Pourquoi il faut COMBATTRE la DROITE en 3 liens
Ce système absurde est avantageux seulement pour l'oligarchie, d'ailleurs il faut savoir qu'il y a un taux de psychopathes (dans le sens clinique du terme) plus élevé chez les riches que dans les autres catégories sociales
C'est normal il faut être quelqu'un de mauvais pour devenir très riche, le travail est pas récompensé
Concernant les valeurs c'est de la pure idiotie, ils s'autorisent à boire de l'alcool, ce qui transforme les gens en déchet humain lorsqu'ils en consomment trop, mais dans le même temps ils veulent interdire aux gens l'accès au cannabis
J'en ai marre c'est des putains de parasite, ils veulent augmenter le temps de travail, la retraite à 70 ans, ils donnent l'argent que j'ai produit à des putains d'oligarques par le biais du CICE ...
Encore pour la droite des valeurs je ressens pas vraiment de la haine, juste du mépris, autant la droite du travail ta juste envie de leur faire fermer physiquement leur sale gueule
Des vrais FDP
Il faut privatiser cette merde et repousser l'âge de la retraite à 70 ans. On n'a pas le choix. Le gauchisme ne peut rien face à la réalité démographique qui ne se négocie pas.
Il faut interdire toute drogue. Donc le tabac et l'alcool inclus.
Le CICE a été transformé en baisse d'impôts. Tant mieux qu'on ait un tel dispositif.
Le 30 mai 2021 à 12:21:27 :
Résumer de la droite : Dégrader les conditions de vie de 99 % des gens pour améliorer encore plus celle des ultra riches
Des vrais FDP
Non. La libération de l'économie profiterait à tout le monde. A part aux parasites sociaux.
Le 30 mai 2021 à 12:18:11 :
J'en ai marre c'est des putains de parasite, ils veulent augmenter le temps de travail, la retraite à 70 ans, ils donnent l'argent que j'ai produit à des putains d'oligarques par le biais du CICE ...
La retraite à 70 ans est NECESSAIRE !
On ne négocie pas la démographie, les démagos parasites.
Être un esclave de l'État
Un petit chef de PME gagne 6.000 euros brut mensuel, donc 72.000 euros annuel. Son revenu fiscal de référence a un abattement de 10 % et s'élève donc à 64.800.
Il paie 0 % sur ses revenus entre 0 et 1.064 euros.
Il paie 11 % sur ses revenus entre 10.065 et 25.659, donc 1.715 euros.
Il paie 30 % sur ses revenus entre 25.660 et 64.800, donc 11.742 euros.
À ça, il faut ajouter la CSG à 17,2 % de 64.800, donc 11.145 euros.
En tout, il paie donc 1.715 + 11.742 + 11.145 = 24.602 euros. Il lui reste donc 72.000 - 24.600 = 47.400.
Mensualisé, 47.400 / 12 = 3.950 euros.
L'État a donc taxé 34,2 % du revenu brut.
Mais il y a encore plus scandaleux :
Un chef d'entreprise gagne 12.000 euros brut par mois : il lui reste 6.886 euros net par mois, l'État lui a confisqué 42,6 % de son revenu. Cela veut dire que du 1er Janvier au 4 Juin, soit 5 mois de l'année, il ne gagne pas un seul centime. L'intégralité de son revenu des 5 premiers mois de l'année est confisquée par l'État. Il est un esclave de l'État pendant la moitié de l'année. Il travaille pour rien.
Pourquoi il fallait supprimer l'ISF
1 ) La suppression de l'ISF sur le capital, tout comme la Flat Tax de 30 % sur les revenus du capital, avait pour objectif de mettre la France au niveau de la concurrence fiscale des autres pays européens. Rendre notre économie compétitive et attractive pour les investisseurs, créateurs de croissance et d'emplois. L'ISF n'existe nulle part dans le monde et dans aucun pays des 27 membres de l'Union européenne, à l'exception de l'Espagne ( où il a déjà été supprimé, puis rétabli ). L'économie française ne pouvait pas rester avec ce handicap majeur par rapport à ses voisins : les grands pays que sont l'Allemagne, l'Italie, l'Angleterre.
En Suède, Ingvar Kamprad, le PDG d'IKEA, s'était expatrié à cause de l'ISF. Quand il a été supprimé, l'économie a décollé et Ingvar Kamprad est rentré dans son pays.
2 ) Contrairement aux inexactitudes qui sont fréquemment répétées, la suppression de l'ISF n'a pas profité aux « très riches » et aux « plus riches ». Ils avaient des holdings pour ne jamais payer l'ISF.
Cette suppression a profité aux petits millionnaires ( ceux qui ont de 1,3 million à quelques millions ) ayant pour la plupart d'entre eux un revenu de classe moyenne supérieure. Ils composaient la majorité des contribuables ISF.
3 ) L'ISF n'est pas basé sur le revenu mais sur le patrimoine détenu. Il ne tient aucun compte du revenu. On peut gagner le SMIC et devoir payer l'ISF. Quelle conséquence ? Si on a pas d'épargne, pas de capital, on doit vendre son bien ou ses biens immobiliers pour pouvoir payer l'ISF. C'est donc une expropriation.
Un exemple : on hérite d'une maison ou d'un appartement qui a de la valeur, on tombe dans l'ISF, même si on a pas le revenu pour pouvoir le payer. Idem concernant les droits de succession : pour l'héritage d'une maison de 1 million d'euros, les droits à payer sont de 252.000 euros. Si l'héritier ne dispose pas de l'épargne pour pouvoir payer ? Il est contraint de vendre son bien familial, dépossédé, exproprié par l'État, il ne peut pas rester dans la maison familiale dont il a hérité.
