Ici, on invente des SCENARIOS de FILMS français :oui:

Le 14 novembre 2020 à 15:47:11 FionDeBrassens a écrit :

Le 14 novembre 2020 à 15:46:25 KingDiamond25 a écrit :

Le 14 novembre 2020 à 15:45:34 J8suke a écrit :
Home Sweet Home

Agent immobilier d'exception dans le 16ème Arrondissement, Pierre (Christian Clavier) voit sa vie chamboulée quand il apprend que l'immeuble fraîchement renové qu'il souhaite mettre en vente se retrouve habité par des squatteurs issus de l'immigration.
Dans l'incapacité de les expulser, Pierre va devoir renoncer aux bénéfices de la vente. Mais c'est avec la relation naissante entre son fils, Hugo (Louis Garrel), et un de ses locataires indésirés que les considérations de Pierre vont voler en éclats.

J'ai fait ce que j'ai pu

Pas mal pas mal

réaliste en plus

ILS en seraient capables

Le 14 novembre 2020 à 15:46:25 KingDiamond25 a écrit :

Le 14 novembre 2020 à 15:45:34 J8suke a écrit :
Home Sweet Home

Agent immobilier d'exception dans le 16ème Arrondissement, Pierre (Christian Clavier) voit sa vie chamboulée quand il apprend que l'immeuble fraîchement renové qu'il souhaite mettre en vente se retrouve habité par des squatteurs issus de l'immigration.
Dans l'incapacité de les expulser, Pierre va devoir renoncer aux bénéfices de la vente. Mais c'est avec la relation naissante entre son fils, Hugo (Louis Garrel), et un de ses locataires indésirés que les considérations de Pierre vont voler en éclats.

J'ai fait ce que j'ai pu

Pas mal pas mal

réaliste en plus

ILS en seraient capables

Le 14 novembre 2020 à 15:47:30 KingDiamond25 a écrit :

Le 14 novembre 2020 à 15:47:11 FionDeBrassens a écrit :

Le 14 novembre 2020 à 15:46:25 KingDiamond25 a écrit :

Le 14 novembre 2020 à 15:45:34 J8suke a écrit :
Home Sweet Home

Agent immobilier d'exception dans le 16ème Arrondissement, Pierre (Christian Clavier) voit sa vie chamboulée quand il apprend que l'immeuble fraîchement renové qu'il souhaite mettre en vente se retrouve habité par des squatteurs issus de l'immigration.
Dans l'incapacité de les expulser, Pierre va devoir renoncer aux bénéfices de la vente. Mais c'est avec la relation naissante entre son fils, Hugo (Louis Garrel), et un de ses locataires indésirés que les considérations de Pierre vont voler en éclats.

J'ai fait ce que j'ai pu

Pas mal pas mal

réaliste en plus

ILS en seraient capables

Le 14 novembre 2020 à 15:48:32 CharbonJaponais a écrit :

Le 14 novembre 2020 à 15:47:30 KingDiamond25 a écrit :

Le 14 novembre 2020 à 15:47:11 FionDeBrassens a écrit :

Le 14 novembre 2020 à 15:46:25 KingDiamond25 a écrit :

Le 14 novembre 2020 à 15:45:34 J8suke a écrit :
Home Sweet Home

Agent immobilier d'exception dans le 16ème Arrondissement, Pierre (Christian Clavier) voit sa vie chamboulée quand il apprend que l'immeuble fraîchement renové qu'il souhaite mettre en vente se retrouve habité par des squatteurs issus de l'immigration.
Dans l'incapacité de les expulser, Pierre va devoir renoncer aux bénéfices de la vente. Mais c'est avec la relation naissante entre son fils, Hugo (Louis Garrel), et un de ses locataires indésirés que les considérations de Pierre vont voler en éclats.

