Vous PLAISEZ vraiment à AUCUNE FILLE ? Les « LAMBDAS INVISIBLES »

Le 27 avril 2021 à 05:58:18 :

Le 27 avril 2021 à 05:52:47 :

Le 27 avril 2021 à 05:48:55 :
Et la question c'est aussi : pourquoi être radicalement contre l'idée qu'un lambda puisse plaire à d'autres lambda, ce qui est le point du topic. Après tout, tu as déjà eu une meuf, alors pourquoi tu aurais pas pu plaire à d'autres sans le savoir ? D'autant que si t'es habituellement seul, personne te le dira.

On est pas contre on dit que c'est compliqué et la tu prend en compte que le physique ee plus

Personne n'a dit que c'était totalement simple. Personne ne s'est vendu comme un Don Juan non plus d'ailleurs à ma connaissance. Je parle surtout du physique car c'est le domaine où on a quasiment pas de pouvoir si on veut changer, on atteint assez vite son plafond une fois les bases acquises, la sociabilité t'as quand même plus de marge

Je suis pas sur khey je trouve que c'est plus facile de se relooker que de devenir yeslife

Le 27 avril 2021 à 06:01:22 :

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Et la question c'est aussi : pourquoi être radicalement contre l'idée qu'un lambda puisse plaire à d'autres lambda, ce qui est le point du topic. Après tout, tu as déjà eu une meuf, alors pourquoi tu aurais pas pu plaire à d'autres sans le savoir ? D'autant que si t'es habituellement seul, personne te le dira.

On est pas contre on dit que c'est compliqué et la tu prend en compte que le physique ee plus

Personne n'a dit que c'était totalement simple. Personne ne s'est vendu comme un Don Juan non plus d'ailleurs à ma connaissance. Je parle surtout du physique car c'est le domaine où on a quasiment pas de pouvoir si on veut changer, on atteint assez vite son plafond une fois les bases acquises, la sociabilité t'as quand même plus de marge

Je suis pas sur khey je trouve que c'est plus facile de se relooker que de devenir yeslife

C'est clair, ça. Même la muscu, c'est pas bien compliqué aussi. En revanche, socialiser revient à faire un saut dans le vide, on peut tout tenter et ne jamais y arriver ou rien tenter et recevoir de l'attention gratuite.

Le 27 avril 2021 à 06:02:57 :

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Et la question c'est aussi : pourquoi être radicalement contre l'idée qu'un lambda puisse plaire à d'autres lambda, ce qui est le point du topic. Après tout, tu as déjà eu une meuf, alors pourquoi tu aurais pas pu plaire à d'autres sans le savoir ? D'autant que si t'es habituellement seul, personne te le dira.

On est pas contre on dit que c'est compliqué et la tu prend en compte que le physique ee plus

Personne n'a dit que c'était totalement simple. Personne ne s'est vendu comme un Don Juan non plus d'ailleurs à ma connaissance. Je parle surtout du physique car c'est le domaine où on a quasiment pas de pouvoir si on veut changer, on atteint assez vite son plafond une fois les bases acquises, la sociabilité t'as quand même plus de marge

Je suis pas sur khey je trouve que c'est plus facile de se relooker que de devenir yeslife

C'est clair, ça. Même la muscu, c'est pas bien compliqué aussi. En revanche, socialiser revient à faire un saut dans le vide, on peut tout tenter et ne jamais y arriver ou rien tenter et recevoir de l'attention gratuite.

J'aime pas la muscu par contre

En maternelle j'avais pleins d'amoureuses, en primaire j'attirai aussi les filles.
En maternelle une m'avait proposé "on fera l'amour tout nue" (je n'avais pas compris, elle ne devait pas comprendre non plus) et voulait m'embrasser en permanence

Mais toujours puceau

Je ne croise aucune fille dans ma vie, mais je pense que j'en attirerai certaines.

Le 27 avril 2021 à 05:58:40 :

Le 27 avril 2021 à 05:44:28 :

Le 27 avril 2021 à 05:34:04 :

Le 27 avril 2021 à 05:19:33 :

Le 27 avril 2021 à 05:10:54 :

Le 27 avril 2021 à 05:03:05 :
C'est plutôt vrai, les étudiants socialisent relativement peu et la fac n'est pas aussi ouverte que ce qu'on voudrait faire croire. Toutefois, ce n'est pas toujours vrai, saches que de nombreuses promotions organisent par exemple des rencontres au bar en début d'année par exemple, c'est souvent vrai en L1-L2, et je pense que si tu es passé par là, je ne t'apprends rien. En L3 plus compliqué car ça se connait déjà un peu plus, et ça arrive de tomber sur des promos de merde, je suis navré si ça t'es arrivé.

Non, s'agit pas d'être le bouche trou. Le début d'année est assez important, les réseaux sociaux aussi de plus en plus. Mais si mettons t'as une soirée de classe en début d'année, tu te pointes et tu fais bonne impression, tu peux facilement te faire réinviter. J'ai connu des années où j'ai pris le train, et d'autres où je l'ai raté et là c'était plus compliqué. C'est une affaire d'opportunités, mais ça se saisit aussi. Ca peut dépendre aussi du cursus

Pas du tout, je suis content quand je tombe sur des gens bienveillants. Mais je pense que beaucoup de gens sont pas des connards, avec le recul depuis les études supérieures j'ai jamais eu de promotion malveillante. Concernant la "VA", être souriant, c'est déjà une VA ; dans les soirées, tu cherches à avoir des gens bon délire autour de toi, pas des mecs qui font la gueule

Dans ma fac de droit, il y avait qu'une seule soirée par an et on était 30 mecs célibataires à y aller. Les rares filles qui venaient tâter le terrain se barraient au bout de 30 minutes en voyant le massacre. Ça, c'est ma réalité, ta réalité a peut être été différente, dans ce cas-là, tu as été plus chanceux. Grand bien te fasse.
Mes promos n'ont jamais été véritablement malveillantes, elles sont surtout été éclatées en plusieurs sous-groupes et indifférentes à l'égard des personnes qui n'avaient pas intégré ces sous-groupes depuis le lycée ou lors de la première semaine de L1.
Il n'y a pas de soirées pour les gens comme Rayman et moi. Il n'y a pas les opportunités que tu as pu avoir. Ton contexte était plus favorable et tu en as tiré le meilleur parti. Ton sourire et ton éloquence n'ont joué qu'un rôle très mineur dans ta vie sociale.

Ok, alors déjà une chose n'aide pas à mon avis ; c'est que tu es en droit. J'ai été dans des cursus littéraires, et on peut dire autant de mal qu'on veut de ces cursus (parfois à raison), ce sont des cursus où les gens sont plus ouverts et où il est plus simple de socialiser. J'ai un pote en Histoire, des potes en Géographie et ça avait l'air d'aller pour eux aussi. Le droit c'est particulier, comme les écoles de commerce. Je pense que t'es tombé sur un milieu nettement moins favorable pour socialiser.

Ouais alors si ça arrive dès la L1 c'est que t'étais dans une petite ville ou tout le monde se connaissait. En L2 c'est rare aussi honnêtement j'ai l'impression, L3 c'est plus courant par contre, pour ça que c'est surtout les 2 premières années qui comptent je trouve.

