[Risitas] Un khey au lycée
Le 10 février 2019 à 00:17:15 Stum a écrit :
Il reste plus beaucoup de temps dans la semaine khey
Il reste environ 9h31 jusqu'à minuit, c'est suffisant je pense.
Le 10 février 2019 à 14:28:38 Canabistouille a écrit :
Le 10 février 2019 à 00:17:15 Stum a écrit :
Il reste plus beaucoup de temps dans la semaine kheyIl reste environ 9h31 jusqu'à minuit, c'est suffisant je pense.
Alleluia
(1/4)
Ce "guide" a pour but d'utiliser mon expérience pour pouvoir éventuellement en aider certains, mais aussi de vous délivrer ma vision des choses.
Voici un bref sommaire du pavé qui va suivre.
-JVC
-Le Risitas
-Trouver un équilibre (triforce)
-Filles
-Potes
-Famille
-Confiance en soi
-Au quotidien
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Avant toute chose, je tiens à dire que ce qui va suivre est l'unique reflet de ma pensée actuelle, celle d'un jeune naïf de 20 ans qui a encore une bonne partie de sa vie devant lui. Je suis pour certains plus jeune que vous, nous ne sommes pas forcément de la même génération, ce qui va suivre est peut-être uniquement adressé aux 1999+. Je risque donc d'en décevoir plus d'un, créer des désaccords, mais je préfère être sincère sur mes idées et vous les dévoiler telles qu'elles sont à mon age. Je suis bien conscient que ma pensée va évoluer avec le temps.
Ce guide s'adresse donc prioritairement aux pyjs ou à ceux de mon age, je doute que la "génération antérieure" puisse tous s'identifier aux propos qui vont suivre, et je n'aurai pas la prétention d'essayer de leurs inculquer des valeurs propres à un type de vingt ans que je suis.
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-JVC
Pour certains, ce forum n'est qu'un lieu de simple divertissement passager, mais pour d'autre c'est un des fondamentaux de leur existence, un lieu de pèlerinage.
La légende dit que de nombreux "kheys" auraient dédiés leurs vies à la sorcellerie.
J'ai moi-même commencé à fréquenter le forum quand j'étais encore mineur (j'avais 16 ans à l'époque), j'y trainai de temps en temps, mais c'était plus pour tuer le temps qu'autre choses.
Puis j'ai découvert les délires, les raids, les tweetos, ou même quelques kheys (et kheyettes) avec qui j'ai eu l'occasion de converser.
J'ai donc eu l'envie de laisser ma trace sur ce forum qui m'a accompagné quelques années, me rendant compte qu'il y avait (parfois) des êtres humains intéressants derrières ces fameux anonymes du web, cachés sous un pseudo loufoque.
Mais c'est aussi un espace de savoir (je vous vois déjà venir m'insulter). Rien que le pavé gibbon m'en a appris beaucoup sur la bête.
Plusieurs topics m'ont particulièrement marqués, certains ont été 410ed, mais d'autres émergent, comme le topic du glauque, plus récemment,mais parfait pour ceux qui, comme moi, adulent les faits divers les plus morbides (sans pour autant être fasciné par le hardcore hein) https://www.jeuxvideo.com/forums/42-51-58608130-1-0-1-0-topic-du-glauque.htm .
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Cependant, il y a aussi le côté sombre du forum.
Je trouve le forum extrêmement addictif, je sais pas vous.
Depuis le début du Risitas, en Aout dernier, j'y ai passé beaucoup plus de temps que d'habitude (ce qui n'explique pas mon irrégularité sur mon propre topic, étant trop occupé à hésiter entre des topics "ce cul /10?" ou encore les "J'ai baisé ma cousine, des questions?").
L'abus de l'ironie peut, je pense, nuire à la perception de la réalité. A mes débuts sur JVC, je me moquais beaucoup des délires limites du forum, sur les "chances, noix et arbres".
Mais à force de voir ça tous les jours, je me suis aussi surpris à avoir des pensées un peu "borderline" sur beaucoup de sujets.
Heureusement pour moi, je suis arrivé ici en fin d'adolescence, j'avais un esprit critique plutôt bien développé, mais quand je sais que certains trainent ici depuis leurs 10 ans, je me demande bien comment ils perçoivent les choses. Une partie de leur "éducation" s'est faite ici, ils sont pour certains formatés à devenir des small-arms haineux complotistes...
J'exagère surement, mais c'est ainsi que j'ai ressenti les choses. Ça promets du lourd pour le futur 18-25
Les délires scatos ou autres, les webms douteux, j'en ai vu plus d'une centaine passer, et j'en garde des souvenirs désagréables (des bouts de scène de tortures, ou bien un couple scato qui font des folies...).
