[RISITAS] Le jour où j'ai repeint les murs de la BU avec ma merde
Alors tout d'abord je précise
Ensuite c'est mon premier RISITAS alors soyez indulgents
C'était y'a quelques semaines, étant un Jean-PACES bien stressé par son concours, j'avais décidé de manger des oeufs pour un petit-déjeuner PROTÉINÉ qui me donnerait l'énergie nécessaire pour travailler
J'ai pris alors une bonne dizaine parce que je me sentais AFFAMÉ ce jour-là
Seulement ces oeufs traînant depuis longtemps dans mon frigo je n'avais pas vu qu'ils étaient périmés depuis 1 mois et demi
Je me délecte ainsi de mon festin PROTÉINÉ et je vais rejoindre mes amis pour travailler à la BU de ma fac dans le plus grand des calmes
Et c'est la que le pire a commencé
Je sens mes intestins commencer à se tordre et des gargouillis infâmes commencent à se faire entendre Mais voulant masquer ma nervosité je décide d'afficher mon plus beau sourire de YES LIFE alors que mes amis intrigués sortaient la tête de leurs cours pour capter l'origine de ces étranges sonorités semblant émaner de ma direction
Les gargouillis s'intensifièrent alors et je commençais à stresser encore plus, seulement le stress tordant encore plus mes boyaux et mes boyaux douloureusement contractés continuant à me faire stresser, un cercle vicieux horrifique menant ma tension à son paroxysme se mis en place
Je contractais mes muscles le plus fort possible pour empêcher la catastrophe d'arriver
Je sentais ma liqueur interne bouillonnante frémir, et de silencieux pets d'une odeur si fétide - que je me pose encore la question de savoir comment personne n'a pu les sentir - commencèrent à s'échapper de mon anus tout contracturé
Je commençais à m'agiter sur ma chaise alors que je commençais à comprendre ce qui s'apprêtait à sortir de mon corps sans mon autorisation
J'eu alors cette idée de génie con de me dire que si m'agiter me stressait encore plus et continuait à faire monter la pression, il suffisait que je me relaxe pour faire remonter l'éruption volcanique en approche de là où elle venait
Et c'est là qu'un véritable tchernobyl gastro-intestinal survint, mes muscles pelviens et anaux ne supportant déjà plus la pression interne, à la seconde où je les relâchais, un véritable déluge de merde sortit de mon rectum et fuita par les MOINDRES ORIFICES à l'air libre de mon jean
Toute la BU se retourna vers moi alors que, à défaut de pouvoir stopper les jets de merde s'échappant de toute part de mon pantalon, je cachais mon visage avec mes mains pour préserver mon identité afin de ne pas ruiner ma future vie sociale, tout en sachant que mes amis actuels me renieraient déjà
Après une MINUTE ENTIÈRE de flot ininterrompu de merde brûlante, où se mêlaient dégoût, stupeur et hilarité sur les visages des autres étudiants, j'entrouvris mes yeux embués de larme pour constater l'étendue des dégâts
Pire qu'un scène de crime, je pus voir comment les murs de la bu qui se trouvaient derrière moi, normalement d'un blanc immaculé, étaient désormais d'un ton brunâtre vomitif
Je pus voir comment l'un de mes amis qui se trouvait à ma droite était désormais enseveli sous le produit de mon immondice de métabolisme intestinal
Je pus voir comment la 10/10 que je convoitais tant me fixait d'un air effaré , m'indiquant que je serais désormais et à jamais 'le gars qui chia des torrents de merde dans la bu' à ses yeux
Choqué et traumatisé, je choisis de me lever en laissant toute mes affaires sur la table (détail important pour la suite), tout en gardant mes mains sur mon visage pour sauvegarder le peu de dignité qu'il me restait, et de fuir au plus vite
Seulement je n'avais pas pris en compte un détail : le poids de ma merde était si important que mon jean et mon caleçon commencèrent à tomber alors que je courrais vers la sortie en laissant un trace indélébile de mon passage derrière moi
Ils finirent par tomber complètement exposant mon mciro penis à la vue de tous
Pleurant, désespéré, je finis par rentrer chez moi nu sans pantalon, la queue entre les jambes, la merde dans mon sillage
Je pensais que c'était fini, et que je n'aurais perdu que mes 4 amis connaissant mon identité... Mais rappelez-vous, j'avais laissé mes affaires... On me rapporta par la suite qu'un Célestin en quête de notoriété s'était saisi de ma carte étudiante et avec révélé mon identité aux yeux de tous
Depuis ce jour, on me surnomme débouche chiotte et j'ai du cesser toute activité sociale. Je n'ai plus aucun amis ni aucun espoir, à part la chirurgie pour changer de visage, visage qui est désormais connu de tous
Les rares fois où j'ai du me rendre à la fac pour des raisons administratives, j'ai du me déplacer avec la prudence du Célestin que je suis désormais devenu
J'ai entendu plusieurs personnes parler de moi et apparemment tout le monde me recherche parce que j'aurai mystérieusement disparu depuis... Il paraît que l'administration de la fac n'a 'pas souhaité des dommages et intérêts' de ma part car les témoignages d'étudiants ayant assisté à la scène étaient si horribles qu'ils ont eu pitié de moi
Enfin bon, mon seul réconfort c'est que je sais que j'ai marqué l'histoire de ma fac, historiquement ET physiquement, en témoigne l'énorme tache de merde sur la moquette de la BU que j'ai eu l'occasion de voir en y revenant à la fermeture alors qu'il n'y avait plus personne.
Certains disent même qu'un relent pestilentiel se fait parfois sentir quand le soleil fait chauffer la moquette de la BU...
Données du topic
- Auteur
- OeufBrouile
- Date de création
- 18 mars 2018 à 11:56:28
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