Ok, mettons que tu trouves rien niveau fac. Tu as pas des associations par exemple ? Des clubs de sports / ce que tu veux ? Là tu peux quand même parler à des gens. Après se faire inviter c'est autre chose, mais tu peux essayer. Et je peux te dire que non, ça n'a pas joué un rôle si mineur que ça, précisément parce que j'ai pu avoir un outil de comparaison avec l'avant, c'est à dire quand je n'étais pas comme ça.

De ton propre aveu, ton milieu était plus favorable à une socialisation. Finalement, c'est juste une traduction des déterminismes dont Rayman et moi parlions. Tu as bel et bien été chanceux.

Tu me forces à raconter ma vie, je vais faire un résumé très court car j'ai tenté énormément de trucs en dehors de la fac mais en vain, je suis même arrivé à la drague de rue faute de mieux.
Clubs de tennis : j'étais bien classé pendant l'adolescence, je faisais des cours individuels et des tournois. Milieu très compétitif à un âge où certains espéraient encore tenter l'aventure chez les pros. Je socialisais facilement avec les vieux et j'essayais de dégonfler le boulard des types de mon âge même si c'était pas toujours facile.
Escalade : que des mecs mais milieu assez sympathique. Quasi que des trentenaires casés avec qui je pouvais aller boire un coup sauf que ça s'arrêtait là.
Ju-jitsu : comme l'escalade mais en pire, bonne ambiance, littéralement rempli de boomers retraités et de rombières qui pensent savoir se défendre contre une attaque au couteau dans la rue. Pas de regrets de l'avoir fait même si cela ne m'a pas aidé socialement.
Club de bachata : j'y ai trouvé mon unique copine. C'était une allemande en ERASMUS. Elle m'a échappé à la fin de son année scolaire.

Et drague de rue : quelques succès sauf que c'est mentalement épuisant. Le pire étant les filles qui donnent leur numéro pour ghoster le SMS.

Un peu facile quand même. Je peux t'invoquer d'autres déterminismes qui font que sur d'autres points, je pourrais tout aussi bien m'affirmer malchanceux. Et le droit n'est pas non plus un cursus super sain pour les relations, j'en ferais pas une norme

Mais moi j'ai rien contre les gens qui racontent leur vie lol
Ben du coup t'as pris des milieux assez masculins tout de même j'ai l'impression. Sauf Bachata et c'est là où t'as trouvé une meuf. Essaye les clubs artistiques peut-être ? C'est plus féminin

Pour la drague de rue, jamais essayé, j'aime pas mais bravo tout de même, ça demande du cran. Mais au final la drague de rue c'est une opportunité que tu crées à partir de rien, non ? Donc quelque part c'est étonnant que tu sois aussi déterministe, surtout que comme tu le dis, tu as eu des résultats

Ne t'inquiète pas. J'ai des parents divorcés qui sont respectivement schizophrène et paraplégique, j'ai fait le lycée par le CNED en étant placé en foyer, sur ces déterminismes-là aussi, j'ai eu le jackpot. Pas sûr qu'un sourire et une poignée de mains ferme aurait suffi pour compenser dans mon cas.

Je pouvais pas me permettre de prendre un cursus sans débouchés bien définis en dehors du CAPES. J'ai envisagé la prépa et l'école d'ingé à un certain moment, ça n'aurait pas changé grand chose à mes soucis actuels néanmoins.

J'ai choisi des milieux qui m'intéressaient surtout. Il a vraiment fallu que la solitude devienne pesante pour se rabaisser à faire autre chose. Mon truc c'est la musique classique, je suis allé à la bachata de manière purement intéressée.
Ça a marché uniquement parce que je l'ai fait avec la fac. Un club de salsa/bachata en associatif, ça doit être rempli de femmes ménopausées, j'y mettrais pas les pieds. C'est donc assez compliqué, il faut trouver des centres d'intérêt féminins et une structure où y a des jeunes, tout ça en ayant un emploi du temps chargé.

Oui, en drague de rue, tu rattrapes la fille, tu lui fais un compliment sur son style vestimentaire et tu essayes de créer une discussion à partir de rien. C'est très dur, ça m'arrive souvent de sortir pour aborder et de rentrer sans avoir rien abordé.
Malgré tout, j'ai fini par revoir en rdv deux filles que j'ai rencontrées, une étudiante chinoise et une autre. La touriste a gardé son masque presque du long, ça m'a pas donné envie de la revoir. L'autre était finalement plutôt moche et maladivement timide.

Hier, je me suis ghosté par SMS par une fille qui me plaisait, petite déception. Ça m'arrive régulièrement.

Ok bon tu places la barre assez haut. Mais j'ai eu mes démons aussi et crois moi c'est des trucs qui restent à vie. Je ne dis pas que tout disparait avec un sourire et une poignée de main ferme, je dis juste que ce sourire permet de mieux se lier avec les gens. Et quand tu as connu l'isolement très jeune, tu veux te connecter avec les gens. Le passé est inchangeable et certains trucs tu pourras ni oublier, ni pardonner. Donc autant faire tout ce qu'on peut pour rattraper ce qui peut l'être, et le sourire aide

Tu vois que tu ne restes pas dans le déterminisme justement, tu te crées bien des occasions. Je sais pas comment t'abordes, mais tu tires la tronche en les abordant ?

Le 27 avril 2021 à 06:07:47 :
En maternelle j'avais pleins d'amoureuses, en primaire j'attirai aussi les filles.
En maternelle une m'avait proposé "on fera l'amour tout nue" (je n'avais pas compris, elle ne devait pas comprendre non plus) et voulait m'embrasser en permanence

Mais toujours puceau

Je ne croise aucune fille dans ma vie, mais je pense que j'en attirerai certaines.

Plus tu avances dans l'âge, plus ça devient compliqué d'avoir des relations amoureuses...

Par exemple, ça fait plus de 10 ans que je n'attire plus personne (oui je suis vieux blabla), bon je suis en couple donc ça va c'est pas la mort non plus. Mais ouais la dernière fois qu'on m'a dragué c'était y'a 13 ans je crois.

Le 27 avril 2021 à 06:07:47 :
En maternelle j'avais pleins d'amoureuses, en primaire j'attirai aussi les filles.
En maternelle une m'avait proposé "on fera l'amour tout nue" (je n'avais pas compris, elle ne devait pas comprendre non plus) et voulait m'embrasser en permanence

Mais toujours puceau

Je ne croise aucune fille dans ma vie, mais je pense que j'en attirerai certaines.

Je connais ça.
Une fille m'a montré ses seins prépubères et son vagin en primaire.
Une autre "sortait" avec sa cousine et moi en ville, on chahutaient, on se faisait des câlins, etc.
Malheureusement, tout se joue vraiment à la puberté, c'est là que les compteurs sont remis à zéro, il m'aura fallu quasiment 22 ans pour me débarrasser de ma virginité.

Le 27 avril 2021 à 06:12:18 :
Mais oui c'est un délire du forum

Oui oui loul

Le 27 avril 2021 à 05:58:40 :

Le 27 avril 2021 à 05:44:28 :

Le 27 avril 2021 à 05:34:04 :

Le 27 avril 2021 à 05:19:33 :

Le 27 avril 2021 à 05:10:54 :

Le 27 avril 2021 à 05:03:05 :
C'est plutôt vrai, les étudiants socialisent relativement peu et la fac n'est pas aussi ouverte que ce qu'on voudrait faire croire. Toutefois, ce n'est pas toujours vrai, saches que de nombreuses promotions organisent par exemple des rencontres au bar en début d'année par exemple, c'est souvent vrai en L1-L2, et je pense que si tu es passé par là, je ne t'apprends rien. En L3 plus compliqué car ça se connait déjà un peu plus, et ça arrive de tomber sur des promos de merde, je suis navré si ça t'es arrivé.