J'ai fait ce que j'ai pu

Pas mal pas mal

réaliste en plus

ILS en seraient capables

Paris, 2027
Les polices ont quittes le territoire
Les Gangs font la lois
Ils sèment la terreur
Partout dans la ville, de la casse, des magasins pillées, la pauvreté

Mais un homme va changer tout ceci
FACHOMAN
grâce à son pouvoir de rentré chez vous ils renvoient les criminels dans les prisons de leur pays d'origine
Débarrassant ainsi les rues de la vermine

Puis la police revient et la vie reprend son court peu à peu

Le 14 novembre 2020 à 15:43:52 KingDiamond25 a écrit :

Le 14 novembre 2020 à 15:41:29 PaulHenriSpaak a écrit :
François (Christian Clavier) et Cécile (Michèle Laroque) se retrouvent confinés avec leurs deux ados, Julie et Thomas (du genre ceux qui jouent dans en famille sur M6), dans leur maison de campagne pendant le confinement.

Ca donnerait des trucs du style "Papa on commande chinois ce soir ?"

"Ah non ! Les chinois ça suffit ! Tu voudrais pas manger du Pangolin aussi ?"

+ 1

les leçons de morale sur le racisme c'est avec un grand oui h24, mais les blagues sur les chinois par contre

:irre:

Un papa pas comme les autres

Christine (Virginie Effira) ne sait plus quoi faire : Célestin (Pierre Niney), son fils de 24 ans, qu'elle est seule à élever depuis le plus jeune age, ne veut pas quitter sa chambre. Réfugiant sa solitude dans la xénophobie, Célestin passe la majeur partie de son temps sur des forums d'extreme droite où il entretient sa haine pour l'inconnue. Mais les choses vont changer du tout au tout, lorsque sous les conseils de son amie de toujours Marie-France (Valérie Lemercier), Christine décide d'héberger Boubakar Mougouwoutoufalé (Omar Sy), un jeune érythréen de 17 ans qui fuit la dictature de son pays. Malgré la différence d'age, Boubakar deviendra petit à petit le confident de Christine et une figure paternelle pour le jeune Célestin qui en avait trop besoin. Le jeune érythréen arrivera-t-il à faire s'ouvrir Célestin et à guérir sa peur de la nouveauté ? Un film plein de surprise de l'étoile montante du cinéma française, Martin Bourboulon

- Un film à consommer sans aucune modération

L'humanité

- La scène où le jeune érythréen partage des voocaros (des extraits audios) sur un forum de facho est à mourrir de rire

Le monde

Une famille cocasse :

Walid un migrant pakistanais homosexuel et trisomique installe sa tente devant l’appartement des Lefèvre une riche famille bourgeoise dans le quartier latin. Roger (Christian Clavier) ancien militaire et chef de famille d’abord sceptique va finalement venir en aide à Walid lorsque celui ci va se faire violemment prendre à parti par des skinheads, commence ainsi une grande amitié qui va mener Walid a finalement rejoindre la famille lorsque le fils aîné Timothée (Théo Fernandez) champion de France de natation et brillant élève va tomber amoureux du jeune migrant (inclure une scène de sex anale passionné). A la fin du film toute la famille rigole autour d’un grand dîner de famille, Walid ayant obtenu la nationalité française par son mariage avec Timothée chante La Marseillaise pour bien montrer que c’est un bon François. Dans la scène finale du film enfin le jeune couple gay présente à la famille leur nouveau fils adoptif Bakari, un jeune migrant mineure Somalien (joué par Omar Sy), tout le monde rigole et est heureux, c’est formidable. Fin.

Sous les balcons, le bonheur

Olivier (Jonhathan Cohen), ouvrier célibataire minable de banlieue parisienne se rend tous les jours en vélo à l'usine. Un jour, il découvre l'absence de son vélo. Profondément raciste, Olivier va mener son enquête dans la cité voisine.
Face à ses préjugés et à l'humanité des gens qu'il y croisera, il se rendra vite compte que le coupable n'est pas celui qu'il visait.
Finalement, la traque du coupable l'amènera à faire la rencontre d'amis fidèles, Moussa (Omar Sy) et Assan (Mister V) et d'une femme, Anissa (Camélia Jordana), qui lui fera découvrir les joies de l'Islam.

