Pourquoi les gens ne veulent plus faire d'enfant ?
SuppriméLe 02 mai 2021 à 18:26:39 :
Demander à des mecs desco, RSAistes en même temps....
C'est un délire ça
Le 02 mai 2021 à 18:07:16 :
Le but est de trouver une réponse qui mettra tout le monde d'accord, c'est a ça que sert un débat, de trouver la ou les vérités tous ensemble
Parce que la situation actuelle + les politiques étatiques dissuadent économiquement de faire des gosses. Les gens se disent malheureusement mais à raison qu'il vaut mieux faire 1 gosse et lui assurer un certain niveau de vie qu'en avoir plus et diminuer leur niveau de vie.
L'État français n'a de cesse que de restreindre les incitations économiques à la natalité.
La seule et unique solution c'est une politique ultra-nataliste, purger complètement la fraude sociale et les aides abusives et réorienter cette quantité astronomique de fric pour inciter fiscalement, économiquement les français à faire plus de gosses. Ça marche tout simplement: il faut que les français voient un avantage économique à faire davantage de gosses.
Le 02 mai 2021 à 18:14:58 :
Y’en a beaucoup c’est juste pour du « confort », certains par la peur de les rendre malheureux parce qu’ils le sont eux-mêmes, certains pour « l’écologie » (sur le papier c’est ptetre vrai, en réalité ça ne va rien changer du tout mais bon) puis d’autres parce qu’ils n’ont pas le sens des responsabilités
Etant un 2000, je ne peux que confirmer les raisons écolos pour refuser d'avoir un gosse. Surtout que t'en as qui justifient ce raisonnement par la peur d'un effondrement de la société prochain. Après, c'est un autre débat l'effondrement mais t'as cette peur de l'avenir qui serait pour certains apocalyptique
Pas de confiance en l'avenir/écologie
Reporté avec les études/carrière
Le 02 mai 2021 à 18:32:38 :
la précarité est le principal facteur mais l'idéologie dominante essaie de faire passer ça avec un discours d'épancipation du patriarcat ou de promotion de la jouissance individuelle.
Je ne vois pas en quoi la précarité serait le principal facteur.
Les pauvres sont ceux qui font le plus d'enfants.
C'est avant tout un problème idéologique. Du coup je repose mon mini pavé:
1) Le modèle libéral et individualiste qui nous pousse à croire que l'auto-épanouissement passe forcément par la surconsommation d'expériences personnelles riches et variées. Dans ce contexte, l'enfant est un frein à l'épanouissement. Un parasite qui prend notre temps et nous empêche de "vivre pleinement".
2) Le discours féministe qui associe dans l'esprit de ses adeptes le rôle de mère à une obligation imposée par la société patriarcale. La mère est associé par certaines à une femme prisonnière de la volonté des homme de les réduire à leur condition de pondeuse.
3) Le désintérêt pour le couple longue durée (nécessaire pour envisager de faire et éduquer des enfants dans un cadre sain).
En lien avec les deux points précédents, Le couple longue durée n'est plus valorisé. La logique de la consommation appliqué aux rapports H/F via l'intermédiaire d'applications du démon genre Tinder détruit progressivement la possibilité de se projeter dans l'avenir avec une seule personne. Il faut consommer l'autre, et, dès que l'on s'en lasse, le jeter comme un téléphone trop vieux. Il n'y à plus de place pour essayer de construire qquelque chose de durable. Tout est centré sur le plaisir immédiat. Les gens n'acceptent plus les hauts et les bas de la vie de couple. Dès que le désir s'abaisse on casse et on va voir ailleurs plutôt que d'essayer de sauver le couple. Dans ce contexte, difficile d'envisager d'avoir des enfants. On ne sait jamais si le partenaire du moment sera encore là dans 3 ans...
Le 02 mai 2021 à 18:36:20 :
Le 02 mai 2021 à 18:32:38 :
la précarité est le principal facteur mais l'idéologie dominante essaie de faire passer ça avec un discours d'épancipation du patriarcat ou de promotion de la jouissance individuelle.Je ne vois pas en quoi la précarité serait le principal facteur.
Les pauvres sont ceux qui font le plus d'enfants.
C'est avant tout un problème idéologique. Du coup je repose mon mini pavé:1) Le modèle libéral et individualiste qui nous pousse à croire que l'auto-épanouissement passe forcément par la surconsommation d'expériences personnelles riches et variées. Dans ce contexte, l'enfant est un frein à l'épanouissement. Un parasite qui prend notre temps et nous empêche de "vivre pleinement".
2) Le discours féministe qui associe dans l'esprit de ses adeptes le rôle de mère à une obligation imposée par la société patriarcale. La mère est associé par certaines à une femme prisonnière de la volonté des homme de les réduire à leur condition de pondeuse.
3) Le désintérêt pour le couple longue durée (nécessaire pour envisager de faire et éduquer des enfants dans un cadre sain).
