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SI 100 PAGES AVANT 16h30

Le 10 septembre 2017 à 16:28:27 KH3Ynedy a écrit :
J aime les bites mais personne ne le saura

J'aime manger des gauffres de sperme

Le 10 septembre 2017 à 16:28:30 fuckphp a écrit :

Le 10 septembre 2017 à 16:27:55 Hunter_[KYD] a écrit :
C'est foutu

nope, il a monté à 17h :oui:

Lien ?

Nous n'atteindrons pas la moitié [[sticker:p/1lmc]]
j'ai déja sucer kirby, nofake

Le 10 septembre 2017 à 16:28:27 KH3Ynedy a écrit :
J aime les bites mais personne ne le saura

https://image.noelshack.com/fichiers/2016/32/1470920801-jesus17.png

Le 10 septembre 2017 à 16:26:12 FoetusEnVente a écrit :
Histoire[modifier | modifier le code]
Ce mot vient du latin hydromeli, lui-même issu du grec ancien ὑδρόμελι/hudrómeli dérivé de ὕδωρ/húdôr (« eau »), et μέλι/méli (« miel »). Cette boisson est l'une des premières boissons alcoolisées que l'homme ait bu. Les premières traces de production d'hydromel remontent à 7000 av. J.-C., en Chine. Une des premières recettes écrites nous vient d'Aristote en 350 av. J.-C.1.

Connu et apprécié des Grecs et des Romains pour se répandre plus tard chez les Gaulois, l’hydromel, boisson des dieux issue de la fermentation d’eau et de miel dans des proportions variant suivant les peuples, est plébiscité tant par les familles que par les religieux du Moyen Age, avant d’être supplanté vers le xiiie siècle par l’hypocras, breuvage consistant en un vin miellé auquel on ajoute bientôt force épices et herbes aromatiques, et dont les propriétés les font interdire dans les monastères.

Dans la mythologie nordique, les Valkyries remplissent les cornes d'hydromel, durant le festin des dieux.

Miel[modifier | modifier le code]
Question book-4.svg
[afficher]Cette section ne cite pas suffisamment ses sources (indiquez la date de pose grâce au paramètre date).
Le miel donne sa couleur et sa saveur à l'hydromel. On peut utiliser tout type de miel, mais pas de miel fermenté ou d'eau de lavage d'opercule. Un miel de châtaignier par exemple, sombre, fort et légèrement amer donne un hydromel similaire. Les miels les plus utilisés sont des miels clairs (qui donnent un hydromel clair) aux goûts discrets : l'acacia, le colza ou le tournesol.

La quantité de miel à utiliser dépend de la quantité de moût (mélange avant fermentation), du taux d'alcool ainsi que du type d'hydromel désiré (sec, moelleux…). On a besoin de 17g/l2 de sucre pour produire 1° d'alcool et sachant que 70 % environ du miel est fermentescible, on a besoin de 24,5g/l3 de miel pour obtenir 1° d'alcool.

La différenciation entre les types d'hydromel est due au sucre résiduel (sucres non fermentés) dans le produit fini.

Sucre résiduel en fonction du type d'hydromel souhaité
(données indicatives, aucune précision légale trouvée)
Type d'hydromel Quantité de sucre résiduel
Sec 0 à 10 g/l
Demi-sec 10 à 20 g/l
Doux /Moelleux 20 à 40 g/l
Liquoreux 40 à 60 g/l
Dans les faits, pour les hydromels du commerce, la législation applicable est identique à celle pour les vins, et tient compte de la quantité de sucres résiduels contenu dans le produit à l’embouteillage.

Afin de calculer la quantité nécessaire de miel on applique donc cette formule (en grammes et litres) :

{\displaystyle M=V\times (24.5\times C_{V}+C_{m})} {\displaystyle M=V\times (24.5\times C_{V}+C_{m})}, avec {\displaystyle M} M la masse de miel nécessaire (en g), {\displaystyle V} V le volume d'hydromel souhaité (en L), {\displaystyle C_{V}} C_{V} le pourcentage d'alcool par unité de volume, ou "degré", et {\displaystyle C_{m}} {\displaystyle C_{m}} la concentration massique de sucre résiduel souhaitée (en g/L).

