Topic de IOnchePonche :

Les AVOCATS gagnent un SMIC

Le 19 février 2021 à 10:37:57 Semmelweis a écrit :
Mon frère a réussi le CRFPA alors que moi je l'ai raté. Il bosse comme junior dans un big four pendant que mois je suis un juriste loser à 1K4 net/mois, joueur de WoW, dépressif, fume des clopes et boit de l'alcool. Bien ma vie ? Je déteste le monde du droit, mes rêves sont brisés.

Sérieux fallait pas rêver et bosser au lieu de jouer à WOW, n'abandonne pas ton CRFPA ce serait dommage t'as
3 essais fait du chiffres ,arrête de bosser pendant une période réussit arrête de pleurer et deviens l'homme que tu veux être et oui le droit c'est pas être le roi du pétrole sinon :paz:

Le 19 février 2021 à 10:19:03 FeetMan a écrit :
Je m'en fous je fais du dropshipping et je gagne 10k par mois sans bac sans études :)

Les fameux dropshippers du forum. :rire:

Le 19 février 2021 à 10:30:04 Rayark a écrit :
C'est pour ça que je me suis pas tourné vers le métier d'avocat et plutôt vers la compliance en entreprise.

C'est galère de trouver un CDI surtout en ce moment, en revanche le travail est cool et y'a quand même beaucoup plus d'opportunités que dans d'autres branches du droit

C'est très bien la compliance je confirme, il en manque :ok:

Le 19 février 2021 à 10:44:17 BandiniArt0 a écrit :

Le 19 février 2021 à 10:19:03 FeetMan a écrit :
Je m'en fous je fais du dropshipping et je gagne 10k par mois sans bac sans études :)

Les fameux dropshippers du forum. :rire:

"Sans aucune formation je gagne le salaire d'1% des français" https://image.noelshack.com/fichiers/2021/07/4/1613639007-risichauve.png

Ce genre de mytho :rire:

Le 19 février 2021 à 10:44:34 IOnchePonche a écrit :

Le 19 février 2021 à 10:30:04 Rayark a écrit :
C'est pour ça que je me suis pas tourné vers le métier d'avocat et plutôt vers la compliance en entreprise.

C'est galère de trouver un CDI surtout en ce moment, en revanche le travail est cool et y'a quand même beaucoup plus d'opportunités que dans d'autres branches du droit

C'est très bien la compliance je confirme, il en manque :ok:

Vous entendez quoi par compliance ?
J'ai vu un master dans ce domaine dans ma fac, mais je suis pas sûr qu'il vaille pas mieux faire un master de droit "dur" plutôt que de droit de la compliance.

Le 19 février 2021 à 11:12:24 Mahommet a écrit :

Le 19 février 2021 à 10:44:34 IOnchePonche a écrit :

Le 19 février 2021 à 10:30:04 Rayark a écrit :
C'est pour ça que je me suis pas tourné vers le métier d'avocat et plutôt vers la compliance en entreprise.

C'est galère de trouver un CDI surtout en ce moment, en revanche le travail est cool et y'a quand même beaucoup plus d'opportunités que dans d'autres branches du droit

C'est très bien la compliance je confirme, il en manque :ok:

Vous entendez quoi par compliance ?
J'ai vu un master dans ce domaine dans ma fac, mais je suis pas sûr qu'il vaille pas mieux faire un master de droit "dur" plutôt que de droit de la compliance.

Vaut mieux faire un DJCE oui et en gros la compliance c'est un peu du conseil pour les entrepreneurs
Mais vient sur le topic des étudiants en droit :ok:

D'après vous que peut espérer un avocat droit des affaires débutant en province ?

