Les pavés les plus EPIQUES de JVC , selon vous ???????????
Le 25 août 2019 à 15:26:15 Hirondelled a écrit :
Tout commence quand tu te dis je vais me faire une journée au parc asterixLà tu vas près des attractions a sensations
Tu te dis que c'est toujours là qu'on se fait la même poire
Au dernier moment, tu captes que t'es le seul sur les gens qui a pas de urine
T'es là devant tout le monde en train d'acheter des tickets pour l'attractions
Là t'as le mec des attractions oulà tu commence à te dire mais
Et là t'as trois fils de happiste
t'es en train de dire à la pleurotte de tes calecon et t'as plein de gens qui se disent ouais
tu fais demi tour, tu vas près de la ou le mec qui a fait oziris fait des princes et tu prends le racourci des attractions et tu dis ouais ouais ouais mais t'as les gosses qui font du bruit de partout
t'es le seul à avoir redescendu l'attraction, t'es cerné
et là tu tombe sur le fric des touristes avec les types et le arbres pire que central park
T'as 7 types qui font les tartines et qui balance toute plein de bite par la fenêtre qui se pointent en mode mais t'es pris l'avion le matin de mes coquillage de mer ?
là tu finis dans une piège de JigSawtu ressors toutes les fois ou t'as pris le mal de tes chaussures et hop, la rousse de jurassic world ni vu ni connu
t'as plus qu'a prendre ton pec et tes trois sac de riz et tu vas direction la sortie et tu pisse sur tous ceux qui pleure pas pour toi
Hey dis donc Jamy ! c'est quoi les femmes ?
Et bien c'est très simple, les femmes sont des hommes comme nous mais de sexe féminin, c'est à dire qu'elle possède un vagin, elles vivent dans le même monde que nous et cohabitent même avec nous en société !
Mais Jamy, à quoi ça sert à une femme ?
Et bien c'est d'une importance capitale en biologie, puisqu'e elles sont féconde Fred ! féconde ! c'est à dire qu'elles peuvent être enceinte et ainsi perpétuer l'espèce !
Féconde ? Et en dehors de ça ?
Oh la la la , je sais pas si on peut le dire mais ..elles servent aussi au plaisir SE-XU-EL Fred !
Et bien c'est très simple ! Tout se passe au niveau du cerveau !
Tiens, prenons l'exemple d'Avenoelien , Avenoelien est un homme lambda, en bonne santé ! quand il marche dans la rue et qu'apparait devant lui une Femme elle aussi en bonne santé et physiquement acceptable, voilà ce qui se passe.
Avenoelien remarque une présence féminine , celle ci stimule son cerveau celui ci envoi alors un signal au membre inférieur car il voit ici une occasion de procrée, Avenoelien est tout bizarre, il est "EX-CI-TE" Fred ! Ex-ci-té !
Ah ! c'est pour ça que j'ai la quequette toute dure quand une belle femme passe devant moi Jamy ?
Mais dis moi Jamy ! Pourquoi est-ce que je suis moins intéressé par les femmes que Avenolien ?
Bonne question Fred ! en vérité tu l'es tout autant ! mais tu es célèbre et riche ! tu possède l'argent du service publique ! tu as donc la naïveté de croire que ta Femme (que j'ai baisé) est amoureuse de toi ! hors si tu n'étais pas riche elle ne t'aurait même pas calculée !
Avenoelien lui est un prolot de base ! il est donc puceau Fred, oui, PU-CEAU, c'est pour cela que s'accumule en lui ce qu'on appelle la frustration sexuelle
Il pense donc encore plus au sexe que toi, car il n'a pas pu satisfaire son instinct reproducteur une seule fois dans sa vie ! Il faudra qu'il baise un jour pour enfin se rendre compte que le sexe est surcoté !
Hey mais Jamy, si Avenoelien souhaite faire l'amour, il lui suffit d'être drôle et sympathique non ? ce sont les femmes qui disent ça je viens de voir ça sur twitter regarde !
C'est un leurre que les femmes ont crées, en vérité la seule façon d'avoir une copine c'est d'être riche ou de lui apporter quelque chose, sinon tout les puceaux du 18-25 aurait eu une meuf ! ils sont bien plus drôle que les lambdas !
