Adolf Hitler
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"Gaz"
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INFORMATIONS GÉNÉRALES
APPARAÎT DANS
Call of Duty 4: Modern Warfare
Call of Duty 4: Modern Warfare Remaster
IDENTITÉ
SURNOM(S)
Bravo 5
AFFILIATIONS
22nd SAS Regiment (Special Air Service),
NATIONALITÉ
Anglais
STATUT
Mort
SEXE
Homme
CHEVEUX
Bruns
YEUX
Verts
INTERPRÈTE
DOUBLEUR
Emmanuel Karsen
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Nom de code "Gaz" était un membre du Special Air Service britannique SAS et un vétéran des forces spéciales apparaissant dans Call of Duty 4: Modern Warfare.
Biographie
Personnage emblématique de l'opus Call of duty 4 : modern warfare.
Très bon soldat, efficace...
Détroit de Béring
Gaz apparait pour la première fois en compagnie de John Soap MacTavish, John Price, Wallcroft et Griffin, montant a bord d'un cargo et pour but d'aller récupérer un «paquet». Ils rencontrent une forte résistance sur et à l'intérieur du navire. Une fois qu'ils ont trouvé le paquet, qui était en fait un engin nucléaire, Price a informé à Big Bird qu'ils avaient besoin d'un transport, mais Big Bird a répondu qu'il ne pouvait pas s'y rendre dans l'immédiat. Après que Soap ait récupéré des documents a propos de l'engin nucléaire, ils ont commencé à quitter le navire, mais le bateau commencé a couler. Gaz, Price, Soap et les autres membre des SAS ont été informés par Big Bird qu'il arrivait. Ils sont récupérés et partent alors que la bateau coule.
Sauvetage de Nikolai (Modern Warfare )
Un peu plus tard, il retravaille avec Soap et price pour récupérer Nikolai, l'informateur infiltré chez les ultranationalistes qui leur a dit pour le cargo. Il, avec Price, Soap, et le Sgt. Kamarov (chef les loyalistes) et le SAS, agressé un village contrôlé par les ultranationalistes. Kamarov étant trop long pour révéler les informations sur l'emplacement de Nikolai, Gaz perd patience avec Kamarov et menace de le pousser d'une falaise, Kamarov révèle l'emplacement de Nikolai. Une maison au bout du village Gaz coupe l'alimentation de la maison afin que Soap et Price puissent entrer dans la maison inaperçue et Gaz les rejoint. A l'intérieur, ils ont tué ultranationalistes et viennent au secours de Nikolai. Gaz demande à Nikolai si il est apte a se battre et ils vont au point d'extraction. Ils montent ensuite dans un hélicoptère pour aller à la cachet0te d'Hambourg, en Allemagne.
Crash
Plus tard, leur hélicoptère a été abattu par un missile sol-air. Gaz ensuite annonce ensuite que les deux pilotes sont morts et ils ont commencé leur fuite. Traqué par les Ultra nationalistes et un hélicoptère, ils se frayèrent un chemin vers une grange, où ils ont tué de nombreux soldats et descendirent l'hélico utilisant un Stinger. Ils sont informés qu'un AC-130 est arrivé à leur secours. Comme de nombreux ennemis et des véhicules approchent, l'AC-130 détruisit tout. L'AC-130, de nom de code "Wildfire", a continué de fournir un appui-feu jusqu'à leur fuite.
Capture et Interrogatoire de Khaled Al-Assad
Après l'explosion nucléaire, Nikolai informa l'équipe que Al-Assad se cachait dans un village en Azerbaijan. Gaz, avec le capitaine Price, Soap, et l'équipe Bravo, ont traversés le village et fouillés chaque maison pour trouver Al-Assad. Après l'avoir trouvé Price mène l'interrogatoire d'Al-Assad dans une grange, mais après un appel téléphonique, l'a exécuté quand il a découvert que Imran Zakhaev lui a fourni l'arme nucléaire. Après l'avoir entendu parler Price reparla de la tentative d'assassinat sur Zakhaev 15 ans en arrière. Ensuite les ultranationalistes tentent une embuscade aux mines, mais ont été forcés de se retirer après les ultranationalistes ripostent avec des grenades fumigènes et des tirs de mortier. Gaz, le capitaine Price, et le reste de l'équipe Bravo se retirèrent dans la grange au sommet de la colline tandis Soap couvrait leur fuite en tirant sur les ennemis. Ils ont réussi à tenir, mais ont été informés que l'endroit le plus proche pour que l'hélicoptère de la Marine puisse atterrir était en bas de la colline à cause des ultranationalistes. Gaz fut très en colère d'entendre cela, mais Price lui demanda de se calmer et de rejoindre l'hélicoptère. Il a suivi Soap et ils rejoignent l'hélicoptère, où une escouade marine menée par le sergent-chef Griggs couvrait leur fuite. Bravo Team s'échappe de l'Azerbaïdjan et rejoint l'USMC dans une opération conjointe.
