Ici, on invente des SCENARIOS de FILMS français :oui:

Le 14 novembre 2020 à 16:21:39 Payper18Rivaol a écrit :

[16:03:57] <J8suke>
Sous les balcons, le bonheur

Olivier (Jonhathan Cohen), ouvrier célibataire minable de banlieue parisienne se rend tous les jours en vélo à l'usine. Un jour, il découvre l'absence de son vélo. Profondément raciste, Olivier va mener son enquête dans la cité voisine.
Face à ses préjugés et à l'humanité des gens qu'il y croisera, il se rendra vite compte que le coupable n'est pas celui qu'il visait.
Finalement, la traque du coupable l'amènera à faire la rencontre d'amis fidèles, Moussa (Omar Sy) et Assan (Mister V) et d'une femme, Anissa (Camélia Jordana), qui lui fera découvrir les joies de l'Islam.

Un voyage au coeur de la France qu'on ne voit pas mais qui a tant de choses à nous dire.

Matthieu Kassovitz, avec ce La Haine inversé, nous délivre une oeuvre coup de poing sur la réalité de la banlieue parisienne.

Les rédacteurs chez eux : La cité a tant à nous apprendre, mais qu'est-ce qu'on est bien dans notre appartement Hausmannien

La seule chose qui manque ce soit que le vélo soit volé par un beauf de classe moyenne

C'est exactement le dénouement que j'avais en tête mais faut pas spoiler le magnifique twist

Le 14 novembre 2020 à 16:21:53 J8suke a écrit :
Des barreaux et des hommes

Cédric (Romain Garrel), journaliste émérite homosexuel va partir à la découverte des prisons françaises. Entre environnement insalubre et exclusion raciale, le jeune homme bouleversé va tenter de changer la face du journalisme français avec la publication d'un numéro spécial choc sur les prisons. Son rédacteur en chef, Jean-marie (Christian Clavier), ne le voit pas de cet oeil-ci. Après une soirée torride entre les deux hommes, Jean-Marie acceptera de visiter à son tour la prison voisine sous l'insistance de son jeune amant. Bouleversé à son tour, Jean-Marie rejoignera alors son combat vers un meilleur traitement des "criminels" islamistes qui sont avant tout des hommes sensibles que l'on réprime plus que l'on écoute.

Un magnifique discours sur l'univers carcéral français, rempli de préjugés et de paradoxes.

Une oeuvre terriblement rafraîchissante et qui donne à réfléchir sur l'avenir d'une France multi-culturelle et sexuellement libérée.

Une fin qui laisse présager une possible remise en question de la Justice française, peut-on toucher du doigt l'avancement vers une société plus inclusive ?

Belle d'un jour

Myriam (Medina El Aidi), 11 ans rêve de devenir femme cheffe. Elle passe son temps libre à regarder des vidéos de son idole Cyril Lignac (interprété par Daniel Auteuil). Un jour, elle gagne un concours, et est tirée au sort pour participer à Top Chef enfant. Son rêve se réalise enfin, elle va rencontrer son idole.

Très vite son rêve se transforme en cauchemar, Cyril Lignac révélant son vrai visage, celui d'un pédophile aux multiples facettes. Myriam se retrouve malgré elle dans une histoire mélant drogue, sexe et violence, elle va devoir se battre pour échapper au monde horrible mais bien réel du trafic enfantile.

- Pour une première fois derrière la caméra, Jean Dujardin nous signe là un polar noir, chocant et bourré de vérité. Un film qui va marquer les esprits et l'histoire du cinéma français

Libération

- Dujardin nous prend par les trippes dans ce film musclé avec une intrigue bien ficelé et un suspens qui ne mollit pas jusqu'à un final époustouflant

Télé Cable Sat

- Ecrit en boustrephédon, ce film à l'intention de faire débagouler le bien pensant français. Ici point d'éléctronarcose, le film nous mèle dans un galimatias, qu'il faudra déchiffrer avec son cerveau. Jean Dujardin éveille, réveille. (...) Un Daniel Auteuil magistral et impavide.

Télérame

- Une merde sans nom, Jean Dujardin aurait mieux fait de rester de l'autre côté de l'écran. Daniel Auteuil qui continue les mauvais choix de carrière (...) en espérant que Medina El Aidi change d'agent, avant que son destin ne devienne le même que Jordi

Madmovies

Matthieu, French Dreamer prolo, qui un beau matin se rend compte de l'inanité de sa vie. Son rêve, devenir une femme. S'en suit une longue quête d'acceptation des autres de la vraie personne qu'est notre bon vieux french dreamer. Plein de bons sentiments, sa Magalie lui prête son plan de secours Tinder pour le dépuceler. Son père, figure du patriarcat en déclin, le rejette et se suicide. Peut importe, la seule chose qui compte c'est son individualité, son petit cul d'occidental égo-problématique.

