[ALCOOL] Se reveiller en sueur et tremblant la nuit
SuppriméLe 30 août 2023 à 05:06:45 :
Thierry le " sorcier "
Oui.
Salut, courage aux kheys qui ont fait le choix d'arrĂŞter.
Y a plein de façons de s'auto-aider :
- Envisager seulement un jour après l'autre, c'est beaucoup plus facile que de s'imaginer tenir 1 mois ou 10 ans. Si je bois pas juste 24 heures c'est plus facile, et je recommence demain.
- Rien ni personne ne doit être une raison de me pousser à boire (mention spéciale aux kheys trop sympas qui disent des trucs du style "tu vas pas tenir" etc)
- La pire journée dans l'abstinence est 10 fois meilleure que la meilleure journée dans l'alcool
- C'est la première gorgée d'alcool qui enclenche le processus de se mettre une race. Donc il ne faut pas la prendre cette putain de première gorgée
Pour finir je dirais que compter les jours ça peut être bien le premier mois car il y al e sevrage, au delà ça sert un peu à rien ça revient à se mettre la pression tout seul
+ FĂ©licitations
Je vous copie un texte qui s'intitule "Lopinion d'un médecin" qui est donc comme son nom l'indique l'opinion d"un médecin américain addictologue qui dirigeait un hopital très réputé et qui encourage les groupes de paroles (un peu comme ce qu'on fait ici sur le forum).
C'est un texte très important.
S’il est un témoignage convaincant, c’est bien
celui apporté par les médecins qui ont pu se rendre
compte de la souffrance de nos membres et qui ont été
témoins de leur retour à la santé. Voici la lettre écrite
par un médecin célèbre, directeur médical d’un hôpital réputé du pays, spécialiste dans le traitement de
l’accoutumance à l’alcool et à la drogue.
Ă€ qui de droit :
Je suis spécialisé dans le traitement de l’alcoolisme
depuis plusieurs années.
À la fin de 1934, j’ai traité un patient qui, bien qu’il
eût été un homme d’affaires compétent et capable de
gagner beaucoup d’argent, était alcoolique à un degré
que j’en étais venu à juger désespéré.
Au cours de son troisième traitement, cet homme a
acquis certaines idées au sujet des moyens possibles
de se rétablir. Dans le cadre de son rétablissement, il
a commencé à exposer ses idées à d’autres alcooliques,
insistant auprès d’eux pour qu’ils agissent de même
envers d’autres. De là a pris naissance une association
formée de ces hommes et de leur famille qui s’est développée rapidement. Cet homme et plus d’une centaine
d’autres semblent s’être rétablis.
Personnellement, je connais de nombreux cas oĂą
d’autres méthodes avaient été totalement infructueuses.
Ces faits semblent avoir une extrĂŞme importance sur
le plan médical ; à cause des extraordinaires possibilités de croissance rapide inhérentes à ce groupe, il se
pourrait que nous soyons à l’aube d’une ère nouvelle
dans les annales de l’alcoolisme. Il est fort possible
que ces hommes puissent apporter un remède à des
milliers d’autres dans la même condition.
Vous pouvez absolument vous fier Ă tout ce que ces
gens racontent au sujet d’eux-mêmes.
Très sincèrement vôtre,
William D. Silkworth, m.d.
Le médecin qui, à notre demande, nous a remis cette
lettre, a eu la bonté de préciser davantage son point de
vue dans un autre texte qui est reproduit plus loin. Il
y confirme ce que nous, qui avons enduré la torture de
l’alcoolisme, devons croire, que l’alcoolique a un physique aussi anormal que son esprit. Il ne nous suffisait
pas de nous entendre dire que nous ne pouvions pas
maîtriser notre consommation d’alcool simplement
parce que nous étions mal adaptés à la vie, que nous
étions coupés de la réalité ou que nous étions des
malades mentaux. Ces choses se vérifiaient jusqu’à un
certain point, en fait totalement pour certains d’entre
nous. Mais nous avons la conviction que notre corps
aussi était affecté. Selon nous, toute description de l’alcoolique qui néglige cet aspect physique de la maladie
est incomplète.
