L'EAU DE MER était dans le VIDAL jusqu'en 1987

Le 01 octobre 2018 à 16:26:42 DoYouEvenPrayze a écrit :

Le 01 octobre 2018 à 16:23:47 Mamellebent a écrit :
C'est bon pour des problèmes d'intestin khey ? On m'avait conseillé ça une fois, mais jamais test.

C'est bon pour absolument tout, et il n'y a aucune contre-indication.
Basiquement, cette eau va te reminéraliser. Une fois que t'es bien reminéralisé, ton corps peut faire face à toutes sortes de maladies/désagréments par lui-même. C'est pour ça que c'est bon pour tout.

La composition en minéraux de l'eau de mer "isotonique" (donc diluée à 1/3 ou 1/4) est exactement la même que celle de notre sang.

Si t'as des problèmes familiaux de caillots ça pose pas un soucis ?

Le 05 octobre 2018 à 21:34:11 DeSartine a écrit :
ça pourrait soigner mon début de calvitie ? 24 ans c'est dur

Essaie khey

Moi je le fais dans un contexte de remise en question globale de mon hygiène de vie. J'ai par exemple éliminé complètement le gluten depuis 6 jours puisque je me suis rendu compte par hasard que j'avais tous les symptômes d'une intolérance au gluten en continu depuis un an. Je me suis également mis au sport (méthode tabata c'est génial, ça prend pas beaucoup de temps et pas de matériel). Je mange bien plus sainement etc...

Si tu veux aller vraiment mieux je te conseille de ne rien laisser au hasard

Le 05 octobre 2018 à 21:33:34 Trophy4thPlace a écrit :

Le 01 octobre 2018 à 16:26:42 DoYouEvenPrayze a écrit :

Le 01 octobre 2018 à 16:23:47 Mamellebent a écrit :
C'est bon pour des problèmes d'intestin khey ? On m'avait conseillé ça une fois, mais jamais test.

C'est bon pour absolument tout, et il n'y a aucune contre-indication.
Basiquement, cette eau va te reminéraliser. Une fois que t'es bien reminéralisé, ton corps peut faire face à toutes sortes de maladies/désagréments par lui-même. C'est pour ça que c'est bon pour tout.

La composition en minéraux de l'eau de mer "isotonique" (donc diluée à 1/3 ou 1/4) est exactement la même que celle de notre sang.

Si t'as des problèmes familiaux de caillots ça pose pas un soucis ?

j'en sais rien je veux pas te dire de conneries, mais le Vidal dit qu'il n'y a basiquement pas de contre-indications

En 1991, l'affaire du sang contaminé éclate en France. Ce désastre sanitaire a coûté la vie à des centaines de personnes entre 1984 et 1985. De nombreuses personnes transfusées et de nombreux hémophiles avaient été infectés par le virus du sida suite à la négligence des responsables en matière de sécurité sanitaire. Le 20 décembre 1992, le parlement décida la mise en accusation du premier ministre Laurent Fabius, du secrétaire d'état à la santé, Edmond Hervé et de la ministre des affaires sociales et de la solidarité Georgina Dufoix alors en poste en 1984 et 1985. Cette dernière a eu cette formule devenue célèbre : " Je me sens profondément responsable. Pour autant, je ne me sens pas coupable. "Voilà qui résume bien la mentalité de nos dirigeants politiques depuis longtemps. Au delà de la négligence des protagonistes et de l'incompétence des ministres de la République, le scandale n'était pas inévitable dans le cadre des transfusions sanguines. On ne parle pas que des négligences. Il faut se demander s'il n'existe pas autre chose comme méthode que la transfusion de plasma sanguin. Dans l'Antiquité, Hippocrate, Platon, Euripide vantaient les bienfaits de l'eau de mer. Le dramaturge grec Euripide faisait dire à son personnage Iphigénie dans ' Iphigénie en Tauride. " : que la mer lave les maux de tous les hommes. Mais cette eau en question, les grecs et les romains de l'Antiquité ne la consommaient pas. Ils prenaient juste des bains avec. Au XVIème siècle, Ambroise Paré, chirurgien et anatomiste français, conseillait les bains d'eau de mer pour les traumatismes et les infections. Le mot thalssothérapie fut inventé en 1865 par le docteur Joseph La Bonnardière. C'est également au XIXème siècle qu'apparut l'idée de boire l'eau de mer. Un naturaliste, physiologiste et biologiste français, Réné Quinton, s'était fait connaître mondialement grâce à ses travaux sur le plasma d'eau de mer.