Tien regard Fred, ça c'est Laetitia, elle rencontre Franck dans un bar PMU, Franck est drôle, sympathique et fou amoureux de Laetitia, mais Laetitia s'en fiche car Franck est un SMICARD !
Maintenant prenons exactement le même beauf que Franck mais rajoutons lui quelques millions d'euros nous l’appellerons Johnny et la célébrité, voilà ce qui se passe
Le cerveau de Laetitia comprend que Johnny est riche, son instinct de michto s'active donc et Johnny est à ses yeux l'homme parfait, l'homme de sa vie, un homme respectable
En vérité, les femmes n'en ont strictement rien à foutre de qui tu es, elles veulent ce que tu as !
Tiens citons un passage de ce topic de JVC qui résume parfaitement le système féminin :
Le 18 décembre 2017 à 16:00:20 Avenoelien a écrit :
I love big ass
Mdrrr ta vu hier toni mahfud sur insta il a posté "i love big ass" il mtue de ouf le mec il s'en bat les couilles
Oué grv, il s'en fou du regard des gens j'le kiff trop
Mdrrr il veux quoi lui ? "salut les amis" en mode on est ses amis mdrrr
Tin les mecs comme ça qui en honte de rien ça m'dégoute
Tu vois Fred ? Une femme c'est intrinsèquement malhonnête
Mais Jamy, les lesbiennes alors ? elles sont quoi elles ?
Et bien c'est très simple, les lesbiennes qui sont en hausse depuis 50 ans (depuis que la femme est devenue une véritable reine privilégiée en société) sont le reflet du pouvoir féminin dans notre société ou la misère sexuelle règne
En effet celles ci ont compris qu'il n'y avait même plus besoin d'avoir un homme pour être protégée, puisque tout les hommes au quotidien la protège déjà et la privilégié car c'est une femme
Pour environs une femme, on estime 50 000 mecs en chien dans le monde, au minimum, plus sa note de beauté (entre 1 et 10) augmente plus le nombres de mec en chien augmente, si elle possède instagram ou autres c'est encore pire, les femmes de nos jours, sont des reines, elles ne connaissent ni la misère sociale ni la frustration sexuelle, c'est pour ça qu'elles ne comprennent pas les hommes et leurs crachent dessus.
La vérité Fred c'est qu'il n'y a pas plus persécuté qu'un homme au 21e siècle, misère sociale, sexuelle, frustration, compétitivité, la femme ne connait pas ça, pas autant, elle est dans sa bulle, la femme est tellement privilégiée en société qu'elle s'invente des problèmes (drague de rue, balance ton porc, Weinstein, inégalité salariale, et autres) alors qu'on sais tous que c'est des conneries si on analyse un minimum le sujet
En vérité tout ça c'est de la faute des hommes qui ont offert des droits trop important au femmes, l'égalité c'est quelque chose, mais là c'est plus de l'égalité, elles sont très largement au dessus de nous.
Et le pire c'est que ceux qui idéalise les femmes et croient en "l'amour" sont des gens qui souvent sont puceaux et insultent ceux qui critiquent les femmes de puceaux, en vérité, ce sont eux les puceaux, ils connaissent tellement mal les femmes qu'ils sont encore naïf, mais quand on connais le terrain, quand on connais les femmes, on sais que le seul comportement qu'on doit avoir avec quel c'est les manipuler, les baiser puis les quitter comme disait Oscar Wilde.