Par exemple pour un hL d'hydromel demi-sec à 12° on calcule : (12x24,5+20)x100 = 31 400 g =31,4 kg de miel.

Le miel étant un produit naturel on peut avoir des variations, en particulier du niveau d'humidité de celui-ci. La mesure de la densité est donc un excellent moyen d'affiner son estimation. (Attention à prendre en compte le sucre résiduel dans le calcul de la densité souhaitée. À l'aide d'un densimètre vinicole, d'un mustimètre, d'un melimustimètre, ou d'un réfractomètre, on peut mesurer la densité du liquide à température donnée (généralement 20 °C). Une table de valeur est fournie avec l'appareil qui permet de comparer la densité (masse d'un litre de moût) à la quantité de sucre contenue dans celui-ci, et par déduction le taux d'alcool potentiel. Par exemple pour obtenir 12° il faut environ 200 g/l de sucre. en ajoutant les 20 g de sucre résiduel souhaité dans l'exemple précédent, il nous faut obtenir une densité de 1082. On corrige donc l'écart potentiel en rajoutant miel ou eau. Ces explications peuvent sembler compliquées mais l'utilisation d'un densimètre est très simple. Il n'est cependant pas nécessaire d'être si rigoureux quant à la quantité de miel. Une approximation est suffisante mais la précision permet de reproduire ou non un hydromel similaire au précédent.

Eau[modifier | modifier le code]
Question book-4.svg
[afficher]Cette section ne cite pas suffisamment ses sources (indiquez la date de pose grâce au paramètre date).
L'eau est une des composantes les plus importantes dans la fabrication de vin, bière et hydromel. La pollution des approvisionnements en eau étant de plus en plus préoccupante pour les brasseurs, ces derniers attachent une attention toute particulière à sa qualité. Elle doit, avant tout, répondre aux normes fixées par l'OMS. Cependant, la composition de l'eau est variable, on peut y trouver une grande diversité d'ions en différentes proportions. La densité de certains de ces ions peut influer plus ou moins sensiblement sur le déroulement de certaines étapes de la fermentation. Par exemple, la présence d'ions NO3– est néfaste au travail des levures. À contrario, les ions Ca2+ y sont propices. Certains ions influencent également le goût définitif de la boisson (Na+, SO42-, etc.).

Pour éviter les éventuels désagréments tout en favorisant d'autres paramètres, l'eau peut être traitée de différentes manières :

neutralisation par acides ;
ajout de sulfate ou chlorure (Cl–, SO42-) ;
décarbonatation (addition de chaux, décantation, filtration ou précipitation des carbonates par chauffage) ;
traitement bactériologique (filtre à charbon actif) ;
avec des résines ;
osmose inverse ;
électrolyse…
L'eau à utiliser doit être pure et non chlorée, l'eau du robinet généralement à proscrire. On préfèrera de l'eau de source. Il est intéressant de connaitre les caractéristiques de l'eau que l'on utilise (dureté, teneur en minéraux, pH…).

Le calcul de la quantité d'eau à utiliser est bien plus simple que celui du miel : on remplit à moitié la cuve que l'on utilise, on y incorpore le miel et on complète en fonction. (Attention à ne pas remplir à ras bord la cuve, un creux (espace d'air entre la surface du moût et le couvercle de la cuve) est nécessaire (environ 5 à 10 % du volume total). En effet la fermentation produit des gaz et de la mousse qui risque de faire déborder la cuve.

Levures[modifier | modifier le code]
L'utilisation des levures exogènes (apportées par le brasseur) est facultative. En effet le miel comporte ses propres levures (endogènes) en particulier dans les particules de pollen contenues dans celui-ci. On peut également ajouter les rayons vidés de leur miel afin d'ajouter plus d'éléments susceptibles de contenir ces levures. Cependant, la qualité de ces levures est aléatoire et la concurrence pour l'occupation du milieu dont dépend une bonne fermentation. Afin de mieux contrôler cette fermentation on peut donc introduire des levures choisies par le brasseur. Pour ce faire on prendra soin de stériliser le moût (voir également le chapitre traitant de la mise en fermentation) afin de supprimer les micro-organismes endogènes qui risquent de faire concurrence au levures introduites. Puis on introduit un pied de cuve (ou levain) au moût.

