Topic de Bloubloum :

[Pavé] Relation avec un homme plus vieux, toujours la même vieille histoire

Supprimé

Nous nous sommes rencontrés bêtement
J'achetais un bien sur une plateforme bien connue https://image.noelshack.com/fichiers/2018/40/1/1538350573-risibol-2.jpg , nous avons échangé nos numéros pour convenir d'un rdv etc, rien de spécial.
Je ne m'attendais à rien, mais à tellement rien les kheys

Je suis arrivée chez lui, avec ma vieille voiture, je me suis garée. J'ai regardé en direction de la porte d'entrée, il n'y avait encore personne. Le temps que je prenne mon sac, el famoso masque, que je sorte de la voiture.. j'ai levé les yeux et il était là

Il se tenait là et j'ai senti qu'il venait de se passer quelque chose. Quand mes yeux ont croisé les siens, il s'est passé quelque chose
C'était comme si le monde entier avait été englouti, tout autour, partout, comme si rien avant n'avait jamais existé, comme si rien n'existerait plus après
J'ai senti, dans sa façon de me regarder, qu'il était en train de connaître ça, lui aussi, ou quelque chose de similaire, quelque chose

Jamais je n'avais vécu ça, les kheys, la disparition complète du monde
Bref j'ai fait comme si rien ne se passait, comme si rien n'était en jeu, comme si je n'avais pas compris, comme si je n'avais pas senti
Bordel les kheys, c'était si étrange, ça n'avait aucun sens et pourtant j'étais là, à marcher toujours plus avant, en le regardant me regarder avec des yeux qui voulaient déjà me dire tellement, enfilant mon masque, le regardant enfiler le sien

Nous avons échangé des banalités, j'avais l'impression de le connaître depuis 1000 ans. Je sais que c'est niais les kheys mais je ne saurais le dire autrement, c'était insensé, c'était tellement intense. Tout dans sa façon de bouger m'impressionnait mais j'essayais de ne rien laisser paraître, son corps appelait le mien je le sentais, et ses yeux toujours comme les yeux de la mémoire du Monde

J'ai fini par tester le produit pour lequel je m'étais déplacée. Nous nous sommes accordés sur une date pour qu'il vienne me livrer. Je savais déjà alors, à ce moment précis de l'histoire, que j'allais l'attendre
Que j'allais attendre ce jour, et sûrement beaucoup d'autres encore

Nous nous sommes quittés, j'ai rejoint ma voiture, celle qui allait m'éloigner de cette silhouette déjà, dans le rétro, de cette silhouette que je voudrais pouvoir regarder jusqu'à la fin de mes jours
De cet homme que je voudrais pouvoir regarder vivre jusqu'à la fin de ma vie

J'ai essayé alors de me remettre de cette rencontre, de rationaliser sur le chemin du retour, tout ça ce sont des bêtises pour endormir les enfants, le fameux coup de foudre
Le fameux
C'est biologique, c'est chimique, ce sont les hormones, les phéromones, le coup de foudre aya, sérieusement, un truc plus ridicule, ça existe ? https://image.noelshack.com/fichiers/2017/05/1485951438-risitassueur1.png

Plus tard, quelques minutes après avoir quitté sa présence, j'ai reçu un message
Je n'avais pas prévu de lui écrire. Je voulais laisser cette histoire et l'oublier, tant ça n'avait aucun sens
C'était lui
C'était si banal, ça me semblait si trivial par rapport à la folie que je venais de connaître
Mais c'était lui, il avait tenu son téléphone, il avait écrit, il avait pensé à moi encore, peut-être avait-il désiré que ça ne s'arrête pas, tout ça
Je lui ai répondu
Il m'a répondu
Tard dans la nuit, quand tous dormaient du sommeil du juste à part les kheys de nuit évidemment, j'écrivais à cet homme inconnu
Nous avons continué comme ça, jusqu'à ce qu'il vienne, jusqu'à ce qu'enfin il arrive, ce jour prévu
Des joutes, je ne cherchais pas à le connaître, je ne lui posais aucune question, nous joutions lui et moi tard dans la nuit, qui sera le gagnant, qui sera le perdant, qui
Je ne cherchais pas à le connaître par message, je voulais qu'il me parle de lui de vive voix, le voir réagir à mes questions, l'entendre, observer sa bouche me raconter toutes ces choses qui avaient fait de lui ce qu'il était maintenant