4 ) J'ai le souvenir de ces pauvres habitants de l'île de Ré, obligés de vendre leur terrain, donc expropriés de fait, dépossédés de leur terre familiale, pour pouvoir payer l'ISF, parce que leur revenu et leur épargne étaient largement insuffisants. Ensuite, le seuil de déclenchement de l'impôt a été relevé de 780.000 à 1,3 million, mais une fois que l'on était dans l'ISF, l'assiette commençait à 780.000. Le calcul de l'impôt commençait à ce montant, et non à partir du seuil d'entrée à 1,3 million.
L'ISF frappait aussi des gens qui gagnaient le SMIC, ou 2000 euros par mois. Leur revenu était confisqué, avec l'addition de l'impôt sur le revenu, des prélèvements sociaux et de l'ISF. Ils devaient puiser dans leur épargne pour payer l'ISF et pour vivre.
5 ) L'ISF, impôt socialiste créé par François Mitterrand en 1982, était le plus gros racket de tous les impôts : 340.000 personnes payaient environ 5,5 milliards d'ISF chaque année, ce qui faisait une moyenne de 16.000 euros par assujetti, seulement une moyenne. Un contribuable qui détenait 10 millions d'euros de patrimoine payait 98.000 euros d'ISF par an, même s'il avait essentiellement des biens immobiliers, des résidences secondaires et un revenu insuffisant pour payer l'ISF.
Avant le plafonnement du Conseil constitutionnel à 75 % ( IR + CSG-CRDS + ISF ), certains contribuables ont payé plus de 100 % d'impôts sur leurs revenus, qui étaient donc intégralement confisqués à cause de l'ISF. Ils sont passés de 100 % d'impôts ( et bien plus dans certains cas ) à 75 % de leur revenu confisqué. Il ne leur restait que 25 % de leur revenu. La gauche appelle cette spoliation la « justice sociale », la « réduction des inégalités » et la « redistribution des richesses », mais pour que l'État les « redistribue », il doit d'abord les voler à ceux qui les ont créées et en sont les propriétaires. L'ISF n'est pas un « impôt de solidarité sur la fortune », parce qu'avec 1,3 million, on est très loin de la « fortune », d'autant plus quand ce patrimoine n'est que de l'immobilier et non un capital. Le mot « fortune », terme mensonger et démagogique, a été choisi pour tromper l'opinion publique et lui faire croire que l'ISF ne concernait que les gens « riches », alors qu'il n'en était rien. Le mot « solidarité » est également un mensonge, car la solidarité est un choix, un acte volontaire, pas le paiement d'un racket organisé par un État mafieux. L'ISF est le contraire d'un impôt de « justice sociale » ( formulation utilisée par la gauche dans le but de justifier sa politique de pillage des richesses, au nom de sa fausse morale égalitaire ). La principale motivation de la création de cet impôt est la jalousie sociale. Trouver un bouc émissaire à toutes les crises du pays. Stigmatiser, montrer du doigt, piller, appauvrir ceux qui ont plus que les autres et qui sont déjà les contribuables qui payent le plus d'impôts. La gauche socialiste et communiste qui exige le rétablissement de l'ISF doit savoir que nous n'accepterons jamais de revenir à la case départ, alors que nous nous sommes battus pendant 35 ans pour la suppression de cet impôt.
6 ) Les « riches » contribuent déjà plus que n'importe qui avec l'impôt sur le revenu et les prélèvements sociaux. L'ISF venait s'y ajouter, ce qui entraînait une double imposition, sur un capital qui avait déjà été imposé lors de sa constitution.
Chiffres de la DGFIP :
40 % de l'impôt est payé par 2 % des contribuables.
70 % de l'impôt est payé par 10 % des contribuables.
7 ) L'ISF a entraîné une hémorragie de capitaux pendant 35 ans, qui a affaibli et appauvri l'économie française. Mais un contribuable ISF qui s'expatrie ne représente pas seulement une perte en capital pour l'économie française. Il sera aussi une perte en impôt sur le revenu, en prélèvements sociaux, en taxes diverses et en TVA, sans oublier sa consommation de biens et de services. Au final, le coût économique et fiscal de son absence sera infiniment plus lourd que la recette fiscale de son ISF.
« L'ISF rapporte théoriquement 5 milliards d'euros par an. Mais avec tous les capitaux et les chefs d'entreprise qu'il a fait partir, il fait perdre à la France une vingtaine de milliards d'euros de recette. En réalité, l'ISF a un coût de 15 milliards par an ».
Jacqueline Martin de Testa, inspecteur des finances publiques à la Direction générale des finances publiques.
8 ) La France a conduit une politique anti-riches pendant 35 ans. L'État français a lutté contre la richesse au lieu de lutter contre la pauvreté. Quel a été le résultat de ce racket fiscal ? La tiers-mondisation de notre économie, et toujours plus de pauvres ( 9 millions en 2020 ).
Il n'y a pas d'économie sans capital. L'ISF s'attaquait au capital et affaiblissait notre économie.
Depuis la suppression de l'ISF et la création de la Flat Tax de 30 % sur les revenus du capital, le taux d'investissement ( rapporté au PIB ) est passé à 24 %, en 2019. Meilleur résultat depuis 1972.
Avec ce plafonnement à 30 % ( impôt sur le revenu et prélèvements sociaux ), la France reste au-dessus des taux de l'Allemagne et de l'Italie, qui sont à 26 % de Flat Tax.
En finir avec l'égalitarisme
Ras-le-bol d'entendre dire, matin, midi et soir, de l'extrême gauche au RN, les mêmes inepties sur les « inégalités » : « Les inégalités se sont accentuées, il faut les réduire » etc...etc...