En lien avec les deux points précédents, Le couple longue durée n'est plus valorisé. La logique de la consommation appliqué aux rapports H/F via l'intermédiaire d'applications du démon genre Tinder détruit progressivement la possibilité de se projeter dans l'avenir avec une seule personne. Il faut consommer l'autre, et, dès que l'on s'en lasse, le jeter comme un téléphone trop vieux. Il n'y à plus de place pour essayer de construire qquelque chose de durable. Tout est centré sur le plaisir immédiat. Les gens n'acceptent plus les hauts et les bas de la vie de couple. Dès que le désir s'abaisse on casse et on va voir ailleurs plutôt que d'essayer de sauver le couple. Dans ce contexte, difficile d'envisager d'avoir des enfants. On ne sait jamais si le partenaire du moment sera encore là dans 3 ans...
Sauf que les plus pauvres sont ceux qui bénéficient vaguement d'aides sociales à la natalité.
Ceux qui ont plus de fric sans être riches ne bénéficient littéralement pas d'un centime d'aide, préfèrent donc épargner et préserver leur argent pour assurer le niveau de vie d'un gosse plutôt que d'avoir plus de gosses mais à la situation moins protégée.
C'est justement les classes plus privilégiées (moyennes et moyennes aisées) qui doivent faire l'objet d'incitations massives à la natalité parce que la tendance naturelle à l'épargne et à la protection doit être désinhibée par une perspective de gains.
Comme dans les pays comme la Hongrie par exemple. Par exemple, réductions d'impôts conséquentes à chaque gosse supplémentaire dans une limite de 3 ou 4 (faut pas que ça devienne un filon d'évasion fiscale non plus )
Le 02 mai 2021 à 18:36:20 :
Le 02 mai 2021 à 18:32:38 :
la précarité est le principal facteur mais l'idéologie dominante essaie de faire passer ça avec un discours d'épancipation du patriarcat ou de promotion de la jouissance individuelle.Je ne vois pas en quoi la précarité serait le principal facteur.
Les pauvres sont ceux qui font le plus d'enfants.
C'est avant tout un problème idéologique. Du coup je repose mon mini pavé:1) Le modèle libéral et individualiste qui nous pousse à croire que l'auto-épanouissement passe forcément par la surconsommation d'expériences personnelles riches et variées. Dans ce contexte, l'enfant est un frein à l'épanouissement. Un parasite qui prend notre temps et nous empêche de "vivre pleinement".
2) Le discours féministe qui associe dans l'esprit de ses adeptes le rôle de mère à une obligation imposée par la société patriarcale. La mère est associé par certaines à une femme prisonnière de la volonté des homme de les réduire à leur condition de pondeuse.
3) Le désintérêt pour le couple longue durée (nécessaire pour envisager de faire et éduquer des enfants dans un cadre sain).
En lien avec les deux points précédents, Le couple longue durée n'est plus valorisé. La logique de la consommation appliqué aux rapports H/F via l'intermédiaire d'applications du démon genre Tinder détruit progressivement la possibilité de se projeter dans l'avenir avec une seule personne. Il faut consommer l'autre, et, dès que l'on s'en lasse, le jeter comme un téléphone trop vieux. Il n'y à plus de place pour essayer de construire qquelque chose de durable. Tout est centré sur le plaisir immédiat. Les gens n'acceptent plus les hauts et les bas de la vie de couple. Dès que le désir s'abaisse on casse et on va voir ailleurs plutôt que d'essayer de sauver le couple. Dans ce contexte, difficile d'envisager d'avoir des enfants. On ne sait jamais si le partenaire du moment sera encore là dans 3 ans...
les pauvres se reproduiront toujours de façon incontrôlée oui, mais là je parle de la jeunesse issue de la classe moyenne.
Un jeune actif met la moitié de son salaire dans une cage à lapin et commence à bosser de plus en plus tard donc très peu de thune vers la fin de la 20aine début 30aine, à quel moment il peut ne serait-ce qu'envisager d'avoir des enfants ?
Après c'est multifactoriel et les raison que tu mentionnes sont importante aussi, c'est un tout. Sauf que l'explication sociétale ça va 5 min le fond du poblème c'est que les jeunes travailleurs se font prélever 60%/70% de leurs revenus par l'Etat. Difficile d'avoir des enfants à charge quand tu as de façon indirecte à ta charge les anciens à la retraite qui sont de plus en plus nombreux.
Ce que j'essaie d'apporter c'est que peut être tout ce discours liberal libertaine jouisseur c'est un cache misère pour faire passer la pilule du déclassement généralisé des classes moyennes de ce pays.
Le 02 mai 2021 à 18:11:04 :
Parce que y’a aucune femme digne d’être mère, que des garages à bites
et en cas de divorce, elle est sur d'avoir les gosse+ pension même si elle boit et même si elle décide de te confier les avant pour ensuite se rétracter car son amant la dégager
Données du topic
- Auteur
- LasBouclas
- Date de création
- 2 mai 2021 à 18:07:16
- Date de suppression
- 29 mai 2021 à 15:53:28
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