Non, s'agit pas d'être le bouche trou. Le début d'année est assez important, les réseaux sociaux aussi de plus en plus. Mais si mettons t'as une soirée de classe en début d'année, tu te pointes et tu fais bonne impression, tu peux facilement te faire réinviter. J'ai connu des années où j'ai pris le train, et d'autres où je l'ai raté et là c'était plus compliqué. C'est une affaire d'opportunités, mais ça se saisit aussi. Ca peut dépendre aussi du cursus

Pas du tout, je suis content quand je tombe sur des gens bienveillants. Mais je pense que beaucoup de gens sont pas des connards, avec le recul depuis les études supérieures j'ai jamais eu de promotion malveillante. Concernant la "VA", être souriant, c'est déjà une VA ; dans les soirées, tu cherches à avoir des gens bon délire autour de toi, pas des mecs qui font la gueule

Dans ma fac de droit, il y avait qu'une seule soirée par an et on était 30 mecs célibataires à y aller. Les rares filles qui venaient tâter le terrain se barraient au bout de 30 minutes en voyant le massacre. Ça, c'est ma réalité, ta réalité a peut être été différente, dans ce cas-là, tu as été plus chanceux. Grand bien te fasse.
Mes promos n'ont jamais été véritablement malveillantes, elles sont surtout été éclatées en plusieurs sous-groupes et indifférentes à l'égard des personnes qui n'avaient pas intégré ces sous-groupes depuis le lycée ou lors de la première semaine de L1.
Il n'y a pas de soirées pour les gens comme Rayman et moi. Il n'y a pas les opportunités que tu as pu avoir. Ton contexte était plus favorable et tu en as tiré le meilleur parti. Ton sourire et ton éloquence n'ont joué qu'un rôle très mineur dans ta vie sociale.

Ok, alors déjà une chose n'aide pas à mon avis ; c'est que tu es en droit. J'ai été dans des cursus littéraires, et on peut dire autant de mal qu'on veut de ces cursus (parfois à raison), ce sont des cursus où les gens sont plus ouverts et où il est plus simple de socialiser. J'ai un pote en Histoire, des potes en Géographie et ça avait l'air d'aller pour eux aussi. Le droit c'est particulier, comme les écoles de commerce. Je pense que t'es tombé sur un milieu nettement moins favorable pour socialiser.

Ouais alors si ça arrive dès la L1 c'est que t'étais dans une petite ville ou tout le monde se connaissait. En L2 c'est rare aussi honnêtement j'ai l'impression, L3 c'est plus courant par contre, pour ça que c'est surtout les 2 premières années qui comptent je trouve.

Ok, mettons que tu trouves rien niveau fac. Tu as pas des associations par exemple ? Des clubs de sports / ce que tu veux ? Là tu peux quand même parler à des gens. Après se faire inviter c'est autre chose, mais tu peux essayer. Et je peux te dire que non, ça n'a pas joué un rôle si mineur que ça, précisément parce que j'ai pu avoir un outil de comparaison avec l'avant, c'est à dire quand je n'étais pas comme ça.

De ton propre aveu, ton milieu était plus favorable à une socialisation. Finalement, c'est juste une traduction des déterminismes dont Rayman et moi parlions. Tu as bel et bien été chanceux.

Tu me forces à raconter ma vie, je vais faire un résumé très court car j'ai tenté énormément de trucs en dehors de la fac mais en vain, je suis même arrivé à la drague de rue faute de mieux.
Clubs de tennis : j'étais bien classé pendant l'adolescence, je faisais des cours individuels et des tournois. Milieu très compétitif à un âge où certains espéraient encore tenter l'aventure chez les pros. Je socialisais facilement avec les vieux et j'essayais de dégonfler le boulard des types de mon âge même si c'était pas toujours facile.
Escalade : que des mecs mais milieu assez sympathique. Quasi que des trentenaires casés avec qui je pouvais aller boire un coup sauf que ça s'arrêtait là.
Ju-jitsu : comme l'escalade mais en pire, bonne ambiance, littéralement rempli de boomers retraités et de rombières qui pensent savoir se défendre contre une attaque au couteau dans la rue. Pas de regrets de l'avoir fait même si cela ne m'a pas aidé socialement.
Club de bachata : j'y ai trouvé mon unique copine. C'était une allemande en ERASMUS. Elle m'a échappé à la fin de son année scolaire.

Et drague de rue : quelques succès sauf que c'est mentalement épuisant. Le pire étant les filles qui donnent leur numéro pour ghoster le SMS.

Un peu facile quand même. Je peux t'invoquer d'autres déterminismes qui font que sur d'autres points, je pourrais tout aussi bien m'affirmer malchanceux. Et le droit n'est pas non plus un cursus super sain pour les relations, j'en ferais pas une norme

Mais moi j'ai rien contre les gens qui racontent leur vie lol
Ben du coup t'as pris des milieux assez masculins tout de même j'ai l'impression. Sauf Bachata et c'est là où t'as trouvé une meuf. Essaye les clubs artistiques peut-être ? C'est plus féminin

Pour la drague de rue, jamais essayé, j'aime pas mais bravo tout de même, ça demande du cran. Mais au final la drague de rue c'est une opportunité que tu crées à partir de rien, non ? Donc quelque part c'est étonnant que tu sois aussi déterministe, surtout que comme tu le dis, tu as eu des résultats

Ne t'inquiète pas. J'ai des parents divorcés qui sont respectivement schizophrène et paraplégique, j'ai fait le lycée par le CNED en étant placé en foyer, sur ces déterminismes-là aussi, j'ai eu le jackpot. Pas sûr qu'un sourire et une poignée de mains ferme auraient suffi pour compenser dans mon cas.

Je pouvais pas me permettre de prendre un cursus sans débouchés bien définis en dehors du CAPES. J'ai envisagé la prépa et l'école d'ingé à un certain moment, ça n'aurait pas changé grand chose à mes soucis actuels néanmoins.

J'ai choisi des milieux qui m'intéressaient surtout. Il a vraiment fallu que la solitude devienne pesante pour se rabaisser à faire autre chose. Mon truc c'est la musique classique, je suis allé à la bachata de manière purement intéressée.
Ça a marché uniquement parce que je l'ai fait avec la fac. Un club de salsa/bachata en associatif, ça doit être rempli de femmes ménopausées, j'y mettrais pas les pieds. C'est donc assez compliqué, il faut trouver des centres d'intérêt féminins et une structure où y a des jeunes, tout ça en ayant un emploi du temps chargé.

Oui, en drague de rue, tu rattrapes la fille, tu lui fais un compliment sur son style vestimentaire et tu essayes de créer une discussion à partir de rien. C'est très dur, ça m'arrive souvent de sortir pour aborder et de rentrer sans avoir rien abordé.
Malgré tout, j'ai fini par revoir en rdv deux filles que j'ai rencontrées, une étudiante chinoise et une autre. La touriste a gardé son masque presque tout du long, ça m'a pas donné envie de la revoir. L'autre était finalement plutôt moche et maladivement timide.

