ONFRAY = NIETZSCHE
Le 08 avril 2021 à 21:43:07 :
Le bonheur de mon existence, ce qui en fait peut-être le caractère unique, est conditionné par la fatalité qui lui est inhérente : je suis, pour m’exprimer sous une forme énigmatique, déjà mort en tant que prolongement de mon père ; ce que je tiens de ma mère vit encore et vieillit. Cette double origine, tirée en quelque sorte de l’échelon supérieur et de l’échelon inférieur de la vie, procèdent à la fois du décadent et de quelque chose qui est à son commencement, explique, mieux que n’importe quoi, cette neutralité, cette indépendance de tout parti pris par rapport au problème général de la vie, qui est un de nos signes distinctifs. j’ai pour les symptômes d’une évolution ascendante ou d’une évolution descendante un flair plus subtil que n’importe qui. Dans ce domaine, je suis par excellence un maître. Je les connais toutes deux, je les incarne toutes deux.
Mon père était ouvrier agricole, ma mère femme de ménage. Mon père labourait avec les chevaux, connaissait le mouvement des planètes et la vie des étoiles. Quand les américains nous ont refourgués leur culture il a labouré avec un tracteur et des produits chimiques.
NIETZSCHE savait où il allait.
Onfray en 30 ans il sait toujours pas.
Ce qui me regarde, moi, c’est le type psychologique du Sauveur. Celui-ci pourrait tenir dans les évangiles, malgré les évangiles, quoique mutilé et chargé de traits étrangers : comme celui de François d’Assise est conservé dans ses légendes, malgré ses légendes. Il ne s’agit pas de la vérité sur ce qu’il a fait, sur ce qu’il a dit, sur la façon dont il est mort : mais de savoir si l’on peut encore se représenter son type, s’il a été « conservé » ? Les tentatives qui ont été faites pour découvrir, même dans les Évangiles, l’histoire d’une « âme », me semblent, autant que je les connais, donner la preuve d’une détestable frivolité psychologique. M. Renan, ce pantin in psychologicis, a fourni pour l’explication du type de Jésus les deux idées les plus indues que l’on puisse donner : l’idée de génie et l’idée de héros.
https://www.youtube.com/watch?v=A-RLivkA5X4&t=4550
Il mange pas de loukoums ! Jesus... Normalement un Palestinien ça mange des loukoums, donc je vois pas pourquoi jesus existerait.
Ce qui me regarde, moi, c’est le type psychologique du Sauveur. Celui-ci pourrait tenir dans les évangiles, malgré les évangiles, quoique mutilé et chargé de traits étrangers : comme celui de François d’Assise est conservé dans ses légendes, malgré ses légendes. Il ne s’agit pas de la vérité sur ce qu’il a fait, sur ce qu’il a dit, sur la façon dont il est mort : mais de savoir si l’on peut encore se représenter son type, s’il a été « conservé » ? Les tentatives qui ont été faites pour découvrir, même dans les Évangiles, l’histoire d’une « âme », me semblent, autant que je les connais, donner la preuve d’une détestable frivolité psychologique. M. Renan, ce pantin in psychologicis, a fourni pour l’explication du type de Jésus les deux idées les plus indues que l’on puisse donner : l’idée de génie et l’idée de héros. Cependant, si une chose n’est pas évangélique, c’est bien l’idée de héros. Le contraire de toute lutte, de tout sentiment de se trouver au combat, s’est mué en instinct : L’incapacité de résistance, se transforme en morale (« ne résiste pas au mal », la plus profonde parole des évangiles, en quelque sorte la clef), la béatitude dans la paix, dans la douceur, dans l’incapacité d’être ennemi. Que signifie la « bonne nouvelle » ? La vie véritable, la vie éternelle est trouvée, — on ne la promet pas, elle est là, elle est en vous : C’est la vie dans l’amour, dans l’amour sans déduction, sans exclusion, sans distance. Chacun est enfant de Dieu — Jésus n’accapare absolument rien pour lui —, en tant qu’enfant de Dieu, chacun est égal à chacun…
https://www.youtube.com/watch?v=A-RLivkA5X4&t=4550
Il mange pas de loukoums ! Jesus... Si c'était un homme il mangerait des loukoums, il mangerait ce que mangeaient les palestiniens de l'époque... Donc Jesus c'est un ectoplasme !