Né en 1866 et mort en 1925, il était une personnalité reconnue de son vivant et célèbre en France et dans le monde. Sa spécialité fut ses travaux, ses expériences et guérisons avec le plasma d'eau de mer. C'est dit on, en observant une vipère engourdie par le froid et venant se réchauffer pour retrouver sa vigueur, que Quinton élabora les bases de ce qu'il appellera la loi de constance originelle. Cette loi de constance originelle est la synthèse de plusieurs lois dont la loi de constance marine, " La vie animale s'est maintenue dans un milieu identique à celui de ses origines. " Ensuite la loi de constance thermique : " La vie animale tend à se maintenir à une température constante ( inférieure à 44 degrés Celsius ) proche de celle de nos origines. " Enfin la loi de constance osmotique. : " L'identité du milieu marin et du milieu intérieur permet l'équilibre osmotique et le maintien de la vie. " C'est donc en observant le comportement d'une vipère confrontée au froid et à la chaleur que Quinton développera sa théorie de la constance thermique. C'est pour cette théorie d'ailleurs, qu'il fut qualifié par les journalistes de l'époque, de Darwin français. Il est vrai que sa loi de la constance originelle complète la théorie de Darwin. Mais elle la contredit également. La théorie évolutionnaire vise à considérer que les organismes s'éloignent un peu chaque jour. de leur milieu originel en opérant des transformations adaptées aux conditions environnantes. Alors que Quinton, avec sa loi de la constance originelle, démontre au contraire que les organismes ont une tendance extrêmement forte à maintenir invariables les conditions primitives de la vie. Il partait du principe que la terre avait à l'origine une forte température et qu'au fil du temps, elle n'a eu de cesse de se refroidir.

La vie a commencé avec des températures proches de 44 degrés dans les océans. La planète se refroidissant inexorablement, des animaux apparus à cette époque n'avaient pas la capacité à maintenir leur température sur celle des origines, c'est à dire 44 degrés celsius. De ce fait, quand la Terre est tombée à 40, 38 degrés, les animaux ont suivi ces chutes de température. C'est le cas des reptiles et des batraciens n'ayant aucun pouvoir d'élever leur température interne, se sont maintenus à celle du milieu où ils vivent. Mais avec le temps, les cellules se sont adaptés et au cours des âges, de nouvelles espèces se sont créées à partir d'anciennes, capables par combustion, d'augmenter sensiblement leur température afin de lutter contre le refroidissement de leur environnement. Ainsi lorsque la terre passa de 44 à 43 degrés, l'organisme des reptiles descendait également d'un degré. Mais celle des mammifères, ayant une capacité de combustion interne, augmenta d'un degré, se maintenant en fait à 44 degrés. Mais quand la température tomba encore d'un degré, passant de 43 à 42 degrés, les reptiles suivirent comme d'habitude la baisse des températures tandis que les mammifères, s'étant maintenus à 44 degrés, lorsque la température ambiante était de 43 degrés, ne pouvant augmenter celle ci passeront alors à 43 degrés. Alors un nouvel organisme naitra de l'ancien. Et s'adaptant à cette nouvelle baisse de température, il développera un pouvoir calorifique croissant, capable d'augmenter sa température de 2 degrés afin d'être à 44 degrés.... la température originelle, etc.... Cette théorie de Quinton montre que l'évolution des organismes vivants n'est que la conséquence de la constance des cellules à maintenir leur température à celle de leur origine c'est à dire 44 degrés. Cela signifie en conséquence que les espèces les plus récentes doivent avoir une température proches de 44 degrés et les anciennes une température beaucoup plus faible.