Tout va bien, Matthieu vit dans le meilleur des mondes possible. Jusqu'a que des terroristes d'extreme droite viennent lui peter à la gueule (ouais dans cet univers les terro destrem drouate utilisent des ceintures d'explosif).

Et après on dit que le 18-25 est la poubelle du net.

Jamais connu de gens aussi lucides que sur ce forum

Le 14 novembre 2020 à 16:30:57 TonClignoPD a écrit :
Et après on dit que le 18-25 est la poubelle du net.

Jamais connu de gens aussi lucides que sur ce forum

Tellement kheyou, tellement

Autant y a énormément de conneries et beaucoup de matrixage, autant on est globalement tous éclairés sur ce genre de sujets

Désirs

Maeva (Léa Seydoux) est une jeune femme timide de province qui vient d'entrer dans une prestigieuse école d'arts parisienne. Elle accepte de se mettre en colocation avec un groupe d'étudiants de sa promo, Abel, Gwen, Sadia et Thomas. Ce qu'elle ne sait pas, c'est que ses nouveaux amis lui feront connaître l'intensité et la volupté de la vie parisienne qui changeront à tout jamais sa conception de l'amour et de la sensualité. Amandine devra vaincre ses démons, faire face à l'incompréhension de ses amies restées en province et convaincre son petit copain Adrien que l'amour peut prendre des formes inattendues.

Une fresque philosophique et érotique. On n'en attendait pas mieux pour le premier long-métrage de cette jeune prodige du cinéma français. - Libération

"On retrouve Léa Seydoux dans un rôle qui lui convient à merveille, aux côtés de jeunes acteurs brillants pour leurs premiers rôles" - Allociné

"Encore une fresque décadente qui fait l'apologie de la destruction des valeurs familiales et incite la jeunesse à la dépravation" - Le Figaro

Le 14 novembre 2020 à 16:28:05 NiceDrame a écrit :
Belle d'un jour

Myriam (Medina El Aidi), 11 ans rêve de devenir femme cheffe. Elle passe son temps libre à regarder des vidéos de son idole Cyril Lignac (interprété par Daniel Auteuil). Un jour, elle gagne un concours, et est tirée au sort pour participer à Top Chef enfant. Son rêve se réalise enfin, elle va rencontrer son idole.

Très vite son rêve se transforme en cauchemar, Cyril Lignac révélant son vrai visage, celui d'un pédophile aux multiples facettes. Myriam se retrouve malgré elle dans une histoire mélant drogue, sexe et violence, elle va devoir se battre pour échapper au monde horrible mais bien réel du trafic enfantile.

- Pour une première fois derrière la caméra, Jean Dujardin nous signe là un polar noir, chocant et bourré de vérité. Un film qui va marquer les esprits et l'histoire du cinéma français

Libération

- Dujardin nous prend par les trippes dans ce film musclé avec une intrigue bien ficelé et un suspens qui ne mollit pas jusqu'à un final époustouflant

Télé Cable Sat

- Ecrit en boustrephédon, ce film à l'intention de faire débagouler le bien pensant français. Ici point d'éléctronarcose, le film nous mèle dans un galimatias, qu'il faudra déchiffrer avec son cerveau. Jean Dujardin éveille, réveille. (...) Un Daniel Auteuil magistral et impavide.

Télérame

- Une merde sans nom, Jean Dujardin aurait mieux fait de rester de l'autre côté de l'écran. Daniel Auteuil qui continue les mauvais choix de carrière (...) en espérant que Medina El Aidi change d'agent, avant que son destin ne devienne le même que Jordi

Madmovies

Le 14 novembre 2020 à 17:20:57 PoildEwok a écrit :
Désirs

Maeva (Léa Seydoux) est une jeune femme timide de province qui vient d'entrer dans une prestigieuse école d'arts parisienne. Elle accepte de se mettre en colocation avec un groupe d'étudiants de sa promo, Abel, Gwen, Sadia et Thomas. Ce qu'elle ne sait pas, c'est que ses nouveaux amis lui feront connaître l'intensité et la volupté de la vie parisienne qui changeront à tout jamais sa conception de l'amour et de la sensualité. Amandine devra vaincre ses démons, faire face à l'incompréhension de ses amies restées en province et convaincre son petit copain Adrien que l'amour peut prendre des formes inattendues.

