SONDAGE : Votre ENFANCE a-t'elle eu un IMPACT sur votre VIE ?

Le 03 mai 2021 à 15:29:22 :
J'ai voté "J'ai MANQUE d'affection mais je ne suis PAS un déchet".

J'ai toujours été très solitaire. A la base c'était parce que je ne voulais pas faire comme les autres, parce que ça ne me plaisait pas. Ça a commencé à l'école primaire J'ai très tôt commencé à me réfugier dans les jeux, j'avais tout le temps la tête dans la Lune bref, le besoin d'échapper au monde.
Je ne dirais pas que mes parents ne m'ont pas donné d'affection. Mon père est plutôt pudique au niveau des sentiments, et ma mère n'est expressive que dans de rares moments alcoolisés...
Cependant, l'affection que je recherchais n'était pas donnée. Pareil dans mon entourage social. Le nombre de râteaux que je me suis pris étant très jeune n'a pas dû aider non plus.

Même chez moi j'étais toujours seul enfermé dans ma chambre. Je m'en plaignais pas, au contraire. Mais ça m'a conforté dans une position de solitaire, de marginal. Ça m'a beaucoup coûté socialement au collège. Au lycée c'est allé beaucoup mieux.

Mais on ne peut pas combler l'amour qu'on a jamais eu en étant gosse je pense. Ça restera toujours. Je ne suis pas un déchet cependant, j'ai toujours été bon à l'école, je fais des études, je passe le permis, éthique de vie, etc donc à ce niveau ça va... J'ai un groupe d'amis, mais full pucix nonobstant.

Ton histoire est très intéressante mon khey
Il semblerait quand même que ton climat familial n'était pas optimal et que par conséquent tu as développé une personnalité un peu fuyante. Après peut être que c'est dans ta nature d'être en retrait et pas dû à ton environnement.
De toute évidence on peut imputer 50% de nos traits de caractères et notre personnalité à notre ADN et la moitié restante à l'environnement dans lequel on nait.

Je me rend compte que le mot "déchet" était peut être trop fort

J'aurais plutôt dû employé le terme "névrosé" ou "tendance dépressive", je sais pas vraiment

En tout cas c'est déjà bien que tu aies réussis à te faire un groupe d'amis et que tu avances bien dans ta vie, force à toi khey

Le 03 mai 2021 à 15:36:53 :
L'enfance a toujours un impact conséquent sur ce qu'on devient : surtout si on a eu des parents atypiques et manipulateurs.

Bien sûr ça parait évident mais cette vérité a été longtemps ignoré par les psychiatres et autres scientifiques.

Le 03 mai 2021 à 15:39:09 :
Pas dechet mais manque d affection , j'ai jamais eu de vrai potes qui me parlaient tt les jours , qui souhaitaient prendre des nouvelles de moi , mais je garde espoir sur moi meme , go muscu , études etc ...

Il faut toujours garder espoir Tu finiras bien par rencontrer des gens avec qui nouer des liens

P.S : je dis ça mais je suis pas mieux j'ai 0 amis

Le 03 mai 2021 à 15:41:32 :
Si ça t'intéresse l'auteur y'a des conférences de Boris Cyrulnik et d'Isabelle Filliozat dispo sur Youtube qui parlent de ça, c'est les deux plus grosses références en terme de théorie de l'éducation.
D'ailleurs le livre de Filliozat "Pour une enfance heureuse" reste une référence également malgré son âge (l'âge du livre, pas de l'auteur).

Super ! Merci beaucoup, je vais regarder tout ça, je ne connais pas du tout

Tu t'intéresses aussi à la psychologie ?

Merci beaucoup les kheys pour les 212 votes, je suis très content d'avoir recueillis autant de réponses

Déjà c'est plutôt pas mal, une majorité de khey n'a pas eu (ou ne considère pas avoir eu) de manque d'affection

Après je me rend compte que j'aurais du utiliser un autre mot que déchet car on n'est peut être pas tous d'accord sur la définition et puis le mot est trop "puissant". Déchet c'est quand même un peu limite

Le 03 mai 2021 à 18:28:58 :
bordel mais quelle sondage de merde

Merci pour tes arguments en béton

Le 03 mai 2021 à 15:29:22 :
J'ai voté "J'ai MANQUE d'affection mais je ne suis PAS un déchet".