Le 19 février 2021 à 10:29:31 IOnchePonche a écrit :
Non c'est vraiment passionnant le droit , ce n'est pas simplement ça, sinon merci beaucoup (et utilise le terme juriste on est pas de droite, petite blague :rire:)

oui je sais qu'il y a des études de cas, de l'histoire du droit, mais j'ai jamais réussi a accrocher à ça, au final le but c'est toujours de savoir "qui a raison au regard de la loi", je trouve personnellement ça très artificiel enfin bref je comprend que ça puisse passionner mais c'est pas mon cas.
tout comme je comprend que les sciences puissent sembler austères et inutiles
juriste c'est quand tu as déja un taff non ? je pensais plus aux étudiants en droit, mais ouais faut éviter "droiteux. Quoique la seule soirée que j'ai faite infiltré dans une promo de droit c'était full sarkozistes (a l'époque) limite fanatiques :rire:

Quelle idée de faire du droit aussi :rire:
Gérer des problèmes futiles entre k-sos quelle job pourri :malade:
Et si la population s'appauvrit vous allez avoir encore moins d'argent, les pbs seront reglés à l'amiable

Le 19 février 2021 à 12:39:15 Zabrita a écrit :
Quelle idée de faire du droit aussi :rire:
Gérer des problèmes futiles entre k-sos quelle job pourri :malade:
Et si la population s'appauvrit vous allez avoir encore moins d'argent, les pbs seront reglés à l'amiable

Croire que le métier se limite aux problèmes de voisinage :rire:

L'OP à raison, fils d'avocat ici :)

La plupart des avocats gagnent rien, vivent aux smic et se battent pour avoir les permanences juridiques.

Si tu veux gagner plus, UN seul choix le salariat dans un cabinet qui a déjà sa clientèle historique, ça signifie gagner 2K5 par mois pour 80h00, mais aussi devoir se taper les enfants des associés qui eux seront associés à leurs tours et gagneront 15/20k par mois.

Enfant d'associé qui sont généralement mauvais et délègue tout aux collaborateur, n'ont jamais fait le concours du barreau, ni même une année droit et ont le statut d'avocat par une thèse obscur :)

bien sur, si tu travail bien tu auras peut être l'occasion de racheter des parts et de devenir associé à ton tour en exploitant des juristes et des avocats issu du prolétairiat :)

C'est encore pire chez les notaires :rire:

Jeune avocat ici :

Beaucoup de fantasmes sur la profession sur ce forum.

Je suis collab' libéral dans un cab d'affaires parisien et connaît bien quelques barreau de province.

Sur Paris, le tarif UJA est environ à 4000 € HT (qui est différents du minimum barreau, fixé actuellement à 3150 € HT), ce qui fait plus de 2500 € nets après déduction des charges.

En contrepartie de cette rétro, je travaille aux alentours de 45 heures/semaine, avec une obligation officieuse de X heures facturables/jour (que je dois rentrer tous les jours sur un logiciel, qui permet donc de suivre tout le temps que j'ai passé sur un dossier et de le facturer ensuite au client et d'évaluer ma rentabilité).

Ce système de feuille de temps est présent dans bon nombre de cabinet et peut être stressant pour certains, qui auront l'impression d'être surveillé quotidiennement dans leur travail. C'est une réalité à prendre en compte.

Beaucoup de collab' de cabs d'affaires parisiens ont renoncé à leur désir de se faire une clientèle perso, aux vues de la charge de travail imposée et des nombreuses urgences à gérer.
(Il arrive souvent qu'il nous soit demandé de faire X mémo juridique pour dans 2 heures, etc.)

Ce qu'il faut garder à l'esprit, c'est qu'à la différence d'une entreprise, vous n'êtes pas une fonction support. Vous êtes une force productive du cabinet.

Ainsi, plus vous êtes payé par votre cabinet, plus il faudra être rentable, ce qui signifiequ'il faudra aligner les heures facturables et être efficace, y compris lors de votre première année de collab'.

Il s'agit de la dure loi du marché : la rentabilité/ la concurrence dérégulée. Certains commerciaux subissent également ça en entreprise (quoi qu'ils bénéficient de la protection du droit du travail, à la différence des libéraux), les délais de procédures en moins... En usine, c'est parfois pareil, les douleurs physiques en plus.

