Topic de grimalbide :

(gay) je sors de mon plan cul

Le 24 mars 2018 à 14:33:24 ProstateDeDave a écrit :
Vous savez, moi je ne crois pas qu’il y ait de bonne ou de mauvaise situation. Moi, si je devais résumer ma vie aujourd’hui avec vous, je dirais que c’est d’abord des rencontres. Des gens qui m’ont tendu la main, peut-être à un moment où je ne pouvais pas, où j’étais seul chez moi. Et c’est assez curieux de se dire que les hasards, les rencontres forgent une destinée...
Parce que quand on a le goût de la chose, quand on a le goût de la chose bien faite, le beau geste, parfois on ne trouve pas l’interlocuteur en face je dirais, le miroir qui vous aide à avancer. Alors ça n’est pas mon cas, comme je disais là, puisque moi au contraire, j’ai pu : et je dis merci à la vie, je lui dis merci, je chante la vie, je danse la vie... je ne suis qu’amour !
Et finalement, quand beaucoup de gens aujourd’hui me disent « Mais comment fais-tu pour avoir cette humanité ? », et bien je leur réponds très simplement, je leur dis que c’est ce goût de l’amour ce goût donc qui m’a poussé aujourd’hui à entreprendre une construction mécanique, mais demain qui sait ? Peut-être simplement à me mettre au service de la communauté, à faire le don, le don de soi...

c'était ... putain merci j'ai rigolé

Le 24 mars 2018 à 14:49:23 grimalbide a écrit :
jamais sans préservatifs

Alors ça n'a aucune espèce d'intérêt. :nah:

Le 24 mars 2018 à 14:54:34 bobbogay a écrit :

Le 24 mars 2018 à 14:49:23 grimalbide a écrit :
jamais sans préservatifs

Alors ça n'a aucune espèce d'intérêt. :nah:

Ben si, ne pas attraper des maladies à la con.

C'est plutot lui qui est sorti de toi https://image.noelshack.com/fichiers/2016/32/1470919005-img25.png
Il avais une grosse bite ? :noel:
N'y a-t-il pas des moments où l'ardeur de vouloir s'apaise, où l'homme, ayant obtenu satisfaction sur un point qui lui paraissait essentiel, consent à ne plus rien désirer, où, sentant son existence assurée, il ne demande plus qu'à laisser couler tranquillement ses jours ? Mais alors, alors se présente devant lui son second ennemi, plus redoutable que le premier, parce qu'il paralyse ses forces et le laisse sans défense : l'ennui. « Alors intervient le désir de nous délivrer du fardeau de l'existence, ou du moins de le rendre insensible, le désir de tuer le temps, c'est-à-dire de fuir l'ennui. Aussi voyons-nous la plupart des gens à l'abri du besoin et des soucis, une fois débarrassés de tous leurs autres fardeaux, être enfin à charge à eux-mêmes, considérer comme un gain toute heure écoulée, et s'appliquer, pour ainsi dire, à réduire cette vie que jusqu'alors ils mettaient tous leurs efforts à conserver. L'ennui n'est pas le moindre de nos maux ; il met à la longue sur les figures une véritable expression de désespérance . » Ainsi la vie oscille entre la douleur et l'ennui, pire que la douleur. La satisfaction n'est qu'une délivrance; elle fait taire momentanément le besoin, qui renaît aussitôt sous une autre forme. Nous ne jouissons de la satisfaction qu'indirectement, par le souvenir de la privation passée. La souffrance, au contraire, se présente à nous sans intermédiaire. Tout plaisir est, par essence, négatif. La douleur seule est positive et quand nous cherchons à lui échapper par l'absence de désir, nous n'avons d'autre refuge qu'un état de langueur, une attente sans objet, l'ennui.
Vous savez, moi je ne crois pas qu’il y ait de bonne ou de mauvaise situation. Moi, si je devais résumer ma vie aujourd’hui avec vous, je dirais que c’est d’abord des rencontres. Des gens qui m’ont tendu la main, peut-être à un moment où je ne pouvais pas, où j’étais seul chez moi. Et c’est assez curieux de se dire que les hasards, les rencontres forgent une destinée...
Parce que quand on a le goût de la chose, quand on a le goût de la chose bien faite, le beau geste, parfois on ne trouve pas l’interlocuteur en face je dirais, le miroir qui vous aide à avancer. Alors ça n’est pas mon cas, comme je disais là, puisque moi au contraire, j’ai pu : et je dis merci à la vie, je lui dis merci, je chante la vie, je danse la vie... je ne suis qu’amour !
Et finalement, quand beaucoup de gens aujourd’hui me disent « Mais comment fais-tu pour avoir cette humanité ? », et bien je leur réponds très simplement, je leur dis que c’est ce goût de l’amour ce goût donc qui m’a poussé aujourd’hui à entreprendre une construction mécanique, mais demain qui sait ? Peut-être simplement à me mettre au service de la communauté, à faire le don, le don de soi...

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grimalbide
Date de création
24 mars 2018 à 14:32:57
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