J'ai toujours été très solitaire. A la base c'était parce que je ne voulais pas faire comme les autres, parce que ça ne me plaisait pas. Ça a commencé à l'école primaire J'ai très tôt commencé à me réfugier dans les jeux, j'avais tout le temps la tête dans la Lune bref, le besoin d'échapper au monde.
Je ne dirais pas que mes parents ne m'ont pas donné d'affection. Mon père est plutôt pudique au niveau des sentiments, et ma mère n'est expressive que dans de rares moments alcoolisés...
Cependant, l'affection que je recherchais n'était pas donnée. Pareil dans mon entourage social. Le nombre de râteaux que je me suis pris étant très jeune n'a pas dû aider non plus.

Même chez moi j'étais toujours seul enfermé dans ma chambre. Je m'en plaignais pas, au contraire. Mais ça m'a conforté dans une position de solitaire, de marginal. Ça m'a beaucoup coûté socialement au collège. Au lycée c'est allé beaucoup mieux.

Mais on ne peut pas combler l'amour qu'on a jamais eu en étant gosse je pense. Ça restera toujours. Je ne suis pas un déchet cependant, j'ai toujours été bon à l'école, je fais des études, je passe le permis, éthique de vie, etc donc à ce niveau ça va... J'ai un groupe d'amis, mais full pucix nonobstant.

Tout est dit. J'ai une copine, un très bon travail, des amis, je me suis construit un certain physique. Mais j'ai mis du temps pour en arriver là, je me suis battu, et même si objectivement j'ai une très bonne situation, j'ai une tendance névrosée/dépressive, certains dégâts de l'enfance sont irréversibles peu importe ce que tu obtiens par la suite

Le 03 mai 2021 à 18:38:14 :

Le 03 mai 2021 à 15:29:22 :
J'ai voté "J'ai MANQUE d'affection mais je ne suis PAS un déchet".

J'ai toujours été très solitaire. A la base c'était parce que je ne voulais pas faire comme les autres, parce que ça ne me plaisait pas. Ça a commencé à l'école primaire J'ai très tôt commencé à me réfugier dans les jeux, j'avais tout le temps la tête dans la Lune bref, le besoin d'échapper au monde.
Je ne dirais pas que mes parents ne m'ont pas donné d'affection. Mon père est plutôt pudique au niveau des sentiments, et ma mère n'est expressive que dans de rares moments alcoolisés...
Cependant, l'affection que je recherchais n'était pas donnée. Pareil dans mon entourage social. Le nombre de râteaux que je me suis pris étant très jeune n'a pas dû aider non plus.

Même chez moi j'étais toujours seul enfermé dans ma chambre. Je m'en plaignais pas, au contraire. Mais ça m'a conforté dans une position de solitaire, de marginal. Ça m'a beaucoup coûté socialement au collège. Au lycée c'est allé beaucoup mieux.

Mais on ne peut pas combler l'amour qu'on a jamais eu en étant gosse je pense. Ça restera toujours. Je ne suis pas un déchet cependant, j'ai toujours été bon à l'école, je fais des études, je passe le permis, éthique de vie, etc donc à ce niveau ça va... J'ai un groupe d'amis, mais full pucix nonobstant.

Tout est dit. J'ai une copine, un très bon travail, des amis, je me suis construit un certain physique. Mais j'ai mis du temps pour en arriver là, je me suis battu, et même si objectivement j'ai une très bonne situation, j'ai une tendance névrosée/dépressive, certains dégâts de l'enfance sont irréversibles peu importe ce que tu obtiens par la suite

Je me retrouve dans ce que tu dis mon khey.
Bon j'ai pas d'amis et je galère un peu niveau professionnel, j'ai du mal à garder un emploi mais j'ai une copine ce qui est déjà bien plus que ce que j'espérais

A coté de ça je fais de la musique, du sport, je suis plutôt heureux mais j'ai des grosses phases de déprimes parfois et je sais que ça fera toujours partis de moi.
Il faut se battre et continuer d'avancer

Le 03 mai 2021 à 18:38:14 :

Le 03 mai 2021 à 15:29:22 :
J'ai voté "J'ai MANQUE d'affection mais je ne suis PAS un déchet".