L'image dégradante que certains ont des femmes, le pavé raciste etc, m'ont poussé peu à peu à vraiment m'éloigner du forum, prendre du recul sur tout ça.
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LE RISITAS
J'ai découvert celui de "Geek_Attitude" en premier (qui est une FIC d'ailleurs plutôt qu'un Risitas: https://www.jeuxvideo.com/forums/42-51-55002646-1-0-1-0-fic-je-suis-amoureux-de-ma-prof.htm ) . Je l'ai dévoré en une nuit.
S'en est suivi les Risitas légendaires de Fume-Sec et d'Oeufbrouille1.
Puis celui de Sasukhey en Juillet.
A cette période, j'étais en vacances, en Bretagne plus précisément (où j'avais passé le Nouvel An, là où j'avais reçu le fatidique appel de Jeanne m'annonçant le décès de Camille), j'avais plein de temps devant moi (ce qui était rare en prépa) et à vrai dire, je m'ennuyais.
J'ai donc décidé de me lancer dans l'écriture d'un Risitas, sachant que j'avais quelques anecdotes en réserve, et que ça pouvait être sympathique de les partager avec mes kheys. J'ai donc écrit la première sweet en Bretagne.
J'avais pas mal de temps à mes débuts, j'ai donc réussi à sortir une sweet par jour pendant une courte période. Puis la rentrée est arrivée, et le rythme de prépa est revenu en force. Une petite communauté s'était créée en l'espace d'une petite dizaine de sweets. Je n'écrivais donc plus seulement pour moi, j'avais des kheys à ne pas décevoir.
Sauf que j'avais beaucoup moins de temps pour moi.
J'ai donc du me débrouiller pour sortir des sweets de plus en plus qualitatives, tout en ayant à augmenter mon rythme de travail. Tout cela s'est fait au dépend de relations sociales, je sortais beaucoup moins (mes samedis soirs, censé représenter mon seul créneau libre de la semaine, étaient consacrés pour certains à l'écriture de la prochaine sweet). J'allais abandonner, je ne vous le cache pas.
Puis c'est devenu un défi, j'allais me prouver à moi-même que j'allais jusqu'au bout, que j'étais "déter"
Je ne pouvais pas décevoir la petite communauté de fidèles qui s'était formée, pas maintenant, pas en cours de route. Je me suis donc accroché, jusqu'au bout. Et nous y voilà, 170 pages plus tard.
J'ai donc du adapter un niveau d'écriture plus soutenu, bien me relire à chaque fois, de manière à vous pondre quelque chose de propre. Cela explique surement l'évolution de qualité du début à la fin (je veux bien admettre que c'était vraiment pas incroyable à mes débuts, mea culpa).
Si j'ai pris le temps d'écrire tout ça, c'était d'abord pour remercier la communauté d'avoir été là pour moi dans mes moments bas (notamment par MP où j'ai eu l'occasion d'avoir de belles discussions), mais aussi et surtout pour tous les fous rires que vous m'avez procurés (mention spéciale au Fake Officiel).
En écrivant, j'ai développé un meilleur orthographe, un meilleur vocabulaire, et je l'espère, un style d'écriture me correspondant.
Ces derniers mois ont donc été pour moi sans répits, mais j'en suis fier, je ne regrette pas l'investissement que j'y ai mis.
Quelques conseils aux kheys qui voudraient se lancer dans l'aventure:
Tout d'abord, bon courage.
-Règle d'or: sauvegardez absolument tout votre Risitas, le 410 est omniprésent. J'ai toujours censuré quelques dialogues, mais jamais mes pensées. A chaque fin d'écriture, je mettais tout sur un Word.
-Il vaut mieux écrire des sweets d'avance, dès que vous avez un moment d'ennui, n'hésitez pas à écrire; ça vous libère, vous renferme dans une petite bulle rassurante, ça vous fait oublier le quotidien. Vous serez ainsi plus régulier.
-Le fait d'avoir des retours est toujours très stimulant, on se sent récompensé, parfois même fier ou bien même "aimé", sachez que vous serez toujours récompensé, accrochez-vous.
Se lever pour une nouvelle journée d'esclave, aller sur JVC en prenant son petit-déjeuner, voir un MP "Merci pour ton Risitas, tu m'as beaucoup aidé", je vous assure que ça vous donne le sourire. (Je ne dis pas que ça arrivait tous les jours, mais certains avaient l'air de vraiment avoir été aidé par mon récit, et c'est d'ailleurs le but).
C'est une belle expérience à faire, je vous le recommande, c'est accessible à tous!
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Je vais maintenant parler de la "triforce".