Tout d'abord, il faut souligner ce point fondamental : lorsqu'on commence à parler « d' inégalités », on est déjà soumis au logiciel socialo-marxiste. On est lobotomisé, et c'est un dégât irréversible. Le marxisme socialo-communiste est un virus hautement contagieux qui circule vite et a massivement contaminé le peuple français. C'est un SIDA mental.
Les gauchistes ont réalisé une manipulation sémantique et psychologique dans laquelle tout le monde est tombé : le mot « inégalités » a remplacé le mot « pauvreté », avec l'objectif de lutter contre la richesse, au lieu de lutter contre la pauvreté. C'est la haine de classe et la jalousie sociale qui tiennent lieu de pensée économique.
L'égalitarisme aboutit à justifier le racket fiscal des catégories aisées pour distribuer l'argent aux catégories modestes. L'État vole et appauvrit la catégorie aisée, au nom de la morale égalitaire.
La presse vient de nous ressortir pour la énième fois un dossier sur les « inégalités sociales » qui se seraient accentuées dans le monde, entre les plus riches et les plus pauvres. Ce qu'ils ne diront jamais, c'est que l'économie de marché, l'économie capitaliste, a sorti 1 milliard de personnes de la pauvreté. Il faut en finir avec l'idéologie égalitaire du nivellement par le bas et de la médiocrité généralisée. Les égalitaristes nous disent : « les inégalités se creusent, l'écart entre les riches et les pauvres ne cesse d'augmenter, il faut le réduire en surtaxant les riches ». Réponse : le problème n'est pas l'écart entre les riches et les pauvres, mais le niveau de pauvreté en France, qui est inacceptable. Le problème c'est la pauvreté, pas la richesse, qui est un bienfait. Je pose la question aux égalitaristes : vous préférez une société dans laquelle le riche a 2 et le pauvre a 1, ou bien une société dans laquelle le riche a 100 et le pauvre a 10 ? Bien évidemment, ils ne répondent jamais, préférant être des esclaves dans une société égalitaire plutôt qu'être libres dans une société inégalitaire. Les « inégalités » n'existent pas, parce que l'égalité n'existe pas. « L'inégalité » est un concept, une invention marxiste. Elle n'existe pas plus que l'égalité. Le principe de l'égalité consiste à justifier le racket et le pillage de ceux qui ont réussi.
Le Français préfère vivre dans un pays ruiné, mais égalitaire. Au lieu de chercher à s'élever, il préfère jalouser son voisin et rêve de le voir tomber à son niveau.
Je termine par une citation de Coluche : « Les riches sont des salauds ? Je me demande pourquoi tout le monde veut devenir un salaud ».
Abolir les droits de succession
Avant de parler du fond du sujet, je vais donner les chiffres essentiels à retenir sur les droits de succession en France et à l'étranger.
En 2013, François Hollande a fait passer le taux de la tranche supérieure des droits de succession de 40 à 45 %. Il a abaissé le montant de l'abattement ( qui était déjà ridiculement bas ) de 160.000 à 100.000 euros. Mais ce n'est pas fini : Hollande a abaissé le montant des donations à 100.000 euros tous les 15 ans, alors qu'auparavant, on pouvait transmettre 160.000 euros tous les 6 ans ( entre 2006 et 2011 ). Mais Sarkozy avait déjà fait une partie du sale boulot : il a remonté le délai de transmission de 6 à 10 ans, en 2011.
J'ajoute qu'au début de son quinquennat, Hollande a créé une nouvelle tranche supérieure de l'impôt sur le revenu : à 45 % ( à partir de 156.000 euros de revenu par an, 13.000 euros par mois. Il faut y ajouter la CSG-CRDS à 17,2 % = 62,2 % de confiscation du fruit de son travail ). La précédente tranche supérieure de l' IR était à 41 % ( à partir de 74.000 euros par an, 6.150 euros par mois, ce qui entraîne une confiscation de son revenu à hauteur de 58,2 % ). Hollande a également rétabli l'ISF à son ancien barème ( le plus élevé, que Chirac avait maintenu et que Sarkozy avait simplement baissé en conservant ses deux premières tranches, sans avoir le courage de le supprimer ), et a aligné la fiscalité des revenus du capital sur celle des revenus du travail, mesure stupide qui a abouti à dissuader l'investissement de capitaux en France et à les faire fuir à l'étranger. À titre de comparaison, le taux marginal d'imposition sur les successions s’élève à 30 % en Allemagne, à 15 % au Danemark, à 10 % en Suisse et à seulement 4 % en Italie. Parmi les pays de l’OCDE, le taux moyen des droits de succession s’élève à 15 %. Pour revenir au montant exonéré de droits de succession en France : notre abattement est l’un des plus faibles du monde : 100.000 euros contre 400.000 euros en Allemagne, 425.000 livres sterling au Royaume-Uni, 1 million d’euros en Italie, 11,2 millions de dollars aux États-Unis ( depuis la réforme fiscale de Donald Trump ).
Pays où les droits de succession ont été abolis : Canada ( 1972 ), Australie ( 1979 ), Inde ( 1985 ), Nouvelle-Zélande ( 1992 ), Portugal ( 2004 ), Suède ( 2005 ), Russie ( 2005 ), Hong-Kong ( 2006 ), Singapour ( 2008 ), Autriche ( 2008 ) , République Tchèque ( 2014 ), Norvège ( 2014 ).