Cette théorie bouleversa littéralement les conclusions des scientifiques de son époque comme le psychologiste Charles Richet qui, dans son oeuvre " la chaleur animale, " concluait que la température des mammifères se manifestait essentiellement entre 37 et 39 degrés. Pour vérifier sa théorie, Quinton s'attela à des prises de température sur les différentes espèces d'animaux afin d'étayer sa thèse. Les résultats furent sans appel. Les espèces les plus récentes comme les oiseaux carinates ont bel et bien une température proche de 44 degrés. Et les espèces les plus anciennes comme les ornithorynques ont une température moyenne d'environ 30 degrés. Quinton prend également compte de la température de l'une des plus anciennes d'espères d'oiseaux, l'Aptérix, ou le Kiwi, dont il fixe la température théorique à environ 37 degrés Celcius en fonction de sa période d'apparition sur Terre. Et la température d'Aptérix fut mesuré à 37,2 degrés. En conséquence, cela signifie bel et bien que les températures internes des espèces signent la date de leur apparition. L'Homme dans cette logique, avec ses 37 degrés Celsius, cela ne fait pas de nous une espèce récente comme le voudrait la théorie de l'évolution. Qui plus est, nous ne serions pas la conséquence logique d'une adaptation depuis notre supposé statut de singe. Nous sommes arrivés sur Terre tel que nous sommes à ce jour. Comment expliquer une telle stagnation sinon, depuis l'homo sapiens? Pour les darwinistes, c'est inconcevable. Le 8 octobre 1896 Quinton déposa à l'académie des sciences son exposé sur ce sujet de façon plus détaillée et l'intitulant " Les deux pôles foyers d'origine. Origine australe de l'homme. " Seul le physiologiste Etienne Jules Marey s'intéressa aux théories de Quinton qu'il prendra même sous son aile.

N'empêche que si la loi de constance thermique stipule que les cellules ont un fonctionnement optimal avec une température proche de 44 degrés, on comprend maintenant la logique naturelle de la fièvre. L'élévation de la température permet au corps, lorsqu'il est malade, de mobiliser ses défenses immunitaires. La fièvre a une action directe sur les agents pathogènes tout en stimulant les défenses de l'organisme. Même s'il ne faut pas que les fièvres soient trop élevées, il n'en demeure pas moins que ce phénomène naturel est plus à surveiller qu'à combattre, comme on le fait trop souvent de nos jours. Dans " le secret de nos origines" les vertus curatives de l'eau de mer révélées par René Quinton, voici ce qu'écrivait André Mahé : " Un Allemand, le professeur Henri Lampert, approcha de l'expérience faite par Pasteur sur les poulets un certain nombre d'observations. Les Japonais, qui usent abondamment de bains chauds, ne présentent qu'un chiffre très bas de cancers dans les statistiques, 20 fois moins que les chiffres courants. Pendant la dernière guerre, Lampert se guérit d'une fièvre typhoides en utilisant des bains hypercaloriques. Sur le front russe, il vint à bout, grâce à ce moyen, d'une épidémie de la même maladie. Il faisait prendre aux soldats des bains à 43 degrés. Avec un autre Allemand, le professeur Geotze, Lampert essaye de traiter des cancers superficiels, puis ils étendirent la méthode à d'autres cancers. Pour expliquer les résultats obtenus, Lampert et Goetze déclarent : " Lorsque la température du corps est porté artificiellement à 39 degrés, la cellule maligne commence à déguerpir et à 42 degrés, elle périt. Par contre, la cellule saine supporte aisément une température interne de 43 degrés. Et elle n'est en danger qu'aux environs de 45 degrés.