Hier, je me suis ghosté par SMS par une fille qui me plaisait, petite déception. Ça m'arrive régulièrement.

Ma soeur est dans un club de danse comme ça, bachata et tout. Et nan y'a des beaux mecs et belles femmes aussi

Le 27 avril 2021 à 06:01:22 :

Le 27 avril 2021 à 05:58:18 :

Le 27 avril 2021 à 05:52:47 :

Le 27 avril 2021 à 05:48:55 :
Et la question c'est aussi : pourquoi être radicalement contre l'idée qu'un lambda puisse plaire à d'autres lambda, ce qui est le point du topic. Après tout, tu as déjà eu une meuf, alors pourquoi tu aurais pas pu plaire à d'autres sans le savoir ? D'autant que si t'es habituellement seul, personne te le dira.

On est pas contre on dit que c'est compliqué et la tu prend en compte que le physique ee plus

Personne n'a dit que c'était totalement simple. Personne ne s'est vendu comme un Don Juan non plus d'ailleurs à ma connaissance. Je parle surtout du physique car c'est le domaine où on a quasiment pas de pouvoir si on veut changer, on atteint assez vite son plafond une fois les bases acquises, la sociabilité t'as quand même plus de marge

Je suis pas sur khey je trouve que c'est plus facile de se relooker que de devenir yeslife

Alors oui, plus facile mais plafond de verre vite atteint. Coupe + Style, ok mais après ? Muscu à la rigueur, mais si ton visage est ingrat, tu peux rien faire sauf la chirurgie. Alors que l'aisance sociale les progrès sont moins rapides, mais tu peux aller plus loin.

Le 27 avril 2021 à 05:59:57 :

Le 27 avril 2021 à 05:48:55 :
Et la question c'est aussi : pourquoi être radicalement contre l'idée qu'un lambda puisse plaire à d'autres lambda, ce qui est le point du topic. Après tout, tu as déjà eu une meuf, alors pourquoi tu aurais pas pu plaire à d'autres sans le savoir ? D'autant que si t'es habituellement seul, personne te le dira.

Un lambda peut plaire à une lambda mais au prix d'innombrables efforts comme ceux que j'ai entrepris. Seul cheatcode possible : avoir eu la chance de trouver le bon cercle social pour passer la présélection.

Peut-être aussi que fréquenter des milieux mixtes ou féminins peut aider.

Le 27 avril 2021 à 06:11:30 :

Le 27 avril 2021 à 06:07:47 :
En maternelle j'avais pleins d'amoureuses, en primaire j'attirai aussi les filles.
En maternelle une m'avait proposé "on fera l'amour tout nue" (je n'avais pas compris, elle ne devait pas comprendre non plus) et voulait m'embrasser en permanence

Mais toujours puceau

Je ne croise aucune fille dans ma vie, mais je pense que j'en attirerai certaines.

Je connais ça.
Une fille m'a montré ses seins prépubères et son vagin en primaire.
Une autre "sortait" avec sa cousine et moi en ville, on chahutaient, on se faisait des câlins, etc.
Malheureusement, tout se joue vraiment à la puberté, c'est là que les compteurs sont remis à zéro, il m'aura fallu quasiment 22 ans pour me débarrasser de ma virginité.

aareil j'ai eu une amoureuse comme on disait à l'époque en maternelle j'avais meme piqué une bague à ma mère pour me marier avec ahi.
Ensuite deux autre meufs en primaire avec qui j'ai flirté et puis plus rien pas de chance.
Ahi si une meuf en terminal qui voulait sortir avec moi mais je l'aimais pas.

Le 27 avril 2021 à 06:14:43 :

Le 27 avril 2021 à 06:01:22 :

Le 27 avril 2021 à 05:58:18 :

Le 27 avril 2021 à 05:52:47 :

Le 27 avril 2021 à 05:48:55 :
Et la question c'est aussi : pourquoi être radicalement contre l'idée qu'un lambda puisse plaire à d'autres lambda, ce qui est le point du topic. Après tout, tu as déjà eu une meuf, alors pourquoi tu aurais pas pu plaire à d'autres sans le savoir ? D'autant que si t'es habituellement seul, personne te le dira.

On est pas contre on dit que c'est compliqué et la tu prend en compte que le physique ee plus

Personne n'a dit que c'était totalement simple. Personne ne s'est vendu comme un Don Juan non plus d'ailleurs à ma connaissance. Je parle surtout du physique car c'est le domaine où on a quasiment pas de pouvoir si on veut changer, on atteint assez vite son plafond une fois les bases acquises, la sociabilité t'as quand même plus de marge

Je suis pas sur khey je trouve que c'est plus facile de se relooker que de devenir yeslife

Alors oui, plus facile mais plafond de verre vite atteint. Coupe + Style, ok mais après ? Muscu à la rigueur, mais si ton visage est ingrat, tu peux rien faire sauf la chirurgie. Alors que l'aisance sociale les progrès sont moins rapides, mais tu peux aller plus loin.

Le 27 avril 2021 à 05:59:57 :

Le 27 avril 2021 à 05:48:55 :
Et la question c'est aussi : pourquoi être radicalement contre l'idée qu'un lambda puisse plaire à d'autres lambda, ce qui est le point du topic. Après tout, tu as déjà eu une meuf, alors pourquoi tu aurais pas pu plaire à d'autres sans le savoir ? D'autant que si t'es habituellement seul, personne te le dira.

Un lambda peut plaire à une lambda mais au prix d'innombrables efforts comme ceux que j'ai entrepris. Seul cheatcode possible : avoir eu la chance de trouver le bon cercle social pour passer la présélection.

Peut-être aussi que fréquenter des milieux mixtes ou féminins peut aider.

Quels milieux khey on va se faire ghosted aussi

Le 27 avril 2021 à 06:09:26 :

Le 27 avril 2021 à 05:58:40 :

Le 27 avril 2021 à 05:44:28 :

Le 27 avril 2021 à 05:34:04 :

Le 27 avril 2021 à 05:19:33 :

Le 27 avril 2021 à 05:10:54 :

Le 27 avril 2021 à 05:03:05 :
C'est plutôt vrai, les étudiants socialisent relativement peu et la fac n'est pas aussi ouverte que ce qu'on voudrait faire croire. Toutefois, ce n'est pas toujours vrai, saches que de nombreuses promotions organisent par exemple des rencontres au bar en début d'année par exemple, c'est souvent vrai en L1-L2, et je pense que si tu es passé par là, je ne t'apprends rien. En L3 plus compliqué car ça se connait déjà un peu plus, et ça arrive de tomber sur des promos de merde, je suis navré si ça t'es arrivé.