J'en avais parlé dans mon année de terminale, la fameuse "triforce", les trois "piliers" qui permettent de trouver un sens à sa vie.
Avant toute chose, je vous renvoie au Risitas de Sasukhey qui a eu la même perception des choses, il appelle ça "Le triangle de l'équilibre". https://www.jeuxvideo.com/forums/42-51-56873438-567-0-1-0-risitas-un-pucix-deter-face-aux-bgs-yes-life.htm
Ce qui nous différencie cependant, c'est qu'il a regroupé ses trois "piliers" en catégories différentes:
-La santé (tandis que je n'avais pas inclus cette catégorie dans un de mes trois piliers)
-Le social (tandis que j'avais fait la distinction entre le social et le sentimental)
-Les projets. (tandis que j'avais uniquement traité l'aspect scolaire)
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Je suis sur qu'il a une vision différente du monde que moi, déjà du fait qu'il ait 10 ans de plus que moi, qu'il a maintenant 30 ans, alors que mes trois piliers étaient propres à un vision d'ado de 17 ans, c'est-à-dire une perception limitée, qui se résume uniquement à vouloir copuler, sortir avec des potes et se bourrer la gueule pour oublier ses échecs en maths et physique.
J'avais laissé de côté l'aspect "santé" que j'avais délaissé car je n'ai personnellement jamais eu quelconque soucis de santé (merci dame nature), et j'entretiens mon corps depuis mes 16 ans, j'avais donc pris la santé comme "acquise". J'avais ensuite pris la décision de séparer le "sentimental" du "social", mais avec l'expérience, il est vrai que les deux vont ensemble (nous y reviendrons plus tard). Pour les projets , je m'étais uniquement restreint à l'idée de la "scolarité" puisque je ne connaissais encore que cela...
Tout n'est qu'une question d'équilibre, il le montre bien, je vous conseille vraiment de lire attentivement, il l'explique bien mieux que moi.
J'ai enfin aussi compris qu'il n'existait pas d'équilibre parfait, il y avait forcément des hauts, où on pense que les trois "pilliers" sont parfaits, mais ce n'est que provisoire et superficiel, tandis qu'à d'autres moments, on trouve que nos trois "pilliers" sont au plus bas, mais c'est exactement la même chose, tout est provisoire, c'est à soi de décider quel pillier favoriser plutôt qu'un autre en fonction du contexte.
Tout fini par s'équilibrer, mais à condition qu'on s'en donne réellement les moyens.
Je vous renvoie vraiment vers la vision de Sasukhey, il l'explique bien plus en détail que moi, et avec plus de maturité.
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Les potes
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C'est selon moi une des choses les plus importantes dans la vie. Je n'ai jamais à proprement connu la solitude, n'avoir absolument personne à qui parler m'est inconnu, mais je sais que je trouve le réconfort et le bonheur dans mes fréquentations. C'est un de mes plus grands atouts, j'ai jusqu'à maintenant toujours su m'entourer des bonnes personnes, et su les garder.
Bon pour le coup, il est vrai que mon intégration sociale acquise en Seconde s'est en parti faite par chance. Brice, le Yes-Life qui n'avait pas vraiment de potes dans la classe m'a pris sous son aile.
Vous pouvez toujours vous dire que l'intégralité de mon cercle s'est fait sur un coup de chance, mais non.
Brice m'a permis uniquement de "m'élever socialement dans la classe", et donc d'acquérir un peu de confiance en moi. Pour ce qui est du reste, je me suis formé mon propre groupe de potes, Mathieu, Pierre et j'en passe, vous les connaissez maintenant...
Il est évident que se faire des amis n'est pas forcément la chose la plus simple, mais je vous garantie qu'avec un peu de bonne volonté, c'est plutôt simple de s'entourer (bien s'entourer est une autre chose, à vous de faire le tri).
Je vais peut-être en scandaliser quelques-uns, mais je n'approuve pas le fameux "sois-toi même". Il est évident que si de nature un mec est repoussant, et qu'on lui dit de rester "lui-même", il restera toute sa vie seul.
C'est très triste à dire, mais pour s'intégrer en 2019, il faut soit rentrer dans le moule, soit être au contraire très original, unique (au lycée en tout cas). Si vous n'êtes pas un normie, mais plutôt un Semi No-Life, voir un asocial, il va vraiment falloir changer. Si ça peut en aider certains, je vous mets le lien de "La Bible du 18-25", écrite par le khey " Kheynneddy "(c'est épinglé en ce moment d'ailleurs). https://www.dropbox.com/s/3vk2r2r9var9mtd/La%20Bible%20PDF.pdf?dl=0
Il faudrait passer outre les fautes d'orthographe, mais le fond est plutôt correct, si vous avez un peu de temps devant vous, ça peut vous aider.