D'ailleurs en parlant d'écrivain, citons le grand philosophe Schopenhauer au sujets des femmes
Mais que peut-on attendre de mieux de la part des femmes, si l’on réfléchit que dans le monde entier, ce sexe n’a pu produire un seul esprit véritablement grand, ni une œuvre complète originale dans les beaux-arts, ni en quoi que ce soit un seul ouvrage d’une valeur durable. Cela est saisissant dans la peinture ; elles sont pourtant aussi capables que nous d’en saisir le côté technique et elles cultivent assidûment cet art, sans pouvoir se faire gloire d’un seul chef-d’œuvre, parce qu’il leur manque justement cette objectivité de l’esprit qui est surtout nécessaire dans la peinture ; elles ne peuvent sortir d’elles-mêmes. Aussi les femmes ordinaires ne sont même pas capables d’en sentir les beautés, car natura non facit saltus. Huarte, dans son célèbre livre Examen de ingenios para las sciencias qui date de 200 ans, refuse aux femmes toute capacité supérieure : « Le cerveau féminin est ainsi fait que la femme n’est capable ni de beaucoup d’esprit ni de grande sagesse. » De même au chapitre 15 : « Dans la mesure où la femme est ce qu’elle est, chaque genre de littérature et de science est contraire à son esprit… Les femmes donc, à cause de la froideur et de l’humidité de leur sexe, ne peuvent atteindre à aucune profondeur d’esprit. Nous voyons maintenant qu’elles parlent avec adresse de choses insignifiantes et futiles.
Hey mais Jamy tu va te faire bannir ton pseudo avec ce pavé
Et non Fred ! en effet les modérateurs étant des esclaves de webedia non rémunéré, leurs QI est forcément faible, ce qui fait qu'ils ne prendront pas la peine de lire tout ce topic avant un bon moment, ce qui laissera le temps à pas mal de khey de copié ce message et de le re-spammer à nouveau
Le pavé du saladier d’Auchan
Je faisais mes courses tranquillement pour faire le dîner de ce soir vu que je reçevais des amis. Je remplissais tranquillement mon caddie quand soudain, j'ai senti comme une déflagration lointaine et sourde au plus profond de mes entrailles, ce qui ne manqua de faire vibrer tout mon corps.
Je sentais que le barrage allait céder. A tout moment, une brèche pouvait se créer. J'avais beau faire des mouvements respiratoires avec mon anus pour me faire remonter le flot de merde, ça n'avait aucun effet.
J'étais en sueur, j'avais de la fièvre, mal au ventre, j'étais trop mal. Je voulais aller à la caisse, toute pleine sauf une. Je me mis soudainement à accélérer, ce soudain mouvement de translation rectiligne accéléré libéra une petite pépite. J'arrivais à la caisse quand une vieille me passa devant au ras du nez. Dans ma tête, j'explosais mais j'essayais de me retenir. Bref, au moment de payer cette conne commence à sortir un rouleau de coupon de promotion digne d'un paquet de PQ Lotus XXL.
"Excusez-moi mademoiselle, j'avais ces coupons de réduction, pourriez-vous me les déduire de la somme s'il vous plait."
"Mais ils ne sont plus valables madame."
"Ah bon, vous êtes sûrs. Laissez-moi prendre mes lunettes dans mon sac."
J'avais réussi à colmater la brèche et à fermer hermétiquement mon cul pour un moment de répit. Mais la vieille ne daigner se magner le cul.
"Bouffe les tes coupons vieille bique et retourne donc te doigter sur Derrick!" grommelais-je.
Elle se retourna.
"Pardon, c'est à moi que vous parlez jeune homme?"
Putain, je l'attendais de manière trouble et lointaine la vieille, c'était comme si la merde m'était monté au cerveau pour sortir par ailleurs. J'atteignais les 40°C de fièvre, je commençais à voir trouble et je sentais que je perdais le contrôle sur mon sas anal. Discrètement, je me glissais un magazine Télé Z dans mon pantalon pour venir obstruer mon cul qui commencait à sentir des relents de cssoulet et raclette Richemont.
Soudain, il y eut une deuxième déflagration et un pet foireux dont je n'avais même pas soupçonné l'arrivée imminente. Je sentis que la couverture du télé Z avait absorbé en grande partie le choc mais combien de temps avant que le télé Z ne soit entièrement dépassé par les évènements lui aussi. Je me rappelais soudain la face innocente du chien sur la couverture, qui devait à présent être souillé jusqu'à la truffe d'une éruption volcanique
Impossible de rester plus longtemps à cette caisse, trop tard pour fuir, je devais chier et je devais chier dans Auchan au milieu de cette jungle.
Décidé à fuir, je fis demi-tour à l'arrache avec mon caddie un pe utrop rapidement et la roue se coinça soudainement dans la jante de la roue d'un fauteuil roulant.