Le 08 avril 2021 à 22:34:05 :
Ce qui me regarde, moi, c’est le type psychologique du Sauveur. Celui-ci pourrait tenir dans les évangiles, malgré les évangiles, quoique mutilé et chargé de traits étrangers : comme celui de François d’Assise est conservé dans ses légendes, malgré ses légendes. Il ne s’agit pas de la vérité sur ce qu’il a fait, sur ce qu’il a dit, sur la façon dont il est mort : mais de savoir si l’on peut encore se représenter son type, s’il a été « conservé » ? Les tentatives qui ont été faites pour découvrir, même dans les Évangiles, l’histoire d’une « âme », me semblent, autant que je les connais, donner la preuve d’une détestable frivolité psychologique. M. Renan, ce pantin in psychologicis, a fourni pour l’explication du type de Jésus les deux idées les plus indues que l’on puisse donner : l’idée de génie et l’idée de héros. Cependant, si une chose n’est pas évangélique, c’est bien l’idée de héros. Le contraire de toute lutte, de tout sentiment de se trouver au combat, s’est mué en instinct : L’incapacité de résistance, se transforme en morale (« ne résiste pas au mal », la plus profonde parole des évangiles, en quelque sorte la clef), la béatitude dans la paix, dans la douceur, dans l’incapacité d’être ennemi. Que signifie la « bonne nouvelle » ? La vie véritable, la vie éternelle est trouvée, — on ne la promet pas, elle est là, elle est en vous : C’est la vie dans l’amour, dans l’amour sans déduction, sans exclusion, sans distance. Chacun est enfant de Dieu — Jésus n’accapare absolument rien pour lui —, en tant qu’enfant de Dieu, chacun est égal à chacun…
https://www.youtube.com/watch?v=A-RLivkA5X4&t=4550
Il mange pas de loukoums ! Jesus... Si c'était un homme il mangerait des loukoums, il mangerait ce que mangeaient les palestiniens de l'époque... Donc Jesus c'est un ectoplasme !
Et alors les femmes elles doivent imiter Marie et Marie elle est à la fois Vierge et Mère
Olol ils sont trop cons les mecs
ça devait être compliqué hihihi
La Culture et l’État — qu’on ne s’y trompe pas — sont antagonistes : « État civilisé », ce n’est là qu’une idée moderne. L’un vit de l’autre, l’un prospère au détriment de l’autre. Toutes les grandes époques de culture sont des époques de décadence politique : ce qui a été grand au sens de la culture a été non-politique, et même anti-politique…
https://fr.wikipedia.org/wiki/Bibliographie_de_Michel_Onfray
On se dit COVID-19 ben c'est que y en a eu 18 avant
Ceux qui refusent la Fraternité sont des darwiniens de droite, même quand ils se disent, se croient, se pensent ou se prétendent de gauche. Ils souscrivent à cette idée que les plus adaptés doivent survivre dans un monde où la lutte pour la vie et la survie fait la loi. Ils estiment normal que les plus forts, les plus puissants, les plus riches, les plus affranchis, les plus dominants, les plus en vue, les plus connus ou reconnus doivent vivre leur vie, une vraie vie, la vie du prédateur. Une vie de terrasse, d’alcool, de tabac, de restaurant, de drague, de drogue, de danse, de voyages - pour ceux qui ont les moyens de vivre ce genre de vie là... Tant pis pour ceux qui se prendraient une balle perdue et vivent des vies modestes et exposées, des vies simples et banales, des vies déjà mutilées par le capitalisme: «salauds de pauvres!».
