Ma sœur 17 de moyenne : liste d’attente sur TOUS ses vœux
Le 27 mai 2021 à 21:50:14 :
Le 27 mai 2021 à 21:49:16 :
Le 27 mai 2021 à 21:48:32 :
Le 27 mai 2021 à 21:45:18 :
Le 27 mai 2021 à 21:44:20 :
Rectification : elle a 18,5 en maths et 18 en physique chimiePar contre elle a pas SVT
Bref je suis dégoûté pour elle, elle a toujours bien travaillé je sais pas ce qu’elle va faire
Mais quand tu dis "tous ses voeux" c'est quoi concrètement ?
Parce que c'est bien joli "refusée à Saint-Louis" mais elle a pas mis des prépas un peu plus accessibles en tant que voeu de secours ? Sinon elle peut s'en prendre qu'à elle-même
elle a mis que des bonnes prépas + des bonnes écoles mais c'est compréhensible au vu de son niveau
Ok et les autres prépas ?
"Liste d'attente" ça veut plus souvent dire "acceptée d'ici quelques semaines" que "recalée" hein.
Ca veut dire quoi "loin" ?
Si c'est 1000eme / 2000 y a de fortes chances que ça passe.
Si elle a pas Chaptal avec ces notes, c'est bizarre
Le 27 mai 2021 à 21:48:08 :
La triste vérité, c'est celle-ci : https://www.lemonde.fr/idees/article/2021/05/22/parcoursup-a-echoue-a-rendre-acceptable-la-penurie-de-places-dans-l-enseignement-superieur_6081119_3232.html(résumax : Le gouffre entre le nombre de candidatures de qualité et le nombre de places proposées rend impossible de produire un classement juste, souligne, dans une tribune au « Monde », Thibaud Boncourt, maître de conférences en science politique et président d’une commission d’examen des vœux Parcoursup.)
Non, la vraie redpill est ici : https://www.jeuxvideo.com/forums/42-51-66596089-19-0-1-0-redpill-l-ecole-vous-a-detruit-des-neuronnes.htm
Sérieusement.
A mon epoque, avec ca t'avais LLG
lycée rang B selon l'étudiant, donc bon lycée
https://www.letudiant.fr/palmares/classement-lycees/region-ile-de-france/tri/ville-asc.html
Le 27 mai 2021 à 21:27:29 :
C’est quoi ce bordel ??Depuis quand t’es recalé à l’UTC compiegne ou à l’INSA Lyon quand t’as 17 de moyenne générale ?
compiegne, c'est pas pour n'importe qui
faut des rein solide avec le clos des rose qui met des retourner au petit kéké, ils le savent il prennent pas des gens avec des haute moyenne
Le 27 mai 2021 à 21:50:53 :
Le problème est finalement le même qu’à l’époque d’APB : comment comprendre que des lycéens pourtant excellents à tous points de vue n’obtiennent pas la filière de leur choix ? Pour expliquer l’inexplicable, on multiplie les hypothèses : serait-ce parce que la notation réputée sévère des grands lycées parisiens nuit à leurs élèves ? Serait-ce parce que certaines formations discriminent positivement les boursiers, ou négativement certaines catégories de candidats (en vrac : certains choix de spécialités, les lycées privés, etc.) ? Serait-ce parce que certaines commissions classent uniquement sur la base des notes, sans prêter attention aux éléments plus qualitatifs des dossiers ? Serait-ce parce que, dans le contexte de la crise sanitaire, les lycées en présentiel sont favorisés ?Pour qui a été confronté au redoutable problème du classement des candidatures reçues par des filières en tension, la réponse est bien plus simple : Parcoursup a échoué à rendre acceptable la pénurie de places dans l’enseignement supérieur. Le gouffre entre le nombre de candidatures de qualité et le nombre de places proposées est tel qu’il est impossible de produire un classement juste.
A titre d’exemple, la licence de science politique de l’université Paris-I – Panthéon-Sorbonne, dite « non sélective », a reçu cette année plus de 7 000 candidatures pour 80 places. La majorité de ces candidats a un profil similaire : notes excellentes, appréciations dithyrambiques, spécialisations lycéennes pertinentes, investissements extra-scolaires intéressants, projets de formation cohérents. Depuis 2018, cette homogénéité dans « l’excellence » est allée croissant : les notes sont de plus en plus élevées, les parcours des candidats de plus en plus convergents, les lettres de motivation de plus en plus similaires.
