Paris Descartes CHARNIER HUMAIN en plein PARIS SWEET
Le 08 octobre 2020 à 07:40:38 HailTrOMPH_ a écrit :
Le 08 octobre 2020 à 07:40:02 VENIVIDIVICl a écrit :
Le 07 octobre 2020 à 23:21:47 BARRELIVEs a écrit :
mais LA MORGUEPILL marche pas pour les musulman et oui les athix dieu soit louéeDu coup ils font comment dans les pays musulmans quand ils ont besoin d'un don d'organe ?
Ah bah ils font pas
Chine
Du ouigour frais du coup ?
Le 08 octobre 2020 à 07:40:38 HailTrOMPH_ a écrit :
Le 08 octobre 2020 à 07:40:02 VENIVIDIVICl a écrit :
Le 07 octobre 2020 à 23:21:47 BARRELIVEs a écrit :
mais LA MORGUEPILL marche pas pour les musulman et oui les athix dieu soit louéeDu coup ils font comment dans les pays musulmans quand ils ont besoin d'un don d'organe ?
Ah bah ils font pas
Chine
Croire que les pays musulmans ont le budget pour acheter des organes
Si tu prend les états du golf à la limite, sauf que 90% des pays musulmans n'ont pas d'argents
Le 07 octobre 2020 à 23:30:52 Hitmap10 a écrit :
Les cucks qui donnent leur corps à la "science".
Le 07 octobre 2020 à 23:36:10 BARRELIVEs a écrit :
Le 07 octobre 2020 à 23:35:50 PseudoENeda2 a écrit :
Le 07 octobre 2020 à 23:32:41 LesMacrales a écrit :
Le 07 octobre 2020 à 23:31:39 TacosCheddar a écrit :
On rigole mais perso ça me fout vraiment mal, c'est un sentiment très bizarre que de découper des cadavres
Je suis pas serein actuellement
Et que des mecs le fassent comme dans un abattoir c'est plus inquiétant
Déjà que les abattoirs me foutent mal a l'aiseLe bon kebeb avec saucent interdite en France te fera rapidement oublier ça
une jeune fille violée et tuée a fini en kebab en Angleterre
From « ce pain je le mange sur un mort » to « ce mort je le mange dans un pain »
La photo avec la tête franchement elle m'a vener. J'suis pas bien.
C'est vraiment des fdp, même dans les jeux d'horreur ils arrivent ap à faire une mise en scène pire
Le 08 octobre 2020 à 07:44:25 FilsdeFilsde a écrit :
La photo avec la tête franchement elle m'a vener. J'suis pas bien.C'est vraiment des fdp, même dans les jeux d'horreur ils arrivent ap à faire une mise en scène pire
La réalité dépasse souvent la fiction.
Le 07 octobre 2020 à 23:18:08 BARRELIVEs a écrit :
Centre du don des corps… L’appellation pudique cachait une réalité inimaginable. Ces murs ont abrité un scandale d’Etat."À Descartes, on travaillait dans une puanteur terrible avec les défunts qui restaient là pendant des jours. Il y avait de grandes baies vitrées et le soleil tapait sur les cadavres. On faisait aussi ce qu’on appelle 'le frais', c’est-à-dire des pièces anatomiques [des morceaux de corps] qui ne sont pas embaumées", détaille Léopold. Le démembrement concernait tous les cadavres, "tous finissaient démembrés et les têtes coupées. Il était extrêmement rare qu’un corps parte entier à la crémation", dit-il. Soit il y avait un besoin immédiat et les corps étaient tout de suite mis à disposition, soit ils étaient congelés.
"Ce qui me choquait le plus, c’était l’irrespect total des défunts. Certains préparateurs s'amusaient avec les cadavres, ils prenaient les têtes pour des ballons et jouaient au foot avec dans le couloir, assure Léopold. Pour les pièces anatomiques fraîches et congelées, je me souviens d’un technicien fouillant dans le congélateur dans cette pseudo chambre froide. Il prenait les têtes et me les jetait. Je devais les rattraper au vol. J’en ai fait part aux responsables qui m’ont dit que le préparateur en question était 'sanguin'. Mais pour moi, on peut être sanguin tout en respectant les morts !"
