[RISITAS] Mes histoires SEXUELLES en Asie

Le 03 janvier 2020 à 01:16:55 Clum a écrit :
Je pige pas, comment deux meufs qui doivent faire 50kg chacune descendent des verres + 2 bouteilles ?

C'est quoi leur objectif dans la vie en plus ? Genre elles attendent dans ce bar que des mecs viennent leur payer des verres et ensuite ? Qui aime l'alcool à ce point ?

J'aurais du le préciser dans le texte, en fait ces filles sont des hôtesses et touchent des coms sur les ventes. Tu payes un verre 20e pour elle et elle en gagne une partie. La même conso pour moi ne m'aurait pas couté 20e. En échange elle reste avec toi au minimum, la suite ça dépend de pas mal de choses. Mais clairement c'est leur métier de rester là et de faire consommer ! Tu verras dans les prochains chapitres qu'elles font vraiment tout pour que tu consommes !

Chapitre 4 : La Cambodgienne

La soirée bat son plein, les deux nanas qui sont apparemment thailandaises se frottent le boule sur mon entre-jambe comme dans les clips de Rap US. On s'amuse !



Il faut savoir qu'à ce moment précis il est 4h du matin, ça fait un bon moment que je suis là, toujours plus bourré. Avec cette tension sexuelle permanente qu'elles savent savamment entretenir, je ne peux m'empêcher de poser la question suivante à ma dulcinée :

- 'Can I fuck you ?'

À ça elle me réponds :

- "Yes, but I want another bottle !'.

Sans plus attendre, je me précipite au bar pour commander la 3e bouteille. C'était donc si facile ?!

Ma nouvelle femme remarque la bosse sur mon pantalon et ne peut s'empêcher de faire part de sa découverte à tout le staff : regardez sa bite ! C'est énorme !

On rigole bien...



Alors qu'on sirote cette troisième bouteille, l'autre fille, toujours présente, la fait tomber.

Bien qu'on pourrait lui donner le bénéfice du doute, il parait évident qu'elle l'ai fait volontairement pour me pousser à racheter une 4e bouteille, chose que je fis sous l'influence de ma bite en érection, devenue le véritable joystick de mon cerveau.

À ce moment là l'amour de ma vie s'adonne à des gestes bien cochons, comme le fait de mettre sa tête au niveau de mon entre-jambe et de faire des va et viens rapide mimant ainsi le geste de la pipe.

En plus de ce geste grivois, elle émet des petits sons de chiot apeuré qui ne manque pas de me donner la gaule.

Il ne faut pas oublier que j'embrasse fréquemment ma femme, sous les gloussements de son amie. Il m'arrive aussi de lui caresser le cul. Il est beau son cul.

J'apprends que le club ferme à 7h du matin et cette heure se rapproche. Ayant été excité toute la nuit par ces 2 petites coquines, j'imagine la scène de boule la plus intense de ma courte vie avec cette déesse de Bangkok.


À ce moment là, l'une va au bar et l'autre aux toilettes, ou bien l'inverse, je ne sais plus trop...
Elles ne reviendront pas. 
J'attends là, un peu, beaucoup, jusqu'à me rendre compte que l'endroit va fermer et qu'il n'y a plus personne.



Dur d'expliquer à quel point je suis déçu à ce moment précis tant l'alcool tape fort. Ce dont je me rappelle plus précisément néanmoins, c'est la frustration sexuelle qui m'habite.


Je déambule dans le grand complexe et finis par trouver la sortie. Les couilles grosses comme ma déception.

Il est l'heure de trouver un taxi, et c'est là qu'une jolie cambodgienne m'aborde.
Etait-elle vraiment jolie d'ailleurs ? Elle me propose de coucher ensemble. Au moins c'est plutôt direct. Je lui demande le prix, et si elle connaît un endroit.

De souvenir, il me semble que le prix était quelque part entre 100 et 150€ et oui, elle connaît un endroit. On prend alors le taxi ensemble direction l'hôtel. J'arrive devant la réception, à 8h du mat, brisé par l'alcool.

Je donne ma carte d'identité pour le check in et règle en liquide. Nous montons dans la chambre. Elle me propose alors de prendre une douche, chose que je fait machinalement, puis nous nous dirigeons nus vers le lit, ou plutôt elle me dirige vers le lit.

Allongée sur le dos, elle souhaiterait que je lui lèche le minou. Probablement par soucis de lubrification. Dur de réfléchir, je m'exécute docilement jusqu'a qu'elle sorte un préservatif. Une fois enfilé, je la pénètre en missionnaire.

Enfin.

Après toutes ces tentations, mon cerveau arrive enfin à ses fins. Mais est-ce vraiment appréciable ? Je suis ivre mort et épuisé... Cela ne m'empêche pas de faire des va et viens entre ses cuisses jusqu'à qu'elle me demande étonnamment tôt

- Oh yeah baby, cum in inside me, go go go

Bien que je trouve la proposition prématurée (cela doit faire une poignée de minutes et seulement une position), il m'est inconcevable d'agir différemment. J'expie alors toute ma frustration et ma galère nocturne au fond de ce bout de latex, vaincu. Pauvre bête.

C'est alors que j'ai fait une erreur qui aurait pu me coûter très très cher. Je commence à m'endormir. Il faut savoir qu'une arnaque très connue en Asie et celle de s'endormir après l'amour avec une prostitué pour qu'elle puisse s'en aller avec ton argent et tes papiers.

Heureusement j'étais tombé sur une belle personne puisqu'elle me réveilla en me disant qu'il fallait y aller. Une fois rhabillé, nous nous en allons et reprenons chacun nos vies. Je rentre dans mon dortoir, sans trop avoir compris ce que je venais de vivre.

Le 03 janvier 2020 à 11:16:43 Miesantrope a écrit :
tu as beaucoup de chapitres en attente l'op ?

Je suis en train d'écrire le suivant !

Le 03 janvier 2020 à 11:23:00 shideneyu a écrit :
Tu me donnes envie d'écrire un Risitas sur ma vie.

Vasy ! Perso cest les risitas des autres qui m'ont finalement poussé à sauter le pas. Pour les sous je ferais les comptes dans le chapitre suivant !

la 1ere nuit est intéressante a singapour

Sweett,