Non, s'agit pas d'être le bouche trou. Le début d'année est assez important, les réseaux sociaux aussi de plus en plus. Mais si mettons t'as une soirée de classe en début d'année, tu te pointes et tu fais bonne impression, tu peux facilement te faire réinviter. J'ai connu des années où j'ai pris le train, et d'autres où je l'ai raté et là c'était plus compliqué. C'est une affaire d'opportunités, mais ça se saisit aussi. Ca peut dépendre aussi du cursus

Pas du tout, je suis content quand je tombe sur des gens bienveillants. Mais je pense que beaucoup de gens sont pas des connards, avec le recul depuis les études supérieures j'ai jamais eu de promotion malveillante. Concernant la "VA", être souriant, c'est déjà une VA ; dans les soirées, tu cherches à avoir des gens bon délire autour de toi, pas des mecs qui font la gueule

Dans ma fac de droit, il y avait qu'une seule soirée par an et on était 30 mecs célibataires à y aller. Les rares filles qui venaient tâter le terrain se barraient au bout de 30 minutes en voyant le massacre. Ça, c'est ma réalité, ta réalité a peut être été différente, dans ce cas-là, tu as été plus chanceux. Grand bien te fasse.
Mes promos n'ont jamais été véritablement malveillantes, elles sont surtout été éclatées en plusieurs sous-groupes et indifférentes à l'égard des personnes qui n'avaient pas intégré ces sous-groupes depuis le lycée ou lors de la première semaine de L1.
Il n'y a pas de soirées pour les gens comme Rayman et moi. Il n'y a pas les opportunités que tu as pu avoir. Ton contexte était plus favorable et tu en as tiré le meilleur parti. Ton sourire et ton éloquence n'ont joué qu'un rôle très mineur dans ta vie sociale.

Ok, alors déjà une chose n'aide pas à mon avis ; c'est que tu es en droit. J'ai été dans des cursus littéraires, et on peut dire autant de mal qu'on veut de ces cursus (parfois à raison), ce sont des cursus où les gens sont plus ouverts et où il est plus simple de socialiser. J'ai un pote en Histoire, des potes en Géographie et ça avait l'air d'aller pour eux aussi. Le droit c'est particulier, comme les écoles de commerce. Je pense que t'es tombé sur un milieu nettement moins favorable pour socialiser.

Ouais alors si ça arrive dès la L1 c'est que t'étais dans une petite ville ou tout le monde se connaissait. En L2 c'est rare aussi honnêtement j'ai l'impression, L3 c'est plus courant par contre, pour ça que c'est surtout les 2 premières années qui comptent je trouve.

Ok, mettons que tu trouves rien niveau fac. Tu as pas des associations par exemple ? Des clubs de sports / ce que tu veux ? Là tu peux quand même parler à des gens. Après se faire inviter c'est autre chose, mais tu peux essayer. Et je peux te dire que non, ça n'a pas joué un rôle si mineur que ça, précisément parce que j'ai pu avoir un outil de comparaison avec l'avant, c'est à dire quand je n'étais pas comme ça.

De ton propre aveu, ton milieu était plus favorable à une socialisation. Finalement, c'est juste une traduction des déterminismes dont Rayman et moi parlions. Tu as bel et bien été chanceux.

Tu me forces à raconter ma vie, je vais faire un résumé très court car j'ai tenté énormément de trucs en dehors de la fac mais en vain, je suis même arrivé à la drague de rue faute de mieux.
Clubs de tennis : j'étais bien classé pendant l'adolescence, je faisais des cours individuels et des tournois. Milieu très compétitif à un âge où certains espéraient encore tenter l'aventure chez les pros. Je socialisais facilement avec les vieux et j'essayais de dégonfler le boulard des types de mon âge même si c'était pas toujours facile.
Escalade : que des mecs mais milieu assez sympathique. Quasi que des trentenaires casés avec qui je pouvais aller boire un coup sauf que ça s'arrêtait là.
Ju-jitsu : comme l'escalade mais en pire, bonne ambiance, littéralement rempli de boomers retraités et de rombières qui pensent savoir se défendre contre une attaque au couteau dans la rue. Pas de regrets de l'avoir fait même si cela ne m'a pas aidé socialement.
Club de bachata : j'y ai trouvé mon unique copine. C'était une allemande en ERASMUS. Elle m'a échappé à la fin de son année scolaire.

Et drague de rue : quelques succès sauf que c'est mentalement épuisant. Le pire étant les filles qui donnent leur numéro pour ghoster le SMS.

Un peu facile quand même. Je peux t'invoquer d'autres déterminismes qui font que sur d'autres points, je pourrais tout aussi bien m'affirmer malchanceux. Et le droit n'est pas non plus un cursus super sain pour les relations, j'en ferais pas une norme

Mais moi j'ai rien contre les gens qui racontent leur vie lol
Ben du coup t'as pris des milieux assez masculins tout de même j'ai l'impression. Sauf Bachata et c'est là où t'as trouvé une meuf. Essaye les clubs artistiques peut-être ? C'est plus féminin

Pour la drague de rue, jamais essayé, j'aime pas mais bravo tout de même, ça demande du cran. Mais au final la drague de rue c'est une opportunité que tu crées à partir de rien, non ? Donc quelque part c'est étonnant que tu sois aussi déterministe, surtout que comme tu le dis, tu as eu des résultats

Ne t'inquiète pas. J'ai des parents divorcés qui sont respectivement schizophrène et paraplégique, j'ai fait le lycée par le CNED en étant placé en foyer, sur ces déterminismes-là aussi, j'ai eu le jackpot. Pas sûr qu'un sourire et une poignée de mains ferme aurait suffi pour compenser dans mon cas.

Je pouvais pas me permettre de prendre un cursus sans débouchés bien définis en dehors du CAPES. J'ai envisagé la prépa et l'école d'ingé à un certain moment, ça n'aurait pas changé grand chose à mes soucis actuels néanmoins.

J'ai choisi des milieux qui m'intéressaient surtout. Il a vraiment fallu que la solitude devienne pesante pour se rabaisser à faire autre chose. Mon truc c'est la musique classique, je suis allé à la bachata de manière purement intéressée.
Ça a marché uniquement parce que je l'ai fait avec la fac. Un club de salsa/bachata en associatif, ça doit être rempli de femmes ménopausées, j'y mettrais pas les pieds. C'est donc assez compliqué, il faut trouver des centres d'intérêt féminins et une structure où y a des jeunes, tout ça en ayant un emploi du temps chargé.

Oui, en drague de rue, tu rattrapes la fille, tu lui fais un compliment sur son style vestimentaire et tu essayes de créer une discussion à partir de rien. C'est très dur, ça m'arrive souvent de sortir pour aborder et de rentrer sans avoir rien abordé.
Malgré tout, j'ai fini par revoir en rdv deux filles que j'ai rencontrées, une étudiante chinoise et une autre. La touriste a gardé son masque presque du long, ça m'a pas donné envie de la revoir. L'autre était finalement plutôt moche et maladivement timide.

Hier, je me suis ghosté par SMS par une fille qui me plaisait, petite déception. Ça m'arrive régulièrement.

Ok bon tu places la barre assez haut. Mais j'ai eu mes démons aussi et crois moi c'est des trucs qui restent à vie. Je ne dis pas que tout disparait avec un sourire et une poignée de main ferme, je dis juste que ce sourire permet de mieux se lier avec les gens. Et quand tu as connu l'isolement très jeune, tu veux te connecter avec les gens. Le passé est inchangeable et certains trucs tu pourras ni oublier, ni pardonner. Donc autant faire tout ce qu'on peut pour rattraper ce qui peut l'être, et le sourire aide

Tu vois que tu ne restes pas dans le déterminisme justement, tu te crées bien des occasions. Je sais pas comment t'abordes, mais tu tires la tronche en les abordant ?