Pris de panique, je secouais mon caddie comme une brute épaisse pour en dégager la roue qui visiblement rester coincé.
"Mais putain de merde de conne de roue, mais bouge de là toi avec ton bolide! hurlais-je sur l'handicapé moteur.
Ce dernier, effrayé, gémissait de plus en plus fort.
"Euuugneuuu gueugueugneugneu".
"Putain mais ta gueule et aide-moi ducon sinon on court tous à la catastrophe!"
Je secouais mon caddie comme jamais, le fauteuil roulant menacer de se renverser. Les gens, visiblement choqués, s'attroupaient autour de nous.
Une femme arriva subitement.
"Non mais ça va pas! cassez-vous ou j'appelle la sécurité! Vous effrayez ce petit"
Pas le choix, je lâchais mon caddie qui restait tjs coincé dans le fauteuil roulant de l'autre débile et je me barré en courant.
Soudain, je vis un magnifique saladier.
"Pas le choix Herculos, t'as déjà fais du gâteau au chocolat, c'est à peu près la même chose".
Hop, j'attrape le saladier à la vitesse du son et je cours dans le rayon vêtement, me cacher derrière les lignes de pantalon.
Serein, je défis mon pantalon, complètement empêtré dans la merde. Je me mis accroupis, tenant le saladier en réceptacle pour ma pêche. Soudain, j'entendis une voix douce et fine. Deux filles apparurent, magnifique. L'une brune et l'autre châtain. La châtain, Lisa de ma promo
La fille de mes rêves
Un pet foireux m'arrachait soudainement de mes pensées. Hélas, comme dans MGS2 avec les points d'exclamations, les filles furent alertés.
"C'était quoi ce bruit?"
"Je sais pas, ça venait des pantalons."
Impossible de me retenir plus longtemps, je devais les faire fuir sinon j'étais foutu pour la rentrée prochaine. Un deuxième pet, plus long, plus aigu, plus sifflant et plus strident s'éleva. Le problème, c'est qu'il aurait pu rester discret si le saladier n'avait pas agi comme caisse de résonnance. Les filles avaient spotted ma planque. Pas le choix Herculos, désolé Lisa.
Je me saisis de mon pantalon et le jetais au visage de ma tendre aimée. Je ne l'avais pas manqué, le visage souillait, elle ne comprit pas tout de suite. Puis elle hurla, hurla tellement fort que j'en profita pour me vider du gaz accumulé dans le rectum.
Ouf, elles sont parties. Je pouvais enfin en terminer avec cette sordide histoire tout en imaginant déjà le pavé que j'allais pondre sur le 18-25
Alors que mon saladier était déjà à moitié rempli, une petite main tâtonnait les pantalons. Un putain de gosse de merde s'amusait à déplacer les pantalons, menaçant de me révéler u grand jour. Paniqué, je tenais d'une main le saladier tremblant tandis que de l'autre, j'essayais de colmater les brèches que cet enfant persistait à crée. Il se mit à glousser de rire et pensait à un jeu car il augmenta la cadence. J'étais épuisé, le bras à feu. Le saladier tremblait de plus en plus et de ce fait, je commençais à dévier la trajectoire de chute. Je commençais à me chier dans les mains et à chier par terre.
"Mais dégage conard de merdeux.C'est vraiment pas possible de chier en paix? ".
Bordel, j'arrivais pas à tenir la cadence. Soudain, mes pieds glissèrent sur une trainée par terre, je retombais sur le sol, plein de merde, et je rattrapais le saladier de justesse. Soudain l'innocent enfant me voyait vautré dans ma merde, j'étais paniqué, ma vie était foutu. Je voyais déjà les journaux déformaient la vérité avec leur version:
"Un homme de 20 ans, gourou d'une secte scatophile, cherchait à instruire à un enfant des rites paiens scatophile dans les rayons ésotériques d'un Auchan"
Dans ma tête, je me disais: "pitié ta gueule! n'hurle pas, ne détruit pas ma vie, je suis en fac de cuisine, j'ai de l'avenir "
Soudain, il se mit à hurler, pleurer. Mon seul réflexe a été de lui foutre le saladier sur la tête. Alors que j'allais pour fuir, une silhouette immense apparut:
"Non mais sale pervers de merde, attends tu vas voir."