Si on choisit l'introduction de levures exogènes, il est nécessaire de choisir celle-ci. En effet des levures utilisées dépendent différents résultats :

La température de fermentation
Le taux d'alcool souhaité (Chaque levure supporte un taux d'alcool maximum)
Le type d'hydromel (sec, doux…)
Les arômes souhaités (Chaque levure a tendance à produire des esters (composés volatils) particuliers, tels que les arômes fruités, arôme banane ou beaucoup d'autres…)
En effet chaque levure a ses propriétés propres, indiquées par le fabricant.

On propose différents types de conditionnement:

les LSA, levures sèches actives, à réhydrater dans une solution sucrée selon les indications du fabricant. Elles présentent l'avantage de se conserver longtemps.
les levures liquides peuvent s'introduire directement dans le pied de cuve mais se conservent moins longtemps. Certains considèrent qu'elles sont de meilleure qualité
On peut également congeler une partie du pied de cuve pour l'introduire ultérieurement dans celui de la prochaine cuvée si le résultat de la fermentation était satisfaisant.
Concernant le choix de la levure, il dépend du brasseur. On conseille cependant une levure à chablis pour un hydromel sec, une levure à sauternes pour un hydromel plus doux. Certains fabricants proposent également des levures à hydromel, sec ou doux. Néanmoins, tout type de levure est potentiellement valable selon le choix du brasseur.

[[sticker:p/1lmb]]

c'est ultra faisable au rythme où ça va

Les giohstfag doivent se montrer un peu cela dit

Le 10 septembre 2017 à 16:25:50 FoetusEnVente a écrit :
Histoire[modifier | modifier le code]
Ce mot vient du latin hydromeli, lui-même issu du grec ancien ὑδρόμελι/hudrómeli dérivé de ὕδωρ/húdôr (« eau »), et μέλι/méli (« miel »). Cette boisson est l'une des premières boissons alcoolisées que l'homme ait bu. Les premières traces de production d'hydromel remontent à 7000 av. J.-C., en Chine. Une des premières recettes écrites nous vient d'Aristote en 350 av. J.-C.1.

Connu et apprécié des Grecs et des Romains pour se répandre plus tard chez les Gaulois, l’hydromel, boisson des dieux issue de la fermentation d’eau et de miel dans des proportions variant suivant les peuples, est plébiscité tant par les familles que par les religieux du Moyen Age, avant d’être supplanté vers le xiiie siècle par l’hypocras, breuvage consistant en un vin miellé auquel on ajoute bientôt force épices et herbes aromatiques, et dont les propriétés les font interdire dans les monastères.

Dans la mythologie nordique, les Valkyries remplissent les cornes d'hydromel, durant le festin des dieux.

Miel[modifier | modifier le code]
Question book-4.svg
[afficher]Cette section ne cite pas suffisamment ses sources (indiquez la date de pose grâce au paramètre date).
Le miel donne sa couleur et sa saveur à l'hydromel. On peut utiliser tout type de miel, mais pas de miel fermenté ou d'eau de lavage d'opercule. Un miel de châtaignier par exemple, sombre, fort et légèrement amer donne un hydromel similaire. Les miels les plus utilisés sont des miels clairs (qui donnent un hydromel clair) aux goûts discrets : l'acacia, le colza ou le tournesol.

La quantité de miel à utiliser dépend de la quantité de moût (mélange avant fermentation), du taux d'alcool ainsi que du type d'hydromel désiré (sec, moelleux…). On a besoin de 17g/l2 de sucre pour produire 1° d'alcool et sachant que 70 % environ du miel est fermentescible, on a besoin de 24,5g/l3 de miel pour obtenir 1° d'alcool.

La différenciation entre les types d'hydromel est due au sucre résiduel (sucres non fermentés) dans le produit fini.

Sucre résiduel en fonction du type d'hydromel souhaité
(données indicatives, aucune précision légale trouvée)
Type d'hydromel Quantité de sucre résiduel
Sec 0 à 10 g/l
Demi-sec 10 à 20 g/l
Doux /Moelleux 20 à 40 g/l
Liquoreux 40 à 60 g/l
Dans les faits, pour les hydromels du commerce, la législation applicable est identique à celle pour les vins, et tient compte de la quantité de sucres résiduels contenu dans le produit à l’embouteillage.