Non, justement, j'ai ce sourire béat au naturel, ça a toujours été comme ça, même dans mes période de grande dépression. Ça m'a jamais aidé à socialiser réellement c'est à dire à intégrer un vrai cercle social.

Quant à l'éloquence, j'arrive aborder des inconnues sans bégayer, sans être Jacques Vergès, je dois pas être si naze.
J'aborde avec la phrase typique des coachs sur Youtube : "j'étais là-bas, je t'ai vue passer et je voulais venir te parler parce que j'aime bien ton style". En ce moment, j'essaye d'aborder différemment parce que je devenais zinzin à forcer de me répéter.
Ensuite, je dois des suppositions sur leurs études, leur caractère, etc.

Le déterminisme s'exprime justement dans mon incapacité à franchir certaines barrières malgré des efforts énormes. Je fais beaucoup plus d'efforts que le normie moyen mais le milieu pourri d'où je viens et le manque de chance qui m'a poursuivi toute ma vie m'ont empêché de récolter le fruit de ces efforts.

Le 27 avril 2021 à 06:14:38 :

Le 27 avril 2021 à 05:58:40 :

Le 27 avril 2021 à 05:44:28 :

Le 27 avril 2021 à 05:34:04 :

Le 27 avril 2021 à 05:19:33 :

Le 27 avril 2021 à 05:10:54 :

Le 27 avril 2021 à 05:03:05 :
C'est plutôt vrai, les étudiants socialisent relativement peu et la fac n'est pas aussi ouverte que ce qu'on voudrait faire croire. Toutefois, ce n'est pas toujours vrai, saches que de nombreuses promotions organisent par exemple des rencontres au bar en début d'année par exemple, c'est souvent vrai en L1-L2, et je pense que si tu es passé par là, je ne t'apprends rien. En L3 plus compliqué car ça se connait déjà un peu plus, et ça arrive de tomber sur des promos de merde, je suis navré si ça t'es arrivé.

Non, s'agit pas d'être le bouche trou. Le début d'année est assez important, les réseaux sociaux aussi de plus en plus. Mais si mettons t'as une soirée de classe en début d'année, tu te pointes et tu fais bonne impression, tu peux facilement te faire réinviter. J'ai connu des années où j'ai pris le train, et d'autres où je l'ai raté et là c'était plus compliqué. C'est une affaire d'opportunités, mais ça se saisit aussi. Ca peut dépendre aussi du cursus

Pas du tout, je suis content quand je tombe sur des gens bienveillants. Mais je pense que beaucoup de gens sont pas des connards, avec le recul depuis les études supérieures j'ai jamais eu de promotion malveillante. Concernant la "VA", être souriant, c'est déjà une VA ; dans les soirées, tu cherches à avoir des gens bon délire autour de toi, pas des mecs qui font la gueule

Dans ma fac de droit, il y avait qu'une seule soirée par an et on était 30 mecs célibataires à y aller. Les rares filles qui venaient tâter le terrain se barraient au bout de 30 minutes en voyant le massacre. Ça, c'est ma réalité, ta réalité a peut être été différente, dans ce cas-là, tu as été plus chanceux. Grand bien te fasse.
Mes promos n'ont jamais été véritablement malveillantes, elles sont surtout été éclatées en plusieurs sous-groupes et indifférentes à l'égard des personnes qui n'avaient pas intégré ces sous-groupes depuis le lycée ou lors de la première semaine de L1.
Il n'y a pas de soirées pour les gens comme Rayman et moi. Il n'y a pas les opportunités que tu as pu avoir. Ton contexte était plus favorable et tu en as tiré le meilleur parti. Ton sourire et ton éloquence n'ont joué qu'un rôle très mineur dans ta vie sociale.

Ok, alors déjà une chose n'aide pas à mon avis ; c'est que tu es en droit. J'ai été dans des cursus littéraires, et on peut dire autant de mal qu'on veut de ces cursus (parfois à raison), ce sont des cursus où les gens sont plus ouverts et où il est plus simple de socialiser. J'ai un pote en Histoire, des potes en Géographie et ça avait l'air d'aller pour eux aussi. Le droit c'est particulier, comme les écoles de commerce. Je pense que t'es tombé sur un milieu nettement moins favorable pour socialiser.

Ouais alors si ça arrive dès la L1 c'est que t'étais dans une petite ville ou tout le monde se connaissait. En L2 c'est rare aussi honnêtement j'ai l'impression, L3 c'est plus courant par contre, pour ça que c'est surtout les 2 premières années qui comptent je trouve.

Ok, mettons que tu trouves rien niveau fac. Tu as pas des associations par exemple ? Des clubs de sports / ce que tu veux ? Là tu peux quand même parler à des gens. Après se faire inviter c'est autre chose, mais tu peux essayer. Et je peux te dire que non, ça n'a pas joué un rôle si mineur que ça, précisément parce que j'ai pu avoir un outil de comparaison avec l'avant, c'est à dire quand je n'étais pas comme ça.

De ton propre aveu, ton milieu était plus favorable à une socialisation. Finalement, c'est juste une traduction des déterminismes dont Rayman et moi parlions. Tu as bel et bien été chanceux.

Tu me forces à raconter ma vie, je vais faire un résumé très court car j'ai tenté énormément de trucs en dehors de la fac mais en vain, je suis même arrivé à la drague de rue faute de mieux.
Clubs de tennis : j'étais bien classé pendant l'adolescence, je faisais des cours individuels et des tournois. Milieu très compétitif à un âge où certains espéraient encore tenter l'aventure chez les pros. Je socialisais facilement avec les vieux et j'essayais de dégonfler le boulard des types de mon âge même si c'était pas toujours facile.
Escalade : que des mecs mais milieu assez sympathique. Quasi que des trentenaires casés avec qui je pouvais aller boire un coup sauf que ça s'arrêtait là.
Ju-jitsu : comme l'escalade mais en pire, bonne ambiance, littéralement rempli de boomers retraités et de rombières qui pensent savoir se défendre contre une attaque au couteau dans la rue. Pas de regrets de l'avoir fait même si cela ne m'a pas aidé socialement.
Club de bachata : j'y ai trouvé mon unique copine. C'était une allemande en ERASMUS. Elle m'a échappé à la fin de son année scolaire.

Et drague de rue : quelques succès sauf que c'est mentalement épuisant. Le pire étant les filles qui donnent leur numéro pour ghoster le SMS.

Un peu facile quand même. Je peux t'invoquer d'autres déterminismes qui font que sur d'autres points, je pourrais tout aussi bien m'affirmer malchanceux. Et le droit n'est pas non plus un cursus super sain pour les relations, j'en ferais pas une norme

Mais moi j'ai rien contre les gens qui racontent leur vie lol
Ben du coup t'as pris des milieux assez masculins tout de même j'ai l'impression. Sauf Bachata et c'est là où t'as trouvé une meuf. Essaye les clubs artistiques peut-être ? C'est plus féminin

Pour la drague de rue, jamais essayé, j'aime pas mais bravo tout de même, ça demande du cran. Mais au final la drague de rue c'est une opportunité que tu crées à partir de rien, non ? Donc quelque part c'est étonnant que tu sois aussi déterministe, surtout que comme tu le dis, tu as eu des résultats

Ne t'inquiète pas. J'ai des parents divorcés qui sont respectivement schizophrène et paraplégique, j'ai fait le lycée par le CNED en étant placé en foyer, sur ces déterminismes-là aussi, j'ai eu le jackpot. Pas sûr qu'un sourire et une poignée de mains ferme auraient suffi pour compenser dans mon cas.