La théorie du médecin selon laquelle nous sommes
allergiques à l’alcool présente un intérêt pour nous. En
tant que profanes en matière de médecine, notre opinion sur cette théorie est, bien sûr, peu valable. Mais
comme ex-buveurs, nous pouvons dire que cette explication est sensée. Elle répond à plusieurs questions qui
autrement resteraient sans réponse.
Même si la solution que nous préconisons est autant
spirituelle qu’altruiste, nous conseillons à l’alcoolique
atteint de forts tremblements, ou dont l’esprit est très
embrouillé, de se faire hospitaliser. La plupart du
temps, il importe que le malade recouvre totalement
l’esprit, car il aura alors une meilleure chance de comprendre et d’accepter ce que nous avons à lui offrir.
Ainsi s’exprime le médecin :
Le sujet traité dans ce livre me semble d’une importance capitale pour les personnes atteintes d’alcoolisme.
J’affirme cela après plusieurs années d’expérience
comme directeur médical de l’un des plus anciens hôpitaux traitant de dépendance à l’alcool et à la drogue
dans ce pays.
Par conséquent, c’est avec une grande satisfaction
que j’ai accepté la demande d’écrire quelques mots sur
un sujet traité, dans ces pages, avec une telle maîtrise
du détail.
Les médecins ont constaté depuis longtemps qu’une
certaine forme de psychologie morale Ă©tait extrĂŞmement importante pour les alcooliques, mais la mise en
pratique de cette méthode présente des difficultés qui
dépassent notre entendement. Malgré nos normes ultramodernes d’évaluation, notre approche scientifique
devant tous les problèmes, peut-être sommes-nous
quelque peu démunis pour tirer parti des forces du bien
qui existent en dehors de nos connaissances théoriques.
Il y a plusieurs années, l’un des plus importants participants à la rédaction de ce livre s’est trouvé soigné
dans notre hĂ´pital et pendant son hospitalisation, il a
acquis certaines idées qu’il a immédiatement mises en
pratique.
Plus tard, il a sollicité la permission de raconter son
histoire à d’autres patients hospitalisés ici et malgré
notre inquiétude, nous avons accepté. L’évolution des
cas que nous avons suivis était des plus intéressante ;
en fait, plusieurs sont étonnants. La générosité de ces
hommes, que nous sommes venus à connaître, l’absence totale d’intérêt pécuniaire et leur esprit de communauté sont en effet une source d’inspiration pour
celui qui œuvre depuis longtemps et péniblement dans
ce monde de l’alcoolisme. Ils croient en eux-mêmes et
encore plus en une Force capable de ramener Ă la vie
normale des alcooliques chroniques autrement vouĂ©s Ă
une mort certaine.
Certes, un alcoolique doit être libéré de son besoin
physique d’alcool, et cela requiert souvent un traitement à l’hôpital avant que des mesures d’ordre psychologique puissent être pleinement profitables.
Nous croyons, et nous l’avons dit il y a quelques
années, que les effets de l’alcool sur ces alcooliques
chroniques sont une manifestation de type allergique ;
le phĂ©nomène d’un besoin maladif d’alcool se limite Ă
cette catégorie de personnes et ne se produit pas chez
les buveurs modérés. Les victimes de cette réaction
allergique ne peuvent jamais prendre d’alcool sous
quelque forme que ce soit en toute tranquillité ; une
fois qu’ils ont contracté l’habitude de boire et découvert qu’ils ne peuvent plus s’en défaire, une fois qu’ils
ont perdu confiance en eux-mĂŞmes et en toute valeur
humaine, leurs problèmes s’accumulent et deviennent
étonnamment difficiles à régler.
Une approche Ă©motive superficielle suffit rarement.
Le message susceptible d’intéresser et de retenir l’attention de ces alcooliques doit être intense et puissant.
Dans presque tous les cas, leurs idéaux doivent être
fondés sur une force plus grande qu’eux-mêmes s’ils
veulent ĂŞtre en mesure de refaire leur vie.
