Je vous EXPLIQUE pourquoi les RACES n'existent PAS
SuppriméPour que les races humaines existent il aurait fallu que des sous-espèces émergent comme dans d'autres espèces
Ne cherchez pas à convaincre les racistes avec des arguments moraux de merde comme le fait la gauche
Faible divergence génétique globale chez les humains
La diversité génétique globale des humains est relativement faible par rapport à d'autres espèces animales. Environ 85-90 % de la variation génétique humaine se trouve au sein des populations, et seulement 10-15 % entre les populations, selon des études de génétique des populations.
En comparaison, de nombreuses espèces animales ayant des sous-espèces présentent des niveaux de différenciation génétique intergroupes bien supérieurs à 25 %.
Raisons de cette faible divergence génétique :
Origine récente de l’espèce : Homo sapiens est apparu en Afrique il y a environ 300 000 ans, une période très courte en termes évolutifs.
Goulots d’étranglement génétiques : Des événements tels que l'éruption de Toba il y a environ 70 000 ans ont drastiquement réduit la taille de la population humaine, limitant la diversité génétique initiale.
Expansion rapide hors d'Afrique : Les populations humaines modernes se sont dispersées rapidement il y a environ 60 000 ans, laissant peu de temps pour une différenciation significative entre groupes géographiquement éloignés.
Flux génétique continu
Les humains ont toujours montré une capacité à maintenir des échanges génétiques à longue distance, y compris entre populations géographiquement éloignées, grâce à la mobilité sociale, les migrations et les interactions commerciales ou culturelles.
Contrairement à des espèces animales isolées par des barrières géographiques (îles, montagnes, etc.), les populations humaines ont rarement été totalement isolées pendant de longues périodes.
Exemple : Les Européens modernes ont un mélange de Néandertaliens (~2 %) et d’Hommes de Denisova (~0,1-0,5 %), montrant que même des groupes archaïques se croisaient.
Différenciation génétique par cline plutôt que par isolement strict
Chez les humains, les différences génétiques suivent souvent un gradient continu (ou cline) plutôt que des ruptures nettes. Par exemple :
Les variations de la couleur de la peau, de la forme des traits du visage ou encore des groupes sanguins sont fortement corrélées avec des facteurs environnementaux (latitude, pression sélective locale).
Les clines génétiques reflètent une adaptation locale progressive et non une séparation franche entre populations.
En biologie, les sous-espèces se justifient souvent lorsque des populations présentent des distinctions discrètes et non des gradations.
Critères insuffisants de divergence morphologique ou écologique
Les sous-espèces chez les animaux sont souvent définies sur la base de critères morphologiques visibles ou d’adaptations spécifiques à des niches écologiques distinctes.
Chez les humains, les variations morphologiques (couleur de peau, stature, traits du visage) sont superficielles, adaptatives et fortement influencées par l'environnement, mais ne reflètent pas des distinctions écologiques fondamentales. Par exemple :
La couleur de la peau est une adaptation au rayonnement UV (fort dans les régions équatoriales, faible dans les régions nordiques).
Les variations de stature reflètent souvent des pressions climatiques (règle d'Allen et règle de Bergmann).
Ces traits ne constituent pas des barrières reproductives ou des spécialisations écologiques fortes, contrairement à des animaux comme les tigres de Sibérie (adaptés au froid) et les tigres du Bengale (adaptés aux forêts tropicales).
Absence de barrières reproductives entre populations humaines
Une caractéristique clé des sous-espèces animales est la possibilité d'émergence de barrières reproductives partielles (par exemple, incompatibilités comportementales, temporelles ou physiologiques).
Chez les humains, aucune barrière reproductive n'existe entre les populations. Toutes les populations humaines sont interfécondes, et les descendants issus de croisements interpopulationnels sont fertiles et viables. Cela inclut même des croisements avec des espèces archaïques (Homo neanderthalensis et Homo denisova).
