Fin de AMERICAN PSYCHO
Le 17 février 2020 à 00:41:02 pseudoseikfjs a écrit :
J'aurais tendance à dire qu'il n'a tué personne, mais américan psycho 2 contredit cette affirmation
Faut commencer par le 3 cest pour ça, comme star wars
Le 2 a l'air d'une bouse, honnêtement. Il a rien à voir avec le premier. Patrick Bateman ne fait qu'un caméo le temps d'une scène. Ils avaient pas le budget pour l'acteur.
L'auteur du roman sur lequel se base le premier n'a même pas participé au projet. C'est juste une manière que des producteurs ont trouvé pour grappiller un peu d'argent en faisant un film avec un budget minuscule.
C'est le type de film de série B qui serait sorti directement en DVD au début des années 2000 ou en téléfilm.
Le 17 février 2020 à 00:42:54 Code_blanc24 a écrit :
Le flic est un nettoyeur,il sait tres bien que bateman est taré, et comme bateman est presenté comme quelqu'un d'important dans le film il est normal de penser qu'il est juste completement couvert a chaque fois qu'il fait des conneries.
Cest pas leon le nom du flic.. cest le bouffon vert, lenemi de batman
Pourquoi Mary Harron, la réalisatrice d’American Psycho, regrette la fin du film
"Je crois que j’ai raté cet aspect, car tout le monde sort du film en pensant que c’était un rêve, que tout était dans sa tête, expliquait à l'époque la réalisatrice. Mais je n’ai jamais voulu montrer ça… Je crois que j’ai raté la scène de fin, si les gens comprennent l’inverse. J’aurais dû faire quelque chose de plus ouvert. On a l’impression que tout s’est passé dans sa tête, mais de mon point de vue, pas du tout !"
Le 17 février 2020 à 00:46:19 Gentilesclave94 a écrit :
Vous parlez du film avec Norman Bath
Non celui avec bateman
Le 17 février 2020 à 00:44:53 Dignement a écrit :
Pourquoi Mary Harron, la réalisatrice d’American Psycho, regrette la fin du film"Je crois que j’ai raté cet aspect, car tout le monde sort du film en pensant que c’était un rêve, que tout était dans sa tête, expliquait à l'époque la réalisatrice. Mais je n’ai jamais voulu montrer ça… Je crois que j’ai raté la scène de fin, si les gens comprennent l’inverse. J’aurais dû faire quelque chose de plus ouvert. On a l’impression que tout s’est passé dans sa tête, mais de mon point de vue, pas du tout !"
C'est parce qu'il y a plus d’ambiguïté dans le roman.
L'auteur aimait cette ambiguïté. Les deux options sont aussi crédibles l'une que l'autre dans le livre.
Mais le film rend la deuxième option la seule crédible parce qu'ils ont coupé beaucoup des passages qui font vraiment douter de la santé mentale de Bateman dans sa vie de tout les jours.
Le livre est vraiment difficile à lire. T'as des pages et des pages de descriptions de vêtements et de marques de mode. Le héros fait vraiment une fixation sur son apparence physique au point d'évaluer mentalement l'IMC de tout les gens qu'il croise. Entre autre, il pète un cable parce qu'une meuf au comptoir d'une boutique porte des baskets qui ne sont pas de marque. Il est aussi un grand fan du Donald Trump des années 80 auquel il voue un culte.
En fait le film insinue qu'il s'est tout imaginé, mais j'ai l'impression que l'avocat est juste en train de couvrir ses meurtres.
Il a un haussement de sourcils comme pour dire "Tiens le voilà ton alibi"
En fait le meurtre en série est une métaphore de l'homosexualité que refoule le personnage principal.
Il a un secret qu'il tente de cacher. Un secret qu'il cache mal. Il est obsédé par l'apparence et ne peut s'empêcher de penser à un de ses collègues pour qui il a des sentiments forts.
En toile de fond du film (mais surtout du roman) il y a l'épidémie du SIDA des années 80.
Il a une relation avec une femme qu'il n'aime pas pour les apparences.
L'auteur du roman est homosexuel, lui-même. C'est étonnant que ce parallèle ne soit pas fait plus souvent.