En revanche, en province, beaucoup de collabs touchent 1200 à 1500 € nets, avec quasiment les même obligations que sur Paris (un confère m'a même rapporté avoir des obligations de facturation plus importante que les miennes pour une retro de 1500 nets. D'autres m'ont rapporté partir fréquent du cabinet aux alentours de 20h30/21h avec la même rétro de 1500 nets).

Pour être très franc, je ne comprends pourquoi ces derniers continuent à travailler dans ces conditions. Ils sont dans un rapport de dépendance économique extrême, sans aucune véritable protection sociale, ce qui limite leur perspective d'émancipation et à terme d'indépendance (principe pourtant essentiel de la profession).

Si leur objectif est de maximiser leur confort personnel et de tirer de leur travail une certaine sécurité, comme pour beaucoup de gens, finalement, ils agissent de façon totalement irrationnelle : ils ne sont pas en mesure de générer leur propre revenu, ils n'ont pas d'équilibre vie privée/vie perso (ex : finir à 20h30 signifie rentrer chez soit à 21h, voir 21h30, faire caca, puis faire la cuisine pour bouffer à 22h... Disposer de 2 heures seulement pour se reposer et se doucher, à supposer qu'on souhaite avoir 8 heures de sommeil. Arriver au cabinet à 9h, lorsqu'il ne faut pas se lever à 6h du mat pour les audiences à perpèt...)...

Ils restent, toutefois, encore quelques cabinets qui jouent le jeu, ils ne paient pas beaucoup, mais vous forme avec bienveillance en contrepartie, tout en vous laissant la possibilité de traiter vos dossier sur votre temps de collab'.

Si vous voulez mon avis, cela peut paraître contre-intuitif, mais il ne faut pas souhaiter avoir une retro importante, si vous voulez être réellement indépendant.

Intégrer un cabinet avec une telle mentalité est, conceptuellement, en parfaite contradiction avec le principe d'indépendance : vous ne pouvez pas exiger d'un cabinet qu'il vous entretienne financièrement si vous souhaitez être indépendant. Vous devez, au contraire exiger qu'il vous apprenne à être indépendant et vous en donne les moyens en temps.

Conceptuellement, l'indépendance, dans notre société se résume à trois choses :

- l’accession à la propriété (achetez-vous votre propre maison, vos propres locaux...),
- Générez vous-même votre propre revenu en développant vos compétences et votre propre clientèle,
- Thésaurisez pour des raison des sécurité et de stabilité.

Si vous n'êtes pas prêt à faire ça part vous-même, vous devriez, à mon sens rejoindre, une entreprise où une institution publique : elle vous formera, vous travaillerez pour sa clientèle et vous serez protégé en cas de rupture de votre contrat de travail. A terme, vous pourrez acheter votre propre maison ou appart...

Pour être indépendant en tant qu'avocat, il faut être rémunéré juste ce qu'il faut par votre cabinet pour pouvoir assurer vos besoin domestiques et avoir quelques loisirs.

En province, donc, 1500 nets est suffisant en fonction des villes.

Dans ces conditions, vous êtes en mesure, si vous travaillez correctement, d'imposer vos limites et d'exiger d'avoir du temps pour développer votre clientèle. Il vous faut donc négocier vos conditions de travail au bout de quelques temps, si votre cabinet ne vous met pas en mesure de développer votre clientèle.

Sur Paris, la vie est si chère que vous êtes quasi condamnés à finir à 19 heures pour rentabiliser une rétro qui vous permettra d'y vivre confortablement, sauf si vous êtes très très efficaces, et encore... Il vous faudra donc négocier votre rétro et chercher à grandir dans votre cabinet. Votre situation se rapprochera plus de celle d'un salarié, que de celle d'un libéral.

Si le métier d'avocat vous plaît vraiment et que vous n'arrivez pas à négocier de bonnes conditions de travail, vous vous adapterez aux contraintes. On s'habitue quasiment à tout, bien cela ne signifie pas que c'est intelligent ou acceptable.
On ne se rend compte que notre situation n'est pas acceptable qu'en se détachant de notre environnement.