En finir avec les droits de succession
Tout d'abord, il faut noter que Nicolas Sarkozy a supprimé les droits de succession pour le conjoint disparu, mais pas en ligne directe. Il n'a pas été au bout de la logique. Un exemple : l'héritage d'une maison de 1 million d'euros. Les droits à payer sont de 252.000 euros. Et si l'héritier ne dispose pas de l'épargne pour pouvoir payer ? Il est contraint de vendre son bien familial, dépossédé, exproprié par l'État, il ne peut pas rester dans la maison familiale dont il a hérité.
Le principe des droits de succession est une honte et un scandale absolu. De quoi s'agit-il précisément ? A la mort d'une personne, l'État va dépouiller, dépecer le défunt, à travers ses enfants héritiers. Le pire est que ce racket, ce pillage, va se faire au nom de la morale ! La fausse morale égalitaire socialiste ! Cette oppression fiscale se fait au nom de la " justice sociale ", de la " réduction des inégalités " et de la " redistribution des richesses ". L'État vole chaque année 13 milliards d'euros aux familles françaises ! Il apprauvrit et affaiblit les familles, au nom de la « justice » ! C'est ça la réalité, et il faut sans cesse la rappeler ! Les droits de succession sont une double imposition : on paye l'impôt sur le revenu et les prélèvements sociaux durant notre vie de travail et durant notre retraite. Ce qui nous reste permet de se constituer un patrimoine financier et immobilier. Mais une fois mort, nous payons une seconde fois, à travers nos héritiers, sur le patrimoine qui a été bâti par une vie de travail et d'efforts ! Comme l'ISF, les droits de succession sont un impôt sur le patrimoine, qui vient s'ajouter à l'impôt sur le revenu. C'est la double peine ! On a jamais fini de payer ! Même mort, on continue à payer, en nous faisant dépouiller, dépecer par l'État mafieux !
« Un héritier n'a aucun mérite, il doit donc être taxé », dit la gauche.
L'argument de l'absence de mérite est profondément idiot.
Un patrimoine bâti par une vie de travail et d'efforts est naturellement et légitimement transmis à ses enfants. Il appartient à la famille et doit rester dans la famille. Il n'appartient pas à l'État.
Pour conclure : j'ai été sidéré de lire que l'héritage était un « revenu » et qu'il était légitime que l'État fasse payer des droits de succession. Un revenu, ce n'est pas un héritage qui nous est transmis une seule fois dans notre vie. Un revenu, c'est une somme d'argent qui nous est versée de façon régulière et récurrente : salaire, pension de retraite, solde de retraite, revenus libéraux du travail, revenus du capital. Un patrimoine qui est transmis a déjà été imposé lors de sa constitution, à travers l'impôt sur le revenu et les prélèvements sociaux. Il n'a pas à subir une double imposition.
Topic clos.
La fameuse gauche sociale
Le salaire minimum
https://www.google.com/amp/s/lentreprise.lexpress.fr/rh-management/remuneration-salaire/la-tumultueuse-histoire-du-smic-depuis-1957_1521682.amp.html
https://france-inflation.com/smic.php
https://www.google.com/amp/www.leparisien.fr/amp/international/royaume-uni-boris-johnson-augmente-le-salaire-minimum-de-6-2-31-12-2019-8226501.php
http://www.nouvelle-chouannerie.com/royalismesocial/index.php?option=com_content&view=article&id=19:rappel&catid=36:actu&Itemid=55
1870-1914 le député royaliste Albert de Mun milite le premier pour le salaire minimum.
1950 création du SMIG (futur SMIC) par René Pleven, chrétien démocrate. La SFIO et le PCF s'opposent à ce projet de loi.
1970 le gaulliste Jacques Chaban-Delmas indexe le SMIC sur la hausse des prix et du salaire moyen. Résultat: le SMIC est multiplié par 4 en 10 ans, et pendant près de 10 ans le pouvoir d'achat augmente chaque année de 4%-10%.
1982 Mitterrand (socialiste) décide de supprimer l'indexation des salaires sur la hausse des prix pour l'indexer sur un taux prévu par le gouvernement. Conséquence: le SMIC et le pouvoir d'achat stagnent pendant 10 ans.
2000 la réforme des 35 heures provoque des inégalités du montant du SMIC entre les salariés. En effet, la loi Aubry (socialiste) conduit à la création de 5 SMICS différents. En 2003, le gouvernement Fillon (UMP) revalorise fortement le SMIC pendant 3 ans pour supprimer ces disparités.
Les allocations familiales
1916 fervent catholique, Émile Romanet crée pour son personnel les premières allocations familiales.
1918 l'homme d'affaires Émile Marcesche et un syndicat patronal isérois inventent les premières caisses d'allocations familiales.
1929 le député de l'Action libérale (catholicisme social) Jean Lerolle fait voter la généralisation des allocations familiales, appuyé par la Confédération française des travailleurs chrétiens.
1948 création de l'allocation de logement familiale par le gouvernement du chrétien-démocrate Robert Schuman.
Années 70 création par les gouvernements de droite de l'allocation orphelin, l’allocation aux mineurs handicapés, l'allocation de rentrée scolaire, l'allocation de parent isolé et le complément familial SPOIL .
1985 et 2000 les socialistes créent leurs propres allocs (l'allocation parentale et l'allocation journalière de présence parentale) avec 70 ans de retard par rapport aux catholiques sociaux.
Les couvertures maladie
http://www.musee.mutualite.fr/musee/musee-mutualite.nsf/PopupFrame?openagent&Etage=theme&Piece=4&Nb=1&Ref=ssm
https://fr.m.wikipedia.org/wiki/S%C3%A9curit%C3%A9_sociale_en_France
https://m.jds.fr/tourisme-et-loisirs/guide-de-l-alsace/la-securite-sociale-alsacienne-34268_A
1791 le décret d'Allarde (Assemblée Constituante de la Révolution française) puis la loi Le Chapelier suppriment les corporations et officellement les sociétés de secours mutuels (SSM, ancêtres des mutuelles). Ces lois interdisent également à l'avenir le droit de grève et la formation future de syndicats. SPOIL SPOIL
1835 le gouvernement de De Broglie (orléaniste) reconnaît en pratique la légalité des SSM.