Mais cette lecture de Darwin, qui fit les beaux jours des théoriciens du libéralisme anglo-saxon, voir Spencer, tout autant que du national-socialisme, voire Rosenberg, n’est pas la seule. Je songe à celle qu’en fit Kropotkine, le prince anarchiste qui, dans un livre intitulé L’Entraide, montre que, dans la nature, des animaux choisissent d’aider leurs prochains en difficultés et, de ce fait, établissent une cohésion du groupe qui permet de mieux s’adapter, donc de vivre et de survivre.
La lutte pour la vie n’est donc pas qu’une affaire de prédateurs, ce peut être aussi une affaire de coopérateurs. Avec l’épidémie du COVID, certains estiment donc en effet que les vieux ont fait leur temps, les malades aussi, c’est ainsi que pense le lion qui attaque dans un troupeau l’animal le plus faible, le blessé, le malade, le vieux, l’enfant.
Doit-on rappeler sans vouloir polémiquer, juste pour inviter à penser, que c’étaient les principes du national-socialisme qui a commencé par exterminer les handicapés, puis qui a continué en se débarrassant de tous les non-productifs dans la cité triés sur le quai d’arrivée des camps, avant que d’autre, des hommes réduits à l’état de sous-hommes, ne soient à leur tour gazés et brûlés?
L’heure serait-elle venue d’un nouvel eugénisme vitaliste chez ceux qui prétendent vouloir vivre, fut-ce au prix de la mort des vieux et des malades, des malvenus avec leurs comorbidités, des contrefaits avec leur obésité, des fâcheux avec leurs pathologies pulmonaires, des inutiles avec leurs paralysies, des improductifs avec leurs insuffisances respiratoires, des superfétatoires avec leurs diabètes ? Boire, fumer, danser, se camer, manger, sortir, voyager, fut-ce au prix de la mort des faibles? C’est un projet de société, on vient de voir lequel; ça n’est pas le mien…
Je préfère pour ma part les leçons données par Kropotkine, je le répète. La sympathie pour les faibles, l’empathie pour les malvenus, la compassion pour les malades plutôt que leur assassinat. La grandeur n’est jamais aussi grande que quand le fort épargne le faible qui se trouve à sa merci. Je préfère les valeurs chevaleresques à la barbarie de certains modernes.
Le covid-19 rappelle une leçon de choses élémentaire : il n'est pas le retour de la mort refoulée, mais la preuve vitaliste que la vie n'est que par la mort qui la rend possible. Tout ce qui est naît, vit, croît et meurt uniquement pour se reproduire - y compris, et surtout, chez les humains. Ce virus veut la vie qui le veut, ce qui induit parfois la mort de ceux qu'il touche. Mais quel tempérament tragique peut et veut encore entendre cette leçon de philosophie vitaliste ?
Maintenant déjà la politique cesse d’être le métier du gentilhomme : et il serait possible qu’on la trouvât un jour tellement vulgaire qu’on la rangerait, comme toute littérature de partis et de journaux, sous la rubrique « prostitution de l’esprit ».
https://www.rtl.fr/actu/politique/pourquoi-pas-creer-un-parti-politique-dit-michel-onfray-sur-rtl-7800535754
Le philosophe Michel Onfray, qui devrait prochainement sortir sa nouvelle revue "Front Populaire", n'a pas écarté l'idée de créer un parti politique, "s'il y a un désir des gens autour de notre revue, pourquoi pas".
(je vous laisse deviner l'auteur pour celui-là)
DES MOUCHES DE LA PLACE PUBLIQUE
Fuis, mon ami, dans ta solitude ! Je te vois étourdi par le bruit des grands hommes et meurtri par les aiguillons des petits.
Avec dignité, la forêt et le rocher savent se taire en ta compagnie. Ressemble de nouveau à l’arbre que tu aimes, à l’arbre aux larges branches : il écoute silencieux, suspendu sur la mer.
Où cesse la solitude, commence la place publique ; et où commence la place publique, commence aussi le bruit des grands comédiens et le bourdonnement des mouches venimeuses.