Un voyage au coeur de la France qu'on ne voit pas mais qui a tant de choses à nous dire.

Matthieu Kassovitz, avec ce La Haine inversé, nous délivre une oeuvre coup de poing sur la réalité de la banlieue parisienne.

Les rédacteurs chez eux : La cité a tant à nous apprendre, mais qu'est-ce qu'on est bien dans notre appartement Hausmannien

Le 14 novembre 2020 à 15:59:47 PetitBrasTv5 a écrit :
Une famille cocasse :

Walid un migrant pakistanais homosexuel et trisomique installe sa tente devant l’appartement des Lefèvre une riche famille bourgeoise dans le quartier latin. Roger (Christian Clavier) ancien militaire et chef de famille d’abord sceptique va finalement venir en aide à Walid lorsque celui ci va se faire violemment prendre à parti par des skinheads, commence ainsi une grande amitié qui va mener Walid a finalement rejoindre la famille lorsque le fils aîné Timothée (Théo Fernandez) champion de France de natation et brillant élève va tomber amoureux du jeune migrant (inclure une scène de sex anale passionné). A la fin du film toute la famille rigole autour d’un grand dîner de famille, Walid ayant obtenu la nationalité française par son mariage avec Timothée chante La Marseillaise pour bien montrer que c’est un bon François. Dans la scène finale du film enfin le jeune couple gay présente à la famille leur nouveau fils adoptif Bakari, un jeune migrant mineure Somalien (joué par Omar Sy), tout le monde rigole et est heureux, c’est formidable. Fin.

J'ai explosé

Le 14 novembre 2020 à 16:03:57 J8suke a écrit :
Sous les balcons, le bonheur

Olivier (Jonhathan Cohen), ouvrier célibataire minable de banlieue parisienne se rend tous les jours en vélo à l'usine. Un jour, il découvre l'absence de son vélo. Profondément raciste, Olivier va mener son enquête dans la cité voisine.
Face à ses préjugés et à l'humanité des gens qu'il y croisera, il se rendra vite compte que le coupable n'est pas celui qu'il visait.
Finalement, la traque du coupable l'amènera à faire la rencontre d'amis fidèles, Moussa (Omar Sy) et Assan (Mister V) et d'une femme, Anissa (Camélia Jordana), qui lui fera découvrir les joies de l'Islam.

Un voyage au coeur de la France qu'on ne voit pas mais qui a tant de choses à nous dire.

Matthieu Kassovitz, avec ce La Haine inversé, nous délivre une oeuvre coup de poing sur la réalité de la banlieue parisienne.

Les rédacteurs chez eux : La cité a tant à nous apprendre, mais qu'est-ce qu'on est bien dans notre appartement Hausmannien

Le 14 novembre 2020 à 16:09:28 PaulHenriSpaak a écrit :

Le 14 novembre 2020 à 16:03:57 J8suke a écrit :
Sous les balcons, le bonheur

Olivier (Jonhathan Cohen), ouvrier célibataire minable de banlieue parisienne se rend tous les jours en vélo à l'usine. Un jour, il découvre l'absence de son vélo. Profondément raciste, Olivier va mener son enquête dans la cité voisine.
Face à ses préjugés et à l'humanité des gens qu'il y croisera, il se rendra vite compte que le coupable n'est pas celui qu'il visait.
Finalement, la traque du coupable l'amènera à faire la rencontre d'amis fidèles, Moussa (Omar Sy) et Assan (Mister V) et d'une femme, Anissa (Camélia Jordana), qui lui fera découvrir les joies de l'Islam.

Un voyage au coeur de la France qu'on ne voit pas mais qui a tant de choses à nous dire.

Matthieu Kassovitz, avec ce La Haine inversé, nous délivre une oeuvre coup de poing sur la réalité de la banlieue parisienne.