1848-1852 la Deuxième République tente de légaliser explicitement les SSM. C'est un ÉCHEC.
1852 l'Empereur Napoléon III publie un décret reconnaissant les SSM.
1914 l'Alsace-Moselle, constatant que la République française a un retard énorme sur l'Empire allemand concernant la politique sociale, exige de conserver sa sécurité sociale lors du rattachement à la France.
1928-1930 création des assurances sociales par la coalition de droite au pouvoir. La France républicaine est le dernier pays d'Europe à adopter ce système existant depuis près de 50 ans en Allemagne.
1945 création de la Sécurité Sociale par ordonnances de l'exécutif. La Sécu, est certes construite en partie par un communiste (Ambroise Croizat), mais cette construction se base sur les grands principes énoncés par le rapport Beveridge (économiste libéral anglais) et calque le modèle bismarckien.
Les congés payés
https://www.google.com/amp/s/www.liberation.fr/amphtml/grand-angle/2006/06/20/et-blum-crea-les-vacances-payees_41864
https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Lois_Auroux
1792 le calendrier "révolutionnaire" supprime le repos dominical pour le remplacer par un repos tous les 10 jours. Les fêtes chomées chrétiennes de l'Ancien Régime sont également supprimées. Résultat: le peuple passe de 56 à 32 jours chômés par an.
1814 le roi Louis XVIII rétablit le repos dominical par décret.
1848-1852 plus de repos dominical sous la IIe République.
1851 repos dominical rétabli sous Napoléon III.
1853 un décret de l'Empereur Napoléon III crée les congés payés pour le service public (en plus de généraliser leur système de retraites et de créer la pension pour les veufs). Les congés payés ne sont alors la revendication d'AUCUNE formation de gauche.
1880 la coalition de gauche au pouvoir supprime le repos dominical pour le secteur privé.
1905 création des congés payés dans l'Empire allemand (conservateurs) qui va inspirer la France.
1906 rétablissement du repos dominical sous pression des royalistes sociaux.
1922 le patron du journal "l'Information" donne des congés payés à ses employés.
1925 le secrétaire général du PCF REFUSE la revendication des congés payés dans leur programme, au nom du "réalisme" face à une "illusion". Les congés payés ne seront jamais une revendication communiste.
1926 il faut attendre cette année pour que les congés payés deviennent une revendication de la CGT.
1934 En Alsace, les patrons sociaux inspirés par l'Allemagne frontalière ont déjà accordé à 2/3 des travailleurs des congés.
1936 les congés payés et la semaine de 40 heures ne figurent PAS dans le programme du Front Populaire. Ces mesures seront imposées par les ouvriers.
1955 le patron de Renault, Pierre Dreyfus, montre qu'on peut accorder une troisième semaine de congés avec ses employés. Ce patron social disait que son entreprise avait 2 objectifs: "enrichir la nation" et "faire progresser la condition des travailleurs. Ces deux objectifs sont indissociables d’une même réalité".
1956 troisième semaine de congés payés votée à l'unanimité par une assemblée à 45% de droite + extrême droite poujadiste.
1962 le même patron de Renault décide d'accorder une quatrième semaine à ses employés. La quatrième semaine sera votée 7 ans plus tard.
1982 Mitterrand, après avoir fustigé des années la monarchie présidentielle de la Cinquième République, est bien content d'utiliser les ordonnances présidentielles pour promulguer la cinquième semaine de congés payés sans débat parlementaire ni concession.
Cette mesure est aussi fortement inspirée par le catholicisme social de Jacques Delors, ancien syndicaliste de la Confédération Française des Travailleurs Chrétiens.
Retraites
https://www.observatoire-retraites.org/les-retraites/la-retraite-en-france/histoire-de-la-retraite-en-france/
https://fresques.ina.fr/securite-sociale/parcours/0004/la-retraite-en-france-de-1945-a-nos-jours.html
https://fresques.ina.fr/securite-sociale/fiche-media/Secuso00084/robert-boulin-amelioration-des-retraites-et-allongement-de-la-duree-d-assurance.html
https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Plan_Jupp%C3%A9_de_1995 <spoil>
1673 Colbert, ministre de Louis XIV, crée le premier système de retraite par répartition au monde, pour les marins. D'autres professions au service du roi suivront.
1853 Napoléon III généralise le système de répartition à toute la fonction publique. L'âge de la retraite est alors de 60 ans, 55 ans pour les travaux pénibles.
Fin XIXe siècle les patrons catholiques sont les premiers à développer un système de retraite pour les ouvriers, le paternalisme. Les socialistes et les républicains viendront après apporter leur contre-modèle, respectivement la gestion ouvrière et le mutualisme.
1910 Promulgation de la loi Retraites Ouvrières et Paysannes par la gauche. La CGT s'oppose à cette loi, car elle met en place un système de capitalisation et fixe l'âge de la retraite à 65 ans. Elle surnomme cette loi "la retraire pour les morts".
Cette loi essaye de rattraper le système bismarckien, mais elle ne couvre pas le risque d'invalidité, alors qu'en Allemagne 90% des liquidations de pensions étaient faites à ce titre avant la limite d'âge.