Les premiers succès du parti en milieu rural, en Saxe, dans le Mecklembourg, dans le Land de Bade valident son approche politique et renforcent la popularité de Hitler au sein du parti. Commencent alors à se développer les prémices du culte de la personnalité : le salut Heil Hitler devient obligatoire, même en l'absence du Führer ; les rassemblements de Nuremberg, en 1927, puis en 1929 prennent une nouvelle orientation, dorénavant axée sur l'enthousiasme généré par le discours de Hitler116. De même, la Ligue de jeunesse du parti, existante depuis 1922, devient en 1926 les Jeunesses hitlériennes, rapidement encadrées, à partir de 1928, par un thuriféraire, Baldur von Schirach117.
Les principes mis en avant pour réorganiser le parti sont tous axés sur la capacité des cadres à conquérir puis à conserver leur place, définissant ainsi une nébuleuse, le NSDAP, constamment en équilibre instable, avec des changements fréquents aux différents échelons locaux du parti, Hitler se bornant alors à arbitrer entre les différents chefs locaux qui se dégagent de ces luttes ; de plus, lors de ces affrontements, chaque cadre peut se réclamer de la volonté du Führer, demeurant volontairement floue112.
Après qu'Imran Zakhaev se cacha, Price trouva un plan pour retrouver Imran: capturer le fils de Zakhaev, Viktor. Faire équipe avec Kamarov et les loyalistes, ils tuèrent tous les gardes d'une station à proximité et prirent leurs uniformes. 2 heures plus tard, un convoi militaire et Viktor sont arrivés à la gare. Gaz, déguisé en ultranationaliste, a confirmé que c'était bien Viktor Zakhaev et l'embuscade commença. La plupart du convoi fut détruit, mais Viktor arriva comme meme a s'échapper. Price chargea Soap et Griggs de poursuivre Viktor alors qu'ils repoussaient le reste du convoi. Après qu'ils aient fait cela, Gaz et les autres ont couru après Viktor et retrouvèrent Soap et Griggs réprimées par les forces ennemies. Ils continuèrent a poursuivre Viktor jusque sur les toits d'un immeuble. Ils ont attirés Viktor en haut de l'immeuble, où Soap fut chargé de prendre l'arme de Viktor. Viktor, cependant, se suicida.
Crise nucléaire
Gaz a ensuite était charger avec le SAS et l'USMC dans une autre opération conjointe de reprendre un site nucléaire russe de Zakhaev. Après qu'ils aient sauvé Griggs, ils ont coupé le courant pour que les Snipers Américains puissent s'infiltrer. Mais Imran Zakhaev lança deux missiles balistiques intercontinentaux, le ciblage était la côte Est des Etats-Unis. Il se frayèrent un chemin dans la base, ils trouvèrent la salle de contrôle et Soap entra les codes d'annulation ce qui fit exploser les missiles.
Poursuivis par Zakhaev et Mort
Après avoir sauvé la Cote Est des Etats-Unis de la destruction nucléaire, Gaz et l'équipe réquisitionne trois des jeeps de la base pour se échapper. Ils sont poursuivis par les ultranationalistes à travers les routes proches des montagnes, leur ZA est un pont mais un Hind le détruit. En l'absence de moyens d'évacuation, l'équipe est forcé dans un dernier effort de se battre jusqu'à l'arrivée des renforts. Un camion citerne a explosé derrière l'équipe, l'assommant lui Price et Soap. Gaz a été poussé au milieu du pont par l'explosion, inconscient et blessé, Griggs est le seul a être encore conscient mais meurt d'une balle dans la tête en essayant de couvrir Soap. Imran Zakhaev alors approché les soldats invalides avec deux gardes du corps, Soap assiste impuissant à la mort de Gaz tué par Zakhaev d'une balle dans la tête. Gaz est vu une dernière fois par Soap inanimé par terre avant son évacuation. John "Soap" MacTavish a été profondément bouleversé par la mort de Gaz, disant qu'il n'oublierait jamais comment son ami est mort tué par Zakhaev. En fin de compte la mort de Gaz et les autres membres de Bravo Six ont alimenté sa haine au fil des années.
Comme le suggère Bertolt Brecht par le titre de sa pièce La Résistible Ascension d'Arturo Ui, âpre satire antinazie, la marche au pouvoir d'Adolf Hitler ne fut ni linéaire ni irrésistible. Toutefois, elle fut favorisée après 1929 par un contexte de crise exceptionnel, et par les faiblesses, les erreurs ou le discrédit de ses adversaires et concurrents politiques.
L'Allemagne n'avait derrière elle en 1918 qu'une faible tradition démocratique. Née d'une défaite et d'une révolution, la république de Weimar s'était mal enracinée, d'autant que serviteurs et nostalgiques du Kaiser restaient très nombreux dans l'armée, l'administration, l'économie et la population. Le Zentrum catholique, parti membre de la coalition fondatrice de la République, s'engage dans une dérive autoritaire à partir de la fin des années 1920, tandis que communistes, nationalistes du DNVP et nazis continuent de refuser le régime et de le combattre. Enfin, le culte traditionnel des grands chefs et l'attente diffuse d'un sauveur providentiel prédisposaient une bonne part de sa population à s'en remettre à Hitler. État-nation très récent et fragile, traversé de multiples clivages géographiques, religieux, politiques et sociaux, l'Allemagne entre en plus dans une nouvelle phase d'instabilité politique à partir de 1929. Après le décès de Gustav Stresemann, artisan avec Aristide Briand du rapprochement franco-allemand, la chute du chancelier Hermann Müller en 1930 est celle du dernier gouvernement parlementaire. Il est remplacé par le gouvernement conservateur et autoritaire de Heinrich Brüning, du Zentrum.