Dans le monde les meilleures choses ne valent rien sans quelqu’un qui les représente : le peuple appelle ces représentants des grands hommes.
Le peuple comprend mal ce qui est grand, c’est-à-dire ce qui crée. Mais il a un sens pour tous les représentants, pour tous les comédiens des grandes choses.
Le monde tourne autour des inventeurs de valeurs nouvelles : — il tourne invisiblement. Mais autour des comédiens tourne le peuple et la gloire : ainsi « va le monde ».
Le comédien a de l’esprit, mais peu de conscience de l’esprit. Il croit toujours à ce qui lui fait obtenir ses meilleurs effets, — à ce qui pousse les gens à croire en lui-même !
Demain il aura une foi nouvelle et après-demain une foi plus nouvelle encore. Il a l’esprit prompt comme le peuple, et prompt au changement.
Renverser, — c’est ce qu’il appelle démontrer. Rendre fou, — c’est ce qu’il appelle convaincre. Et le sang est pour lui le meilleur de tous les arguments.
Il appelle mensonge et néant une vérité qui ne glisse que dans les fines oreilles. En vérité, il ne croit qu’en les dieux qui font beaucoup de bruit dans le monde !
La place publique est pleine de bouffons tapageurs — et le peuple se vante de ses grands hommes ! Ils sont pour lui les maîtres du moment.
Mais le moment les presse : c’est pourquoi ils te pressent aussi. Ils veulent de toi un oui ou un non. Malheur à toi, si tu voulais placer ta chaise entre un pour et un contre !
Ne sois pas jaloux des esprits impatients et absolus, ô amant, de la vérité. Jamais encore la vérité n’a été se pendre au bras des intransigeants.
À cause de ces agités retourne dans ta sécurité : ce n’est que sur la place publique qu’on est assailli par des « oui ? » ou des « non ? »
Ce qui se passe dans les fontaines profondes s’y passe avec lenteur : il faut qu’elles attendent longtemps pour savoir ce qui est tombé dans leur profondeur.
Tout ce qui est grand se passe loin de la place publique et de la gloire : loin de la place publique et de la gloire demeurèrent de tous temps les inventeurs de valeurs nouvelles.
Fuis, mon ami, fuis dans ta solitude : je te vois meurtri par des mouches venimeuses. Fuis là-haut où souffle un vent rude et fort !
Fuis dans ta solitude ! Tu as vécu trop près des petits et des pitoyables. Fuis devant leur vengeance invisible ! Ils ne veulent que se venger de toi.
N’élève plus le bras contre eux ! Ils sont innombrables et ce n’est pas ta destinée d’être un chasse-mouches.
Innombrables sont ces petits et ces pitoyables ; et maint édifice altier fut détruit par des gouttes de pluie et des mauvaises herbes.
Tu n’es pas une pierre, mais déjà des gouttes nombreuses t’ont crevassé. Des gouttes nombreuses te fêleront et te briseront encore.
Je te vois fatigué par les mouches venimeuses, je te vois déchiré et sanglant en maint endroit ; et la fierté dédaigne même de se mettre en colère.
Elles voudraient ton sang en toute innocence, leurs âmes anémiques réclament du sang — et elles piquent en toute innocence.
Mais toi qui es profond, tu souffres trop profondément, même des petites blessures ; et avant que tu ne sois guéri, leur ver venimeux aura passé sur ta main.
Tu me sembles trop fier pour tuer ces gourmands. Mais prends garde que tu ne sois destiné à porter toute leur venimeuse injustice !
Ils bourdonnent autour de toi, même avec leurs louanges : importunités, voilà leurs louanges. Ils veulent être près de ta peau et de ton sang.
Ils te flattent comme on flatte un dieu ou un diable ; ils pleurnichent devant toi, comme un dieu ou un diable. Qu’importe ! Ce sont des flatteurs et des pleurards, rien de plus.
Aussi font-ils souvent les aimables avec toi. Mais c’est ainsi qu’en agit toujours la ruse des lâches. Oui, les lâches sont rusés !