1941 création par le Régime de Vichy du premier système de retraites intégral par répartition, l'Allocation aux Vieux Travailleurs Salariés. René Belin, syndicaliste anticommuniste, est aux commandes.
1945 le système de répartition de Belin est conservé à la Libération, et intégré à la Sécu d'essence bismarckienne et aux influences beveridgiennes.
1953 la coalition centre-droit tente de mettre fin aux régimes spéciaux. Les grèves font reculer le gouvernement. (faut être exhaustif quand même)
1971 le gouvernement de droite promulgue la loi Boulin: augmentation du taux maximum appliquable à la retraite, calcul de la retraite sur les 10 meilleures années plutôt que les 10 dernières, retraite à 60 ans à taux plein pour ceux 50% inaptes au travail, allocation vieillesse pour les femmes au foyer.
1972 généralisation par le gouvernement de droite des régimes complémentaires à toute la population.
1981 retraite à 60 ans promulguée par la loi Auroux, fortement inspirée par le catholicisme social de Jacques Delors, ancien syndicaliste de la Confédération Française des Travailleurs Chrétiens.
1991 le député socialiste Michel Rocard publie son Livret blanc qui préfigure toutes les réformes d'austérité qui suivront.
1993 le gouvernement de droite lance les réformes Balladur, mesures d'austérité pour combattre le déficit causé par la crise monétaire. Crise monétaire qui a pour origine la réunification allemande, chamboulant le système monétaire européen.
AUCUN syndicat ne manifestera massivement ni ne fera grève contre cette réforme. Ils le feront pourtant contre le plan Juppé, qui est la même réforme mais pour le secteur public.
1995 le plan Juppé suit le plan Balladur, mais pour la fonction publique, afin de "qualifier la France pour la monnaie uaime européenne".
Une partie du PS approuve cette réforme, les grèves la font abroger.
1999 création du fond de réserve pour les retraites par le gouvernement socialiste afin de mettre de l'argent de côté pour pallier au vieillissement de la population dans les années à venir. Cette caisse est notamment financée par les cessions d'actifs lors de ses privatisations.
2003, 2007, 2013, 2014, 2019 réformes successives d'austérité par l'UMPS et son enfant batard LREM.
Le 30 mai 2021 à 12:22:32 :
Il faut privatiser cette merde et repousser l'âge de la retraite à 70 ans. On n'a pas le choix. Le gauchisme ne peut rien face à la réalité démographique qui ne se négocie pas.
Il faut interdire toute drogue. Donc le tabac et l'alcool inclus.
Le CICE a été transformé en baisse d'impôts. Tant mieux qu'on ait un tel dispositif.
Il y a 10 fois plus de chômeurs que d'emplois disponible, rajouter des vieux entre 60 et 70 ans sur le marché du travail à aucun sens, d'ailleurs aucun chef d'entreprise intelligent n'embaucherait des gens dans cette tranche d'âge, c'est juste un moyen de précariser les vieux
Pourquoi pas, c'est cohérant mais la plupart des droitards consomment de l'alcool et sont contre la légalisation du cannabis
Le coût d'un emploi au final est ridiculement élevé, c'est à dire que donner 2000 euros par mois d'aides sociales aux gens qui ont été employé grâce au CICE aurait été moins couteux, le CICE c'est juste le transfert d'argent publique dans la poche des multinationales qui ont profité de 50 % du CICE (dont des entreprises étrangère qui fraude les impôts en France)
Le 30 mai 2021 à 12:25:55 :
La fameuse gauche socialeLe salaire minimum
https://www.google.com/amp/s/lexpansion.lexpress.fr/actualite-economique/le-salaire-minimum-legal-une-idee-de-gauche_1809851.amp.html
https://www.google.com/amp/s/lentreprise.lexpress.fr/rh-management/remuneration-salaire/la-tumultueuse-histoire-du-smic-depuis-1957_1521682.amp.html
https://france-inflation.com/smic.php
https://www.google.com/amp/www.leparisien.fr/amp/international/royaume-uni-boris-johnson-augmente-le-salaire-minimum-de-6-2-31-12-2019-8226501.php
http://www.nouvelle-chouannerie.com/royalismesocial/index.php?option=com_content&view=article&id=19:rappel&catid=36:actu&Itemid=55
1870-1914 le député royaliste Albert de Mun milite le premier pour le salaire minimum.
1950 création du SMIG (futur SMIC) par René Pleven, chrétien démocrate. La SFIO et le PCF s'opposent à ce projet de loi.
1970 le gaulliste Jacques Chaban-Delmas indexe le SMIC sur la hausse des prix et du salaire moyen. Résultat: le SMIC est multiplié par 4 en 10 ans, et pendant près de 10 ans le pouvoir d'achat augmente chaque année de 4%-10%.
1982 Mitterrand (socialiste) décide de supprimer l'indexation des salaires sur la hausse des prix pour l'indexer sur un taux prévu par le gouvernement. Conséquence: le SMIC et le pouvoir d'achat stagnent pendant 10 ans.
2000 la réforme des 35 heures provoque des inégalités du montant du SMIC entre les salariés. En effet, la loi Aubry (socialiste) conduit à la création de 5 SMICS différents. En 2003, le gouvernement Fillon (UMP) revalorise fortement le SMIC pendant 3 ans pour supprimer ces disparités.Les allocations familiales
https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Allocations_familiales#Origines_et_histoire
1916 fervent catholique, Émile Romanet crée pour son personnel les premières allocations familiales.
1918 l'homme d'affaires Émile Marcesche et un syndicat patronal isérois inventent les premières caisses d'allocations familiales.
1929 le député de l'Action libérale (catholicisme social) Jean Lerolle fait voter la généralisation des allocations familiales, appuyé par la Confédération française des travailleurs chrétiens.