En résumé, si vous voulez un conseil, déterminez clairement ce que vous souhaitez sur le long terme en vous questionnant constamment et sans ménagement, oser chercher et poser des questions sur la réalité de telle et telle profession, soyez critique envers ce qu'on vous dira.

Vous pouvez souhaiter travailler 100h/semaine, par goût de l'effort et du dépassement. Vous pouvez, au contraire, souhaiter rechercher un équilibre entre votre vie professionnelle et personnelle. Vous pouvez, également, souhaitez rechercher la liberté. Tous ces objectifs sont louables...

Vous pouvez aussi avoir un pied en administration, un pied dans l'avocature. Gardez à l'esprit que la profession est compatible avec certaines professions. De la sorte vous bénéficier aussi de plus de liberté.

Les métiers comme avocat ou architecte qu'on te vend comme du rêve quand tu es gamin :rire:

la réalité c'est qu'à part l'élite de ces métiers ils gagnent pas grand chose

go IT si vous voulez des bons salaires

Le 20 février 2022 à 13:18:15 :
Jeune avocat ici :

Beaucoup de fantasmes sur la profession sur ce forum.

Je suis collab' libéral dans un cab d'affaires parisien et connaît bien quelques barreau de province.

Sur Paris, le tarif UJA est environ à 4000 € HT (qui est différents du minimum barreau, fixé actuellement à 3150 € HT), ce qui fait plus de 2500 € nets après déduction des charges.

En contrepartie de cette rétro, je travaille aux alentours de 45 heures/semaine, avec une obligation officieuse de X heures facturables/jour (que je dois rentrer tous les jours sur un logiciel, qui permet donc de suivre tout le temps que j'ai passé sur un dossier et de le facturer ensuite au client et d'évaluer ma rentabilité).

Ce système de feuille de temps est présent dans bon nombre de cabinet et peut être stressant pour certains, qui auront l'impression d'être surveillé quotidiennement dans leur travail. C'est une réalité à prendre en compte.

Beaucoup de collab' de cabs d'affaires parisiens ont renoncé à leur désir de se faire une clientèle perso, aux vues de la charge de travail imposée et des nombreuses urgences à gérer.
(Il arrive souvent qu'il nous soit demandé de faire X mémo juridique pour dans 2 heures, etc.)

Ce qu'il faut garder à l'esprit, c'est qu'à la différence d'une entreprise, vous n'êtes pas une fonction support. Vous êtes une force productive du cabinet.

Ainsi, plus vous êtes payé par votre cabinet, plus il faudra être rentable, ce qui signifiequ'il faudra aligner les heures facturables et être efficace, y compris lors de votre première année de collab'.

Il s'agit de la dure loi du marché : la rentabilité/ la concurrence dérégulée. Certains commerciaux subissent également ça en entreprise (quoi qu'ils bénéficient de la protection du droit du travail, à la différence des libéraux), les délais de procédures en moins... En usine, c'est parfois pareil, les douleurs physiques en plus.

En revanche, en province, beaucoup de collabs touchent 1200 à 1500 € nets, avec quasiment les même obligations que sur Paris (un confère m'a même rapporté avoir des obligations de facturation plus importante que les miennes pour une retro de 1500 nets. D'autres m'ont rapporté partir fréquent du cabinet aux alentours de 20h30/21h avec la même rétro de 1500 nets).

Pour être très franc, je ne comprends pourquoi ces derniers continuent à travailler dans ces conditions. Ils sont dans un rapport de dépendance économique extrême, sans aucune véritable protection sociale, ce qui limite leur perspective d'émancipation et à terme d'indépendance (principe pourtant essentiel de la profession).

Si leur objectif est de maximiser leur confort personnel et de tirer de leur travail une certaine sécurité, comme pour beaucoup de gens, finalement, ils agissent de façon totalement irrationnelle : ils ne sont pas en mesure de générer leur propre revenu, ils n'ont pas d'équilibre vie privée/vie perso (ex : finir à 20h30 signifie rentrer chez soit à 21h, voir 21h30, faire caca, puis faire la cuisine pour bouffer à 22h... Disposer de 2 heures seulement pour se reposer et se doucher, à supposer qu'on souhaite avoir 8 heures de sommeil. Arriver au cabinet à 9h, lorsqu'il ne faut pas se lever à 6h du mat pour les audiences à perpèt...)...