"Ce que j'ai vu au CDC, c'était l'horreur absolue. Les conditions de travail étaient atroces, les canalisations toujours bouchées. On en avait jusqu'au tibia, on pataugeait là-dedans toute la journée. L'odeur était insoutenable." Il assure pourtant faire ce métier par passion : "J'adore l'anatomie depuis que j'ai 7-8 ans. J'ai toujours voulu faire ça. Et l'éthique, c'est important pour moi : on se doit d’honorer les donneurs."Un ancien dirigeant du centre confie : "J'ai mis beaucoup de temps à comprendre les préparateurs en anatomie. Des gens pour qui la frontière entre la vie et la mort s'est atténuée. Le problème, c'est qu'ils n'ont pas intégré nos règles d'éthique et d'hygiène. Leur manière de considérer les sujets [les corps] n'est pas la nôtre, leur éthique n'est pas la nôtre."
Selon plusieurs témoignages, le métier tutoie la folie. "Le Centre du don des corps, c’était Vol au-dessus d’un nid de coucou", glisse un ancien dirigeant de Descartes. Un autre ancien responsable du CDC ajoute : "Les préparateurs constituaient un royaume dans le royaume. C’est un monde à part. Il y avait 'le chef des têtes' et il était le seul à pouvoir y toucher. Je me suis toujours demandé s’ils exerçaient ce métier parce qu’ils étaient fous ou si c’était ce métier qui les rendait fous". Il y a cette anecdote révélatrice : un jour, un personnel administratif arrive dans le couloir, une tête très abîmée l’attend à l’entrée, posée par terre : "C’était une façon de me dire, ici on est chez nous, tu ne rentres pas." Un autre responsable ajoute : "Il y a des médecins qui voulaient des demi-têtes pour la chirurgie plastique ou ORL. Je leur ai dit que c’était terminé. J'ai ajouté : comment voulez-vous que les préparateurs ne deviennent pas zinzins si vous leur faites couper des têtes en deux ?"
La démence de certains préparateurs semble telle que l’un d’entre eux a même donné des coups de couteaux, un jour de colère, à un corps à l’intérieur d’une chambre froide, rapporte Jacques. Ce point est confirmé par un ancien responsable du centre.
Le jour de son arrivée au centre, Jacques se souvient avoir été accueilli par un préparateur paré d’un collier d’oreilles plastinées [la plastination est une technique de conservation]. "Je lui ai demandé comment il en était arrivé là. Il y avait aussi une tradition : mettre une gifle au mort avant de lui injecter du chlorure de zinc. Les corps n’avaient plus aucune valeur à part une valeur marchande". Et Jacques de détailler une "activité illégale avec des chirurgiens qui demandaient des mises à disposition de corps directement aux préparateurs, sans passer par la procédure normale. Ils les payaient sous le manteau." Là encore, cette information est confirmée par d’autres sources.
Ces techniciens gagnent le smic et, à l’université Paris-Descartes, ils étaient entre quatre et six à officier dans des conditions particulièrement sordides, un univers potentiellement propice à la violence et à la folie. Jusqu’à récemment, il n’était pas rare de les voir fumer dans la cour, vêtus de leurs grands tabliers tâchés de sang.
Un ancien responsable nous avait prévenus : "Les préparateurs qui démembrent les corps, c’est Zola. Comment peut-on demander à des gens de découper des cadavres pendant toute une vie ?"
Mais on le connaît l’humour carabin, m’étonnerait que y ai que le préparateur qui rigole quand il lance une tête au petit nouveau
« Non mais c’est eux ils sont zinzin nous on est docteur c’est pas parei »
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- Auteur
- BARRELIVEs
- Date de création
- 7 octobre 2020 à 23:18:08
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