J'ai toujours été très solitaire. A la base c'était parce que je ne voulais pas faire comme les autres, parce que ça ne me plaisait pas. Ça a commencé à l'école primaire J'ai très tôt commencé à me réfugier dans les jeux, j'avais tout le temps la tête dans la Lune bref, le besoin d'échapper au monde.
Je ne dirais pas que mes parents ne m'ont pas donné d'affection. Mon père est plutôt pudique au niveau des sentiments, et ma mère n'est expressive que dans de rares moments alcoolisés...
Cependant, l'affection que je recherchais n'était pas donnée. Pareil dans mon entourage social. Le nombre de râteaux que je me suis pris étant très jeune n'a pas dû aider non plus.

Même chez moi j'étais toujours seul enfermé dans ma chambre. Je m'en plaignais pas, au contraire. Mais ça m'a conforté dans une position de solitaire, de marginal. Ça m'a beaucoup coûté socialement au collège. Au lycée c'est allé beaucoup mieux.

Mais on ne peut pas combler l'amour qu'on a jamais eu en étant gosse je pense. Ça restera toujours. Je ne suis pas un déchet cependant, j'ai toujours été bon à l'école, je fais des études, je passe le permis, éthique de vie, etc donc à ce niveau ça va... J'ai un groupe d'amis, mais full pucix nonobstant.

Tout est dit. J'ai une copine, un très bon travail, des amis, je me suis construit un certain physique. Mais j'ai mis du temps pour en arriver là, je me suis battu, et même si objectivement j'ai une très bonne situation, j'ai une tendance névrosée/dépressive, certains dégâts de l'enfance sont irréversibles peu importe ce que tu obtiens par la suite

C'est juste

Le 03 mai 2021 à 18:22:52 :

Le 03 mai 2021 à 15:29:22 :
J'ai voté "J'ai MANQUE d'affection mais je ne suis PAS un déchet".

J'ai toujours été très solitaire. A la base c'était parce que je ne voulais pas faire comme les autres, parce que ça ne me plaisait pas. Ça a commencé à l'école primaire J'ai très tôt commencé à me réfugier dans les jeux, j'avais tout le temps la tête dans la Lune bref, le besoin d'échapper au monde.
Je ne dirais pas que mes parents ne m'ont pas donné d'affection. Mon père est plutôt pudique au niveau des sentiments, et ma mère n'est expressive que dans de rares moments alcoolisés...
Cependant, l'affection que je recherchais n'était pas donnée. Pareil dans mon entourage social. Le nombre de râteaux que je me suis pris étant très jeune n'a pas dû aider non plus.

Même chez moi j'étais toujours seul enfermé dans ma chambre. Je m'en plaignais pas, au contraire. Mais ça m'a conforté dans une position de solitaire, de marginal. Ça m'a beaucoup coûté socialement au collège. Au lycée c'est allé beaucoup mieux.

Mais on ne peut pas combler l'amour qu'on a jamais eu en étant gosse je pense. Ça restera toujours. Je ne suis pas un déchet cependant, j'ai toujours été bon à l'école, je fais des études, je passe le permis, éthique de vie, etc donc à ce niveau ça va... J'ai un groupe d'amis, mais full pucix nonobstant.

Ton histoire est très intéressante mon khey
Il semblerait quand même que ton climat familial n'était pas optimal et que par conséquent tu as développé une personnalité un peu fuyante. Après peut être que c'est dans ta nature d'être en retrait et pas dû à ton environnement.
De toute évidence on peut imputer 50% de nos traits de caractères et notre personnalité à notre ADN et la moitié restante à l'environnement dans lequel on nait.

Je me rend compte que le mot "déchet" était peut être trop fort

J'aurais plutôt dû employé le terme "névrosé" ou "tendance dépressive", je sais pas vraiment

En tout cas c'est déjà bien que tu aies réussis à te faire un groupe d'amis et que tu avances bien dans ta vie, force à toi khey

Merci clé
Niveau dépression/névrose il y a de ça oui. Je vois la dépression comme un spectre qui évolue au fil du temps, mais je ne pense pas m'en débarrasser au fond. Je suis jamais allé voir de psy, mais j'ai déjà eu des symptômes de la schizophrénie par exemple. Notamment une paranoïa intense à un moment. Aujourd'hui ça va mieux.
Et depuis que je mets en pratique le stoïcisme, j'ai un mental beaucoup plus sain.