Le 30 août 2023 à 06:50:14 :
Salut, courage aux kheys qui ont fait le choix d'arrêter.Y a plein de façons de s'auto-aider :
- Envisager seulement un jour après l'autre, c'est beaucoup plus facile que de s'imaginer tenir 1 mois ou 10 ans. Si je bois pas juste 24 heures c'est plus facile, et je recommence demain.
- Rien ni personne ne doit être une raison de me pousser à boire (mention spéciale aux kheys trop sympas qui disent des trucs du style "tu vas pas tenir" etc)
- La pire journée dans l'abstinence est 10 fois meilleure que la meilleure journée dans l'alcool
- C'est la première gorgée d'alcool qui enclenche le processus de se mettre une race. Donc il ne faut pas la prendre cette putain de première gorgée
Pour finir je dirais que compter les jours ça peut être bien le premier mois car il y al e sevrage, au delà ça sert un peu à rien ça revient à se mettre la pression tout seul
+ FĂ©licitations
Amen.
Suite et fin du texte précédent qui ne tient pas dans un seul post :
S'il y en a pour qui nous donnons l'impression de
verser dans le sentimentalisme en qualite de psychiatres
a la direction d'un hopital, nous invitons ces gens a
venir sur la ligne de front avec nous assister aux tragedies, voir les conjointes desesperees, les jeunes
enfants. Qu'ils consacrent une partie de leurs activites
quotidiennes et meme de leurs heures de sommeil a
resoudre ces problemes ; alors les plus cyniques comprendront pourquoi nous avons accepte et encourage
ce mouvement. Apres de nombreuses annees d'experience, il semble que nous n'ayons rien trouve qui
contribue davantage a la rehabilitation de ces hommes
que l'action desinteressee qui prend maintenant de plus
en plus d'ampleur dans leur milieu.
Hommes et femmes boivent essentiellement parce
qu'ils aiment l'effet produit par l'alcool. L'impression
d'evasion qu'il procure est telle que meme si les
buveurs admettent son effet nuisible sur la sante, ils ne
peuvent plus, apres un certain temps, differencier ce
qui est bon de ce qui ne l'est pas. Pour les alcooliques,
la vie qu'ils menent est la seule qui soit normale. Ils
sont impatients, irritables et mecontents aussi longtemps qu'ils ne ressentent pas de nouveau cette sensation d'aise et de confort que leur procurent quelques
verres - ces verres que d'autres prennent impunement
sous leurs yeux. Apres qu'ils ont une fois de plus succombe au desir de boire, comme il arrive a un si grand
nombre, et que le phenomene de l'obsession s'accentue, les alcooliques traversent les etapes bien connues
de la cuite, dont ils emergent bourres de remords et
fermement resolus a ne plus jamais boire. Ce scenario
se repete encore et encore et, a moins que cette personne puisse vivre l'experience d'un changement psychique total, il y a peu d'espoir qu'elle se retablisse.
Par ailleurs, et si etrange que cela puisse paraitre a
ceux qui ne comprennent pas, une fois qu'un changement psychique s'est produit, cette meme personne qui
semblait condamnee et dont les problemes etaient tellement nombreux qu'elle desesperait de les resoudre,
reussit soudainement sans difficulte a surmonter son
besoin d'alcool simplement en s'efforcant d'observer
quelques regles simples.
Des hommes m'ont lance cet appel sincere et desespere : << Docteur, je ne peux continuer ainsi ! J'ai toutes
les raisons de tenir a la vie ! Il faut que je cesse de
boire, mais j'en suis incapable ! Il faut que vous m'aidiez ! >>
Face a ce probleme, il doit arriver parfois qu'un
medecin, s'il est honnete avec lui-meme, reconnaisse
sa propre impuissance. Meme s'il donne tout ce qu'il
peut, souvent ce n'est pas assez. On a le sentiment que
quelque chose au-dela de la force humaine est necessaire pour produire le changement psychique essentiel.
Bien que le nombre de personnes retablies grace a l'intervention d'un psychiatre soit considerable, nous,
medecins, sommes forces d'admettre que nous avons
marque tres peu de points dans la solution du probleme pris dans son ensemble. Nombreux sont les alcooliques qui ne peuvent pas repondre a l'approche
psychologique traditionnelle.