Par "rentrer dans le moule", je veux dire qu'il faut respecter les codes sociaux.
Chose primordiale: avant d'être aimé par les autres, il faut apprendre à s'aimer soi-même (ce n'est qu'en début de Terminale que j'ai eu un gain de maturité et que j'ai commencé à réduire à néant mon complexe d'infériorité; je me suis d'ailleurs dépucelé quelques mois plus tard).
Nous reviendrons à la confiance en soi ultérieurement.
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Le fameux "Bah sors" est techniquement vrai. Ce n'est pas en restant vautré sur votre canapé qu'une fille va vous tomber dans les bras. Cela commence par une prise de conscience. "Bordel, il faut que je me trouve un objectif dans cette vie".
Étrangement, j'ai trouvé de la motivation quand j'étais au plus bas, après ma rupture avec Héloïse (et quelques semaines à me morfondre, certes). Je voulais prouver à moi-même que j'étais fort, presque "supérieur" aux autres.
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Le mot clé de mon Risitas est "oser". Sans ça, vous n'irez pas loin. Oser, c'est franchir ses peurs pour atteindre ses buts. Je suis bien conscient que pour certains, ça peut paraitre plus complexe que pour d'autres de franchir sa timidité, mais osez franchir cet obstacle social qu'est la timidité.
Ça commence par des petites actions au quotidien. Des choses toutes bêtes, quand vous allez chercher votre baguette le matin, n'hésitez pas à lâcher un "Bonjour, comment allez-vous?" avec votre plus beau sourire à la boulangère/boulanger plutôt qu'un simple "Une tradition s'il vous plait" en baissant les yeux. En rentrant avec votre baguette chaude sous le bras, si vous croisez une fille attirante, allez lui demander l'heure ou trouver une excuse banale pour engager une discussion anodine. Allez-y progressivement.
J'ai un exemple concret; en Seconde, en Histoire, matière qui m'a toujours passionné, j'avais une remarque à faire (le cours du prof comportait une petite erreur). J'ai hésité environ 3 secondes, de peur de passer pour un intello auprès des autres, mais mon inconscient m'a fait levé la main. Le prof m'a donc laissé la parole, et j'ai fait la remarque qu'il y avait une information inexacte dans son cours.
Cela m'a valu un remerciement du prof, une bonne appréciation dans le bulletin de ce même prof (j'avais fait d'autres interventions de ce genre), et l'admiration de certains élèves de ma classe.
Moi qui pensait d'abord que cette simple intervention allait me couter une réputation d'intello suceur, je me suis rarement autant senti valorisé de toute ma jeunesse.
Le simple fait d'oser lever la main a déclenché une série d'évènement, qui m'amène aujourd'hui à vous faire part de cette anecdote, la preuve en est que je m'en souviens encore, 5 ans plus tard.
Quand je dis oser, c'est qu'il faut qu'il y ait tout de même une raison derrière, un but.
Si c'est uniquement oser pour oser, roter en entretien d'embauche devant ton futur patron par exemple, ça n'a aucun intérêt.
Il faut donc oser pour ce qui peut vous apporter du bénéfice, en d'autres termes, savoir créer des occasions, mais surtout ensuite savoir les saisir.
Une fois que vous avez appris à vous accepter comme vous êtes (on a tous des complexes hein, ne vous étonnez pas), osez aller vers les gens, ou bien même, mettez vos complexes de côté, et décomplexez-vous en osant aller vers les gens. Ça risque au début d'être gênant, mais au fur et à mesure, vous gagnerez de l'XP, et vous passerez au niveau supérieur.
Autre chose que j'ai toujours eu tendance à faire: hiérarchiser absolument tout. Je mettais sur un piédestal mes modèles ou des gens que je qualifiaient de plus importants que d'autres.
C'est la discussion avec mon père qui m'a ouvert les yeux; nous sommes tous des humains avec des besoins primaires. Que ce soit Beyoncé ou la boulangère, toutes deux vont aux toilettes et lâchent des étrons des enfers à faire pâlir un plombier.
Le "pote parfait" ou bien même la fille "parfaite" n'existe pas. Un simple exemple: On a l'habitude de mater des filles dans la rue quand on se balade avec des potes (on fait ça discrètement bien sur, nous sommes éduqués). On a souvent des gouts très différents, une 8/10 pour moi peut paraitre comme étant une 5/10 aux yeux d'un autre. Tout est subjectif.
Voyez vos futurs potes comme des personnes normales, et surtout, ne les jugez pas (à proprement parlé), mais n'hésitez pas à leur dire sincèrement ce que vous pensez d'eux si nécessaire (faites ça bien, et pas de manière à l'humilier). Ceux qui seraient vexés partiront, et bien tant mieux, c'est qu'ils ne vous méritez pas. La confiance est essentielle à une bonne relation amicale saine.