Le 03 mai 2021 à 18:45:09 :

Le 03 mai 2021 à 18:22:52 :

Le 03 mai 2021 à 15:29:22 :
J'ai voté "J'ai MANQUE d'affection mais je ne suis PAS un déchet".

J'ai toujours été très solitaire. A la base c'était parce que je ne voulais pas faire comme les autres, parce que ça ne me plaisait pas. Ça a commencé à l'école primaire J'ai très tôt commencé à me réfugier dans les jeux, j'avais tout le temps la tête dans la Lune bref, le besoin d'échapper au monde.
Je ne dirais pas que mes parents ne m'ont pas donné d'affection. Mon père est plutôt pudique au niveau des sentiments, et ma mère n'est expressive que dans de rares moments alcoolisés...
Cependant, l'affection que je recherchais n'était pas donnée. Pareil dans mon entourage social. Le nombre de râteaux que je me suis pris étant très jeune n'a pas dû aider non plus.

Même chez moi j'étais toujours seul enfermé dans ma chambre. Je m'en plaignais pas, au contraire. Mais ça m'a conforté dans une position de solitaire, de marginal. Ça m'a beaucoup coûté socialement au collège. Au lycée c'est allé beaucoup mieux.

Mais on ne peut pas combler l'amour qu'on a jamais eu en étant gosse je pense. Ça restera toujours. Je ne suis pas un déchet cependant, j'ai toujours été bon à l'école, je fais des études, je passe le permis, éthique de vie, etc donc à ce niveau ça va... J'ai un groupe d'amis, mais full pucix nonobstant.

Ton histoire est très intéressante mon khey
Il semblerait quand même que ton climat familial n'était pas optimal et que par conséquent tu as développé une personnalité un peu fuyante. Après peut être que c'est dans ta nature d'être en retrait et pas dû à ton environnement.
De toute évidence on peut imputer 50% de nos traits de caractères et notre personnalité à notre ADN et la moitié restante à l'environnement dans lequel on nait.

Je me rend compte que le mot "déchet" était peut être trop fort

J'aurais plutôt dû employé le terme "névrosé" ou "tendance dépressive", je sais pas vraiment

En tout cas c'est déjà bien que tu aies réussis à te faire un groupe d'amis et que tu avances bien dans ta vie, force à toi khey

Merci clé
Niveau dépression/névrose il y a de ça oui. Je vois la dépression comme un spectre qui évolue au fil du temps, mais je ne pense pas m'en débarrasser au fond. Je suis jamais allé voir de psy, mais j'ai déjà eu des symptômes de la schizophrénie par exemple. Notamment une paranoïa intense à un moment. Aujourd'hui ça va mieux.
Et depuis que je mets en pratique le stoïcisme, j'ai un mental beaucoup plus sain.

Je pense pareil, j'ai appris à accepter mon côté dépressif au lieu d'essayer de le combattre, je me suis rendu compte que cela ne servait à rien, il fait parti de moi
Mais ça m'a pris du temps pour atteindre ce stade de l'acceptation et je dirais que je l'ai pas encore totalement atteint.

Ah oui quand même la paranoïa ça gâche la vie ça, heureusement que tu t'en es débarrassé

Le stoïcisme je connais de nom mais au final je ne sais pas vraiment en quoi cela consiste

Le 03 mai 2021 à 18:47:46 :
Je pense que de toute manière, notre environnement, l'éducation, la culture, les amis, les passions, les intérêts, ce qu'on lit, toutes ces choses nous influencent. Ça va dans les deux sens.

Tout à fait
Mais en ce qui concerne l'enfance et les besoins d'un enfant, les choses n'ont pas toujours été aussi limpides pour la communauté scientifiques et les gens en général
Il y'a eu un grand progrès de fait dans ce domaine.

