de l’Anjou (torturé par les allemands dans le ville du Roi René, avant également de mourir en déportation), Jacques Perret, qui porta fièrement un insigne de cœur chouan sur la poitrine, le colonel Romans-Petit, à la tête des maquis de l’Ain, le colonel Gilbert Renault dit Rémy , le général de Bénouville ,les maréchaux de Lattre de Tassigny et Leclerc (de son vrai nom Philippe de Hauteclocque, né dans une famille fortement attachée au drapeau blanc royal), le breton Luc Robet (1913-1992, issu d’une famille profondément ancrée dans catholicisme et le royalisme, il sera membre actif des réseaux Hector, Alliance et de l’Organisation de Résistance de l’Armée, torturé et déporté en 1944), le duc de Choiseul Praslin qui refusa les pleins pouvoirs au Maréchal Pétain, François et Henri d'Astier de la Vigerie (qui organisèrent le complot d'Alger qui permit au royaliste de 18 ans, Fernand Bonnier de la Chapelle d'assassiner l'amiral Darlan) et enfin tous ces militants royalistes anonymes qui luttèrent (contre où à côté du Maréchal Pétain d'où l'origine du nom "Vichysso-résistants") pour un seul idéal la sauvegarde et la protection de la patrie au nom du Roi et des Lys de France…
Le 10 juin 2021 Ă 10:46:22 :
Ce topic, une mine d'or
merci
Le 10 juin 2021 Ă 10:48:09 :
Les anciens de la SFIO, collaborationnistes, qui ont continué de vivre tranquillement après ça, certains allant même diner régulièrement avec François Mitterrand
Responsables de la rafle du Vel d'Hiv' :
- PĂŻerre Laval, SOCIALISTE
et
- René Bousquet, radical-SOCIALISTE
René Bousquet, un des meilleurs potes de Mitterand, faut l'savoir
Mais ça, on ne nous l'apprendra pas à l'école
Le 10 juin 2021 Ă 10:55:41 :
Si seulement les socialistes d'aujourd'hui pouvaient prendre exemple sur ceux d'hier
Le rageux qui veut faire supprime le topic
Ceux qui n’ont vu que l’invasion du territoire ont rejoint De Gaulle sous la coupe des démocraties anglo-saxonnes et des lobbies qui avaient poussé la IIIème République, à la déclaration de guerre à l’Allemagne, sans y être préparée.
Ceux qui avaient compris que, si la France avait été envahie physiquement, c’est qu’auparavant une autre invasion, intellectuelle celle-là , l’avait désarmée et qu’avant toute reconquête, il fallait éliminer les faux principes qui l’avait affaiblie et les responsables de la déclaration de guerre.
Telle est l’origine de la guerre civile franco-française de 1940-1945, dont se sont servis nos ennemis : les grandes démocraties anglo-saxonnes œuvrant pour le compte de la ploutocratie cosmopolite mondialiste pour nous affaiblir en utilisant comme leurre, le patriotisme de façade du général De Gaulle.
Et bien vraiment, quand on voit ce que 70 ans de victoire des autres ont donné...
Données du topic
- Auteur
- Buralistelol
- Date de création
- 10 juin 2021 Ă 10:28:33
- Date de suppression
- 10 juin 2021 Ă 13:12:23
- Supprimé par
- Modération ou administration
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