" Quelle que soit la valeur de l'hypothèse, il est saisissant de constater que, dans l'expérimentation, Lampert et Goetze retombent exactement sur le chiffre mis en évidence par Quinton, 44 degrés, comme étant celui où la vie put faire son apparition et qu'elle tend à conserver pour maintenir son haut fonctionnement cellulaire. " Le courrier du livre. Pages 133 - 134. André Mahé. " Le secret de nos origines révélé par René Quinton. " Constatant la logique des cellules à se maintenir à la température originelle, René Quinton émit également l'hypothèse que les cellules composant chaque organisme, étant nées dans un milieu marin, tend à se maintenir dans ce milieu des origines. En d'autres termes, il n'y aurait pas vraiment eu de différence entre le plasma sanguin et le plasma marin. C'est sa fameuse loi sur la constance marine. Il vérifiera sa théorie en prélevant du sang sur différents animaux, en le mélangeant dans de l'eau de mer isotonique, c'est à dire au taux de salinité correspondante à l'espèce. Il constatera que le processus cellulaire n'est pas bouleversé et qu'en plus, même les globules blancs survivent aisément dans ce milieu, alors qu'ils survivaient jamais en dehors de leur milieu sanguin. Remplacer le plasma sanguin par du plasma d'eau de mer dans un organisme vivant, serait ce possible? C'est ce que Quinton fera en 1897 dans le laboratoire d'Etienne Jules Marey, son mentor. Il saignera à blanc un chien de 10 kilos déjà en mauvaise santé. Il lui injectera ensuite 532 cm cube d'eau de mer à 23 degrés. Durant les 4 premiers jours, le chien survit mais péniblement. Ensuite, à partir du 5ème, il allait beaucoup mieux et fit même preuve d'une vivacité extrême. Ce chien vivra encore durant les 5 années qui suivirent son injection d'eau de mer, avant de mourir écrasé par une voiture. Fort de ce constat et après d'autres essais fructueux, il ouvra en 1907 plusieurs dispensaires marin aussi bien à Paris que dans plusieurs villes de France.

A Paris, ce sera plus de 100 000 injections au plasma isotonique qui seront pratiquées chez les malades. C'est près de 10 000 par mois et plus de 300 par jour. Un peu partout dans le monde, des dispensaires marins feront également leur apparition afin d'y pratiquer les méthodes de Quinton. Avec son plasma, René Quinton sauve des dizaines de milliers d'enfants aussi bien en France qu'en Egypte à Alexandrie, où il fut demandé également pour les soigner du choléra infantile. Ses observations et recherches donneront naissance à son livre de référence. " L'eau de mer en milieu organique. " Edition 1904. Malheureusement, après les épreuves et le désastre de la Première Guerre mondiale, René Quinton et son plasma vont inexorablement tomber dans l'oubli. Il faut dire que son plasma de mer, si efficace soit il d'un point de vue médical, n'est par contre pas intéressant du point de vue financier. Dans le quotidien français " l'intransigeant ", journal disparu à ce jour, on pouvait y lire dans son numéro 9984 du 15 novembre 1907, " Qu'est ce qu'un sérum de pasteur? C'est un sérum particulier à une maladie, un sérum qui attaque un microbe donné et aucun autre. Qu'est ce que l'eau de mer? C'est un sérum qui n'attaque aucun microbe en particulier, mais qui donne à la cellule organique la puissance de lutter contre tous. " Lucien Corpechot. On comprend mieux pourquoi Pasteur est encensé à ce jour, car avec sa logique " une maladie, un sérum ", c'est le jackpot pour les laboratoires pharmaceutiques pour qui chaque maladie fera l'objet d'un médicament à fabriquer pour lutter contre. Alors que le sérum de Quinton fonctionne plus comme une protection immunitaire face à tous les microbes et coûtant moins cher. S'ajoute à cela le fait que la transfusion de plasma sanguin est aussi un domaine qui rapporte gros. Dans la logique mercantile, une maladie, ça rapporte.