Le 03 mai 2021 à 18:50:22 :

Le 03 mai 2021 à 18:45:09 :

Le 03 mai 2021 à 18:22:52 :

Le 03 mai 2021 à 15:29:22 :
J'ai voté "J'ai MANQUE d'affection mais je ne suis PAS un déchet".

J'ai toujours été très solitaire. A la base c'était parce que je ne voulais pas faire comme les autres, parce que ça ne me plaisait pas. Ça a commencé à l'école primaire J'ai très tôt commencé à me réfugier dans les jeux, j'avais tout le temps la tête dans la Lune bref, le besoin d'échapper au monde.
Je ne dirais pas que mes parents ne m'ont pas donné d'affection. Mon père est plutôt pudique au niveau des sentiments, et ma mère n'est expressive que dans de rares moments alcoolisés...
Cependant, l'affection que je recherchais n'était pas donnée. Pareil dans mon entourage social. Le nombre de râteaux que je me suis pris étant très jeune n'a pas dû aider non plus.

Même chez moi j'étais toujours seul enfermé dans ma chambre. Je m'en plaignais pas, au contraire. Mais ça m'a conforté dans une position de solitaire, de marginal. Ça m'a beaucoup coûté socialement au collège. Au lycée c'est allé beaucoup mieux.

Mais on ne peut pas combler l'amour qu'on a jamais eu en étant gosse je pense. Ça restera toujours. Je ne suis pas un déchet cependant, j'ai toujours été bon à l'école, je fais des études, je passe le permis, éthique de vie, etc donc à ce niveau ça va... J'ai un groupe d'amis, mais full pucix nonobstant.

Ton histoire est très intéressante mon khey
Il semblerait quand même que ton climat familial n'était pas optimal et que par conséquent tu as développé une personnalité un peu fuyante. Après peut être que c'est dans ta nature d'être en retrait et pas dû à ton environnement.
De toute évidence on peut imputer 50% de nos traits de caractères et notre personnalité à notre ADN et la moitié restante à l'environnement dans lequel on nait.

Je me rend compte que le mot "déchet" était peut être trop fort

J'aurais plutôt dû employé le terme "névrosé" ou "tendance dépressive", je sais pas vraiment

En tout cas c'est déjà bien que tu aies réussis à te faire un groupe d'amis et que tu avances bien dans ta vie, force à toi khey

Merci clé
Niveau dépression/névrose il y a de ça oui. Je vois la dépression comme un spectre qui évolue au fil du temps, mais je ne pense pas m'en débarrasser au fond. Je suis jamais allé voir de psy, mais j'ai déjà eu des symptômes de la schizophrénie par exemple. Notamment une paranoïa intense à un moment. Aujourd'hui ça va mieux.
Et depuis que je mets en pratique le stoïcisme, j'ai un mental beaucoup plus sain.

Je pense pareil, j'ai appris à accepter mon côté dépressif au lieu d'essayer de le combattre, je me suis rendu compte que cela ne servait à rien, il fait parti de moi
Mais ça m'a pris du temps pour atteindre ce stade de l'acceptation et je dirais que je l'ai pas encore totalement atteint.

Ah oui quand même la paranoïa ça gâche la vie ça, heureusement que tu t'en es débarrassé

Le stoïcisme je connais de nom mais au final je ne sais pas vraiment en quoi cela consiste

Pour faire simple c'est une philosophie du détachement, et du tri notamment. Le bien commun y a une importance capitale. La philosophie en général m'aide beaucoup

La paranoïa a sûrement été la conséquence d'une énorme dérive alcoolémique qui m'a causé un traumatisme
Et quitte à s'introspecter, cette dérive est sûrement une manifestation du manque affectif. Boire pour s'échapper, une nouvelle fois.
Bon j'étais pas alcoolique, mais j'avais une tendance régulière à me mettre de grosses races quand je sortais. Cette fois là, c'était la fois de trop. Depuis je contrôle davantage ce que je bois, et pas d'excès

Le 03 mai 2021 à 19:01:17 :

Le 03 mai 2021 à 18:50:22 :

Le 03 mai 2021 à 18:45:09 :

Le 03 mai 2021 à 18:22:52 :

Le 03 mai 2021 à 15:29:22 :
J'ai voté "J'ai MANQUE d'affection mais je ne suis PAS un déchet".