Ce jour-là, il est arrivé
Je l'attendais dans la rue
C'était à son tour de descendre de son véhicule, à mon tour de le regarder venir à moi
Je me souviens très bien de ce moment, quand de nouveau, plus rien n'existait autour. Je me souviens, c'était comme du brouillard tout autour, il était là si net au milieu de ce brouillard

Il est entré chez moi, il a bu un café, puis deux
Nous avons parlé, de cet appartement, de tant de banalités, de son métier. J'avais tellement de difficulté à le regarder dans les yeux, j'étais en sueur les kheys, je ne réalisais pas, je n'étais pas dans mon corps, j'étais comme un observateur extérieur, je regardais la scène se dérouler devant mes yeux, il était là sur le canapé et moi j'étais si loin, je restais si loin de lui, j'avais tellement peur de sombrer
J'avais déjà pressenti la chute, je pressentais déjà cette chute

N'ayant pas de monnaie, il a dit "je vais retirer et je vous ramène ça"
J'ai répondu demain, la semaine prochaine, le mois prochain, quand vous passerez par ici, vous n'aurez qu'à me les déposer, oui j'ai dit n'importe quand, revenez et vous me les rendrez

Quelques jours se sont écoulés, des jours remplis de lui, alors même que je ne connaissais rien de ce qui le constituait
Il est revenu
Je ne l'avais jamais vraiment vu sourire, encore moins rire
C'est un homme qui ne rit plus depuis longtemps, c'est un homme qui ne rit pas à lalégère
Et ce jour-là, toujours avec ses yeux qui me racontaient le fond des âges
Il m'a tendu sa main, il a souri
Il m'a souri de toute sa fine bouche et ma vie a changé les kheys, quelque chose s'est éclairé, je me suis dit alors que je voudrais le voir toujours sourire, le voir heureux comme il l'était je crois, à ce moment-là. Je me suis dit que je voudrais toujours le voir sourire, ça m'apparaissait comme le plus beau cadeau, le plus précieux trésor
Je mémorisais le moindre de ses gestes, dans la peur que ça n'arrive plus jamais, dans l'angoisse absolue qu'il ne revienne plus jamais, que sa main ne saisisse plus la mienne

J'ai pris sa main et il m'a attirée vers lui, il m'a serrée contre lui si fort, il m'a embrassée comme jamais personne avant ne l'avait fait, je sentais ses mains sur ma peau, ses lèvres, sa langue et j'ai cru alors que j'allais mourir de ce désir et de ce plaisir qu'il pouvait me donner seulement comme ça, son souffle dans moncou
Sa façon de faire, de me séduire, de me toucher, de m'embrasser.. cette façon de faire, c'était celle d'un homme expérimenté, celle d'un homme qui sait exactement quoi faire et quand le faire
J'avais tellement envie de lui, ma peau était brûlante
Je lui ai demandé de partir, il est parti

Je ne pensais plus qu'à lui, définitivement, à ses mains, à son corps extraordinaire que je n'avais pas encore vu réellement alors. À ce corps qui m'avait enveloppée totalement, qui m'avait engloutie