Je ne suis pas d'accord avec ceux qui voient en l'alcoolisme uniquement un probleme de maitrise mentale. J'ai connu plusieurs hommes qui, par exemple,
avaient travaille pendant des mois sur une question ou
sur une affaire dont le denouement, prevu pour un jour
precis, devait etre en leur faveur. Ces hommes ont pris
un verre a environ un jour de la date fixee et des lors,
le besoin irresistible de boire a pris le dessus sur toute
autre chose, de sorte que la rencontre importante n'a
jamais eu lieu. Ces hommes ne buvaient pas pour fuir
la realite ; ils buvaient pour satisfaire un besoin de boire
au-dela de tout entendement.
Il arrive souvent que les situations resultant de ce
besoin imperieux amenent certains hommes a faire le
sacrifice supreme plutot que de continuer a lutter.
La classification des alcooliques semble une tache
des plus difficiles, et la faire avec force details depasse l'objet de ce livre. Il y a bien sur les psychopathes,
qui sont emotionnellement instables. Nous connaissons
bien cette categorie de patients. Ceux-ci se mettent toujours << au sec pour de bon >>. Ils sont ronges par le
remords et prennent plusieurs resolutions, mais jamais
de decisions.
Il y a le genre d'homme qui refuse d'admettre son
incapacite a prendre de l'alcool. Il pense a diverses
facons de boire. Il varie ses consommations ou change d'environnement. Il y a le type d'alcoolique qui
demeure convaincu qu'apres une longue periode d'abstinence, il sera capable de prendre un verre sans risque.
On rencontre egalement le style maniaco-depressif, qui
est peut-etre le moins compris par ses amis et sur qui
on pourrait ecrire tout un chapitre.
Puis il existe des personnes qui se comportent normalement sur tous les plans, sauf en ce qui concerne
l'alcool. Ils sont souvent talentueux, intelligents et
aimables.
Toutes ces personnes, ainsi que beaucoup d'autres,
ont un symptome en commun : elles sont incapables
de boire sans contracter un gout immodere pour l'alcool. Ce phenomene, comme nous l'avons suggere,
pourrait etre la manifestation d'une allergie qui differencie ces gens et les place dans un groupe a part. Cette
reaction face a l'alcool n'a jamais ete enrayee de facon
permanente par aucun traitement connu quel qu'il soit.
Le seul remede que nous pouvons conseiller est l'abstinence totale.
Cela nous precipite au milieu d'un chaud debat. De
nombreuses opinions ont ete emises, les unes en faveur
de l'abstinence, les autres contre ; mais dans le milieu
medical, l'opinion generale est que la plupart des alcooliques chroniques sont condamnes.
Quelle est la solution ? Je ne saurais sans doute
mieux repondre qu'en decrivant l'une de mes experiences.
Environ une annee auparavant, un homme a ete
admis a l'hopital pour alcoolisme chronique. Il s'etait
partiellement retabli d'une hemorragie gastrique et
semblait presenter des symptomes de deterioration
mentale pathologique. Il avait perdu tout ce qui compte dans la vie ; seul le gout de l'alcool semblait le maintenir en vie. Il admettait ouvertement qu'il n'y avait
plus d'espoir pour lui. Apres la periode de desintoxication, on n'a pas trouve de dommage permanent cause
a son cerveau. Il a accepte de suivre le programme
expose dans ce livre. Une annee plus tard, il a demande a me voir et j'ai alors ressenti une sensation tres
etrange. Je connaissais cet homme de nom et je reconnaissais quelque peu ses traits, mais la s'arretait toute
ressemblance. L'individu tremblant, desespere et a bout
de nerfs, avait fait place a un homme debordant d'aise et d'assurance. Je me suis entretenu avec lui pendant un moment, mais je ne pouvais toujours pas me
convaincre que j'avais deja connu cet homme. Lorsqu'il m'a quitte, je ne l'avais toujours pas reconnu.
Beaucoup de temps s'est ecoule depuis sans qu'il ne
retouche a une goutte d'alcool.