Ils pensent beaucoup à toi avec leur âme étroite — tu leur es toujours suspect ! Tout ce qui fait beaucoup réfléchir devient suspect.
Ils te punissent pour toutes tes vertus. Ils ne te pardonnent du fond du cœur que tes fautes.
Puisque tu es bienveillant et juste, tu dis : « Ils sont innocents de leur petite existence. » Mais leur âme étroite pense : « Toute grande existence est coupable. »
Même quand tu es bienveillant à leur égard, ils se sentent méprisés par toi ; et ils te rendent ton bienfait par des méfaits cachés.
Ta fierté sans paroles leur est toujours contraire ; ils jubilent quand il t’arrive d’être assez modeste pour être vaniteux.
Tout ce que nous percevons chez un homme, nous ne faisons que l’enflammer. Garde-toi donc des petits !
Devant toi ils se sentent petits et leur bassesse s’échauffe contre toi en une vengeance invisible.
Ne t’es-tu pas aperçu qu’ils se taisaient, dès que tu t’approchais d’eux, et que leur force les abandonnait, ainsi que la fumée abandonne un feu qui s’éteint ?
Oui, mon ami, tu es la mauvaise conscience de tes prochains : car ils ne sont pas dignes de toi. C’est pourquoi ils te haïssent et voudraient te sucer le sang.
Tes prochains seront toujours des mouches venimeuses ; ce qui est grand en toi — ceci même doit les rendre plus venimeux et toujours plus semblables à des mouches.
Fuis, mon ami, fuis dans ta solitude, là-haut où souffle un vent rude et fort. Ce n’est pas ta destinée d’être un chasse-mouches. —
Ils inscrivent des signes de sang sur le chemin qu’ils ont parcouru, et leur folie enseignait qu’avec le sang on témoigne de la vérité.
Mais le sang est le plus mauvais témoin de la vérité ; le sang empoisonne la doctrine la plus pure, et la transforme en folie et en haine des cœurs.
Et quand quelqu’un traverse le feu pour sa doctrine, — qu’est-ce que cela prouve ? C’est bien autre chose, en vérité, quand du propre incendie surgit la propre doctrine.
Contraindre un philosophe à rentrer dans une case de l'histoire des idées contribue à le dévitaliser, voire à désamorcer son originalité. La réputation se réduit toujours à la somme des malentendus accumulés sur son compte.
Michel Onfray- Contre-histoire de la philosophie I. Les sagesses antiques
Dans Eichmann à Jérusalem, Hannah Arendt rapporte que le criminel de guerre a affirmé lors de son procès qu'il était un lecteur attentif de Kant. Elle prétend qu'Eichmann n'a rien compris à Kant. Or, contrairement à ce que l'auteur des Origines du totalitarisme écrit, le national-socialiste avait lu, et bien lu la Critique de la raison pratique et les autres oeuvres éthiques du philosophe de Königsberg.
Eichmann connaissait Kant et ses thèses majeures : sa pensée de la loi et de l'obéissance, sa philosophie de l'Etat et du droit, de la légalité et de la moralité, de l'impératif catégorique et du serment, l'impossibilité dans le corpus kantien de toute possibilité de désobéir. Or, tout cet arsenal philosophique constitue une pensée paradoxalement compatible avec la mécanique du IIIe Reich...
Michel Onfray en propose ici une double démonstration : par un texte théorique intitulé «Un kantien chez les nazis» et par une pièce de théâtre qui met en scène Eichmann, Kant... et Nietzsche. Dans Le Songe d'Eichmann, le philosophe allemand vient rendre visite en songe au criminel de guerre deux heures avant sa pendaison. Un dialogue s'ensuit entre les deux hommes - avec Nietzsche en tiers... Le philosophe, compagnon de route du national-socialisme, ne se révèle pas celui que l'on aurait pu croire...
Données du topic
- Auteur
- lesucetowonk8
- Date de création
- 8 avril 2021 à 21:35:10
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