Puis il est revenu et ce jour-là, nous avons fait l'amour
Et l'intensité de son regard et ce corps parfait, parfait pour moi, fait pour moi, cet être né pour moi je le savais alors j'en étais sûre
Il était né pour moi et j'étais née pour lui, les corps se sont reconnus et rien n'avait été plus extraordinaire que cette sensation, le fait de le sentir en moi, il m'a dit tellement de choses
Il aurait pu faire tout ce qu'il voulait de moi, je n'avais plus aucune volonté, j'étais abandonnée à cette jouissance, à ce plaisir insensé, inconnu
Son regard, toujours, comme si j'étais celle qu'il avait toujours voulue, attendue

Il est revenu, après ça
Dans cette chambre
Ceci entrecoupé de messages bien sûr
Entrecoupé aussi de "ma FILLE part là-bas ce weekend"
Comment ça, une fille ?
"Pourquoi ne me l'as-tu pas dit ?
- Je te l'ai dit mais tu n'écoutais pas, apparemment"
Une fille, une épouse

Bien, ça faisait de moi la catin. Je n'avais même pas demandé, les kheys, je n'avais rien demandé, je n'avais rien demandé
"Ma fille"
Je suis restée pétrifiée par cette annonce, par cet aveu je dirais même
Comme calcifiée au milieu d'une passion dévorante, comme les oiseaux du lac Natron

J'aurais dû lui demander de partir, de ne plus jamais revenir
Évidemment, les kheys vous vous en doutez si vous avez réussi à suivre l'infamie que je suis en train de vous raconter ce dont je doute mais osef ça fait du bien d'écrire, je ne l'ai pas fait
Il s'est approché, il m'a embrassée, il m'a emmenée vers la jouissance sans que je m'y oppose

Il dit souvent, pendant que nous faisons l'amour "je pourrais jouir juste en te regardant"
Il dit aussi "jamais je n'ai connu ça, un plaisir pareil, c'est la première fois de ma vie"

Il dit beaucoup de choses sans vraiment les dire
Cet homme-là
Il n'a pas encore 40 ans
Il ne les fait pas, peut-être 35 maximum
Et moi, quelque part entre 25 et 30 + post avant go 25-35, les pyjamas, même s'ils ont dû arrêter de lire depuis bien longtemps

Il dit "cette parenthèse me fait tellement de bien"
Oui, un jour il a dit "cette parenthèse"

Et bien sûr, je n'ai rien répondu, je l'ai juste attiré à moi, je lui ai fait ce qu'il aime tant que je fasse, ce qu'il n'avait jamais connu avant, ce que seule sa petite catin sait si bien lui faire
Mais ça aussi, c'est peut-être un mensonge après tout
Dès qu'il me dit quelque chose, j'essaie de voir où est le piège, où est le mensonge, qu'est-ce qui est vrai, qu'est-ce qui n'est dit que pour que je m'accroche encore, pour que je reste à sa disposition, qu'est-ce qui

Je repense alors à ce moment, quand nous joutions tard dans la nuit
Qui était le gagnant, qui était le perdant

"Je ne suis pas heureux avec elle mais je ne suis pas prêt à ne voir ma fille qu'un weekend sur deux
C'est beau de l'extérieur, mais il n'y a plus rien, je reste pour mon enfant"
Il dit
Je sais qu'il reste pour lui, mettre fin à ça, ce serait si terrible, si inconfortable, tout à reconstruire, tout à refaire, tout à réinventer, la paperasse, les frais, la pension alimentaire, le déménagement, la maison, le train de vie qui ne sera plus le même, l'enfant au milieu, si jeune
Je sais qu'il reste pour lui, il dit je reste pour ma fille mais
Je trouve ça tellement triste tout à coup, est-ce que c'est ce qui arrive à tout le monde ? Est-ce que c'est ce qui est censé arriver ? Finir par vivre avec un étranger, quelqu'un avec qui on ne partage plus rien ?
Effectivement, c'est plus confortable de prendre une maîtresse, d'aller la voir quelques heures, il faut bien que le corps exulte comme disait Brel, puis de retourner à sa vraie vie
Je ne le juge pas, je suis triste de le savoir malheureux (mais l'est-il seulement ?), triste pour moi aussi bien que ce soit excessivement égoïste, je suis triste aussi pour moi
Je suis triste, c'est vrai mais je comprends
Je comprends aussi que son épouse et lui ne se portent plus qu'une sorte d'indifférence, une sorte de cordialité indifférente nécessaire à la préservation d'un environnement stable pour l'enfant. Elle a peut-être aussi une relation extra-conjugale ?
Mais ça, c'est ce que je comprends, au travers de ce qu'il me dit
Qui sait si c'est seulement vrai ?