Afin de calculer la quantité nécessaire de miel on applique donc cette formule (en grammes et litres) :

{\displaystyle M=V\times (24.5\times C_{V}+C_{m})} {\displaystyle M=V\times (24.5\times C_{V}+C_{m})}, avec {\displaystyle M} M la masse de miel nécessaire (en g), {\displaystyle V} V le volume d'hydromel souhaité (en L), {\displaystyle C_{V}} C_{V} le pourcentage d'alcool par unité de volume, ou "degré", et {\displaystyle C_{m}} {\displaystyle C_{m}} la concentration massique de sucre résiduel souhaitée (en g/L).

Par exemple pour un hL d'hydromel demi-sec à 12° on calcule : (12x24,5+20)x100 = 31 400 g =31,4 kg de miel.

Le miel étant un produit naturel on peut avoir des variations, en particulier du niveau d'humidité de celui-ci. La mesure de la densité est donc un excellent moyen d'affiner son estimation. (Attention à prendre en compte le sucre résiduel dans le calcul de la densité souhaitée. À l'aide d'un densimètre vinicole, d'un mustimètre, d'un melimustimètre, ou d'un réfractomètre, on peut mesurer la densité du liquide à température donnée (généralement 20 °C). Une table de valeur est fournie avec l'appareil qui permet de comparer la densité (masse d'un litre de moût) à la quantité de sucre contenue dans celui-ci, et par déduction le taux d'alcool potentiel. Par exemple pour obtenir 12° il faut environ 200 g/l de sucre. en ajoutant les 20 g de sucre résiduel souhaité dans l'exemple précédent, il nous faut obtenir une densité de 1082. On corrige donc l'écart potentiel en rajoutant miel ou eau. Ces explications peuvent sembler compliquées mais l'utilisation d'un densimètre est très simple. Il n'est cependant pas nécessaire d'être si rigoureux quant à la quantité de miel. Une approximation est suffisante mais la précision permet de reproduire ou non un hydromel similaire au précédent.

Eau[modifier | modifier le code]
Question book-4.svg
[afficher]Cette section ne cite pas suffisamment ses sources (indiquez la date de pose grâce au paramètre date).
L'eau est une des composantes les plus importantes dans la fabrication de vin, bière et hydromel. La pollution des approvisionnements en eau étant de plus en plus préoccupante pour les brasseurs, ces derniers attachent une attention toute particulière à sa qualité. Elle doit, avant tout, répondre aux normes fixées par l'OMS. Cependant, la composition de l'eau est variable, on peut y trouver une grande diversité d'ions en différentes proportions. La densité de certains de ces ions peut influer plus ou moins sensiblement sur le déroulement de certaines étapes de la fermentation. Par exemple, la présence d'ions NO3– est néfaste au travail des levures. À contrario, les ions Ca2+ y sont propices. Certains ions influencent également le goût définitif de la boisson (Na+, SO42-, etc.).

Pour éviter les éventuels désagréments tout en favorisant d'autres paramètres, l'eau peut être traitée de différentes manières :

neutralisation par acides ;
ajout de sulfate ou chlorure (Cl–, SO42-) ;
décarbonatation (addition de chaux, décantation, filtration ou précipitation des carbonates par chauffage) ;
traitement bactériologique (filtre à charbon actif) ;
avec des résines ;
osmose inverse ;
électrolyse…
L'eau à utiliser doit être pure et non chlorée, l'eau du robinet généralement à proscrire. On préfèrera de l'eau de source. Il est intéressant de connaitre les caractéristiques de l'eau que l'on utilise (dureté, teneur en minéraux, pH…).

Le calcul de la quantité d'eau à utiliser est bien plus simple que celui du miel : on remplit à moitié la cuve que l'on utilise, on y incorpore le miel et on complète en fonction. (Attention à ne pas remplir à ras bord la cuve, un creux

1 minutes pour ne pas avoir la dédi
Je ne suis pas un robot fdp. https://image.noelshack.com/fichiers/2016/38/1474550815-1474299886-picsart-09-20-05-35-43.png
Allez encore 32 minutes les clés vous pouvez large le faire

Le 10 septembre 2017 à 16:28:27 KH3Ynedy a écrit :
J aime les bites mais personne ne le saura

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CahierDeVictime
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10 septembre 2017 à 15:42:24
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