On est loin du serment d'Hippocrate, tout comme on est loin de l'éthique humaine et chrétienne. Cela veut dire aujourd'hui qu'il faut se méfier de la médecine et que les familles, pour survivre, doivent se méfier des bloues blanches. Où un gouvernement de l'anti social impose désormais 11 vaccinations obligatoires à nos jeunes enfants, sommes nous dans une dictature dénoncée par Patrick McGoohan dans sa fameuse série " Le prisonnier. ". Relisons Molière et son " Malade imaginaire. " " Ignorantus, ignoranta, ignorantum. Il faut boire votre vin pur, et, pour épaissir votre sang, qui est trop subtil, il faut manger du bon gros beauf, du bon gros porc, du bon fromage de Hollande; du gruau et du riz, et des marrons et des oublies, pour coller et conglutiner. Votre médecin est une bête. "Sur le site d'actualité français Challenges, on pouvait lire ceci : " L'EFS ' Etablissement français du sang ) se rémunère en cédant les produits sanguins labiles aux établissements de santé et le plasma matière première au Laboratoire français du fractionnement et des biotechnologies ( LFB ). Grâce à ces activités, l'EFS a rélaité un chiffre d'affaires de 936 millions d'euros en 2013 et un résultat net de 15 millions d'euros. " " Si environ 80% de son budget sert à financer le fonctionnement de l'EPS, " l'excédent est totalement réinvesti dans l'autofinancement pour améliorer notre immobilier, mais aussi pour moderniser nos structures, nos laboratoires, etc... " assure François Toujas. " Le don du sang, ça rapporte. Chaque année, tous les 14 juins, est célébrée la journée mondiale des donneurs de sang. Cet événement est institué depuis 2004 par l'OMS.

Sur le site de l'OMS, il est précisé que : " Cette manifestation vise à montrer la nécessité de donner du sang et des produits sanguins sécurisés et à remercier les donneurs de sang du geste salvateur qu'ils font en donnant leur sang. " On trouve également l'information que 112,5 millions de dons de sang sont collectés chaque année dans le monde. Le 21 février 2017, la chaîne Arte diffusait un documentaire intitulé " le business du sang ". On y apprend que quelques entreprises se partagent le marché mondial du plasma qui représente 17 milliards de dollars. Donc non seulement le plasma est devenu un marché, mais en plus c'est un marché en forte croissance, d'autant plus que les Etats Unis sont les premiers exportateurs de plasma humain avec 70% du marché mondial. Là bas le don de sang est rémunéré ce qui a pour conséquence de voir beaucoup de pauvres, issus des quartiers défavorisés, aller donner leur sang en échange de quelques dollars. Mais le don rémunéré n'est pas sans conséquence. Il incite les donneurs à mentir sur leur état de santé pour être validé et attire une population à risque. On comprend mieux maintenant pourquoi le plasma de Quinton n'a pas sa place dans le monde de l'argent.

Le sang est un peu pour les uns comme le pétrole pour d'autres, c'est à dire une matière première sur laquelle une minorité de financiers peuvent s'enrichir. D'autant plus que le sang est une denrée inépuisable reposant essentiellement sur le bénévolat des donateurs ou faiblement rémunérés contrairement au pétrole. Aux yeux des businessmna, Quinton est un peu comme le Tesla du plasma. Complotisme diront les esprits formatés. Non, juste une simple logique du monde libéral qui ne date pas d'hier. La voiture électrique ou les corporations de métier en France en 1791 en avaient déjà fais les frais. Sa contradiction à la logique de Pasteur ainsi que la possibilité de transfusion plus saine et moins cher que le sang, sans oublier sa théorie de la constante originelle allant à l'encontre de celle de Drawin, firent jeter René Quinton dans les oubliettes de l'histoire. Mais il y a encore une raison supplémentaire qui ne plait pas à l'oligarchie dominante. Quinton était monarchiste et fréquentait les principaux chefs du mouvement nationaliste et royaliste, l'Action Française. C'est cocasse vu qu'il était un descendant du conventionnel Georges Danton.