Le 17 février 2020 à 00:31:53 :
Faut être un sacré mongole pour pas comprendre
Et après on s'étonne que des films bas de gamme comme le joker fasse fureur sur ce forum
Pourquoi tout le temps les victimes du forum vous parlez ? C'est dingue d'avoir une vie de slp et de devoir vomir sa haine sur un vieux site
Le 02 mars 2022 à 19:58:20 :
d’après la réalisatrice Mary Harron, ce n’est pas le cas : « Là où c’est un échec de ma part, c’est que les gens continuent de sortir du film en disant que c’était un rêve, et je n’ai jamais voulu ça. Je voulais simplement être ambigu, comme le livre l’était […] J’aurai dû faire une fin plus ouverte. On dirait que tout s’est passé dans sa tête, mais en ce qui me concerne, ce n’est pas le cas ». C’est justement tout le génie du roman. Le flou, l’incertitude, l’impossibilité de tirer le vrai du faux. Les faits purs et durs, et le fantasme funeste. Les bonus du film expliquent cette ambivalence : « On doit comprendre qu’il tue vraiment tous ces gens. Il n’est juste probablement pas aussi bien habillé, les prostituées ne sont pas aussi jolies, et tout ne se passe pas aussi facilement ». Dans le fond, le fait qu’il soit un véritable tueur importe peu. Le monologue final rend parfaitement justice à l’une des facettes les plus importantes du roman. À savoir l’indifférence totale de ses pairs suite à ses aveux accablants, et l’ironie cynique et égoïste qu’elle implique : « This confession has meant nothing ».
C'est beau, mais ils ont avoués que dans le scénario original il était prévu qu'il ait bel et bien tué tout ces gens.
Sauf que ils ont pas voulu faire un film ou le personnage est un malade mental, par exemple Joker en 2019 c'etait limite, donc ils ont laissé cette fin qui contredit tout le film, juste pour faire bien voir en fait, c'est dommage
Le 02 mars 2022 à 19:58:20 :
d’après la réalisatrice Mary Harron, ce n’est pas le cas : « Là où c’est un échec de ma part, c’est que les gens continuent de sortir du film en disant que c’était un rêve, et je n’ai jamais voulu ça. Je voulais simplement être ambigu, comme le livre l’était […] J’aurai dû faire une fin plus ouverte. On dirait que tout s’est passé dans sa tête, mais en ce qui me concerne, ce n’est pas le cas ». C’est justement tout le génie du roman. Le flou, l’incertitude, l’impossibilité de tirer le vrai du faux. Les faits purs et durs, et le fantasme funeste. Les bonus du film expliquent cette ambivalence : « On doit comprendre qu’il tue vraiment tous ces gens. Il n’est juste probablement pas aussi bien habillé, les prostituées ne sont pas aussi jolies, et tout ne se passe pas aussi facilement ». Dans le fond, le fait qu’il soit un véritable tueur importe peu. Le monologue final rend parfaitement justice à l’une des facettes les plus importantes du roman. À savoir l’indifférence totale de ses pairs suite à ses aveux accablants, et l’ironie cynique et égoïste qu’elle implique : « This confession has meant nothing ».
Enfin ils ont pas voulu faire un film ou le personnage principal est un mec qui tue des gens surtout, car ca pourrait entrainer certain psycho qui regarde le film a passer a l'acte
Le 02 mars 2022 à 19:58:20 :
d’après la réalisatrice Mary Harron, ce n’est pas le cas : « Là où c’est un échec de ma part, c’est que les gens continuent de sortir du film en disant que c’était un rêve, et je n’ai jamais voulu ça. Je voulais simplement être ambigu, comme le livre l’était […] J’aurai dû faire une fin plus ouverte. On dirait que tout s’est passé dans sa tête, mais en ce qui me concerne, ce n’est pas le cas ». C’est justement tout le génie du roman. Le flou, l’incertitude, l’impossibilité de tirer le vrai du faux. Les faits purs et durs, et le fantasme funeste. Les bonus du film expliquent cette ambivalence : « On doit comprendre qu’il tue vraiment tous ces gens. Il n’est juste probablement pas aussi bien habillé, les prostituées ne sont pas aussi jolies, et tout ne se passe pas aussi facilement ». Dans le fond, le fait qu’il soit un véritable tueur importe peu. Le monologue final rend parfaitement justice à l’une des facettes les plus importantes du roman. À savoir l’indifférence totale de ses pairs suite à ses aveux accablants, et l’ironie cynique et égoïste qu’elle implique : « This confession has meant nothing ».
Le fait qu'il tue des innocent surtout
Données du topic
- Auteur
- Jauseff6
- Date de création
- 17 février 2020 à 00:26:28
- Nb. messages archivés
- 37
- Nb. messages JVC
- 37