Lorsque j'ai besoin de me remonter le moral, je me
rappelle le cas d'un autre homme qu'un eminent medecin de New York m'avait adresse. Le patient avait etabli lui-meme son diagnostic, puis, ayant conclu que sa
condition etait sans espoir, s'etait cache dans une grange abandonnee, determine a mourir. Il a ete trouve par
une equipe de recherches et conduit chez moi dans une
condition desesperee. A la suite de sa rehabilitation
physique, il m'a dit franchement qu'il considerait son
traitement comme peine perdue, a moins que je ne puisse lui assurer - ce que jamais personne n'avait fait -
que dans l'avenir, il demontrerait << assez de volonte >>
pour resister a l'envie de boire.
Sa condition d'alcoolique etait tellement compliquee
et son etat depressif tellement avance que nous avons
cru que son seul espoir residait dans ce que nous appelions alors la << psychologie morale >> ; meme cela,
croyions-nous, n'aurait peut-etre aucun effet.
Cependant, il en est venu effectivement a adopter
les idees contenues dans ce livre. Il n'a pas pris un
verre depuis tres longtemps. Je le vois de temps a autre
et son comportement est comparable a celui que l'on
souhaite trouver chez tout homme.
Je recommande vivement a tous les alcooliques de
lire ce livre jusqu'a la derniere page, et s'il s'en trouve parmi eux qui le font avec l'intention de se moquer,
il pourrait arriver que ceux-la memes restent pour prier.
Le 30 août 2023 à 07:49:43 :
salut clochardasso et merci pour tes mots
salut prince the witcher
Salut, t'essaies d'arrĂŞter de boire ? Je repartage un texte qui m'aide beaucoup et que je lis tous les jours :
Gaétan Larocque Thérapeute spécialisé en gestion des émotions et hypnothérapeute à La clé du cœur
1084 Boul. Curé Labelle suite 103 Blainville 514-792-3063
HIER, AUJOURD’HUI, DEMAIN
Il y a, dans chaque semaine, deux jours pour lesquels on ne devrait pas se tracasser,
deux jours qui pourraient être des exempts de la crainte et de l’appréhension.
L’un de ces jours est - HIER - avec ses erreurs et ses soucis, ses fautes et ses bévues,
ses maux et ses peines. HIER s’échappe à jamais de nos mains.
Tout l’or du monde ne peut faire revivre HIER. Nous ne pouvons défaire un seul des
actes posés ; nous ne pouvons retirer une seule des paroles prononcées. HIER n’est
plus.
L’autre jour est - DEMAIN - avec ses misères possibles, ses fardeaux, ses larges
espérances et ses pauvres accomplissements. DEMAIN est aussi hors de notre portée.
DEMAIN, le soleil se lèvera dans toute sa splendeur ou derrière un écran de nuages,
mais il se lèvera. Jusqu’à cet instant, nous n’avons pas de prise sur DEMAIN, parce
qu’il est encore à venir.
Il ne reste qu’un jour - AUJOURD’HUI. Tout être humain peut livrer les combats
d’un seul jour. C’est seulement lorsque vous et moi ajoutons les fardeaux de ces deux
redoutables éternités - HIER ET DEMAIN - que nous sommes vaincus.
Ce ne sont pas les épreuves d’un jour qui rendent les hommes fous, c’est le remords
ou la rancœur d’un incident qui est arrivé HIER, et la crainte de ce que DEMAIN
peut apporter.
VIVONS DONC
UN SEUL JOUR À LA FOIS Source anonyme
Le 30 août 2023 à 08:07:57 :
Encore un réveil aux urgences , ma meuf qui me quitte je sais pas ou je vais aller
T'as pas de logement sans ta meuf ?
Le 30 août 2023 à 08:08:40 :
Le 30 août 2023 à 08:07:57 :
Encore un réveil aux urgences , ma meuf qui me quitte je sais pas ou je vais allerT'as pas de logement sans ta meuf ?
Si mais loyer impayé depuis 5 mois
Le 29 août 2023 à 20:03:18 :
Le 29 août 2023 à 19:28:11 :
Le 29 août 2023 à 17:45:52 :
Le 29 août 2023 à 17:07:04 :
Ce soir c'est kebab
On s'emmerde jamais avec Thierry mdr il a de l'imaginationBon ap !