1948 création de l'allocation de logement familiale par le gouvernement du chrétien-démocrate Robert Schuman.
Années 70 création par les gouvernements de droite de l'allocation orphelin, l’allocation aux mineurs handicapés, l'allocation de rentrée scolaire, l'allocation de parent isolé et le complément familial SPOIL .
1985 et 2000 les socialistes créent leurs propres allocs (l'allocation parentale et l'allocation journalière de présence parentale) avec 70 ans de retard par rapport aux catholiques sociaux.Les couvertures maladie
http://www.musee.mutualite.fr/musee/musee-mutualite.nsf/PopupFrame?openagent&Etage=theme&Piece=4&Nb=1&Ref=ssm
https://fr.m.wikipedia.org/wiki/S%C3%A9curit%C3%A9_sociale_en_France
https://m.jds.fr/tourisme-et-loisirs/guide-de-l-alsace/la-securite-sociale-alsacienne-34268_A
1791 le décret d'Allarde (Assemblée Constituante de la Révolution française) puis la loi Le Chapelier suppriment les corporations et officellement les sociétés de secours mutuels (SSM, ancêtres des mutuelles). Ces lois interdisent également à l'avenir le droit de grève et la formation future de syndicats. SPOIL SPOIL
1835 le gouvernement de De Broglie (orléaniste) reconnaît en pratique la légalité des SSM.
1848-1852 la Deuxième République tente de légaliser explicitement les SSM. C'est un ÉCHEC.
1852 l'Empereur Napoléon III publie un décret reconnaissant les SSM.
1914 l'Alsace-Moselle, constatant que la République française a un retard énorme sur l'Empire allemand concernant la politique sociale, exige de conserver sa sécurité sociale lors du rattachement à la France.
1928-1930 création des assurances sociales par la coalition de droite au pouvoir. La France républicaine est le dernier pays d'Europe à adopter ce système existant depuis près de 50 ans en Allemagne.
1945 création de la Sécurité Sociale par ordonnances de l'exécutif. La Sécu, est certes construite en partie par un communiste (Ambroise Croizat), mais cette construction se base sur les grands principes énoncés par le rapport Beveridge (économiste libéral anglais) et calque le modèle bismarckien.Les congés payés
https://www.latribune.fr/actualites/economie/france/20130731trib000778400/il-etait-une-fois-les-conges-payes.html
https://www.google.com/amp/s/www.liberation.fr/amphtml/grand-angle/2006/06/20/et-blum-crea-les-vacances-payees_41864
https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Lois_Auroux
1792 le calendrier "révolutionnaire" supprime le repos dominical pour le remplacer par un repos tous les 10 jours. Les fêtes chomées chrétiennes de l'Ancien Régime sont également supprimées. Résultat: le peuple passe de 56 à 32 jours chômés par an.
1814 le roi Louis XVIII rétablit le repos dominical par décret.
1848-1852 plus de repos dominical sous la IIe République.
1851 repos dominical rétabli sous Napoléon III.
1853 un décret de l'Empereur Napoléon III crée les congés payés pour le service public (en plus de généraliser leur système de retraites et de créer la pension pour les veufs). Les congés payés ne sont alors la revendication d'AUCUNE formation de gauche.
1880 la coalition de gauche au pouvoir supprime le repos dominical pour le secteur privé.
1905 création des congés payés dans l'Empire allemand (conservateurs) qui va inspirer la France.
1906 rétablissement du repos dominical sous pression des royalistes sociaux.
1922 le patron du journal "l'Information" donne des congés payés à ses employés.
1925 le secrétaire général du PCF REFUSE la revendication des congés payés dans leur programme, au nom du "réalisme" face à une "illusion". Les congés payés ne seront jamais une revendication communiste.
1926 il faut attendre cette année pour que les congés payés deviennent une revendication de la CGT.
1934 En Alsace, les patrons sociaux inspirés par l'Allemagne frontalière ont déjà accordé à 2/3 des travailleurs des congés.
1936 les congés payés et la semaine de 40 heures ne figurent PAS dans le programme du Front Populaire. Ces mesures seront imposées par les ouvriers.
1955 le patron de Renault, Pierre Dreyfus, montre qu'on peut accorder une troisième semaine de congés avec ses employés. Ce patron social disait que son entreprise avait 2 objectifs: "enrichir la nation" et "faire progresser la condition des travailleurs. Ces deux objectifs sont indissociables d’une même réalité".
1956 troisième semaine de congés payés votée à l'unanimité par une assemblée à 45% de droite + extrême droite poujadiste.
1962 le même patron de Renault décide d'accorder une quatrième semaine à ses employés. La quatrième semaine sera votée 7 ans plus tard.
1982 Mitterrand, après avoir fustigé des années la monarchie présidentielle de la Cinquième République, est bien content d'utiliser les ordonnances présidentielles pour promulguer la cinquième semaine de congés payés sans débat parlementaire ni concession.
Cette mesure est aussi fortement inspirée par le catholicisme social de Jacques Delors, ancien syndicaliste de la Confédération Française des Travailleurs Chrétiens.Retraites
https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Retraite_en_France
https://www.observatoire-retraites.org/les-retraites/la-retraite-en-france/histoire-de-la-retraite-en-france/
https://fresques.ina.fr/securite-sociale/parcours/0004/la-retraite-en-france-de-1945-a-nos-jours.html
https://fresques.ina.fr/securite-sociale/fiche-media/Secuso00084/robert-boulin-amelioration-des-retraites-et-allongement-de-la-duree-d-assurance.html
https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Plan_Jupp%C3%A9_de_1995 <spoil>
1673 Colbert, ministre de Louis XIV, crée le premier système de retraite par répartition au monde, pour les marins. D'autres professions au service du roi suivront.