Cette convergence s’explique sans doute par de multiples facteurs : les lycées, conscients de l’importance croissante des notes et des appréciations de contrôle continu, changent leur politique d’évaluation, de sorte qu’il est de plus en plus difficile de comprendre ce que valent effectivement un 16 sur 20 et des « félicitations » sur un bulletin. Les étudiants, forts de leur expérience, conseillent les candidats quant à la composition de leurs dossiers. Des entreprises privées, sur la base d’une expertise au demeurant discutable, proposent, à des tarifs élevés, une aide à la constitution des candidatures. Les candidats, parce qu’ils ont choisi telle ou telle spécialité dans le cadre de la réforme du lycée, se sentent naturellement « appelés » vers certaines filières.
En outre, en fonction de leurs résultats scolaires, les candidats s’autocensurent ou s’auto-habilitent : sur la base des taux d’admission des années précédentes, ils se font une idée des filières supposément plus ou moins « prestigieuses » et ajustent leurs stratégies en fonction de ces perceptions. L’ensemble de ces processus contribue à construire les règles informelles de la compétition Parcoursup, et à concentrer des dossiers similaires sur un nombre réduit de formations.
Une logique de marché non régulé s’est ainsi mise en place. Autrement dit, une course impitoyable au bien réputé le plus rare. Confrontées à la tâche impossible de départager des profils à bien des égards identiques, les commissions d’examen des vœux ne comptent pas leurs heures et rivalisent d’ingéniosité, au moyen d’algorithmes parfois très sophistiqués.
Pour la licence de science politique de l’université Paris-I, nous tâchons de classer les candidatures de manière à composer une promotion plurielle sur les plans scolaires, sociaux et géographiques, qui fasse honneur à la promesse républicaine d’un enseignement supérieur à la fois exigeant, ouvert et divers.
Mais la satisfaction de construire une promotion qui corresponde à ces valeurs n’efface pas l’essentiel : nous excluons bien plus que nous n’accueillons ; nous produisons des injustices ; nous générons des déceptions, des incompréhensions et des colères ; nous bricolons pour gérer la pénurie, faute de pouvoir offrir une place à tous les candidats qui ont démontré leur potentiel à réussir dans notre formation. Lorsque notre classement sera rendu public le 27 mai prochain, c’est la frustration, pas la joie, qui dominera chez nos candidats, et nous ne pourrons qu’en être profondément désolés.
Dans La Tyrannie du mérite : Qu’avons-nous fait du bien commun ? (Albin Michel, 2021), le philosophe états-unien Michael Sandel a récemment rappelé que ce type d’injustices, produites au nom de la « méritocratie », contiennent en germe une crise du lien social. Elles abîment d’après lui le sentiment de reconnaissance sociale, en donnant à des milliers d’individus l’impression de ne pas trouver leur juste place dans la société. Elles produisent aussi des effets politiques en alimentant la montée des votes protestataires, singulièrement à l’extrême droite.
Si nous voulons éviter de générer ce type de frustrations à l’échelle d’une génération, il est urgent de contrecarrer les effets délétères des dispositifs actuels. Pour ce faire, il apparaît essentiel de casser la logique de l’impossible classement au profit d’une évaluation de la capacité des candidats à réussir, ou non, dans la formation concernée.
Dès lors que cette capacité est établie, elle justifie une création substantielle de places dans les filières « en tension », avec la construction de nouveaux bâtiments pour les accueillir et le recrutement d’enseignants-chercheurs titulaires pour les encadrer. Elle appelle aussi une régulation nationale des filières par un rééquilibrage géographique de leurs capacités d’accueil, une refonte des logiques territoriales d’affectation et la casse volontariste des hiérarchies symboliques, matérielles et financières entre les établissements. Le coût d’un tel effort est considérable, mais il est à la mesure du projet de société qu’il s’agit de sauver.
J'ai bien fait d'avoir quitté la fac de droit pour l'informatique il y a 5 ans
salaire haut dès mon premier contrat
jamais eu de chomage
et ca ne fait que monter
Le 27 mai 2021 à 21:53:20 :
lycée rang B selon l'étudiant, donc bon lycéehttps://www.letudiant.fr/palmares/classement-lycees/region-ile-de-france/tri/ville-asc.html
pas net cette histoire .
