[Allociné] « Jamais deux sans toi » le 30 juillet
Le 08 juillet 2019 à 11:34:32 colon_irritable a écrit :
Le 08 juillet 2019 à 11:33:14 IziasicationV2 a écrit :
Le 08 juillet 2019 à 11:32:32 colon_irritable a écrit :
J’aurai du l’appeler : jamais deux sans toitEt preciser que l’association de la femme est financé par le mari
Ce sera pour la prochaine fois
Fais nous en un autre khey
D’accord je reflechis à ça
Charles Beauséjour (Daniel Auteuil), est perdu dans son époque. Ancien résistant, blessé de guerre, soutiens de la première heure du général De Gaulle, professeur de lettre classique reconnu, tout chez lui rappelle cette France disparue, cette France des idées rances et arriérées.
Charles passe ses journées dans sa bibliothèque à lire les mémoires de ceux qu’il appelle « les grands francais », et ne sort que pour la messe du dimanche ou pour se rendre sur la tombe de sa femme.
Il aimerait bien que sa fille de 40 ans, Jeanne Beauséjour (Cécile de France), fasse quelquechose de sa vie. Depuis son burn out professionnel consecutif à un stage de 3 semaines en médiathèques, Jeanne passe ses journées à dormir et ses nuits à courir les club huppés de la capitale.
Une seule chose l'intéresse, son association « Fais comme chez toit », qui cherche à trouver des solutions de relogement pour les migrants qui échappent à la guerre et à la famine et qui sont pourchassés et laissé pour compte par les autorités françaises.
L’arrivé de Abubakr Dondivin (Damso) va secouer le petit univers de Charles et Jeanne.
Joviale, enthousiaste, plein de ressource, ce jeune homme fuyant la dictature et la guerre au Cameroun va réveiller la femme qui sommeil en Jeanne.
Pour sauver Abubakr de l’expulsion, Jeanne crée de toute pièce une compagnie de théâtre et invente une pièce. En s’appuyant sur les contacts et l’argent de son père, elle permet à la troupe de faire une tournée en France.
L’appartement haussmanien du XVIe arrondissement, héritage de la famille d’entrepreneur et de militaires morts pour la France Beauséjour, est réquisitionnée pour les répétitions, au grand damn de Charles.
Mais un acteur manque pour le rôle clé de la pièce de Jeanne, « Excusez nous d’être là », qui dénonce le patriarcat blanc. Devant les menaces de suicides de sa fille, Charles cède et interpretera l’homme blanc qui se flagèle et s’excuse publiquement et qui sert de paillasson.
Commence alors la tournée française de la petite troupe de la famille Beauséjour et de Abubkr Dondivin et de ses compagnons de gallère Fouad (Lacrim), Abdoulatif (Gradur) et bien d’autres ....
Une tournée riche en rencontre et en rebondissement, qui bousculera nos certitudes. Jusqu’à ce que Jeanne tombe en ceinte... mais de qui ?
« Rafraichissant, divertissant, essentiel » Libération
« Un film pour éduquer vos enfants » Les inrocks
« Une ôde à la tolérance à diffuser d’urgence dans toutes les salles de classe française » Telerama
« On abandonne, vous avez gagné » Rivarol
Le 08 juillet 2019 à 13:35:19 Jean-fabien62 a écrit :
Enfin on avance !
Salut jean-fab
Merci de cette tranche de rire l'op
Le 08 juillet 2019 à 13:32:24 colon_irritable a écrit :
Charles Beauséjour (Daniel Auteuil), est perdu dans son époque. Ancien résistant, blessé de guerre, soutiens de la première heure du général De Gaulle, professeur de lettre classique reconnu, tout chez lui rappelle cette France disparue, cette France des idées rances et arriérées.Charles passe ses journées dans sa bibliothèque à lire les mémoires de ceux qu’il appelle « les grands francais », et ne sort que pour la messe du dimanche ou pour se rendre sur la tombe de sa femme.
Il aimerait bien que sa fille de 40 ans, Jeanne Beauséjour (Cécile de France), fasse quelquechose de sa vie. Depuis son burn out professionnel consecutif à un stage de 3 semaines en médiathèques, Jeanne passe ses journées à dormir et ses nuits à courir les club huppés de la capitale.
Une seule chose l'intéresse, son association « Fais comme chez toit », qui cherche à trouver des solutions de relogement pour les migrants qui échappent à la guerre et à la famine et qui sont pourchassés et laissé pour compte par les autorités françaises.
L’arrivé de Abubakr Dondivin (Damso) va secouer le petit univers de Charles et Jeanne.
Joviale, enthousiaste, plein de ressource, ce jeune homme fuyant la dictature et la guerre au Cameroun va réveiller la femme qui sommeil en Jeanne.
Pour sauver Abubakr de l’expulsion, Jeanne crée de toute pièce une compagnie de théâtre et invente une pièce. En s’appuyant sur les contacts et l’argent de son père, elle permet à la troupe de faire une tournée en France.
L’appartement haussmanien du XVIe arrondissement, héritage de la famille d’entrepreneur et de militaires morts pour la France Beauséjour, est réquisitionnée pour les répétitions, au grand damn de Charles.
Mais un acteur manque pour le rôle clé de la pièce de Jeanne, « Excusez nous d’être là », qui dénonce le patriarcat blanc. Devant les menaces de suicides de sa fille, Charles cède et interpretera l’homme blanc qui se flagèle et s’excuse publiquement et qui sert de paillasson.
Commence alors la tournée française de la petite troupe de la famille Beauséjour et de Abubkr Dondivin et de ses compagnons de gallère Fouad (Lacrim), Abdoulatif (Gradur) et bien d’autres ....
Une tournée riche en rencontre et en rebondissement, qui bousculera nos certitudes. Jusqu’à ce que Jeanne tombe en ceinte... mais de qui ?
« Rafraichissant, divertissant, essentiel » Libération
« Un film pour éduquer vos enfants » Les inrocks
« Une ôde à la tolérance à diffuser d’urgence dans toutes les salles de classe française » Telerama
« On abandonne, vous avez gagné » Rivarol
Celui la fait plus "dramatique", l'autre avait plus l'air d'une comédie
Données du topic
- Auteur
- colon_irritable
- Date de création
- 8 juillet 2019 à 11:07:21
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