1853 Napoléon III généralise le système de répartition à toute la fonction publique. L'âge de la retraite est alors de 60 ans, 55 ans pour les travaux pénibles.
Fin XIXe siècle les patrons catholiques sont les premiers à développer un système de retraite pour les ouvriers, le paternalisme. Les socialistes et les républicains viendront après apporter leur contre-modèle, respectivement la gestion ouvrière et le mutualisme.
1910 Promulgation de la loi Retraites Ouvrières et Paysannes par la gauche. La CGT s'oppose à cette loi, car elle met en place un système de capitalisation et fixe l'âge de la retraite à 65 ans. Elle surnomme cette loi "la retraire pour les morts".
Cette loi essaye de rattraper le système bismarckien, mais elle ne couvre pas le risque d'invalidité, alors qu'en Allemagne 90% des liquidations de pensions étaient faites à ce titre avant la limite d'âge.
1941 création par le Régime de Vichy du premier système de retraites intégral par répartition, l'Allocation aux Vieux Travailleurs Salariés. René Belin, syndicaliste anticommuniste, est aux commandes.
1945 le système de répartition de Belin est conservé à la Libération, et intégré à la Sécu d'essence bismarckienne et aux influences beveridgiennes.
1953 la coalition centre-droit tente de mettre fin aux régimes spéciaux. Les grèves font reculer le gouvernement. (faut être exhaustif quand même)
1971 le gouvernement de droite promulgue la loi Boulin: augmentation du taux maximum appliquable à la retraite, calcul de la retraite sur les 10 meilleures années plutôt que les 10 dernières, retraite à 60 ans à taux plein pour ceux 50% inaptes au travail, allocation vieillesse pour les femmes au foyer.
1972 généralisation par le gouvernement de droite des régimes complémentaires à toute la population.
1981 retraite à 60 ans promulguée par la loi Auroux, fortement inspirée par le catholicisme social de Jacques Delors, ancien syndicaliste de la Confédération Française des Travailleurs Chrétiens.
1991 le député socialiste Michel Rocard publie son Livret blanc qui préfigure toutes les réformes d'austérité qui suivront.
1993 le gouvernement de droite lance les réformes Balladur, mesures d'austérité pour combattre le déficit causé par la crise monétaire. Crise monétaire qui a pour origine la réunification allemande, chamboulant le système monétaire européen.
AUCUN syndicat ne manifestera massivement ni ne fera grève contre cette réforme. Ils le feront pourtant contre le plan Juppé, qui est la même réforme mais pour le secteur public.
1995 le plan Juppé suit le plan Balladur, mais pour la fonction publique, afin de "qualifier la France pour la monnaie uaime européenne".
Une partie du PS approuve cette réforme, les grèves la font abroger.
1999 création du fond de réserve pour les retraites par le gouvernement socialiste afin de mettre de l'argent de côté pour pallier au vieillissement de la population dans les années à venir. Cette caisse est notamment financée par les cessions d'actifs lors de ses privatisations.
2003, 2007, 2013, 2014, 2019 réformes successives d'austérité par l'UMPS et son enfant batard LREM.
La fausse droite est identique à la gauche. Aucune différence.
Le 30 mai 2021 à 12:25:47 :
J'ai redpill l'OP qui est un parasite social gauchiste au RSA.
Topic clos.
Cimer khey
Le 30 mai 2021 à 12:26:41 :
Le 30 mai 2021 à 12:25:47 :
J'ai redpill l'OP qui est un parasite social gauchiste au RSA.
Topic clos.Cimer khey
Je travail, je suis au SMIC
Donc vous êtes des putains de débile, vous utilisez des attaques personnels et en plus elles sont fausses
Le 30 mai 2021 à 12:26:09 :
Le 30 mai 2021 à 12:22:32 :
Il faut privatiser cette merde et repousser l'âge de la retraite à 70 ans. On n'a pas le choix. Le gauchisme ne peut rien face à la réalité démographique qui ne se négocie pas.
Il faut interdire toute drogue. Donc le tabac et l'alcool inclus.
Le CICE a été transformé en baisse d'impôts. Tant mieux qu'on ait un tel dispositif.
Il y a 10 fois plus de chômeurs que d'emplois disponible, rajouter des vieux entre 60 et 70 ans sur le marché du travail à aucun sens, d'ailleurs aucun chef d'entreprise intelligent n'embaucherait des gens dans cette tranche d'âge, c'est juste un moyen de précariser les vieux
Les emplois dits disponibles ne sont qu'une goutte d'eau comparés aux emplois réellement disponibles et aux possibilités de création de valeur. Il y a bel et bien du travail pour chacun d'entre nous. Le plein emploi est possible; mais pour ça il faut diminuer le coût du travail en parallèle.
A 60 ans tu n'es pas embauché. Tu restes dans l'entreprises dans laquelle tu étais déjà.
Le coût d'un emploi au final est ridiculement élevé, c'est à dire que donner 2000 euros par mois d'aides sociales aux gens qui ont été employé grâce au CICE aurait été moins couteux, le CICE c'est juste le transfert d'argent publique dans la poche des multinationales qui ont profité de 50 % du CICE (dont des entreprises étrangère qui fraude les impôts en France)
Nos entreprises devaient être boostées. Mais je suis heureux qu'au final ce soit devenu une simple baisse de charges.
Données du topic
- Auteur
- [D]reamcatcher
- Date de création
- 30 mai 2021 à 12:13:54
- Nb. messages archivés
- 348
- Nb. messages JVC
- 339