Le 27 mai 2021 à 21:51:12 :
Le 27 mai 2021 à 21:49:29 :
Le 27 mai 2021 à 21:30:14 :
Le 27 mai 2021 à 21:28:41 :
17 de moyenne générale ça vaut rien si la moyenne de classe est de 16.Elle est dans la meilleure classe du lycée + elle est dans le top 3 de sa classe
En plus elle avait 18 de moyenne en seconde/première c’est une excellente élève
La vrai question c'est son lycée est classé combien ??
parce que bon un 17 du top 10 n'ést pas pareil qu'un 17 du dernier lycée
2021 mais classement inutile :
http://etudiant.aujourdhui.fr/etudiant/annuaire-lycees/classement/lycees-gt.html?tri=tx_mentions
2019 plus pertinent :
https://classement-lycees.etudiant.lefigaro.fr/
Le 27 mai 2021 à 21:53:20 :
lycée rang B selon l'étudiant, donc bon lycéehttps://www.letudiant.fr/palmares/classement-lycees/region-ile-de-france/tri/ville-asc.html
regarde sur 2019 ou 2018, 2021 ca ne veut rien dire a cause du covid
2020 non plus
+ comme l'a dit un khey en plus de ca il y a des milliers d'autres élèves avec la meme moyenne pour peu de places
Le 27 mai 2021 à 21:53:20 :
lycée rang B selon l'étudiant, donc bon lycéehttps://www.letudiant.fr/palmares/classement-lycees/region-ile-de-france/tri/ville-asc.html
Le système est corrompu et moisi de l'intérieur
J'ai également pris cher sur Parcoursup, alors que maintenant tous les Masters m'acceptent car mon université est à Paris
Je connais des surdoués qui sont pas pris à Dauphine alors qu'une fille qui brille pas dans notre promo a été acceptée. Mais c'est peut-être parce qu'elle est juive ✡
Le 27 mai 2021 à 21:59:01 :
Le 27 mai 2021 à 21:53:20 :
lycée rang B selon l'étudiant, donc bon lycéehttps://www.letudiant.fr/palmares/classement-lycees/region-ile-de-france/tri/ville-asc.html
Le 27 mai 2021 à 21:56:22 :
Le 27 mai 2021 à 21:51:12 :
Le 27 mai 2021 à 21:49:29 :
Le 27 mai 2021 à 21:30:14 :
Le 27 mai 2021 à 21:28:41 :
17 de moyenne générale ça vaut rien si la moyenne de classe est de 16.Elle est dans la meilleure classe du lycée + elle est dans le top 3 de sa classe
En plus elle avait 18 de moyenne en seconde/première c’est une excellente élève
La vrai question c'est son lycée est classé combien ??
parce que bon un 17 du top 10 n'ést pas pareil qu'un 17 du dernier lycée
2021 mais classement inutile :
http://etudiant.aujourdhui.fr/etudiant/annuaire-lycees/classement/lycees-gt.html?tri=tx_mentions2019 plus pertinent :
https://classement-lycees.etudiant.lefigaro.fr/
Le 27 mai 2021 à 21:59:22 :
La fameuse égalité des chances.
Le système est corrompu et moisi de l'intérieur
J'ai également pris cher sur Parcoursup, alors que maintenant tous les Masters m'acceptent car mon université est à Paris
Je connais des surdoués qui sont pas pris à Dauphine alors qu'une fille qui brille pas dans notre promo a été acceptée. Mais c'est peut-être parce qu'elle est juive ✡
Attardin le niveau académique est plus élevé à Paris, évidemment qu'il faut adapter pour avoir une sélection équitable justement
Si tu as un dossier irréprochable dans un lycée de province, t'es sûr d'être pris partout.
Le 27 mai 2021 à 21:59:22 :
La fameuse égalité des chances.
Le système est corrompu et moisi de l'intérieur
J'ai également pris cher sur Parcoursup, alors que maintenant tous les Masters m'acceptent car mon université est à Paris
Je connais des surdoués qui sont pas pris à Dauphine alors qu'une fille qui brille pas dans notre promo a été acceptée. Mais c'est peut-être parce qu'elle est juive ✡
bordel la glissade
Données du topic
- Auteur
- Miaouss_JOANNA
- Date de création
- 27 mai 2021 à 21:27:29
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