Ils restent, toutefois, encore quelques cabinets qui jouent le jeu, ils ne paient pas beaucoup, mais vous forme avec bienveillance en contrepartie, tout en vous laissant la possibilité de traiter vos dossier sur votre temps de collab'.

Si vous voulez mon avis, cela peut paraître contre-intuitif, mais il ne faut pas souhaiter avoir une retro importante, si vous voulez être réellement indépendant.

Intégrer un cabinet avec une telle mentalité est, conceptuellement, en parfaite contradiction avec le principe d'indépendance : vous ne pouvez pas exiger d'un cabinet qu'il vous entretienne financièrement si vous souhaitez être indépendant. Vous devez, au contraire exiger qu'il vous apprenne à être indépendant et vous en donne les moyens en temps.

Conceptuellement, l'indépendance, dans notre société se résume à trois choses :

- l’accession à la propriété (achetez-vous votre propre maison, vos propres locaux...),
- Générez vous-même votre propre revenu en développant vos compétences et votre propre clientèle,
- Thésaurisez pour des raison des sécurité et de stabilité.

Si vous n'êtes pas prêt à faire ça part vous-même, vous devriez, à mon sens rejoindre, une entreprise où une institution publique : elle vous formera, vous travaillerez pour sa clientèle et vous serez protégé en cas de rupture de votre contrat de travail. A terme, vous pourrez acheter votre propre maison ou appart...

Pour être indépendant en tant qu'avocat, il faut être rémunéré juste ce qu'il faut par votre cabinet pour pouvoir assurer vos besoin domestiques et avoir quelques loisirs.

En province, donc, 1500 nets est suffisant en fonction des villes.

Dans ces conditions, vous êtes en mesure, si vous travaillez correctement, d'imposer vos limites et d'exiger d'avoir du temps pour développer votre clientèle. Il vous faut donc négocier vos conditions de travail au bout de quelques temps, si votre cabinet ne vous met pas en mesure de développer votre clientèle.

Sur Paris, la vie est si chère que vous êtes quasi condamnés à finir à 19 heures pour rentabiliser une rétro qui vous permettra d'y vivre confortablement, sauf si vous êtes très très efficaces, et encore... Il vous faudra donc négocier votre rétro et chercher à grandir dans votre cabinet. Votre situation se rapprochera plus de celle d'un salarié, que de celle d'un libéral.

Si le métier d'avocat vous plaît vraiment et que vous n'arrivez pas à négocier de bonnes conditions de travail, vous vous adapterez aux contraintes. On s'habitue quasiment à tout, bien cela ne signifie pas que c'est intelligent ou acceptable.
On ne se rend compte que notre situation n'est pas acceptable qu'en se détachant de notre environnement.

En résumé, si vous voulez un conseil, déterminez clairement ce que vous souhaitez sur le long terme en vous questionnant constamment et sans ménagement, oser chercher et poser des questions sur la réalité de telle et telle profession, soyez critique envers ce qu'on vous dira.

Vous pouvez souhaiter travailler 100h/semaine, par goût de l'effort et du dépassement. Vous pouvez, au contraire, souhaiter rechercher un équilibre entre votre vie professionnelle et personnelle. Vous pouvez, également, souhaitez rechercher la liberté. Tous ces objectifs sont louables...

Vous pouvez aussi avoir un pied en administration, un pied dans l'avocature. Gardez à l'esprit que la profession est compatible avec certaines professions. De la sorte vous bénéficier aussi de plus de liberté.

Commentaire d'Utilité publique :oui:

Blablablapookie a tout résumé... on sent qu'il est du métier :ok:

en même temps si des générations d'avocat acceptent de faire 60h / semaines à bac +8 payées 1500€ que peut-on faire ??! qui accepterai ca ?

Données du topic

Auteur
IOnchePonche
Date de création
19 février 2021 à 09:29:36
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