C'était le père, il essaya de m'attrapa mais glissa et tomba dans la merde où j'étais moi aussi jusqu'au cou.
"Gneeeuuuargll......Raaaahhh putain mais c'est dégueulasse, c'est quoi toute cette merde! ".
Je pris mon pantalon dans les mains et me mit à courir à travers tout Auchan. Saisissant une laitue bien fournie, j'en profitais pour me torcher avec sous le regard traumatisé de Jean-Pierre Coffe, le vrai l'authentique.
"Mais c'est de la merde! S'exclama t-il soudain alors qu'il reluquait des topinambours. Mais qu'a t-il fait avec cette mignonne petite salade?"
Soudain, il se mit à me poursuivre. J'arrivais à la caisse et j'entendis:
"C'est lui, c'est ce pervers!"
Je voyais le visage de Lisa. Je me mis soudainement à éclater en sanglot alors qque je prenais la fuite, poursuivis par Jean-Pierre Coffe et trois caissiers du Auchan
Je l'avais copié mais je le retrouve plus, si quelqu'un peut le poster ça m'intéresse
Le 25 août 2019 à 15:52:52 Masscon a écrit :
Quelqu'un peut poster le pavé big flo et oli?
Déjà posté remonte les pages
Le pavé Turquie, mythique.
Si quelqu'un là, poste ou pm
Triompher d'un gorille nues mains {Tirade MMA} https://www.jeuxvideo.com/lsse/forums/message/913507569
Celui-ci est énorme
[15:25:04] <92000>
"on s'en branle de ton topic de merde, nous ce qu'on veut c'est baiser"
je l'aime bien lui
Les stickers m'avaient fait loucher, je dois l'admettre
Pavé orthographe , un khey avait fait 2 misérables fautes
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Sombre illettré impénitent, apprends à écrire ! Pourquoi une telle inappétence linguistique ? Pourquoi ne fournis-tu pas le moindre effort pour surmonter tes exorbitantes, malséantes et incommodantes lacunes orthographiques, et du même coup obvier aux ténèbres idiolectales en lesquelles tu te meus ? Est-ce lié à une déficience d'instruction ? à une nature indiciblement cossarde ? Tu m'atterres suprêmement. As-tu conscience de porter la déliquescence à son paroxysme ? Tu avilis la société. Tous ceux qui, à l'instar de ta fangeuse personne, sont inaptes à la graphie congruente à leur moyen d'expression participent de l'alarmant, patent, endémique et incoercible nivellement. Honnêtement, ton orthographe défaillante ne te lèse-t-elle pas dans la vie quotidienne ? ne s'en gausse-t-on jamais ? C'est un indubitable handicap, dont tu t'enorgueillis ; cela me révulse. Tu te vautres dans un ostensible illettrisme. Voilà qui est affligeant.
Peut-être eût-il été envisageable d'engager un dialogue construit et pondéré mais avec un niveau aussi bas, tu dois compter parmi ces béotiens qui deviennent furibonds dès que l'on a l'outrecuidance de remettre en cause leur « personnalité orthographique », leur droit inaliénable à ne pas savoir conjuguer, leur sacro-sainte liberté de malmener la langue française, et c'est désolant. Un peu de calme, de recul et d'échange posé et consciencieux sans immédiatement percevoir comme pédantes et amphigouriques objurgations ce qui n'est qu'humbles recommandations relève sans doute de l'utopie. Aujourd'hui, le progrès est vu comme dégénérescence, la liberté comme ostracisme.