Une fresque philosophique et érotique. On n'en attendait pas mieux pour le premier long-métrage de cette jeune prodige du cinéma français. - Libération

"On retrouve Léa Seydoux dans un rôle qui lui convient à merveille, aux côtés de jeunes acteurs brillants pour leurs premiers rôles" - Allociné

"Encore une fresque décadente qui fait l'apologie de la destruction des valeurs familiales et incite la jeunesse à la dépravation" - Le Figaro

ayaa

Le 14 novembre 2020 à 17:20:57 :
Désirs

Maeva (Léa Seydoux) est une jeune femme timide de province qui vient d'entrer dans une prestigieuse école d'arts parisienne. Elle accepte de se mettre en colocation avec un groupe d'étudiants de sa promo, Abel, Gwen, Sadia et Thomas. Ce qu'elle ne sait pas, c'est que ses nouveaux amis lui feront connaître l'intensité et la volupté de la vie parisienne qui changeront à tout jamais sa conception de l'amour et de la sensualité. Amandine devra vaincre ses démons, faire face à l'incompréhension de ses amies restées en province et convaincre son petit copain Adrien que l'amour peut prendre des formes inattendues.

Une fresque philosophique et érotique. On n'en attendait pas mieux pour le premier long-métrage de cette jeune prodige du cinéma français. - Libération

"On retrouve Léa Seydoux dans un rôle qui lui convient à merveille, aux côtés de jeunes acteurs brillants pour leurs premiers rôles" - Allociné

"Encore une fresque décadente qui fait l'apologie de la destruction des valeurs familiales et incite la jeunesse à la dépravation" - Le Figaro

"et convaincre son petit copain Adrien que l'amour peut prendre des formes inattendues."
ayaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaa

Putain de merde ce topic

L OP est un génie

La victoire en chantant

Film de 4h30 avec Georges Delerue à la bande-son, retrace les guerres napoléoniennes depuis Arcole jusqu'à Waterloo.

Pas besoin d'inventer quoi que ce soit les amis :

Intouchables, des frères Nakache

A la suite d’un accident de parapente, Philippe (Francis Huster), riche aristocrate, engage comme aide à domicile Driss (Omar Sy), un jeune de banlieue tout juste sorti de prison et issu d'une minorité visible. Bref la personne la moins adaptée pour le job. Ensemble ils vont faire cohabiter Vivaldi et Earth Wind and Fire, le verbe et la vanne, les costumes et les bas de survêtement... Deux univers vont se télescoper, s’apprivoiser, pour donner naissance à une amitié aussi dingue, drôle et forte qu’inattendue, une relation unique qui fera des étincelles et qui les rendra... Intouchables.

Télédrama : Un Noir, un Blanc. L’un est un chômeur des banlieues, l’autre, un aristo des beaux quartiers. Mais ils ont en commun différents handicaps et, surtout, la manière de les surmonter. Comédie qui raconte avec bonheur une amitié au-delà des normes.

Le Monde : Le film, servi par deux acteurs épatants et des seconds rôles parfaits, est rempli de finesse et enjouement. Il file une métaphore sociale généreuse, qui montre tout l'intérêt de l'association entre la Vieille France paralysée sur ses privilèges et la force vitale de la jeunesse issue de l'immigration.

Je prends au hasard un film français récent et je poste le résumé et on verra si les clichés sont vrais

Le processus de pays

Quand on s’aime mais qu’on ne se supporte plus, qu’est-ce qu’on fait ? Marie et Simon sont profondément amoureux, malgré les disputes constantes dans leur vie de couple. Lui est professeur d’histoire du conflit israélo-palestinien à la fac, projetant quelquefois les démêlés de son couple dans son cours, elle est animatrice d'une radio féministe. Pour ne pas se séparer, ils se lancent dans une aventure un peu folle : établir une liste de règles qu’ils devront suivre coûte que coûte. Ils l’appellent la charte Universelle des droits du couple.

Tous les mêmes, de Muriel Robin

Chloé, mère célibataire du petit Boubacar, se retrouve à 30 ans seule dans un HLM miteux de la banlieue parisienne. Après avoir profité de sa jeunesse auprès de mâles dominateurs et issus d'une ethnie foncée, elle tombe enceinte d'un père qui va fuir la ville. Elle se retrouve seule avec le petit Boubacar.

Désemparée, elle va alors multiplier les recherches d'un père de substitution. Cette recherche s'avérera plus difficile qu'il n'y paraît, les hommes biens qu'elle a rejeté dans sa jeunesse ayant trouvé une femme respectable depuis. Elle perdra alors pied en écrivant "les hommes tous les mêmes" sur X, le début d'une plongée dans l'engrenage du patriarcat et des hommes lâches, responsables de tous les maux du monde.

Libération
Un film bouleversant démontrant que les femmes sont vraiment victimes de la société toxique masculine

Osez le féminisme
Une œuvre poignante dont le message montre qu'une femme avec un bodycount élevé et un rejet des hommes biens n'est pas une raison pour les hommes de la rejeter par la suite.