Certains auront l'excuse de dire "Oui mais gneugneu, les groupes sont déjà formés, je n'y ai pas ma place".
C'est vrai que certains ont tendances à rester dans leur petit cercle, et bien d'abord sache que ces gens-là ont tendance à être introvertis, et ce n'est pas avec eux que vous ferez les 400 coups. Il faut savoir s'ouvrir aux autres, faire le tri, c'est à vous de décider qui peut être votre ami ou non. J'ai toujours fait l'effort d'aller vers les autres, puisque ce n'est jamais les autres qui viendraient vers moi. Et inconsciemment, ça me donne l'avantage dans une conversation puisque c'est moi qui ait fait le premier pas, c'est à l'autre de suivre.
Trouvez donc des potes avec qui vous partagez des valeurs communes, et de préférence, qui ont une touche d'originalité qui les rend unique.
Une fois que vous avez vos potes acquis, il faut savoir les garder.
Soit vous avez les mêmes potes depuis l'enfance (comme moi avec la bande ), alors le lien est puissant et presque naturel. Concernant les relations plus fraiches, il faut à tout prix garder ceux qui méritent d'être gardés, les relations sont un tri constant, à vous de garder les meilleurs éléments.
Je le répète, c'est vous qui décidez de qui peut être votre pote ou non. Vous ne pouvez pas être soumis à un autre, gardez toujours un état d'esprit dominant.
Ne vous efforcez de garder contact qu'avec ceux qui vous rendent la pareille. SI un de vos potes devient distant, c'est très mauvais signe, essayer de trouver la raison de votre éloignement, la communication est tout autant essentielle que la confiance pour conserver une relation stable et saine. Si vous voyez qu'il vous ignore délibérément, lâchez-le, ne vous faites pas du mal à essayer de le récupérer, c'est peine perdue, et c'est aussi une perte de temps, vous ferez du mal inutilement.
J'ai eu cette discussion avec un pote de prépa, on rentrait chez nous tard le soir, un peu bourrés, mais lucides. Il m'a alors dit: "Tu sais Cana, j'ai pensé à ça l'autre soir: Aujourd'hui, on est là, à déambuler dans la rue, on se dit qu'on ne se perdra jamais de vue, mais je doute que dans deux ans, nous serons là, ensemble, dans cette même situation, ensemble. C'est dans la nature humaine de changer, de briser la routine, c'est le seul moyen d'accéder au bonheur; le changement, le renouveau."
J'y ai pas mal réfléchi, et il y a une part de vérité. Les humains, c'est un peu comme une sorte de "réservoir", au fur et à mesure qu'on côtoie une personne, on consomme peu à peu ce réservoir, jusqu'à ce qu'il soit vide, qu'on ne partage plus grand chose avec la personne, qu'on "a tout vu d'elle". Donc bien évidemment, à vous de faire en sorte que votre réservoir ne soit jamais vide, à vous de le remplir en étonnant vos potes, en innovant. Une relation amicale basée sur une routine quotidienne n'est pas attrayante (cela n'est que mon opinion personnelle, encore une fois).
Bien évidemment, je parle pour quelqu'un de mon âge qui n'a qu'en tête de s'amuser et de jouir un maximum de la vie, c'est une vision différente de quand on rentre peu à peu dans une routine avec les premiers boulots, la première longue relation, l'arrivée des gosses, c'est autres choses...
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Les filles.
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A 20 ans, je ne considère pas avoir une expérience incroyable avec la gente féminine, surtout maintenant que je suis en prépa. C'est au lycée où j'ai eu mon âge d'or, avec ma première relation de quelques mois avec Héloïse, puis ensuite mes flirts avec Bérangère, puis Sophie. Depuis, je ne vous cache pas que ça se résume à quelques flirts en soirées/boites le samedi soir, mais rien de fou. Je ne me place donc pas en sex-symbol. Ce que j'ai retenu de mes relations, c'est qu'une fille n'est tout simplement pas une divinité, ni un objet.
Ce que je veux dire par là, c'est que le fait d'idéaliser une femme est tout simplement nuisible pour vous. Vous vous dites d'avance, "Je n'aurai jamais le niveau pour pouvoir séduire une telle beauté". Je crois réellement que la personnalité l'emporte sur le physique. Je suis objectivement un 7/10, et pourtant, je sais que j'ai un certain succès avec des filles que je juge souvent plus belles que moi (8<).