On peut, sans aboutir à une hâblerie, faire état d'analphabétisme. Tu pourras objecter que tu te fais approximativement entendre – quoique tes propos puissent paraître nébuleux en raison des multiples impropriétés qui parsèment tes phrases –, mais je n'ai cure de la clairvoyance : je fais ici allusion au respect des règles basales et irréfragables de la langue française, qui est le fondement de la déférence vis-à-vis de ses interlocuteurs. Être mauvais en orthographe n'est pas une tare définitive et incorrigible mais excusable, c'est un état foncièrement funeste qui dénote une certaine confusion interne de l'esprit. Quand on est incapable d'écrire convenablement et de bâtir des phrases correctes, c'est qu'on ignore le fonctionnement global des mots qu'on emploie, et dans une moindre mesure cela engendre des entraves au cheminement de la réflexions et à la formulation des idées qui en découlent, formant ainsi des angles morts dans la pensée. Souviens-toi que l'on pense à travers les mots, et que l'égalitarisme cosmopolite qui escamote de plus en plus la place de l'orthographe pour ne pas mortifier nos pauvres écoliers incapables de manier leur propre langue ne suffit pas à oblitérer ou à atténuer la portée des faits. La novlangue symbolise l'aboutissement la désintégration de la langue. Le principe est limpide : plus on restreint le nombre de mots d'une langue, plus on limite le nombre de concepts avec lesquels les gens peuvent méditer, plus les finesses du langage s'amenuisent, moins la population se montre prompte à la concaténation, plus elle raisonne à l'affect. La maîtrise défaillante de la langue rend les individus nigauds, obtus, dépendants, apathiques, acrimonieux, les conduit à l'ilotisme, les réduit à la déréliction, les condamne à la turpitude.
En conséquence, je t'engage à travailler ardemment ton français et à inviter toutes tes connaissances affichant les mêmes faiblesses désarçonnantes que les tiennes à en faire de même : la nécessité d'exhorter à ce type d'initiative philologique m'apparaît comme essentielle à une époque télématique où la concision de certaines contributions n'a d'égale que la fantaisie de leur expression. Je serais chagriné que tu perçusses mon anathème comme une estocade caustique procédant de la circonspection à laquelle je m'astreins invariablement, laquelle me confère la faculté d'accéder à une harmonie idéale avec mon inconscient et, ipso facto, à ne pas perpétuer de révoltantes inexactitudes linguistiques telles que les tiennes, mais sans qu'il s'agisse nécessairement de s'imposer la méticulosité qui doit être la nôtre lorsqu'il est question de calligraphier sur un palimpseste, permets-moi toutefois d'épancher les affres qui sont les miennes à mesure que, profitant de l'ubiquité permise dans la sphère virtuelle, je constate l'hécatombe que font subir une pléthore de faquins iconoclastes à notre mirifique idiome. Et pour n'en citer que quelques aspects, je t'invite à remarquer l'absence des signes diacritiques. Pis encore lorsque, involontairement ou consciemment, certains vont jusqu'à verser dans la polysyndète ou bien encore l'anacoluthe, phénomène qui t'inclut certainement et qui, partant, motive amplement le parachèvement de ma philippique.
Et c'est en toute conscience que je déclare avec conviction que les circonstances qui nous échoient obligent à la prise en compte encore plus effective d'une valorisation sans concession de notre moyen d'expression principal : les mots ! Et j'ose espérer que ce n'est pas toi, mon cher compatriote, qui rompras en visière si j'affirme solennellement que l'aspiration plus que légitime de tout un chacun au progrès expressif entraîne un apostolat somme toute des plus exaltants pour moi : l'élaboration d'un projet porteur de véritables promesses linguistiques, notamment pour les plus démunis. Dès lors, sache que je guerroierai pour faire admettre que la conjoncture actuelle doit tenir compte des préoccupations de tous ceux qui vilipendent le SMS sans pour autant prêter considération aux bonimenteurs qui font dans le superfétatoire à l'occasion de propagandes parfaitement inopérantes. L'essor des clavardages atteste de leur stérilité. Avec plus d'attention, plus de rigueur, nous pourrons atteindre l'apex de la clarté, de sorte in fine que les incompréhensions s'étioleront pour que plus rien ne vienne entacher notre insatiabilité communicative. L'impéritie n'est pas une fatalité ! Et considère qu'il s'agit là de prolégomènes à une action déterminée.