Durée insuffisante pour la spéciation
Les sous-espèces sont souvent le prélude à une divergence évolutive qui peut conduire à la spéciation. Cependant, la spéciation nécessite des périodes d’isolement prolongé, souvent sur des dizaines ou centaines de milliers d’années.
Chez les humains modernes, les populations n'ont pas été isolées assez longtemps pour accumuler les différences nécessaires à la formation de sous-espèces. Par exemple :
Les populations aborigènes australiennes ont été relativement isolées pendant ~50 000 ans, mais le flux génétique occasionnel (via les peuples austronésiens) a maintenu une certaine connectivité.
Comparaison avec les espèces ayant des sous-espèces
Chez des espèces comme les tigres ou les loups, les sous-espèces sont définies par des populations ayant des adaptations morphologiques distinctes et un isolement génétique marqué :
Les tigres de Sibérie ont une morphologie différente de celle des tigres du Bengale, et les échanges génétiques entre eux sont rares en raison de barrières géographiques.
Les loups gris nord-américains présentent des sous-espèces adaptées à des niches écologiques distinctes (par exemple, le loup arctique et le loup mexicain).
Chez les humains, ces critères ne sont pas satisfaits, car :
Les différences morphologiques sont adaptatives mais pas écologiquement déterminantes.
Les échanges génétiques entre populations humaines ont été fréquents et continues.
Conclusion scientifique
L'absence de sous-espèces chez Homo sapiens s'explique par :
1. Une diversité génétique globale faible.
2. Un flux génétique continu entre populations.
3. Une différenciation graduelle plutôt que discrète.
4. L'absence de barrières reproductives ou d'adaptations écologiques exclusives.
5. Une durée évolutive trop courte pour permettre une divergence suffisante.
Ces critères, qui sont à la base de la définition de sous-espèces dans d'autres espèces, ne sont tout simplement pas remplis chez les humains.
Le 18 décembre 2024 à 21:05:42 :
Les races existes et sont appelées aujourd'hui "groupes ethniques".... https://youtu.be/WQwzEKFdTL4?feature=shared . Merci bonne nuit
Tu n'as pas bien écouté la conférence, le low
Ils expliquent ce que j'explique ici, les populations humaines ne sont pas des sous-espèces, nous sommes trop homogènes globalement et pas assez localement malgré nos différences génétiques entre clusters
Le 18 décembre 2024 à 21:07:46 :
Le 18 décembre 2024 à 21:05:42 :
Les races existes et sont appelées aujourd'hui "groupes ethniques".... https://youtu.be/WQwzEKFdTL4?feature=shared . Merci bonne nuitTu n'as pas bien écouté la conférence, le low
Ils expliquent ce que j'explique ici, les populations humaines ne sont pas des sous-espèces, nous sommes trop homogènes globalement et pas assez localement malgré nos différences génétiques entre clusters
Beaucoup de gens l'ont mal écoutée alors https://youtu.be/wMaO4k38rZA?feature=shared Allez au lit
Le 18 décembre 2024 à 21:07:46 :
Le 18 décembre 2024 à 21:05:42 :
Les races existes et sont appelées aujourd'hui "groupes ethniques".... https://youtu.be/WQwzEKFdTL4?feature=shared . Merci bonne nuitTu n'as pas bien écouté la conférence, le low
Ils expliquent ce que j'explique ici, les populations humaines ne sont pas des sous-espèces, nous sommes trop homogènes globalement et pas assez localement malgré nos différences génétiques entre clusters
Il y a plus de différence entre certaines races humaines que des races de chien.
Et même si on enlève la génétique ce n'est pas elle qui défini une race.
Le 18 décembre 2024 à 21:09:44 :
On n'a rien à voir avec eux.
bordel cette dissonnance
Données du topic
- Auteur
- PardonMarianne
- Date de création
- 18 décembre 2024 à 20:57:24
- Date de suppression
- 19 décembre 2024 à 18:42:00
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