Je vais faire à manger à ma chérie, nous verrons l'obédience du repasNettoie ta cuisine !
mais t es chiant putain
y en a ça les reussi pas de boire
Désolé non ça me réussit pas
Le 30 août 2023 à 08:09:51 :
Le 30 août 2023 à 08:08:40 :
Le 30 août 2023 à 08:07:57 :
Encore un réveil aux urgences , ma meuf qui me quitte je sais pas ou je vais allerT'as pas de logement sans ta meuf ?
Si mais loyer impayé depuis 5 mois
Normalement ton garant prend le relais donc tu ne devrais pas pouvoir te faire expulser. Peut-être même si ton garant ne paie pas. On est en France donc bon. Mais je me permets de te dire, ne pas être réglo, c'est un motif récurrent pour se mettre à boire, ne serait-ce qu'à cause du sentiment de culpabilité.
Mais bref y a des solutions pour payer le loyer, tu peux demander à l'assistance sociale un fonds d'aide au logement, je crois que ça s'appelle comme ça et ils peuvent te sortir un peu de sous, il me semble. FSL je crois que ça s'appelle.
Le 30 août 2023 à 08:06:58 :
Le 30 août 2023 à 07:49:43 :
salut clochardasso et merci pour tes mots
salut prince the witcher
Salut, t'essaies d'arrĂŞter de boire ? Je repartage un texte qui m'aide beaucoup et que je lis tous les jours :
Gaétan Larocque Thérapeute spécialisé en gestion des émotions et hypnothérapeute à La clé du cœur
1084 Boul. Curé Labelle suite 103 Blainville 514-792-3063
HIER, AUJOURD’HUI, DEMAIN
Il y a, dans chaque semaine, deux jours pour lesquels on ne devrait pas se tracasser,
deux jours qui pourraient être des exempts de la crainte et de l’appréhension.
L’un de ces jours est - HIER - avec ses erreurs et ses soucis, ses fautes et ses bévues,
ses maux et ses peines. HIER s’échappe à jamais de nos mains.
Tout l’or du monde ne peut faire revivre HIER. Nous ne pouvons défaire un seul des
actes posés ; nous ne pouvons retirer une seule des paroles prononcées. HIER n’est
plus.
L’autre jour est - DEMAIN - avec ses misères possibles, ses fardeaux, ses larges
espérances et ses pauvres accomplissements. DEMAIN est aussi hors de notre portée.
DEMAIN, le soleil se lèvera dans toute sa splendeur ou derrière un écran de nuages,
mais il se lèvera. Jusqu’à cet instant, nous n’avons pas de prise sur DEMAIN, parce
qu’il est encore à venir.
Il ne reste qu’un jour - AUJOURD’HUI. Tout être humain peut livrer les combats
d’un seul jour. C’est seulement lorsque vous et moi ajoutons les fardeaux de ces deux
redoutables éternités - HIER ET DEMAIN - que nous sommes vaincus.
Ce ne sont pas les épreuves d’un jour qui rendent les hommes fous, c’est le remords
ou la rancœur d’un incident qui est arrivé HIER, et la crainte de ce que DEMAIN
peut apporter.
VIVONS DONC
UN SEUL JOUR À LA FOIS Source anonyme
Oui j'essaie d'arreter.
Un jour après l'autre.
Là ça fait... un jour
Le 30 août 2023 à 08:10:36 :
Le 29 août 2023 à 20:03:18 :
Le 29 août 2023 à 19:28:11 :
Le 29 août 2023 à 17:45:52 :
Le 29 août 2023 à 17:07:04 :
Ce soir c'est kebab
On s'emmerde jamais avec Thierry mdr il a de l'imaginationBon ap !
Je vais faire à manger à ma chérie, nous verrons l'obédience du repasNettoie ta cuisine !
mais t es chiant putain
y en a ça les reussi pas de boireDésolé non ça me réussit pas
tkt
Données du topic
- Auteur
- lemmancheur
- Date de création
- 29 avril 2021 Ă 11:40:00
- Date de suppression
- 19 septembre 2023 Ă 21:41:00
- Supprimé par
- Modération ou administration
- Nb. messages archivés
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- Nb. messages JVC
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