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[15:32:24] <TheBunk02>
Toi, fiers mâle alpha ou souffre-douleur, peu importe qui tu es ! Pendant le temps que dure une levrette nous sommes tous des seigneurs de guerre. Ta virilité se cristallise, tu es le dominant, le maître de se bout de viande prosternée à 4 pattes devant toi. Tu la sens soumise à toi et tu as bien raison car elle l’est ! Pourquoi serait-elle nue en face de toi sinon ?Agenouillé tel un guerrier grec, tu regardes avec un plaisir accapareur le corps de ta femelle tel un présent qui t’est offert. En face de toi, se dresse son corps nu sur lequel tu peux apprécier sa délicieuse paire de fesses agrémentée de ses formes féminines qui libère en toi des instincts primaux. Son postérieur est à toi, tu peux en faire ce que tu veux. En contrebas, tu vois trôner son vagin, véritable fort à assiéger, gouverné par un souverain étrillé qui à la vue de votre pièce, sans appel, ouvre l’impénétrable cuirasse que forment ses lèvres charnues aux teintes rosées tels les pétales d’une rose à la première rosée du matin. Ton pénis, non ton dard que dis-je ton rostre reproducteur se dresse. Rien n’est plus éminent que le sexe masculin et je défie le sexe faible de pouvoir dresser leur sexe à la seule force de leurs pensées.
En face de toi, ce n’est plus une femme mais une catin. Tu te dis quelle honte de laisser son vagin en pâture ! Tant pis pour elle, si elle ne fait pas preuve d’amour propre, toi tu ne vas pas te priver pour la pénétrer. Quatre milliards d’années d’évolution se sont écoulées pour aboutir à cet organe de soumission. Organe passif, fait pour être perforé et recevoir la semence… ta semence.
Du premier coup, ton pénis rentre. Ce n’est pas agréable dès les premiers assauts car malgré les sécrétions qui s’écoulent de son vagin, tu sens une petite résistance. Tu recules ton rostre et tu reviens à la charge tout doucement. Non pas par respect pour ta partenaire car tu n’en n’as aucun, sinon pourquoi la prendrais tu en levrette ? Non la raison t’est plus personnelle, la douleur t’est gênante lorsque tu tapes sur cette barrière imperceptible. Néanmoins, suite à ta détermination sexuelle infaillible mélangée à l’excitation de ta partenaire, le coup fatidique s’en suit très vite et ton rostre par un élan homérique assiège la dernière poche de résistance, telle la tête de loup éventrant la porte de Minas Tirith. Cette barrière dérobée, tu as accès à la partie profonde de son vagin, véritable place stratégique pour ton éjaculation. Tes sécrétions séminales qui suintent de ton prépuce gonflé de plaisir se confondent dans ses sécrétions vaginales. Ton pénis est ancré, plus rien ne peut compromettre ton projet.
S’en suit des coups de pénétration frénétiques. Ton gland embrasse ses parois vaginales de plus en plus fort. Le rostre glisse sur ses parois vaginales à chaque à-coup tel la coque d’un drakkar glissant sur l’eau. Chaque pénétration est motivée par le gémissement de ta captive. Mais comme tout général de guerre, tu es confronté à un problème de taille. Son vagin est en train de se foutre littéralement de ta gueule. Il te provoque et te met au défi. «Tu me défonces là ?» entends-tu au loin. S’en est trop, tu dois lui faire payer son insolence. Tu l’as pénètre de plus en plus fort, de plus en plus vite et toujours plus profondément. Cette fois tu n’entends plus aucune vocifération, son vagin étouffé par ton sexe ne dit plus mots. Ses seins, si ils sont assez longs, applaudissent au rythme maniaque des tiraillements de cette joute bestiale. Ton pubis cogne et gronde sur son fessier replet. Ta position t’autorise à admirer la chorale physique qui s’orchestre. Quant à elle, dans sa position, elle ne peut te regarder. De toute façon elle n’en n’a pas besoin. C’est toi qui doit jouir pas elle. Elle ne fait que s’offrir à toi. Tu vois tout d’elle et c’est tout ce qu’on demande pour une levrette. Une règle primordiale en levrette, est de ne pas être emmerdé pendant l’acte car une éjaculation requiert concentration. De toute façon à quoi pourrait-elle penser ? A vous 2, vous baladant au bord d’un lac ? A des câlins ? Le fait de te penser amoureux d’elle l’excite ?... Pensées naïves et triviales. Toi tu ne penses qu’à une chose : Littéralement défoncer son vagin et éjaculer dedans. C’est convenu pour ça et tu ne vas pas te gêner.