J'ai tellement vieilli, pour réussir à comprendre, il faut déjà avoir considérablement vieilli, ne plus fonctionner avec le logiciel purement binaire, purement manichéen, de la jeunesse
Je me rends compte de ça
Je me rends compte aussi que j'avais des principes, des idées bien tranchées sur la question mais qu'aujourd'hui je n'ai plus rien
Ce qui fait de moi un être abject, j'en ai conscience
Mais la vie va ainsi, chacun cherche à satisfaire ses intérêts, chacun à son niveau et je ne sais pas encore où se trouvent mes intérêts dans cette histoire, je ne sais pas ce que j'essaie de satisfaire dans cette histoire, j'ai tout à perdre, rien à gagner, tout à perdre et pourtant je continue https://image.noelshack.com/fichiers/2020/49/1/1606695378-larryselectionnaturelllegeraltlerifpazula.png

Moi je ne demande rien, je ne lui demande jamais rien, c'est la règle de cette parenthèse, de ce que je comprends
Je ne lui dit jamais rien de ce que je ressens, je fais tout pour ne pas lui écrire, pour n'avoir aucune incidence sur sa vie, puisque c'est ce qu'il souhaite, visiblement
Je fais comme si, moi non plus, je ne voulais pas qu'il puisse avoir une incidence sur ma vie
Parfois je mets des heures à répondre, parfois et pendant toutes ces heures perdues je suis dévorée
Mais je pense qu'il a très bien compris que c'était du flan et même s'il me pose parfois des questions qui ont pour but de le rassurer sur son emprise sur moi, il sait que je ne suis pas comme lui

Parfois, il essaie de faire comme s'il y avait autre chose que le plaisir entre nous
Il essaie de faire comme si nous existions en dehors de ces moments de jouissance absolue
J'imagine qu'il se dit qu'il doit faire ça, qu'il y est obligé pour que la bécasse ne mette pas fin à tout ça sur un coup de tête. Peut-être
Ou peut-être qu'il veut seulement partager autre chose avec moi
Comme quand il me lave après, qu'il pose sur moi des yeux si doux qui contiennent toutes les promesses possibles, qu'il reste là à me regarder si longtemps sans rien dire, ses yeux plantés dans les miens ou passant en revue tous les contours de mon visage, sa main parcourant chaque arête, chaque angle
Instant de grâce, et c'est si difficile de vivre cet instant tout en prenant soin de tout noter, tout imprimer dans sa mémoire, toujours tout noter, se souvenir, il ne me restera plus que ça, bientôt, le souvenir, l'urgence de tout imprimer en moi, en prévision toujours du moment où il se lassera de moi, du moment où, peut-être, il dira "je ne reviendrai pas"
Comme quand il caresse ma peau, avec tant d'attention, mes cheveux, quand nos corps gisent, épuisés
Comme quand il m'appelle par ce surnom, dans un souffle, quand je le serre contre moi
Nous n'avons rien de commun, lui et moi. En dehors de nos corps qui ont été faits l'un pour l'autre
Pourtant il me fait l'amour, de ça je suis sûre
Je reconnais ça, il me fait l'amour, il m'aime à ce moment précis je le vois, il fait tout pour moi

Il dit quand il me fait l'amour "tu me plais tellement"
Qu'est-ce que ça veut dire
Que-ce que c'est censé signifier, tu me plais tellement ?
Qu'est-ce que signifie ce tu me plais tellement lancé dans la jouissance, dans ce plaisir jusqu'alors inconnu ?