J'ai toujours été très solitaire. A la base c'était parce que je ne voulais pas faire comme les autres, parce que ça ne me plaisait pas. Ça a commencé à l'école primaire J'ai très tôt commencé à me réfugier dans les jeux, j'avais tout le temps la tête dans la Lune bref, le besoin d'échapper au monde.
Je ne dirais pas que mes parents ne m'ont pas donné d'affection. Mon père est plutôt pudique au niveau des sentiments, et ma mère n'est expressive que dans de rares moments alcoolisés...
Cependant, l'affection que je recherchais n'était pas donnée. Pareil dans mon entourage social. Le nombre de râteaux que je me suis pris étant très jeune n'a pas dû aider non plus.

Même chez moi j'étais toujours seul enfermé dans ma chambre. Je m'en plaignais pas, au contraire. Mais ça m'a conforté dans une position de solitaire, de marginal. Ça m'a beaucoup coûté socialement au collège. Au lycée c'est allé beaucoup mieux.

Mais on ne peut pas combler l'amour qu'on a jamais eu en étant gosse je pense. Ça restera toujours. Je ne suis pas un déchet cependant, j'ai toujours été bon à l'école, je fais des études, je passe le permis, éthique de vie, etc donc à ce niveau ça va... J'ai un groupe d'amis, mais full pucix nonobstant.

Ton histoire est très intéressante mon khey
Il semblerait quand même que ton climat familial n'était pas optimal et que par conséquent tu as développé une personnalité un peu fuyante. Après peut être que c'est dans ta nature d'être en retrait et pas dû à ton environnement.
De toute évidence on peut imputer 50% de nos traits de caractères et notre personnalité à notre ADN et la moitié restante à l'environnement dans lequel on nait.

Je me rend compte que le mot "déchet" était peut être trop fort

J'aurais plutôt dû employé le terme "névrosé" ou "tendance dépressive", je sais pas vraiment

En tout cas c'est déjà bien que tu aies réussis à te faire un groupe d'amis et que tu avances bien dans ta vie, force à toi khey

Merci clé
Niveau dépression/névrose il y a de ça oui. Je vois la dépression comme un spectre qui évolue au fil du temps, mais je ne pense pas m'en débarrasser au fond. Je suis jamais allé voir de psy, mais j'ai déjà eu des symptômes de la schizophrénie par exemple. Notamment une paranoïa intense à un moment. Aujourd'hui ça va mieux.
Et depuis que je mets en pratique le stoïcisme, j'ai un mental beaucoup plus sain.

Je pense pareil, j'ai appris à accepter mon côté dépressif au lieu d'essayer de le combattre, je me suis rendu compte que cela ne servait à rien, il fait parti de moi
Mais ça m'a pris du temps pour atteindre ce stade de l'acceptation et je dirais que je l'ai pas encore totalement atteint.

Ah oui quand même la paranoïa ça gâche la vie ça, heureusement que tu t'en es débarrassé

Le stoïcisme je connais de nom mais au final je ne sais pas vraiment en quoi cela consiste

Pour faire simple c'est une philosophie du détachement, et du tri notamment. Le bien commun y a une importance capitale. La philosophie en général m'aide beaucoup

La paranoïa a sûrement été la conséquence d'une énorme dérive alcoolémique qui m'a causé un traumatisme
Et quitte à s'introspecter, cette dérive est sûrement une manifestation du manque affectif. Boire pour s'échapper, une nouvelle fois.
Bon j'étais pas alcoolique, mais j'avais une tendance régulière à me mettre de grosses races quand je sortais. Cette fois là, c'était la fois de trop. Depuis je contrôle davantage ce que je bois, et pas d'excès

D'accord merci pour l'explication, j'irais regarder ce courant de pensée de plus près, ça m'intéresse

L'alcool c'est tentant, ça désinhibe, c'est socialement accepté même encouragé quand on est jeune.
Boire en compagnie d'autres personnes ça va, je pense que là ou ça devient un problème c'est lorsque l'on se met à boire seul.

Enfin c'est bien que tu te soies rendu compte que tu allais dans la mauvaise direction avant qu'il ne soit trop tard