Après t’être suffisamment repaitre, tu sens cette petite chaleur qui te chatouille le fond de ta prostate. Tu le sens que ça va venir. La fréquence de tes pénétrations s’accélère tout en étant accompagnée d’une vigueur que Freud qualifierait de sauvage. Tes muscles fessiers se contractent comme si les cellules de ton corps savaient que ce moment était important pour toi. Tes mains tiennent fermement les hanches et caressent de temps en temps ses fesses. Cette sotte ne se rend même pas compte que tu vas éjaculer en elle. Elle est encore dans ses rêves de gamines. Cette chaleur rayonne de plus en plus fort. Tu viens à imaginer ta petite armée microscopique se préparer à assiéger l'ovaire de ta proie. Ton éjaculat va venir arroser son vagin fané par la fatigue.
Ta proie n'est plus qu'un sac à foutre pour toi. Ton visage ne peut s’empêcher d’échapper des rictus.
C'est bon ça arrive ! La chaleur traverse ton pénis ! Par un réflexe primaire hérité de tes ancêtres primitifs, tu l'as tiens bien fermement, tes bras encerclant solidement son ventre pour éviter «au cas où» qu'elle ne s'enfuie et tu enfonces le plus profondément ton rostre reproducteur au fond de son vagin. Dans sa cavité vaginale, c’est l’hécatombe. Ton sperme prisonnier depuis un long moment se déferle tel un torrent destructeur. Ne te justifie pas de la violence de ton éjaculat, si elle te vidait régulièrement les couilles, tes colères seraient moindre. Pour toi, un dernier petit va et vient pour bien disperser ta semence dans les parties encore épargnées. Ses tétons sont durs et de petits cratères ont émergé autour, ils servent initialement à humidifier ses tétons pour l’allaitement mais apparaissent aussi lorsque leur propriétaire est excitée. Elle comprend rapidement que tu as déposé en elle. Elle doit sentir la chaleur de ton foutre lui réchauffer les parois vaginales. Elle acquiesce un petit gémissement pour te faire comprendre qu’elle a bien reçu ta semence.En conquérant victorieux, tu ressors ton vigoureux rostre reproducteur dont le bout laisse libre une petite goute de sperme. Le trou dans son vagin laissé par le retrait de ton rostre se referme tout doucement, tel des rideaux d’opéra marquant la fin d’une pièce exquise. Quand tout d’un coup, tu entraperçois un liquide blanc coulé de son orifice. C’est ton sperme mon grand ! Quel fierté de voir TON sperme couler de son vagin. Tel un fleuve, ta semence s’écoule en suivant les sillons qui ornementent ses lèvres pour finir s’écraser sur sa culotte encore présente au niveau de ses genoux. Ses lèvres sont encore dilatées et grandes ouvertes. Tu rêvasses sur ce que tu viens d’accomplir. Tu sondes ton esprit. Une partie de toi-même se demande comment les femmes peuvent-elles supporter cette soumission. Une partie plus magnanime de toi, remercie les parents de cette fille de l’avoir mis au monde. Merci à cet homme et cette femme de s’être aimé car sans cet amour, la fille sur laquelle tu t’es vidé les couilles n’existerait pas. Tu la vois se relever exténuée. Tu l’as toise avec un peu de mépris. Tu as tout fait ! La seule chose qu’elle a fait c’est se mettre à 4 pattes et te donner son vagin en pâture puis gémir de temps à autre. Néanmoins tu t’es vidé les couilles et c’est ce qui compte.
D’ailleurs, tu ressens une certaine satisfaction à la voir se rhabiller pour aller au collège en sachant qu’au plus profond d’elle se cache une partie de toi encore vivante tel un horcrux et dont ses parents et ses camarades de classe ne soupçonneront même pas.Alors les kheys, ça parle à des gens ses sensations qu’on a tous eu au moins une fois dans sa putain de vie ?
Bordel celui ci c'est la première fois que je le lis il est excellent
Données du topic
- Auteur
- KaharJVC22
- Date de création
- 25 août 2019 à 15:23:22
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