Je pouvais pas me permettre de prendre un cursus sans débouchés bien définis en dehors du CAPES. J'ai envisagé la prépa et l'école d'ingé à un certain moment, ça n'aurait pas changé grand chose à mes soucis actuels néanmoins.

J'ai choisi des milieux qui m'intéressaient surtout. Il a vraiment fallu que la solitude devienne pesante pour se rabaisser à faire autre chose. Mon truc c'est la musique classique, je suis allé à la bachata de manière purement intéressée.
Ça a marché uniquement parce que je l'ai fait avec la fac. Un club de salsa/bachata en associatif, ça doit être rempli de femmes ménopausées, j'y mettrais pas les pieds. C'est donc assez compliqué, il faut trouver des centres d'intérêt féminins et une structure où y a des jeunes, tout ça en ayant un emploi du temps chargé.

Oui, en drague de rue, tu rattrapes la fille, tu lui fais un compliment sur son style vestimentaire et tu essayes de créer une discussion à partir de rien. C'est très dur, ça m'arrive souvent de sortir pour aborder et de rentrer sans avoir rien abordé.
Malgré tout, j'ai fini par revoir en rdv deux filles que j'ai rencontrées, une étudiante chinoise et une autre. La touriste a gardé son masque presque tout du long, ça m'a pas donné envie de la revoir. L'autre était finalement plutôt moche et maladivement timide.

Hier, je me suis ghosté par SMS par une fille qui me plaisait, petite déception. Ça m'arrive régulièrement.

Ma soeur est dans un club de danse comme ça, bachata et tout. Et nan y'a des beaux mecs et belles femmes aussi

Ta soeur tourne dans le club ?
Ma crainte c'est surtout d'être coincé avec des trentenaires casés qui viennent pour se détendre dès que je sortirai de la danse organisée par la fac. Comme avec l'escalade et les arts martiaux finalement.

Le 27 avril 2021 à 06:16:47 :

Le 27 avril 2021 à 06:11:30 :

Le 27 avril 2021 à 06:07:47 :
En maternelle j'avais pleins d'amoureuses, en primaire j'attirai aussi les filles.
En maternelle une m'avait proposé "on fera l'amour tout nue" (je n'avais pas compris, elle ne devait pas comprendre non plus) et voulait m'embrasser en permanence

Mais toujours puceau

Je ne croise aucune fille dans ma vie, mais je pense que j'en attirerai certaines.

Je connais ça.
Une fille m'a montré ses seins prépubères et son vagin en primaire.
Une autre "sortait" avec sa cousine et moi en ville, on chahutaient, on se faisait des câlins, etc.
Malheureusement, tout se joue vraiment à la puberté, c'est là que les compteurs sont remis à zéro, il m'aura fallu quasiment 22 ans pour me débarrasser de ma virginité.

aareil j'ai eu une amoureuse comme on disait à l'époque en maternelle j'avais meme piqué une bague à ma mère pour me marier avec ahi.
Ensuite deux autre meufs en primaire avec qui j'ai flirté et puis plus rien pas de chance.
Ahi si une meuf en terminal qui voulait sortir avec moi mais je l'aimais pas.

L'école primaire et le collège, c'est le feu. Je donnerais cher pour revivre de tels moments.
Dans ma promo de fac, j'ai juste eu droit à une folle qui baisait tous les mecs de la promo et qui cherchait à faire de moi le suivant. Tout était anormale chez elle, même sa voix, ayant déjà une mère folle, j'ai passé mon tour.
Qu'est-ce qui allait pas avec la fille de ta classe de terminale ?

Le pire c'est qd t'attires des 7/10 mais que t'es trop timide pour tenter quelque chose

C'est mon cas

Quel con je suis

Le 27 avril 2021 à 06:24:00 :

Le 27 avril 2021 à 06:16:47 :

Le 27 avril 2021 à 06:11:30 :

Le 27 avril 2021 à 06:07:47 :
En maternelle j'avais pleins d'amoureuses, en primaire j'attirai aussi les filles.
En maternelle une m'avait proposé "on fera l'amour tout nue" (je n'avais pas compris, elle ne devait pas comprendre non plus) et voulait m'embrasser en permanence

Mais toujours puceau

Je ne croise aucune fille dans ma vie, mais je pense que j'en attirerai certaines.

Je connais ça.
Une fille m'a montré ses seins prépubères et son vagin en primaire.
Une autre "sortait" avec sa cousine et moi en ville, on chahutaient, on se faisait des câlins, etc.
Malheureusement, tout se joue vraiment à la puberté, c'est là que les compteurs sont remis à zéro, il m'aura fallu quasiment 22 ans pour me débarrasser de ma virginité.

aareil j'ai eu une amoureuse comme on disait à l'époque en maternelle j'avais meme piqué une bague à ma mère pour me marier avec ahi.
Ensuite deux autre meufs en primaire avec qui j'ai flirté et puis plus rien pas de chance.
Ahi si une meuf en terminal qui voulait sortir avec moi mais je l'aimais pas.

L'école primaire et le collège, c'est le feu. Je donnerais cher pour revivre de tels moments.
Dans ma promo de fac, j'ai juste eu droit à une folle qui baisait tous les mecs de la promo et qui cherchait à faire de moi le suivant. Tout était anormale chez elle, même sa voix, ayant déjà une mère folle, j'ai passé mon tour.
Qu'est-ce qui allait pas avec la fille de ta classe de terminale ?

Non le collège c'était horrible persoent moquerie harcèlement , bah je la connaissais pas , elle était pas mon style physiquement , elle se moquait de mecs que j'aimais bien.

Le 27 avril 2021 à 06:24:51 :
Le pire c'est qd t'attires des 7/10 mais que t'es trop timide pour tenter quelque chose

C'est mon cas

Quel con je suis

Crois moi tu préfères ta situation à la mienne au moins tu peux te dire que tu as des opportunités

Le 27 avril 2021 à 06:21:29 :

Le 27 avril 2021 à 06:14:38 :

Le 27 avril 2021 à 05:58:40 :

Le 27 avril 2021 à 05:44:28 :

Le 27 avril 2021 à 05:34:04 :

Le 27 avril 2021 à 05:19:33 :

Le 27 avril 2021 à 05:10:54 :

Le 27 avril 2021 à 05:03:05 :
C'est plutôt vrai, les étudiants socialisent relativement peu et la fac n'est pas aussi ouverte que ce qu'on voudrait faire croire. Toutefois, ce n'est pas toujours vrai, saches que de nombreuses promotions organisent par exemple des rencontres au bar en début d'année par exemple, c'est souvent vrai en L1-L2, et je pense que si tu es passé par là, je ne t'apprends rien. En L3 plus compliqué car ça se connait déjà un peu plus, et ça arrive de tomber sur des promos de merde, je suis navré si ça t'es arrivé.