Bien évidemment, en m'imaginant qu'elle a 200 de QI, une culture exorbitante, et qu'elle n'a d'yeux que pour Brandon 9/10 2m10 de muscles, vous n'irez jamais loin.
Ne vous rabaissez jamais, ayez plus d'estime pour vous même que pour elle. Imaginez la aux toilettes (pas au point de vous dégouter hein), mais il faut à tout prix ne pas la mettre sur un piédestal. Avec le recul, je sais que j'avais eu mes chances avec Léa, la fameuse fille des couloirs, elle m'envoyait des signes apparents, mais je m'étais auto-persuadé que je ne pourrais jamais sortir avec elle, qu'il y avait un fossé entre elle et moi, que j'avais moi-même creusé, je n'ai donc pas saisi une occasion qui aurait pu changer le cours de ma vie.
Autre chose de très important, vous êtes un Mâle Alpha, il ne faut pas que vous montriez le moindre signe de faiblesse. Elle doit, à première vue, vous prendre pour un gagnant, un gars qui sait où il va.
Ponctuez vos phrases par des affirmations, plutôt que de dire "Demain, je pense faire ça, avec peut être quelques potes, mais rien n'est sur", dites plutôt "Demain je vais faire ça, accompagné de Jack et Daniel".
Soyez direct, courtois, droit, confiant et paressez sur de vous.
La posture est très importante, et comme le charisme, s'apprend.
Pour certains, c'est inné, je connaissais un Yes-Life du lycée qui avait connu ses premiers ébats sexuels à l'âge de 14 ans avec des filles plus vieilles que lui, pourquoi? Son charme. A vrai dire, il avait lui aussi ce "vent". Il m'attirait (pas sexuellement, calmez-vous), toute personne le croisant voulait être son pote ou sa meuf, tout ça sans même qu'il ouvre la bouche. Il savait juste bien se tenir et se comporter.
Dos droit, épaules légèrement haussées (ne forcez pas pour être un rectangle), petit sourire en coin bien viril, regard perçant (ça s'apprend aussi), toujours la tête haute, je ne l'ai que très rarement vu baisser les yeux, et un style universel avec une pointe d'originalité (chemises de bucheron et un bonnet noir).
Il faut vous forcer à montrer le meilleur de vous même, prenez soin de vous, les autres le ressentiront.
Autre chose, lorsque vous parlez à une fille, essayez de la considérer comme une fille lambda, ne la considérez pas comme une éventuelle partenaire, elle le sentira immédiatement. Essayez de ne pas bégayer, et à chaque fois de relancer la conversation, montrez lui que vous vous intéressez à elle.
Préparez le terrain au préalable, je pense qu'il vaut mieux prévoir quelques répliques ou anecdotes à l'avance plut^to que d'être à cours d'idée en pleine conversation. Anticipez certaines questions, faites vous différents scénarios en tête avant de vous lancer, essayer de toujours avoir l'avantage de la conversation, un temps d'avance.
Faites comme moi, soyez ambigüe avec toutes les filles, entrainez-vous à attirer leur attention, à mettre un doute dans leur esprit, tout en gardant une part de mystère. Je ne crois toujours pas en l'amitié fille-garçon, même deux ans plus tard.
Il y a de multiples façons pour rencontrer des filles. Comme je l'ai dit plus haut, le social va ensemble avec le sentimental; avoir un groupe d'amis vous permet de sortir accompagné, et d'éventuellement d'élargir ce cercle social. La plupart des rencontres se fait à notre époque de cette manière.
Autrement, il y a la drague de rue, mais je n'ai que très peu pratiqué, et ça s'est avéré très peu productif et vite décourageant. Ça en était presque malsain (je ne m'en prenais pas de la bonne manière), je trouvais que ça faisait "vautour guettant des proies".
Bref, ce n'est pas pour moi. Une fois de plus, je vous renvoie au Risitas de Sasukhey qui est un bien plus fin connaisseur.
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Une fois que vous avez créé un eye-contact avec votre dulcinée, c'est le moment de passer à l'attaque. N'oubliez jamais de sourire, vérifiez au préalable que vous avez une hygiène impeccable sur le moment, une simple crotte de nez peut être fatale. Soyez souriant, et préparez-vous à l'avance de ce que vous pourriez dire, pour éviter de créer des blancs gênants si vous ne possédez pas l'art de la conversation (ça aussi s'apprend). Une fois que vous avez épaté votre cible et que vous réussissiez à avoir son numéro, le plus dur est fait.
Si vous obtenez son numéro, c'est qu'elle vous prête de l'attention, vous lui avez tapé dans l'œil. Il faudra ensuite assurer la partie drague par SMS, avant de fixer un autre rendez-vous et de conclure.