Les rédacteurs chez eux : La cité a tant à nous apprendre, mais qu'est-ce qu'on est bien dans notre appartement Hausmannien

Ca t'a plu ? Celui-là j'ai galéré

Le 14 novembre 2020 à 16:10:23 PaulHenriSpaak a écrit :
VDD oui très bien

Les hommes de sa vie

Johanna, incarnée par Virginie Effira, ne sait plus comment mener sa vie sentimentale. Suite à son récent divorce avec Victor (Clovis Cornillac), elle enchaîne les amourettes éphémères.

Pour l'été, elle quitte son petit deux-pièces du 11ème arrondissement de Paris pour rejoindre ses amies Hermine (Valérie Bonneton), Sam (Alexandra Lamy) et Emmanuelle (Camille Cottin) dans une splendide maison de pierres avec piscine dans le Lubéron.

C'est l'occasion pour elles de faire un point sur leurs vies amoureuses respectives. Hermine est une journaliste à succès qui file le parfait amour avec Hugo (Gilles Lellouche), un chef cuisinier turbulent. De leurs côtés, Sam et Alexandra connaissent les affres de l'adultère : la première est persuadée que Saïd (Roshy Zem), la trompe. Ce qu'elle ne sait pas, c'est que c'est avec Emmanuelle. Noa, son fiancé campé par Ary Abittan, est à mille lieues de s'en douter.

Ce n'est qu'à la découverte du pot-aux-roses que tout dégénère et que Johanna peut mettre sa situation en perspective. Pour combler les tensions consécutives à la découverte de l'inavouable secret de Saïd et Emmanuelle, elle décide d'inviter tour à tour Barthélémy (Omar Sy), Jérôme (Vincent Elbaz) et Tristan (José Garcia), pour tenter de déterminer qui elle aime le plus parmi ses ex.

Et une surprise de taille pourrait bien l'attendre dans cette quête introspective...

[16:03:57] <J8suke>
Sous les balcons, le bonheur

Olivier (Jonhathan Cohen), ouvrier célibataire minable de banlieue parisienne se rend tous les jours en vélo à l'usine. Un jour, il découvre l'absence de son vélo. Profondément raciste, Olivier va mener son enquête dans la cité voisine.
Face à ses préjugés et à l'humanité des gens qu'il y croisera, il se rendra vite compte que le coupable n'est pas celui qu'il visait.
Finalement, la traque du coupable l'amènera à faire la rencontre d'amis fidèles, Moussa (Omar Sy) et Assan (Mister V) et d'une femme, Anissa (Camélia Jordana), qui lui fera découvrir les joies de l'Islam.

Un voyage au coeur de la France qu'on ne voit pas mais qui a tant de choses à nous dire.

Matthieu Kassovitz, avec ce La Haine inversé, nous délivre une oeuvre coup de poing sur la réalité de la banlieue parisienne.

Les rédacteurs chez eux : La cité a tant à nous apprendre, mais qu'est-ce qu'on est bien dans notre appartement Hausmannien

La seule chose qui manque ce soit que le vélo soit volé par un beauf de classe moyenne

Des barreaux et des hommes

Cédric (Romain Garrel), journaliste émérite homosexuel va partir à la découverte des prisons françaises. Entre environnement insalubre et exclusion raciale, le jeune homme bouleversé va tenter de changer la face du journalisme français avec la publication d'un numéro spécial choc sur les prisons. Son rédacteur en chef, Jean-marie (Christian Clavier), ne le voit pas de cet oeil-ci. Après une soirée torride entre les deux hommes, Jean-Marie acceptera de visiter à son tour la prison voisine sous l'insistance de son jeune amant. Bouleversé à son tour, Jean-Marie rejoignera alors son combat vers un meilleur traitement des "criminels" islamistes qui sont avant tout des hommes sensibles que l'on réprime plus que l'on écoute.

Un magnifique discours sur l'univers carcéral français, rempli de préjugés et de paradoxes.

Une oeuvre terriblement rafraîchissante et qui donne à réfléchir sur l'avenir d'une France multi-culturelle et sexuellement libérée.

Une fin qui laisse présager une possible remise en question de la Justice française, peut-on toucher du doigt l'avancement vers une société plus inclusive ?