Non, s'agit pas d'être le bouche trou. Le début d'année est assez important, les réseaux sociaux aussi de plus en plus. Mais si mettons t'as une soirée de classe en début d'année, tu te pointes et tu fais bonne impression, tu peux facilement te faire réinviter. J'ai connu des années où j'ai pris le train, et d'autres où je l'ai raté et là c'était plus compliqué. C'est une affaire d'opportunités, mais ça se saisit aussi. Ca peut dépendre aussi du cursus

Pas du tout, je suis content quand je tombe sur des gens bienveillants. Mais je pense que beaucoup de gens sont pas des connards, avec le recul depuis les études supérieures j'ai jamais eu de promotion malveillante. Concernant la "VA", être souriant, c'est déjà une VA ; dans les soirées, tu cherches à avoir des gens bon délire autour de toi, pas des mecs qui font la gueule

Dans ma fac de droit, il y avait qu'une seule soirée par an et on était 30 mecs célibataires à y aller. Les rares filles qui venaient tâter le terrain se barraient au bout de 30 minutes en voyant le massacre. Ça, c'est ma réalité, ta réalité a peut être été différente, dans ce cas-là, tu as été plus chanceux. Grand bien te fasse.
Mes promos n'ont jamais été véritablement malveillantes, elles sont surtout été éclatées en plusieurs sous-groupes et indifférentes à l'égard des personnes qui n'avaient pas intégré ces sous-groupes depuis le lycée ou lors de la première semaine de L1.
Il n'y a pas de soirées pour les gens comme Rayman et moi. Il n'y a pas les opportunités que tu as pu avoir. Ton contexte était plus favorable et tu en as tiré le meilleur parti. Ton sourire et ton éloquence n'ont joué qu'un rôle très mineur dans ta vie sociale.

Ok, alors déjà une chose n'aide pas à mon avis ; c'est que tu es en droit. J'ai été dans des cursus littéraires, et on peut dire autant de mal qu'on veut de ces cursus (parfois à raison), ce sont des cursus où les gens sont plus ouverts et où il est plus simple de socialiser. J'ai un pote en Histoire, des potes en Géographie et ça avait l'air d'aller pour eux aussi. Le droit c'est particulier, comme les écoles de commerce. Je pense que t'es tombé sur un milieu nettement moins favorable pour socialiser.

Ouais alors si ça arrive dès la L1 c'est que t'étais dans une petite ville ou tout le monde se connaissait. En L2 c'est rare aussi honnêtement j'ai l'impression, L3 c'est plus courant par contre, pour ça que c'est surtout les 2 premières années qui comptent je trouve.

Ok, mettons que tu trouves rien niveau fac. Tu as pas des associations par exemple ? Des clubs de sports / ce que tu veux ? Là tu peux quand même parler à des gens. Après se faire inviter c'est autre chose, mais tu peux essayer. Et je peux te dire que non, ça n'a pas joué un rôle si mineur que ça, précisément parce que j'ai pu avoir un outil de comparaison avec l'avant, c'est à dire quand je n'étais pas comme ça.

De ton propre aveu, ton milieu était plus favorable à une socialisation. Finalement, c'est juste une traduction des déterminismes dont Rayman et moi parlions. Tu as bel et bien été chanceux.

Tu me forces à raconter ma vie, je vais faire un résumé très court car j'ai tenté énormément de trucs en dehors de la fac mais en vain, je suis même arrivé à la drague de rue faute de mieux.
Clubs de tennis : j'étais bien classé pendant l'adolescence, je faisais des cours individuels et des tournois. Milieu très compétitif à un âge où certains espéraient encore tenter l'aventure chez les pros. Je socialisais facilement avec les vieux et j'essayais de dégonfler le boulard des types de mon âge même si c'était pas toujours facile.
Escalade : que des mecs mais milieu assez sympathique. Quasi que des trentenaires casés avec qui je pouvais aller boire un coup sauf que ça s'arrêtait là.
Ju-jitsu : comme l'escalade mais en pire, bonne ambiance, littéralement rempli de boomers retraités et de rombières qui pensent savoir se défendre contre une attaque au couteau dans la rue. Pas de regrets de l'avoir fait même si cela ne m'a pas aidé socialement.
Club de bachata : j'y ai trouvé mon unique copine. C'était une allemande en ERASMUS. Elle m'a échappé à la fin de son année scolaire.

Et drague de rue : quelques succès sauf que c'est mentalement épuisant. Le pire étant les filles qui donnent leur numéro pour ghoster le SMS.

Un peu facile quand même. Je peux t'invoquer d'autres déterminismes qui font que sur d'autres points, je pourrais tout aussi bien m'affirmer malchanceux. Et le droit n'est pas non plus un cursus super sain pour les relations, j'en ferais pas une norme

Mais moi j'ai rien contre les gens qui racontent leur vie lol
Ben du coup t'as pris des milieux assez masculins tout de même j'ai l'impression. Sauf Bachata et c'est là où t'as trouvé une meuf. Essaye les clubs artistiques peut-être ? C'est plus féminin

Pour la drague de rue, jamais essayé, j'aime pas mais bravo tout de même, ça demande du cran. Mais au final la drague de rue c'est une opportunité que tu crées à partir de rien, non ? Donc quelque part c'est étonnant que tu sois aussi déterministe, surtout que comme tu le dis, tu as eu des résultats

Ne t'inquiète pas. J'ai des parents divorcés qui sont respectivement schizophrène et paraplégique, j'ai fait le lycée par le CNED en étant placé en foyer, sur ces déterminismes-là aussi, j'ai eu le jackpot. Pas sûr qu'un sourire et une poignée de mains ferme auraient suffi pour compenser dans mon cas.

Je pouvais pas me permettre de prendre un cursus sans débouchés bien définis en dehors du CAPES. J'ai envisagé la prépa et l'école d'ingé à un certain moment, ça n'aurait pas changé grand chose à mes soucis actuels néanmoins.

J'ai choisi des milieux qui m'intéressaient surtout. Il a vraiment fallu que la solitude devienne pesante pour se rabaisser à faire autre chose. Mon truc c'est la musique classique, je suis allé à la bachata de manière purement intéressée.
Ça a marché uniquement parce que je l'ai fait avec la fac. Un club de salsa/bachata en associatif, ça doit être rempli de femmes ménopausées, j'y mettrais pas les pieds. C'est donc assez compliqué, il faut trouver des centres d'intérêt féminins et une structure où y a des jeunes, tout ça en ayant un emploi du temps chargé.

Oui, en drague de rue, tu rattrapes la fille, tu lui fais un compliment sur son style vestimentaire et tu essayes de créer une discussion à partir de rien. C'est très dur, ça m'arrive souvent de sortir pour aborder et de rentrer sans avoir rien abordé.
Malgré tout, j'ai fini par revoir en rdv deux filles que j'ai rencontrées, une étudiante chinoise et une autre. La touriste a gardé son masque presque tout du long, ça m'a pas donné envie de la revoir. L'autre était finalement plutôt moche et maladivement timide.

Hier, je me suis ghosté par SMS par une fille qui me plaisait, petite déception. Ça m'arrive régulièrement.

Ma soeur est dans un club de danse comme ça, bachata et tout. Et nan y'a des beaux mecs et belles femmes aussi

Ta soeur tourne dans le club ?
Ma crainte c'est surtout d'être coincé avec des trentenaires casés qui viennent pour se détendre dès que je sortirai de la danse organisée par la fac. Comme avec l'escalade et les arts martiaux finalement.

Nan elle est mariée. Donc je ne pense pas qu'elle ai des aventures. Mais il doit y en avoir