Qui est le perdant, qui est le gagnant, je commence à trouver une réponse

J'ai essayé d'arrêter ça, j'ai dit "c'est la dernière fois"
D'ailleurs, il avait répondu qu'il ne voulait pas que ça se termine, "pas maintenant"
Toujours la fin, sous-entendue, la fin qui guette, jamais bien loin
Mais je n'y arrive pas les kheys, je n'ai pas mémorisé assez, je n'ai pas vu assez, je n'ai pas assez entendu sa voix, pas assez regardé ce visage, pas assez caressé ce corps
Quand ce sera fait, je pourrais dire "ne reviens plus", mais pas avant
Quand ce sera fait, j'aurais assez de lui pour vivre jusqu'à la fin des temps
Tous ses mouvements, ses gestes, la façon qu'il a de saisir la tasse, de se retourner quand il est sur le point d'ouvrir la porte qui donne sur le monde réel, lorsqu'il s'apprête à se faire de nouveau happer par ce monde, sa façon de marcher
Sa démarche, oui, par-dessus tout cette démarche
Sa façon de caresser mon visage, mon cou
Sa façon d'être au monde
Son sourire toujours comme la plus belle récompense, je dois faire tant pour voir ce sourire
Je me dis que je pourrais passer ma vie à ça, à le faire sourire, c'est tout ce que je désire, c'est tout ce que je veux

Je passe mes journées à attendre un message, un signe, n'importe quoi
Des journées à attendre comme s'il était devenu le seul objet de ma vie, son seul but, comme si j'avais trouvé l'essence même de mon existence, sa raison, sa justification
Tu es saine d'esprit ? Oui je dédie ma vie entière à un homme infidèle :)
Quelqu'un de plus idiot que moi, ici ? Quelqu'un ?

Tout faire pour tenter d'y échapper, courir le plus loin possible, le plus vite possible, de toutes mes forces, dans ces matins rasants, pour arrêter d'y penser, pour arrêter de penser au fait que je dois arrêter d'y penser
Toutes ces images, toutes ces sensations, toujours qui m'apparaissent, insoutenables, je suis consumée par le désir de lui, son corps, son sexe, sa peau, son odeur, son goût
Je suis littéralement consumée par le désir, tout en moi brûle, tout mon corps brûle constamment
Tout le temps, de jour comme de nuit, je ne veux que lui, que lui en moi, je veux lui donner tout ce qu'il souhaite

Parler, rencontrer ma famille, tout devient insupportable "oui ça va très bien merci" pendant que ces images, devant mes yeux, toujours
Se rendre compte que tout me ramène à lui inlassablement, un mot, un chiffre
Puis rentrer chez moi
Ou plutôt rentrer chez lui
Dans ce lieu qui m'appartient mais qu'il a conquis
Ce lieu qu'il s'est approprié, dont il a foulé le sol, ce lieu qu'il a rempli de lui, dont il a ouvert tous les placards, toutes les portes, qu'il a volontairement rendu sien
Il y est entré en conquérant, comme si tout lui appartenait déjà, son manteau sur la chaise, son téléphone sur la table, il y est entré et à l'instant, au moment où son pied a touché mon sol, il l'a automatiquement, violemment rempli de lui, comme s'il avait été là, toujours, comme s'il connaissait cet endroit, qu'il lui était un endroit familier
Je ne suis pas chez moi, je suis chez lui, il est partout à prendre toute la place, dans l'entrée, le salon, la cuisine, il se tient là partout, habillé, nu, comme il lui plaît, nu, comme il me plaît
J'ai tant de reconnaissance, tant de gratitude, je sais la chance que j'ai
Une rencontre pareille, ça n'arrive pas tous les jours, je ne connais rien de plus beau, de plus intense, de plus absurde, de plus sincère et de plus faux, de plus terrible
Mais quelle torture, mon Dieu
Je m'épuise à me souvenir, à attendre
Incapable de faire autre chose