Mieux encore, si vous avez des potes en commun, demandez à un d'eux de servir d'intermédiaire (vérifiez au préalable que cet intermédiaire soit neutre et non jaloux, il pourrait profiter de la situation). Pour vous entrainez, inscrivez-vous sur Tinder ou autre, et conversez avec des filles randoms, l'art de la répartie et de la conversation s'apprend.
Je pense sincèrement que rien n'est prédéfini dès la naissance au niveau des relations sociales, on peut toujours apprendre. Certains sont plus aptes à sociabiliser que d'autres, mais dans l'ensemble, on est tous apte à s'en sortir.
La première relation est souvent la plus complexe et la plus mémorable. Vous y découvrez plein de choses, c'est magique. Puis finalement, on se rend compte que beaucoup de filles se ressemblent, et on développe peu à peu des stratagèmes de drague universelles, on comprend peu à peu la gente féminine.
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Famille
Pour ce qui suit, cela concerne uniquement ceux qui ont des problèmes familiaux. Ce qui prime avant tout, c'est la communication. Il faut discuter, instaurer un climat de respect.
Si votre famille vous rabaisse sans cesse, le plus simple est je pense, de couper les ponts. Ça doit être extrêmement compliqué, j'en suis conscient. Pour exemple, mes voisins avaient un fils unique, qui se disputait sans cesse avec son père, on les entendait s'engueuler, pleurer le soir, c'était assez éprouvant. Le fils a claqué la porte le lendemain de ses 18 ans. Je ne l'ai plus revu, mais j'ai ouïe dire qu'il s'en était bien sorti, et qu'il était parti faire sa vie en Suisse, comme quoi on peut toujours rebondir.
Je vais faire très court car j'ai eu une famille unie et à mon écoute, et je me rends compte chaque jour à quel point c'est bénéfique de grandir dans un cadre sain. J'ai une sœur (j'en ai pas parlé dans le Risitas), ça m'a pas mal aidé à savoir comment les filles étaient, on a toujours été proches, et on se parlait souvent sans tabous (elle a deux ans de plus que moi).
Post avant "Baise la" d'ailleurs.
Mes parents aussi sont très ouverts, je me rappelle de ma mère qui me donnaient des conseils au collège, que je trouvais à l'époque ridicules, mais qui se sont avérés être vrais. Nos parents ont souvent raisons, j'ai à de multiples reprises regretté d'en avoir fait qu'à ma tête.
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La confiance en soi.
C'est primordial. Elle s'acquiert généralement à l'adolescence, la période la plus ingrate. Je n'ai jamais été un No-Life, toujours un normie, voir Yes-Life au lycée, mais j'ai moi aussi subi des harcèlements au collège. Je suppose qu'on a tous été soi-même victimes d'un autre, et peut-être sans s'en rendre forcément compte, nous même des bourreaux. J'ai développé des complexes totalement cons (des oreilles légèrement disproportionnées, quelques imperfections au visage) qui se sont avéré futiles, je m'en suis rendu compte quand j'étais en train de rouler des pelles peu catholiques à une 9/10...
Sauf que certains n'ont pas cette chance et on du mal à décomplexer, que ce soit pour la taille (rassurez-vous, j'ai un d'1m65 qui arrivent à gérer) ou autres. Je pense que les complexes sont un des plus grands fléaux, surtout avec l'arrivée des réseaux sociaux et de l'image "parfaite" des gens.
Je peux heureusement vous conseiller plusieurs méthodes, qui risquent d'être critiquées par certains, ou bien perçues comme étant ridicules pour d'autres, mais elles m'ont personnellement été utiles.
-La méthode Coué.
Cela consiste à vous auto-persuadé en vous répétant régulièrement ce que vous souhaitez entendre. Posez-vous devant un miroir, observez vous attentivement, et dites vous à haute voix: "Toi, t'es un beau-gosse". Je vous garantie que si vous le faites régulièrement, la perception de vous même changera significativement dans un temps assez réduit. Le mieux étant d'avoir quelqu'un pour vous le dire naturellement, mais des fois le miroir est notre meilleur ami.
C'est du narcissisme à l’état pur, mais si ça peut aider, c'est à prendre!
Le culte du corps est aussi extrêmement important. Si vous avez une piètre image de vous-même, faites du sport. Premièrement, vous évacuerez le stress accumulé (j'ai tendance à être un stressé du cul, je sais de quoi je parle), et en plus de ça vous développerez un corps qui vous plait. Je ne vous pousse pas à "Go-Muscu" 5 fois par semaine et devenir une armoire à glace, mais de simplement s'entretenir avec ce que vous pouvez.