Contrairement à une idée reçue fréquente, Hitler n'a jamais été « élu » chancelier par les Allemands, du moins pas directement. Il a néanmoins été nommé chancelier par le président conformément à la constitution de Weimar, et choisi en qualité de chef du parti remportant les élections législatives de novembre 1932, même si Ian Kershaw rappelle que « la nomination de Hitler à la chancellerie aurait sans doute pu être évitée »127,f et ce jusqu'au dernier momentg. Les tractations avec le président qui se sont en fait révélées indispensables à sa nomination amènent certains à considérer qu'il a été « hissé au pouvoir » par une poignée d'industriels et d'hommes de droite94,128. Et en dépit de son énorme poids électoral, jamais une majorité absolue des électeurs ne s'est portée sur lui, puisque même en mars 1933, après deux mois de terreur et de propagande, son parti n'obtient que 43,9 % des suffrages. Toutefois, il a atteint son objectif poursuivi depuis fin 1923 : arriver au pouvoir légalement. Et il est hors de doute que le ralliement de la masse des Allemands au nouveau chancelier s'est fait très vite, et moins par la force que par adhésion à sa personne129.
Lors de la formation du premier gouvernement de Hitler, le DNVP d'Alfred Hugenberg espère être, avec le Zentrum de von Papen, en mesure de contrôler le nouveau chancelier — bien que le DNVP ne représente que 8 % des voix alors que les nazis en ont 33,1 %. De fait, le premier gouvernement de Hitler ne compte, outre le chancelier lui-même, que deux nazis : Göring, responsable en particulier de la Prusse, et Wilhelm Frick, au ministère de l’Intérieur.
Mais Hitler déborde rapidement ses partenaires et met immédiatement en route la mise au pas de l’Allemagne. Dès le 1er février, il obtient de Hindenburg la dissolution du Reichstag. Le 3 février, il s’assure le soutien de l’armée. Pendant la campagne électorale, Von Papen, Thyssen et Schacht obtiennent des milieux industriels et financiers, jusque-là plutôt réservés envers Hitler, qu’ils renflouent les caisses du NSDAP et financent sa campagne130. La SA et la SS, milices du parti nazi, se voient conférer des pouvoirs d’auxiliaires de police. De nombreux morts marquent les rencontres des partis d’opposition, notamment du Parti social-démocrate (SPD) et du parti communiste (KPD). Des opposants sont déjà brutalisés, arrêtés, torturés, voire assassinés.
Entouré d’un culte de la personnalité intense, qui le célèbre comme le sauveur messianique de l’Allemagne, Hitler exige un serment de fidélité à sa propre personne. Celui-ci est prêté notamment par les militaires, ce qui rendra très difficiles les futures conspirations au sein de l’armée, beaucoup d’officiers rechignant profondément, en conscience, à violer leur serment. Ce culte se met en place progressivement dès avant le putsch de la Brasserie137, lorsque Hitler, à la fois orateur et théoricien du national-socialisme, par opposition avec le cercle des premiers nazis, composé de reîtres (Röhm), de théoriciens (Rosenberg), d'organisateurs (Strasser) et de démagogues (Streicher)138, commence à disposer d'auditoires de plus en plus importants : son sens des formules, sa mémoire des détails impressionnent tant ses proches, que ses auditoires. Ainsi se met en place ce que Kershaw appelle une communauté charismatique centrée sur un homme, Hitler, dont la présence neutralise les rivalités entre disciples139. Ses fidèles se disputent la place d'intime auprès du grand homme : Göring, « paladin du Führer » ; Frank, « littéralement fasciné » ; Goebbels le voit comme « un génie » ; Schirach est « enchanté par ses premiers contacts »140…
L’ambition totalitaire du régime et la primauté du Führer sont symbolisées par la nouvelle devise du régime : Ein Volk, ein Reich, ein Führer - « un peuple, un empire, un chef », dans laquelle le titre de Hitler prend de façon idolâtre la place de Dieu dans l’ancienne devise du Deuxième Reich : Ein Volk, ein Reich, ein Gott (« Un peuple, un empire, un dieu »). Le Führerprinzip devient le nouveau principe de l’autorité non seulement au sommet de l’État, mais aussi, par délégation, à chaque échelon. La loi proclame par exemple officiellement le patron comme Führer de son entreprise, comme le mari est Führer de sa famille, ou le gauleiter Führer du parti dans sa région.
Données du topic
- Auteur
- Fkfrdhuge
- Date de création
- 20 avril 2021 à 04:42:05
- Date de suppression
- 20 avril 2021 à 05:23:59
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