Je pense que personne ne lira, mais le fait d'offrir cette histoire à des inconnus va sûrement m'aider à dédramatiser, à prendre du recul, enfin j'espère
Le pavé doit être vraiment indigeste, désolée les kheys, j'ai tout balancé d'une traite

Est-ce que son comportement vous parle ? Enfin, qu'est-ce que vous auriez à en dire, vous en tant qu'hommes ? Avez-vous déjà connu ce genre de situation ? Qu'est-ce que je suis censée faire ? Je sais qu'il y a des hommes de cet âge-là, ici
Parfois je voyais un topic qui évoquait une vie de famille et une maîtresse, je pensais "faut quand même être un sacré déchet pour.." aya je suis pathétique

Aidez-moi à ne plus être faible

Bref, si quelqu'un veut discuter, de ça ou d'une histoire personnelle similaire, go les quillent

https://image.noelshack.com/fichiers/2017/18/1494152516-jesus-pense-au-suicide.png

Ptn c'est trop long, dis tout de suite que t'as sucé un vieux le reste on s'en tape

Le 30 janvier 2021 à 21:06:26 32sucres a écrit :
Gpalu + mérité + ddb

Tu peux donc disposax sans délai mon khey

Le 30 janvier 2021 à 21:07:52 gland2lux a écrit :
Ptn c'est trop long, dis tout de suite que t'as sucé un vieux le reste on s'en tape

Je sais que quelqu'un va lire et ça me réchauffe le coeur

Le 30 janvier 2021 à 21:08:33 Bloubloum a écrit :

Le 30 janvier 2021 à 21:07:52 gland2lux a écrit :
Ptn c'est trop long, dis tout de suite que t'as sucé un vieux le reste on s'en tape

Je sais que quelqu'un va lire et ça me réchauffe le coeur

Non, ça n'arrivera pas.

G pa lu + Qu'elle idée aussi https://image.noelshack.com/fichiers/2021/02/7/1610923258-image-2021-01-17-234057.png
Vas y je lis. Jmennuie
Flemme de tout lire, fais plus court

Le 30 janvier 2021 à 21:08:57 Simiyon a écrit :

Le 30 janvier 2021 à 21:08:33 Bloubloum a écrit :

Le 30 janvier 2021 à 21:07:52 gland2lux a écrit :
Ptn c'est trop long, dis tout de suite que t'as sucé un vieux le reste on s'en tape

Je sais que quelqu'un va lire et ça me réchauffe le coeur

Non, ça n'arrivera pas.

Aya stop le pessimisme, ça va arriver, parce qu'il y a surement ici des gens comme moi
Ou alors je repost plus tard https://image.noelshack.com/fichiers/2018/10/1/1520256134-risitasue2.png
C'est vrai que je me suis un peu lâchée

Un texte de cette longueur sur un sujet aussi commun qui ne contient pas une seule fois le mot caca ne peut pas valoir le coup :non:

Le 30 janvier 2021 à 21:09:30 Dryade-Brooklyn a écrit :
G pa lu + Qu'elle idée aussi https://image.noelshack.com/fichiers/2021/02/7/1610923258-image-2021-01-17-234057.png

Que veux-tu mon khey.. https://image.noelshack.com/fichiers/2017/05/1485951438-risitassueur1.png

J'ai lu un paragraphe c'est inutilement long...

Le 30 janvier 2021 à 21:11:27 Normalis-Furom a écrit :
Sélection naturelle https://image.noelshack.com/fichiers/2017/22/1496583962-risisingecigarette.png

https://image.noelshack.com/fichiers/2018/51/3/1545248326-larryreup.png

Données du topic

Auteur
Bloubloum
Date de création
30 janvier 2021 à 21:02:22
Date de suppression
22 octobre 2021 à 05:33:08
Supprimé par
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