Je me suis forgé un corps plutôt athlétique en trois ans de pratique plus ou moins régulière. 1m84 pour 74kg. Bon, forcément j'ai une génétique corporelle plutôt à mon avantage, mais je n'ai pas acquis du muscle en bouffant des chips sur mon canapé. On ne s'en rend pas compte tout de suite, mais c'est aussi assez addictif, on y trouve satisfaction. Il est vrai que les filles prêtent beaucoup attention au corps. N'oubliez pas que la première chose qu'elle voit chez vous, c'est votre apparence.
Autre chose pour certains, arrêtez de trainer autant sur les réseaux sociaux, ne regardez pas de télé-réalité ou autres du même style (vous perdez des neurones, c'est évident), arrêtez aussi de vous comparer sans cesse aux autres, essayez juste de montrer le meilleur de vous même.
Entre un lambda avec une personnalité incroyable mais peu sur de lui, et un beau-gosse totalement con mais confiant, je pense sincèrement que la fille finira dans les bras du kéké.
Développez ce "vent" les kheys, ça change un Homme.
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(4/4)
Mon quotidien:
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Aujourd'hui, j'ai 19 ans, je passe dans ma deuxième décennie dans environ 2 mois. Toujours en prépa ECS, je lutte tous les jours contre les maths, mais j'ai changé ma vision des choses, je ne les vois plus comme un adversaire, mais plutôt comme un outil stimulant. Je pense aussi que mon esprit logique s'est affuté, même si je pense toujours que les maths sont plus ou moins innés.
Niveau scolaire, je me débrouille (bon, je suis dans la deuxième moitié en maths, mais je suis dans le top 6-7 dans le reste, donc ça compense bien). Je vois la prépa comme un défi, je m'attendais à ce que ce soit le bagne, mais j'étais prêt à affronter ces deux années, je jugeai avoir suffisamment joui de mes années lycéennes. Finalement, la charge de travail est certes élevée, mais j'ai appris à prendre du recul, et à faire la part des choses, je sors dès que j'en ai l'occasion.
Enfin, j'ai essayé, j'ai tout de même passé des samedis soirs à vous pondre une sweet au lieu de me bourrer la gueule dans un bar parisien ou en boite...
Je continue de fréquemment voir mes potes de lycée plus que ceux de prépa, que je vois au quotidien. Voir mes potes du lycée me permet de renouer un peu avec le passé, quand j'étais encore un peu plus naïf que maintenant.
Je continue la musique, on joue de temps en temps dans notre ville, c'est toujours plaisant.
Niveau fille, je suis actuellement proche du néant, ma dernière aventure date d'Octobre. J'ai rencontré une pianiste qui m'a l'air bien sympathique, je vais voir ce que je peux faire. Je croise toujours Héloïse le mardi et jeudi matin, on prend le même chemin à la même heure.
J'essaye de me lever le matin avec le sourire, à penser aux bons moments qui m'attendent, tout en mettant les mauvais de côté, en les repoussant jusqu'au dernier moment. Bien sur, il y a des jours où rien ne va, mais ça arrive à tout le monde.
J'ai toujours été superstitieux (bon, je n'ai jamais consulté de voyante, je passe sous les échelles, etc), mais je pense croire au karma, et j'essaye donc d'être bon envers les autres. Je connais le sentiment d'injustice, fournir un travail qui n'est pas récompensé est une des pires choses. Mais sachez que tout fini toujours par être récompensé, tout n'est qu'une question de patience, ne vous découragez pas.
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La vie n'est qu'une succession de choix, a vous de choisir les bons.
J'ai pris le choix de vous partager un petit bout de ma vie, et je suis satisfait de ce choix.
Merci à tous de m'avoir suivi, pour certains depuis maintenant presque 6 mois, une demi-année qu'on partage la même aventure, ce fut un plaisir mes kheys.
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Cana.
Cana , je suis à la page 138 , je te remercie d'avance pour ce risitas que tu viens de finir. Braavo , tu me fais bien rire !
Je te félicite vraiment , tu as fourni un énorme travail , et je suis vraiment content que tu es finis ce risitas.
Félicitations pour pas avoir lâché, et avoir terminé ton risitas !
Avant toute chose, je vous renvoie au Risitas de Sasukhey qui a eu la même perception des choses, il appelle ça "Le triangle de l'équilibre". https://www.jeuxvideo.com/forums/42-51-56873438-567-0-1-0-risitas-un-pucix-deter-face-aux-bgs-yes-life.htm
Merci Cana pour ces nombreuses dédicaces
Je n'ai pas encore fini ton Risitas, je viens te pondre un pavé une fois que c'est fait (surement fin de semaine)
Données du topic
- Auteur
- Canabistouille
- Date de création
- 4 août 2018 à 17:49:08
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